Le sport, foyer de radicalisation islamique

Publié le 13 décembre 2019 – par Marcus Graven (RL)

Un article du Canard Enchaîné, Radicalisation : le sport botte en touche, met en cause la ministre des Sports, la transparente Roxana Maracineanu, pour son peu d’empressement à faire remonter le rapport des députés Poulliac (LaREM) et Diard (LR). Après avoir reçu les deux députés, Édouard Philippe aurait passé un savon à l’ancienne nageuse (en eaux troubles ?).

Les deux hommes reprochent à la dame « de ne pas avoir pris toute la mesure de la gravité de la radicalisation dans le milieu sportif. La peur de remettre en cause les résultats ou la crainte d’interférer avec l’organisation de grands événements (comme les JO de Paris) expliquent sans doute en partie sinon une forme de déni, à tout le moins une tendance à minimiser le phénomène ».
Et la crainte d’être traitée d’islamophobe n’expliquerait-elle pas aussi ce comportement dangereux ?
Selon les services de police, une trentaine de sportifs de haut niveau seraient sous surveillance.

Le sport censé, pour les bonnes âmes, apporter éducation et intégration, est un des principaux lieux de la radicalisation islamique, un immense nid de vipères prêtes à mordre, des centaines de racailles sportives (surtout sports de combats, clubs de tir et foot) se musclant pour pouvoir hurler « Allahu akbar » au moment opportun.
L’an dernier, 829 cas de radicalisation ont été signalés dans les clubs français.
Et 2019 battra certainement ce beau record.

Les clubs sportifs sont les premiers foyers de radicalisation devant les associations pro-musulmanes et les mosquées.
Sur le site de BFM, on lit que l’an dernier à Lagny-sur-Marne, deux entraîneurs d’un club de football local ont été suspendus par la municipalité après la découverte de leur proximité avec les milieux islamistes radicaux.
« Natifs du quartier, les deux jeunes hommes, qui avaient progressivement gravi les échelons, étaient très écoutés par les jeunes joueurs sur lesquels ils exerçaient une grande influence. Or, tous deux étaient connus des services de renseignement, dont l’un pour une affaire de terrorisme. Ce sont des scènes de prières au beau milieu des terrains de foot qui ont mis la puce à l’oreille de la préfecture. »
Certains emmènent les jeunes à la mosquée à la place de l’entraînement. Avec l’aide d’Allah, podium assuré sous les applaudissements des 72 vierges ?

La région Île-de-France, qui comptait 18 % de sportifs radicalisés en 2017, semble particulièrement touchée.
Médéric Chapitaux, auteur du livre Le sport, une faille dans la sécurité de l’État (un cadeau de Noël pour Roxana Maracineanu !), explique dans une interview donnée au Point en mai 2019 : « Le sport devient une faille à cause de l’absence de compréhension des problèmes de sécurité par le ministère des Sports. (…) on retrouve le sport comme marqueur fort chez tous les auteurs d’attentat depuis 2012. On constate aussi une présence marquée des sports de combat et arts martiaux, qui sont une façon de se préparer physiquement au combat. Les sports comme le football et le futsal sont aussi concernés à cause de leur succès, notamment dans les milieux populaires, en particulier dans les quartiers dits sensibles, cela permet un recrutement plus large.
Pour tout le monde, le sport est censé apporter des solutions à tous les problèmes. Envisager que le sport soit aussi un lieu de déviance, c’est le placer aux antipodes de ses valeurs premières et reconnaître une forme d’échec. C’est difficile de faire bouger l’ordre établi. Dans ce domaine, chacun veut protéger son périmètre. Cela fait partie du fonctionnement très particulier de l’administration du ministère des Sports.
 »

Comment éviter de parler, dans un article sur le sport, d’Earvin Ngapeth, star de l’équipe de France de volley, surnommé le « Nicolas Anelka du volley ».

Il a été arrêté lundi à Belo Horizonte (Brésil) pour avoir mis une main aux fesses d’une jeune femme dans une salle de spectacles. Pour sa défense, ce charmant bambin a prétendu à un malentendu, il aurait confondu ces fesses-là avec d’autres fesses. Celles de son épouse peut-être ? Et il a tenu à préciser « qu’en France toucher les fesses d’une femme n’est ni une agression ni une offense ». J’espère que Marlène Schiappa en a pris note.

Earvin Ngapeth n’est pas un inconnu des tribunaux, même si ceux-ci font preuve d’une grande mansuétude quand cette chance pour l’équipe de France de volley passe devant les juges.
En 2010, alors âgé 19 ans, il a été débarqué de l’équipe de France en plein Mondial en Italie pour avoir insulté le sélectionneur de l’époque, Philippe Blain.
Pour une rixe dans une boîte de nuit en août 2013, il a été condamné à trois mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Montpellier. Puis relaxé.
En novembre 2015, en rentrant à 3 h 30 du matin d’un match de Ligue des champions, il a percuté trois piétons dans un virage près de Modène en Italie.
Il a été condamné en 2016 à trois mois de prison avec sursis pour avoir frappé un contrôleur SNCF qui refusait de différer le départ du train parce que les amis de Monsieur étaient en retard. Puis relaxé.
Au Brésil, il vient d’être libéré après versement d’une caution de 10 000 euros. Il est certainement en vol vers d’autres cieux. Plus cléments ?

Il serait peut-être temps de démissionner Roxana Maracineanu pour nommer une personne moins sensible aux charmes de la diversité et plus soucieuse de la sécurité des citoyens.
Faudra-t-il qu’une chance sportive massacre toute une équipe de France pour que le ministère des Sports prenne enfin conscience d’un problème islamique dans son domaine ?

Victoire totale de Boris Johnson : le 31 janvier 2020, Brexit !

Publié le 13 décembre 2019 – par Jacques Guillemain (RL)

Un succès pour les conservateurs britanniques aux législatives ? Non, un triomphe absolu, une victoire par KO pour Bojo, qui lamine littéralement l’opposition travailliste. Une claque sévère à tous les antidémocrates de tout poil, qui, à Bruxelles et en Grande-Bretagne, ont usé et abusé de toutes les bassesses et mensonges, pour confisquer au peuple son vote de 2016 en faveur du  Brexit.

Trois ans et demi de coups bas, de peaux de banane en tous genres, de machinations diaboliques, de déclarations apocalyptiques des dirigeants européens, promettant la ruine de la Grande-Bretagne en cas de Brexit.

Comment les leaders de l’Union européenne, Merkel et Macron en tête, ont-ils pu s’associer à une telle ignominie ? Comment les élus de la plus vieille démocratie du monde moderne ont-ils  pu, eux aussi, s’opposer à la volonté du peuple souverain ? Une ignominie. Seul Donald Trump a soutenu ouvertement Boris Johnson.

Mais Boris Johnson aura triomphé de tous les obstacles.

Il lui fallait 326 sièges pour obtenir la majorité absolue, il en obtient 364, au grand dam de ses opposants et des impérialistes de Bruxelles, pour lesquels les peuples européens ne sont que des sujets qu’il faut soumettre. Mais on ne soumet pas le peuple anglais. Le Labour obtient 203 sièges, les éternelles contorsions de Jeremy Corbyn ayant découragé bon nombre d’électeurs travaillistes.

C’est donc une immense victoire pour la démocratie.

Après trois années et demie de discussions avec l’UE, de guérilla parlementaire, de coups de théâtre, d’incertitudes multiples, de sondages contradictoires, de votes incessants ajoutant à l’imbroglio, la Grande-Bretagne sort enfin de l’instabilité politique et de l’impasse du Brexit. Celui-ci sera effectif le 31 janvier 2020.

Cette victoire éclatante de Boris Johnson est amplement méritée, car il n’a jamais renoncé malgré les obstacles mis sur sa route, y compris par son propre camp.

Affaibli par les désertions de certains des siens, il lui fallait regagner une large majorité, c’est fait…

Pourtant, tout aura été tenté pour annuler le référendum de 2016 et confisquer au peuple son « oui » au Brexit.

Les Remainers nous ont vendu la fable du peuple mal informé, voire irresponsable. Ils ont mobilisé la rue pour rejouer la partie et refaire un second référendum. Mais le « People’s vote » initiateur de cette entreprise s’est  crashé. Les donations de Georges Soros pour torpiller le Brexit n’auront servi à rien.

À la dernière minute, ce sont les grosses pointures de l’anti-Brexit qui ont tenté le « vote tactique ». John Major et Tony Blair ont incité les électeurs à voter dans leur circonscription, non pas pour le candidat de leur choix, mais pour le candidat le mieux placé pour battre le conservateur. Mauvaise pioche. On ne dicte pas aux électeurs un choix aussi crucial.

Au cours de ces trois années et demie, l’artillerie médiatique européenne, anti-Brexit à 99 %, aura déversé des torrents de mensonges et de faux sondages, annonçant le revirement de l’opinion britannique en faveur du Remain. Mais toute cette entreprise antidémocratique aura eu un effet contreproductif. Les électeurs se sont braqués et Jeremy Corbyn a perdu une partie de son électorat de gauche.

On aura même entendu un député travailliste déclarer sans honte, suite à l’enlisement parlementaire :

« Je ne pense pas que ce soit à 650 politiciens de décider pour 65 millions de personnes » !! Ce bon démocrate a simplement  oublié que le peuple souverain a choisi librement son destin en 2016…

De toutes façons, les Britanniques, épuisés par des années de palabres sans lendemain, ne voulaient pas d’un second référendum. 47 % y étant opposés contre 41 % y étant favorables.

La conclusion de tout cela est que le peuple britannique a perdu plus de trois années en palabres stériles, par la faute de l’UE et de ses propres élus.

Ce que personne ne dit et qui reste la cause première du Brexit, c’est que ce sont les questions d’immigration et d’insécurité qui ont été déterminantes pour le choix du peuple.

Sur les terres travaillistes, Jeremy Corbyn a perdu des légions d’électeurs, ne supportant plus les méfaits de l’immigration.

C’est la politique immigrationniste de l’UE qui est responsable du Brexit. Les Britanniques ont dit non au mondialisme et au multiculturalisme. Ils sont enfin maîtres chez eux !

La France va accueillir 400 migrants de Grèce « dans les prochains mois »

Pour soulager l’afflux massif de migrants en Grèce, la France a annoncé via son ambassadeur à Athènes, qu’elle accueillera prochainement 400 demandeurs d’asile

L’ambassadeur français à Athènes, Patrick Maisonnave a indiqué, jeudi 12 décembre, que la France allait accueillir « dans les prochains mois » 400 demandeurs d’asile « qui ont atteint le territoire grec »[…].

La Grèce est redevenue en 2019 la première porte d’entrée des migrants en Europe. Le flux migratoire maritime en provenance de Turquie reste le plus important de ces dernières années. Selon le Haut-commissariat des réfugiés (HCR) il y aurait eu plus de 55.000 arrivées en 2019. L’immigration via la frontière terrestre entre les deux pays est également en augmentation depuis 2018. Toujours selon le HCR, plus de 14.000 personnes ont emprunté ce second chemin, tout aussi périlleux, en 2019…

RTL

Législatives au Royaume-Uni: le camouflet des Britanniques aux médias occidentaux

Sources Sputnik

Voilà qui ne va pas arranger l’image des médias et des politiques en France. Alors que depuis trois ans, articles et reportages se succèdent sur ces Britanniques qui regretteraient massivement leur vote en faveur du Brexit, la victoire électorale écrasante des Conservateurs le 12 décembre vient démentir cette analyse mainstream. Piqure de rappel…

«Get Brexit done» («faisons le Brexit»), voilà qui pourrait être bientôt chose faite. Après trois ans d’imbroglios et de paralysies politiques, la victoire écrasante de Boris Johnson aux élections générales clarifie la situation, en offrant au Premier ministre britannique les coudées franches pour mener le Brexit à son terme.

Il faut dire que la victoire est loin d’être minime: alors que «BoJo» avait tout misé en provoquant ces Législatives anticipées, le Parti conservateur réalise son meilleur score depuis 1987, alors qu’il était mené par Margaret Thatcher. Les Tories obtiennent ainsi 364 des 650 sièges à la Chambre des communes, alors qu’en face le Parti travailliste subit l’une de ses plus importantes défaites, en perdant 59 de ses 262 sièges.

Face à Jeremy Corbyn dont la campagne ne décollait pas, Boris Johnson était donné «grand favori des élections. Si on en croit les sondages», nuançait-on toutefois dans la presse française jusqu’à la veille de l’élection, le JDD allant jusqu’à titrer sur une victoire «loin d’être assurée». Une presse tricolore qui se montrait particulièrement prudente quant à l’issue d’un scrutin que certains annonçaient sans surprise. Il est vrai qu’on avait connu nos confrères plus enthousiastes vis-à-vis des prévisions électorales, notamment, sur les chances de victoires d’Hillary Clinton aux Présidentielles américaines de 2016 ou encore du Remain lors du référendum britannique quelques mois auparavant. Notons néanmoins que le climat de cette campagne était parvenu à faire perdre ses repères au plus britannique de nos intervenants.

Il faut dire que par leurs enjeux, ces élections faisaient office de second référendum sur la question du Brexit. Or, pour nos confrères, depuis le lendemain du 23 juin 2016, il semblait acquis que –trompés– nos voisins d’outre-manche n’attendaient qu’une chose: revoter afin de rester dans l’Union européenne. «Les Britanniques regrettent déjà leur vote» lançait Europe1 au lendemain du vote. «Certains Britanniques ont voté “Leave” et le regrettent déjà», titrait Slate, un magazine en ligne américain, indiquant également dans un autre article que les Britanniques recherchaient massivement sur Internet, peu après le vote, «Que se passe-t-il en cas de Brexit?». «“C’était une énorme erreur”: pro-Brexit en 2016, ces Britanniques veulent désormais rester dans l’Union européenne», appuyait FranceInfo.

Une chose était sûre déjà avant le vote, le Brexit était annoncé comme une catastrophe économique par ses détracteurs. Un message massivement relayé, notamment dans une presse française qui «prend ses désirs pour des réalités», taclait à notre micro, avant le vote, François Asselineau, Président du parti prônant historiquement la sortie de la France l’UE. Il regrettait l’«intimidation générale» menée auprès de l’opinion tant au Royaume-Uni qu’en France. Ainsi, nous expliquait-on, le Brexit mènerait le pays à la récession, rendrait plus pauvres tous les Britanniques: le chiffre de la destruction de près d’un million d’emplois fut avancé.

Les personnalités de la sphère politico-médiatique ne furent pas en reste, à commencer par l’inénarrable Bernard-Henri Lévy. Bien avant le succès plus que mitigé de sa pièce pro-européenne «Looking for Europe» –dont la tournée fit l’objet d’un documentaire autobiographique en partie financé par l’argent public–, BHL prit la plume pour enjoindre les Britanniques, qui à ses yeux avaient «été abusés», à ne pas commettre l’«irréparable». Il leur enjoignait de réclamer un nouveau vote, car après tout «rien, juridiquement, ne s’y oppose» et qu’il en «allait de la vie et de la mort de la nation européenne». Celui-ci ira jusqu’à se rendre à Londres pour y tenir un monologue anti-Brexit de deux heures.

Les Britanniques, trompés, inconscients de ce qu’ils avaient pu voter et réclamant un nouveau vote? Ce leitmotiv fur repris jusqu’au sommet du FMI, dont l’ex-présidente, Christine Lagarde, récemment nommé à la tête de la Banque centrale européenne, lors d’une conférence en 2018 à Washington affirma qu’«il semble qu’il y ait davantage de Britanniques qui préféreraient rester plutôt que sortir de l’Union européenne.» Du côté sphère financière en tout cas, le résultat de ce vote du 12 décembre actant la sortie de crise du Brexit a été salué par les marchés.