EN DIRECT. Grève du 17 décembre.

Pour la troisième journée de mobilisation interprofessionnelle contre la réforme des retraites, tous les syndicats ont appelé à faire grève et à manifester ce mardi. 

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Les Restos du Cœur envahis de migrants exigeants et agressifs !

Publié le 6 décembre 2019 – par Josiane Filio (RL)

Clandestin… prêt à remercier de l’accueil ???

Les Restos du Cœur ! Nous avons tous en mémoire l’air désormais célèbre composé par Jean-Jacques Goldman pour célébrer cette belle action, voulue par Coluche, qui savait si bien cacher un cœur d’or sous ses airs bravaches et souvent « mal embouchés ».

L’émotion qui avait alors envahi la France était générale et bien réelle, et l’idée du comique décidant de donner une leçon aux politiques, en soulignant leur incompétence dans ce domaine (entre autres), puisque tant de citoyens ne mangeaient pas à leur faim, était généreuse et quasiment géniale.

Le hic, c’est que ces pourritures de dirigeants n’ont pas du tout pris cela comme une leçon, mais bien au contraire, se sont confortablement satisfaits de ce que des citoyens décidaient de se démener pour secourir les plus démunis d’entre eux… et n’ont donc rien changé, ou presque, à leurs sales manigances d’égoïstes pour s’en mettre plein la panse (et les poches) pendant que le peuple se débrouillait tout seul !

Il y a beaucoup à dire, en bien comme en mal, de cette désormais « institution » qui perdure bien au-delà du rêve de Coluche, et l’on y trouve « à boire et à manger » si j’ose dire, entre l’armée des bénévoles ne ménageant pas leur peine, plusieurs mois par an, pour nourrir et parfois aider à réinsérer ceux que le système a broyés… et certains autoproclamés mais vrais « enfoirés » qui ont su voir tout le profit que l’aventure pouvait leur apporter à titre personnel, ne serait-ce que sur le plan promotionnel…

Ayant déjà exprimé mon ressenti à l’égard de ce système bien huilé, je n’y reviendrai pas ; mon propos aujourd’hui est de constater que cette belle entreprise est aujourd’hui en danger de disparaître… non pas parce que finalement des mesures sont prises par les décideurs pour que chaque citoyen français puisse être logé et nourri dignement… Bien au contraire puisque c’est là le cadet de leurs soucis !

Mais uniquement par un effet pervers de cette politique écœurante menée par les politicards de tous poils, n’ayant en vue que leurs profits personnels, et bien décidés à punir ceux qui ne votent plus pour eux, en les noyant sous des millions de migrants !

Lentement mais sûrement s’est mis en place l’ignoble système du « tout pour les autres », en décidant que sous peine d’être taxés d’égoïsme (c’est l’hôpital qui se fout de la charité !), nous devons accueillir tous les miséreux de la Terre, prétendus « réfugiés fuyant des pays en guerre !!! », et ce dans les meilleures conditions, c’est-à-dire en nous poussant pour leur faire de la place, et en nous privant encore plus du peu que ces vautours nous laissent après s’être royalement servis !

Ce qui devait arriver se réalise donc, à grande vitesse, d’autant plus que depuis peu, les Restos ouvrent leurs portes aux envahisseurs clandestins, appelés pudiquement « migrants » par les gogos et idiots utiles de la bien-pensance.

Devenus bénéficiaires de cette hypocrite générosité, et dûment avertis de « leurs droits » (y compris ceux qui sont déboutés mais qui ne repartiront jamais… Castaner préférant s’acharner sur les GJ ), ils ne se contentent plus du tas de mesures prises pour eux (quand certaines sont refusées aux autochtones !) tels que logements prioritaires, transports et soins gratuits, interprètes (!), argent de poche et n’ont pas de frein à leurs exigences.

De quoi bien scandaliser le Français moyen trimant pour un salaire de misère, et dont systématiquement le pouvoir remet en cause les acquis sociaux, qu’il est bien incapable d’équilibrer autrement qu’en les supprimant.

Et ces bandits sont pour l’heure offusqués de cette grève généralisée qui vient de débuter et dont la destinée est des plus aléatoires.

Pour revenir aux Restos du Cœur, même si souvent les distributions étaient rendues difficiles par les caprices de certain(e)s exigeant telle marque plutôt qu’une autre (!!!), les bénévoles arrivaient à gérer les situations difficiles.

Mais l’UE donne de plus en plus de passe-droits à ces envahisseurs, dont la plupart ne sont que des pleutres mâles ayant su abandonner femmes, enfants, mères… au pays prétendu en guerre… pour accourir en Europe, et plus précisément en France où il ne fait pas bon les critiquer sous peine d’être traînés devant les tribunaux, pour une prétendue « incitation à la haine », formule bien pratique pour les ordures aux ordres du dictateur Macron.

De mon temps on disait « à cheval donné on ne regarde pas les dents »… signifiant clairement que lorsque l’on dépendait de la générosité d’autrui, il n’était pas question de se montrer difficile, et encore moins exigeant.

Mais ça, c’était avant, comme dit une pub célèbre : dorénavant il n’y a aucune limite à l’égoïsme individuel, bien planqué sous une générosité de surface… celle qui incite les autres à donner, de l’argent ou de leur temps… tout en s’exonérant eux-mêmes de ces sacrifices… ce qui n’a pas échappé aux nouveaux arrivés.

Cela est dû à la déliquescence de l’éducation (parents) comme de l’instruction (enseignement… lequel n’est plus que l’ombre de lui-même sous les coups renouvelés des nocifs idéologues de gauche).

Une société qui légifère pour interdire aux parents une simple fessée (rien à voir avec les tortionnaires d’enfants) ; tout en leur inculquant dès le plus jeune âge, des notions de pornographie, de manière à grossir le vivier des prochaines victimes de leurs vices, est une société condamnée à mourir… et c’est bien le but recherché par les mondialistes, dont l’invasion de clandestins est la dernière trouvaille.

Ceux-là donc donnent du fil à retordre aux généreux bénévoles qui finissent par jeter l’éponge ou bien à faire face aux engagements pris avec eux-mêmes, avec la peur au ventre !

Sur Breizh info, le témoignage particulièrement éloquent de Louise, 71 ans, décidant de cesser son bénévolat aux Restos de la région parisienne, après 17 années de dévouement, expliquant « avoir l’impression désormais de ne plus servir la cause qu’elle voulait servir au début ».

Extraits :

« Certains bénévoles, écœurés par la tournure que prend « l’aide sociale » en France aujourd’hui, aide sociale de plus en plus tournée vers les migrants, notamment dans les grandes métropoles, ne veulent plus aider ».

« Au début, on faisait face comme on pouvait, et on les aidait comme n’importe qui. Mais il y en a beaucoup trop aujourd’hui. Et pourtant, il y a beaucoup de Français pauvres aussi. Mais j’en connais qui n’osent même plus venir aux Restos du cœur, ils ont même peur parfois ».

Le phénomène n’est pas nouveau et ne peut que s’amplifier puisque les pouvoir publics jouent sur deux fronts à la fois : celui du renoncement à la mission qui est la leur, en la refilant aux associations… et continuer à injecter sur notre sol des hordes de haineux venus exiger ce qu’ils n’ont pas chez eux, sans la moindre reconnaissance pour une grande majorité !

Octobre 2011 : Restos du cœur ; la misère des migrants bouscule les bénévoles
http://www.lecanardsocial.com/ArticleFil.aspx?i=377

Novembre 2015 : https://www.francebleu.fr/infos/societe/isere-de-plus-en-plus-de-migrants-aux-restos-du-coeur-grenoble-1448913289

Avril 2016 : https://www.ouest-france.fr/normandie/calvados/les-migrants-preoccupent-les-restos-du-coeur-4168629

La nouveauté, c’est que les quelques rares familles syriennes du début sont depuis longtemps remplacées uniquement par des hommes valides et jeunes pour la plupart, lesquels ajoutent à l’ingratitude, déjà inadmissible, une agressivité et une violence extrême dès qu’on leur refuse quelque chose.

En conséquence directe, les bénévoles, déjà insuffisamment nombreux, diminuent encore plus, écœurés de constater le comportement inacceptable de ces lâches, parfaitement incapables de faire le ménage dans leur propre pays, mais prêts à tuer ici pour « faire valoir leurs droits »… que d’autres ont conquis à leur place !

Tellement plus facile d’utiliser nos lois contre nous… lesquelles seront d’ailleurs carrément contournées quand cela les arrange, notamment à propos des devoirs qui vont avec ; mais les forces de l’ordre ont pour consigne d’être bien moins répressifs que pour les GJ et autres manifestants locaux.

Comment faire comprendre aux citoyens qui continuent à voter pour ces vermines que depuis des décennies ils arrosent de millions d’euros, par l’entreprise de dettes qui seront annulées ultérieurement (pendant que tout nouveau-né a déjà sur la tête une part de la prétendue « dette publique » dont ses parents ne sont pas responsables) certains pays africains, dont les dictateurs s’empressent de les détourner à leur unique profit… tout en veillant soigneusement à ce que perdure dans l’esprit de leurs peuples la haine des colonialistes responsables de leurs misères…

Sous prétexte que ce scénario bien huilé a super bien fonctionné jusqu’à aujourd’hui, les prédateurs mondialistes, aux mains des grands financiers qui entendent gouverner le monde, s’imaginent qu’il va perdurer…

Puisse le chaos qui s’annonce leur donner une magistrale leçon, et qu’ils passent prioritairement au remboursement de leurs propres dettes envers les peuples d’Europe qu’ils pensaient pouvoir continuer à manipuler indéfiniment.

Amen !

Macron mène une guerre à mort à son peuple pour lui imposer l’invasion

Publié le 16 décembre 2019 – par Jacques Guillemain (RL)

Au plus haut niveau politique, chacun est parfaitement conscient de la situation explosive des banlieues et du  risque de guerre civile qui pèse sur la nation. Pourtant, l’inaction est de mise.

Si l’État agit contre le terrorisme, il continue d’alimenter sa source principale : l’immigration musulmane de masse. Le combat est donc perdu d’avance.

Entre un ex-président de la République qui évoque une partition du pays et un ex-ministre de l’Intérieur qui nous annonce un face-à-face entre communautés d’ici cinq ans, le message est limpide  et la menace parfaitement  identifiée :  une immigration musulmane de masse qui refuse de s’intégrer et  fracture le pays. Tout citoyen lucide ne peut que s’inquiéter de l’avenir de notre France millénaire. Car c’est un choc civilisationnel qui s’annonce.

Malheureusement, force est de constater que, faute de courage politique au sommet de l’État, c’est la soumission qui prévaut. Quant à la presse et les élites qui font l’opinion, elles trahissent le peuple en entretenant une omerta coupable.

Lavage de cerveau, manipulations, désinformation, mensonges, sont leur spécialité. Souci de la vérité et éthique professionnelle sont aux abonnés absents.

Peur des émeutes, peur d’un embrasement généralisé avec  affrontements mortels, le fait est que le pouvoir joue la carte du renoncement  permanent, en espérant éviter le pire. Comme si la politique de l’autruche était la meilleure solution pour relever un défi majeur !

Les patriotes assistent, impuissants, à leur effacement culturel, à un basculement de civilisation au profit d’un islam conquérant qui n’a jamais caché son objectif vieux de 14 siècles, qui est  d’établir un grand califat mondial.

Nombreux sont ceux qui tirent la sonnette d’alarme, en bravant la dictature du politiquement correct, comme Zemmour, Rioufol, Obertone et bien d’autres, mais qui les écoute ? Ils sont traînés en justice pour incitation à la haine, diabolisés, insultés, alors que ce sont les islamistes qui diffusent leur discours de haine chez la jeunesse des banlieues.

La France se « salafise » à grande vitesse avec la complicité du pouvoir et des élites.

Ce qui s’est passé dans nos banlieues, où les Français de souche ont été peu à peu chassés de chez eux, va s’opérer au niveau national dans les vingt années qui viennent, avec un basculement démographique que rien n’arrêtera, si Macron maintient le cap de sa politique immigrationniste et persiste dans ses délires mondialistes.

Dans un article remarquable, Antonin Campana décortique la société française de 2019 et explique la fracture béante entre trois classes : les élites urbaines, le peuple autochtone et les populations allochtones des banlieues. Bien au-delà de la fracture identitaire, il y a une cassure irréversible entre la France des villes qui vote Macron, et la France populaire de souche qui subit de plein fouet le choc des cultures. Une cassure qui n’augure rien de bon.

http://www.autochtonisme.com/2019/08/guerre-civile-en-france-une-analyse-des-forces-en-presence.html

Les élites mondialistes sont pour l’immigration, mais ce sont les Gilets jaunes qui en subissent les méfaits. Avant de sauver le climat et le tiers-monde, le peuple français veut sauver son patrimoine culturel et son identité. Pendant que les uns ne jurent que par Greta et  le multiculturalisme, les autres entendent défendre leurs racines judéo-chrétiennes.

Pour l’élite urbaine, l’immigration est toujours une chance pour la France et le véritable danger est « le suprémacisme blanc » qui menace le « vivre-ensemble ». Pour le peuple de la périphérie, c’est  l’immigration qui est une menace existentielle.

Pour ces élites, les peuples, les cultures, les religions peuvent se mélanger, pour la simple raison que les nations sont appelées à disparaître au profit du grand village mondial.

Il n’y a plus de races, mais uniquement l’espèce humaine. Le Blanc est un Noir qui s’ignore et réciproquement. La culture française n’existe pas et n’est qu’un mélange d’apports extérieurs.

Pour « ceux qui savent », les adversaires du mondialisme et de la globalisation sont des attardés, d’affreux populistes, des lépreux incultes, qui ne comprennent rien à la marche du monde. Macron les a assez  insultés !

« Fainéants, illettrés, alcooliques, moins que rien, auteurs de crimes contre l’humanité »… Aucun chef d’État n’a dénigré son peuple comme l’a fait Macron. Et les élites applaudissent, persuadées de détenir la vérité. Pour elles, le peuple n’a rien compris :

Patriotisme, famille traditionnelle, héritage culturel, Histoire de France, folklore et traditions ne sont que des valeurs ringardes pour xénophobes et attardés mentaux, pour ne pas dire l’expression d’un racisme des plus immondes.

Face à ces deux classes qui ne se parlent plus et se méprisent réciproquement, il y a les immigrés.

Une immigration encouragée par les élites mondialisées, qui est protégée par la dictature du politiquement correct et  défendue par une justice à deux vitesses, sévère à l’encontre des patriotes identitaires et clémente à l’égard des délinquants issus de la diversité.

Le problème est que cette immigration toujours plus nombreuse et coûteuse a ruiné le pays et se finance aujourd’hui sur le dos des Gilets jaunes, en désossant notre modèle social.

Le « label diversité » et  la discrimination positive font que les natifs sont les derniers servis au guichet social et au bureau emploi. Le Grand Remplacement, on le constate dans la rue, mais aussi dans les administrations et les services publics.

En 2010, selon l’Ined, 20 % des policiers étaient  issus de l’immigration. La proportion de musulmans dans l’armée tourne autour de 15 %. Beaucoup de ces soldats ont servi loyalement en Afghanistan et au Sahel, mais certains d’entre eux ont refusé d’aller combattre d’autres musulmans en Afghanistan. Par ailleurs, des rébellions de jeunes musulmans ont eu lieu à bord de navires de la Marine nationale.

Ce prétexte du musulman qui ne combat pas d’autres musulmans est d’autant plus hypocrite que les sunnites et les chiites se combattent depuis 14 siècles ! Mais plus c’est gros, plus ça passe…

Pour Antonin Campana, la classe dominante urbaine mène une guerre contre la France périphérique autochtone pour imposer sa vision du monde et la société multiculturelle de demain. Les élites s’appuient sur les minorités allochtones pour combattre le peuple autochtone, qu’elles sacrifient sur l’autel du mondialisme.

Ce n’est pas faux. On notera que le combat contre le racisme est toujours à sens unique. On dénonce l’islamophobie à longueur de temps, mais on se tait sur les multiples actes de christianophobie et sur les profanations quotidiennes de lieux de culte chrétiens.

Trois églises ou cimetières chrétiens sont saccagés chaque jour dans le silence le plus total. Mais un simple graffiti sur une mosquée et c’est la mobilisation générale contre l’islamophobie. Difficile de trouver élites et journalistes plus serviles, hypocrites et grotesques.

Bref, pour nos élites, l’homme blanc est coupable de tous les maux et doit payer. Elles encouragent le racisme anti-Blancs en pleine expansion. Les enfants de ces élites vivront dans la haine, mais elles n’en sont même pas conscientes ! C’est dire le niveau  intellectuel  de ces gens « qui savent » !!

Dès lors que les élites mondialisées pensent que l’islam est une religion de paix et d’amour et que le mâle blanc est un oppresseur sexiste, raciste et esclavagiste, le peuple de la France profonde se retrouve bien seul pour défendre son identité et son héritage culturel.

Mais cette classe dirigeante qui méprise tant le peuple de France ne réalise toujours pas qu’elle se trompe et que son erreur de jugement lui sera fatale.

Son refus d’admettre que l’intégration est un échec et que l’islam conquérant n’acceptera jamais la soumission à un pouvoir autre que celui de la loi coranique va se traduire par un désastre. Perchée sur son nuage, à des années lumière du quotidien vécu par les Gilets jaunes, la classe dominante se croit protégée éternellement dans les beaux quartiers, comme la noblesse de l’Ancien Régime. Mais le réveil sera brutal. « La guerre civile sera sanglante » dit Zemmour.

Quelle forme prendra le retour au réel ? s’interroge Antonin Campana.

Tôt ou tard, le discours bien-pensant volera en éclats et la violence venue des banlieues révoltées s’imposera. Les élites paieront au prix fort leur aveuglement.

« Ce retour au réel sentira le sang et les larmes ». C’est l’ensemble du peuple français qui paiera l’addition  pour les trahisons de ses élites, qui ont fait le choix ahurissant de persécuter les patriotes au lieu de combattre l’islam politique conquérant. Gérard Collomb l’a annoncé :

Le vivre-ensemble paradisiaque va vite se transformer en enfer. Et les élites devront payer, elles aussi, le juste prix de leurs choix politiques hallucinants. Comme le dit  Campana : « Enjoy » !