Ferrero, la MAIF, Groupama et Monabanq : ces sociétés qui font pression sur les chaînes pour bannir Zemmour !
On comprend mieux pourquoi le slogan de la MAIF est « l’assureur militant »… Il faut savoir que le secteur juteux des assurances et mutuelles est particulièrement aux mains des loges maçonniques, le logo et la présentation de la MAIF – qui est singulièrement gauchiste – sont d’ailleurs éloquents. Bref, Groupama et Maif, deux sociétés que vous voudrez peut-être éviter plus que les autres…
Ferrero est de son côté propriétaire des marques Nutella, Kinder, Tic-Tac, Delacre, Delichoc, Mon-Cheri, etc.
« Ferrero, la MAIF, Groupama, et Monabanq ont décidé de ne plus être annonceurs de l’émission hebdomadaire de Paris Première « Zemmour et Naulleau », dont le nouvel épisode sera diffusé ce mercredi soir, a appris le Parisien.
« Nous avons demandé à Paris Première d’exclure ce programme de notre liste de diffusion », a d’abord écrit Ferrero sur Twitter lundi, en réponse à la branche française du groupe Sleeping Giants. Ce collectif se présente sur Twitter avec pour mission de « lutter contre le financement du discours de haine » [sic – c’est-à-dire contre les discours qui ne sont pas dans l’idéologie dominante] C’est lui qui avait interpellé la semaine dernière le groupe Ferrero, quelques jours après les propos polémiques d’Eric Zemmour tenus le 28 septembre lors de la « convention de la droite ». La MAIF a répondu vendredi dernier sur Twitter via un message adressé au « Mouvement », un autre collectif militant qui se dit « anti-raciste, féministe, écologiste et social ». […]
Contacté par le Parisien, le groupe nous indique avoir également « exclu le programme Zemmour et Naulleau de [ses] futurs investissements sur la chaîne » Paris Première, tout en maintenant ses « achats programmés, effectués bien avant les événements récents ». Groupama nous informe de son côté avoir « retiré immédiatement ses publicités des chaînes où travaille ou pourrait travailler Eric Zemmour ». Le groupe nous a ensuite précisé que ce boycott concernait « les émissions d’Eric Zemmour et non pas les chaînes où [il] pourrait travailler ». Autrement dit, des pubs pour Groupama pourront toujours être diffusées en dehors des créneaux où le polémiste est présent à l’antenne.
Monabanq, de son côté, « ne diffusera plus, à partir de ce soir, ses publicités sur les chaînes Paris Première et CNEWS durant les émissions d’Eric Zemmour », nous a annoncé l’enseigne. […] » (source)
Les députés européens viennent de sévèrement recaler la candidature de l’agent mondialiste ultra corrompue Sylvie Goulard, et l’immature Macron ne comprend pas, l’enfant capricieux voudrait qu’on lui explique. 89 voix contre et seulement 29 voix pour, l’humiliation publique est particulièrement sévère et le crédit de la France sur la scène internationale, déjà sérieusement entamé, se trouve ramené à zéro. Merkel sur le déclin, Macron se voyait déjà en leader européen. Le voilà publiquement giflé et remis à sa place ; lui et la candidate trop voyante et trop marquée qu’il poussait en avant à la commission européenne.
Macron ne comprend pas, il veut qu’on lui explique : La vidéo complètement allumée de sa demande d’explications restera dans les annales.
Sourire crispé, voix de fausset, nervosisme incontrôlé, surexcitation, propos incohérents, ridicule au plus haut point, se prétendant détendu mais en fait publiquement humilié, notre champion se donne en spectacle et fait la risée du monde entier.
Ce matin, la presse française à l’unisson massacre Macron. Pourtant ordinairement toute dévolue à la gloire du champion, elle évoque un « camouflet », « une claque » et une « douche froide » pour un président qui paie son « arrogance ». Libération : « Goulard dégage Macron enrage », « Pourquoi devait-elle cesser d’être ministre en France mais postuler à un poste similaire à l’échelle européenne ? », « ce distinguo jésuitique a de toute évidence indisposé les élus, qui ne souhaitent pas plaisanter avec les règles européennes. Macron a envoyé Goulard au casse-pipe ». Les Échos : « la nomination ratée de Sylvie Goulard […] l’histoire d’une équipe Macron portant des ailes, persuadée qu’elle vient de toucher le vieux monde européen comme elle a anéanti, deux ans plus tôt, les partis politiques français. » L’opinion : outre « une sévère leçon d’humilité » la France reçoit « aussi une leçon de démocratie : l’Europe n’est pas (n’est plus !) un sous-produit démocratique dans lequel on recycle les recalés de la politique nationale », « Goulard : rébellion, extinction… », « jamais la France n’avait subi pareil échec ».
Le Figaro fustige un président « perdant et mauvais perdant ». « À entendre Emmanuel Macron, et ses relais au Parlement européen, le rejet, massif, de Sylvie Goulard au poste français de commissaire est de la faute de tout le monde… sauf de la sienne », « un revers sans précédent pour la France et une douche froide pour Emmanuel Macron ». Sud-Ouest : s’étonne « qu’Emmanuel Macron n’ait pas compris que le Parlement européen n’était pas aussi malléable que l’Assemblée nationale française » et reconnaît que « Macron l’Européen ait eu vis-à-vis de l’Europe, les vieux réflexes de tant d’hommes politiques de l’ancien monde ». Nice-Matin : affirme qu’Emmanuel Macron s’est comporté « en monarque d’un monde révolu » L’Éclair des Pyrénées :« Les accusations d’arrogance portées à l’encontre d’Emmanuel Macron au plan intérieur le sont également au niveau européen ». La Charente Libre : « En France, on peut être président de l’Assemblée nationale et mis en examen. Au niveau européen, le curseur éthique est bien plus élevé », Les Dernières Nouvelles d’Alsace : « L’ex-ministre des Armées est tombée sous le feu des procès en arrogance faits à la France, alimentés déjà par la suffisance malheureuse de Nathalie Loiseau ». La Voix du Nord : « La véritable erreur de l’Élysée aura été de mésestimer la vitalité d’un Parlement profondément renouvelé » Il veut des explications ? on va lui en donner.
Goulard politicarde corrompue vautrée dans la mangeoire. Impliquée dans le scandale des emplois fictifs des assistants parlementaires du Modem payés par le parlement européen, mouillée jusqu’au cou, Goulard avait dû démissionner de son poste de ministre des armées un mois à peine après sa nomination et rembourser la somme de 45 000 euros au parlement européen.
Goulard agent stipendié de la mondialisation. À cela il faut ajouter un énorme conflit d’intérêts tellement voyant qu’il a fait reculer les députés européens pourtant peu regardants et habitués à porter à la commission les pires vendus. L’affaire porte sur son travail de « consultante », entre 2013 et janvier 2016, pour l’Institut Berggrüen, alors qu’elle était députée européenne. Pour ces activités au sein du think tank fondé par le milliardaire américano-allemand Nicolas Berggrüen, elle a reçu plus de 300 000 euros de rémunérations. https://www.agoravox.fr/actualites/europe/article/les-tres-inquietantes-casseroles-217834
Alors comme moi, vous vous demandez ce qu’elle a bien pu faire de tellement utile pour recevoir un tel pactole ? C’est simple : Berggrüen, c’est un peu l’équivalent de l’Open Society de Soros, un lobbyiste proactif oeuvrant au profit des mondialistes et de sociétés transnationales qui dirigent le monde. Un lobbyiste qui achète des parlementaires européens, comme nationaux, en France, en Europe et partout dans le monde. https://www.lexpress.fr/actualite/monde/europe/l-institut-berggruen-l-autre-epine-dans-le-pied-de-sylvie-goulard_2102400.html
‘’Berggruen Institute on Governance est un think tank de réflexion et d’action qui se consacre à la conception et à la mise en œuvre de nouvelles idées de bonne gouvernance – provenant de pratiques aussi bien occidentales qu’orientales – permettant de faire face aux défis de la mondialisation au XXIe siècle.
Grâce à l’Institut, il a lancé plusieurs projets de réforme du gouvernement, y compris le Conseil du XXIe siècle, qui se concentre sur les défis mondiaux en matière de gouvernance ; le Conseil pour l’avenir de l’Europe, afin de soutenir le travail sur l’intégration européenne ; et La Commission de réflexion à long terme pour la Californie, un effort bipartite axé sur la réforme du système de gouvernance de la Californie. Le Conseil du XXIe siècle, créé en 2011, est un forum pour le dialogue et l’action sur la gouvernance mondiale qui souligne le rôle du G-20 en tant qu’organe directeur de la mondialisation.
Du monde et du beau monde, il suffit de tirer doucement sur le fil pour voir ce qu’est l’hyper classe mondiale qui tient réellement le pouvoir par élus fantoches interposés. Voilà donc pour qui travaillait Goulard. Voilà donc les intérêts qu’elle entendait promouvoir en sa qualité de commissaire européen.
Macron agent des mondialistes. On le savait mais le choix maladroit de la candidate Goulard confirme que Macron est bien l’agent par trop zélé des mondialistes. Il a été casté à son poste car totalement dévot à la cause et surtout complètement désinhibé. Les mondialistes castent des profils psychologiques dont ils savent qu’ils n’ont aucun fond politique, qu’ils se foutent de la France, qu’ils seront obéissants et que rien ne les arrêtera. Chirac, le roi fainéant, gueule d’homme de droite et véritable gauchiste jouisseur, l’homme qui a laissé faire, Sarkozy le nain cocaïnomane dont les appétits incommensurables le rendaient prêt à tout, Hollande, l’endormi qu’il suffisait de ne pas réveiller, l’autre homme qui a laissé faire ; et maintenant Macron, l’immature arrogant, totalement désinhibé, prêt à réprimer son peuple de la manière la plus sauvage pour faire taire les oppositions et finir de submerger le pays et de le vendre aux lobbies étrangers. Avec Goulard Macron a voulu aller trop vite, il en a trop fait. C’est le risque avec les gens trop désinhibés. Ils peuvent commettre des erreurs fatales. Heureusement pour eux, les mondialistes maîtrisent le processus et ils disposent encore de procédures d’arrêt d’urgence.
Le faux pas de trop. Le problème avec les gens aussi désinhibés et incultes, c’est qu’ils ne savent pas où sont les limites et que finalement ils peuvent représenter un danger pour leurs mandants et la fiction politique qu’ils utilisent pour duper les peuples. Ainsi, Macron est tellement désinhibé qu’il n’a pas hésité à pousser en avant, de la manière la plus triviale, une candidate tellement voyante que même les députés européens les plus habitués ont eu un réflexe de sauvegarde. Trop pourrie et trop voyante, la candidate Goulard risquait d’asperger l’ensemble de l’institution européenne et de la fragiliser. Or, la construction européenne est vitale pour les mondialistes, car elle leur permet de faire disparaître les peuples et les nations du vieux monde. La prise de risque à ce niveau est interdite. Tant pis pour le trop zélé Macron qui vient de prendre sa leçon.
En résumé. Cette affaire nous éclaire sur la mondialisation, sur ses procédés, sur ses moyens, sur son action occulte et sur la fiction politique qu’elle a créée en dévoyant toutes les institutions démocratiques des vielles nations du continent et en leur substituant un construction européenne complètement hors sol. Ne nous leurrons pas, les députés européens n’ont pas recalé Goulard par vertu ou par écoeurement. Ils l’ont seulement fait parce que trop voyante, elle représentait un danger pour la fiction européenne. À cela il faut ajouter que le jeu politique a complètement échappé à l’immature Macron. Il se croyait assuré d’un arrangement occulte, les députés européens cornaqués par le lobby mondialiste l’ont désavoué, préférant préserver l’institution. En effet, ils ont assez de commissaires à leur solde pour ne pas avoir à prendre le risque d’afficher Goulard, trop visiblement pourrie.
L’étoile de Macron a pâli, certes il donne satisfaction à ses mandants sur le plan du dépouillement du pays et sur le rythme de la submersion ; en revanche il les déçoit par ses excès qui fragilisent leur patiente et laborieuse construction. Excessif trop maladroit, trop empressé, trop zélé, immature et arrogant, Macron n’est pas le candidat des mondialistes pour assurer le leadership européen. Pour les mondialistes la patiente construction qu’ils ont mise en place prime sur les ambitions de leurs mandataires. Macron vient de l’apprendre à ses dépends. Pas sûr qu’il soit sur le prochain casting.