La police de Baltimore a diffusé des images filmées d’une poursuite et d’une fusillade qui s’est terminée avec un policier blessé et le suspect mort.
La fusillade a eu lieu à la fin d’août et a commencé avec un policier qui a remarqué un suspect, armé d’une arme à feu, qui avait tenté de frapper un autre policier avec son VUS quelques jours auparavant. Le policier s’est précipité vers son véhicule et a saisi son fusil avant qu’une poursuite ne s’ensuive. Tyrone Domingo Banks, 30 ans, a commencé à tirer sur les policiers qui l’avaient coincé. Au cours du processus de maîtrise de l’homme, les officiers ont tiré 154 cartouches de munitions, d’après Fox 43.
Le commissaire de police de Baltimore, Michael Harrison, a diffusé les images lors d’une conférence de presse vendredi et a déclaré que la meilleure vidéo montre ce qui s’est passé ce soir-là.
« Ce que nous pouvons dire dans cette situation, c’est qu’il s’agissait d’un environnement où la vidéo montre clairement qu’il sort de la voiture et pointe une arme du doigt « , a dit Harrison. « Les officiers l’ont déjà reconnu de la veille où il y a eu deux incidents dangereux, puis il continue et il y a une deuxième rencontre. »
M. Harrison a déclaré que la police enquêtait sur le jugement qui se cache derrière le niveau de force et le nombre de balles qui ont été tirées pour tuer l’homme.
« En tant que service de police, nous devons être responsables de l’endroit où chacune de nos rondes se termine et nous devons être responsables des blessures collatérales, des dommages collatéraux et des décès collatéraux chaque fois que nous déchargeons une arme à feu qui nous préoccupe « , a-t-il dit.
Saint-Ouen (93) – Audrey, une jeune femme de 27 ans, a été tuée de plusieurs coups de couteau dans son domicile.
Elle a été retrouvée baignant dans une mare de sang, le buste adossé contre un mur de sa chambre.
Elle poursuivait sa seconde année d’internat en pédiatrie à l’hôpital Jean-Verdier de Bondy.
Le principal suspect est un individu d’origine étrangère qui séjournait régulièrement dans l’appartement de la jeune femme.
Selon des témoignages, il s’agissait d’un individu âgé d’une trentaine d’année, d’origine étrangère et d’allure plutôt marginale : « Il chantait tout seul dans la rue et était dans un sale état ».
Il est très activement recherché mais, d’ores et déjà, on peut se poser la question de savoir pourquoi cette jeune femme accueillait ce « marginal » chez elle ?
L’enquête nous apportera probablement la réponse.
À Cannes (06). Samedi 14 septembre, un policier de la brigade anti-criminalité a été « tabassé » par deux jeunes individus, âgés de 23 et 25 ans, l’un d’origine tunisienne et le second d’origine irakienne, alors qu’il tentait de les appréhender, en compagnie d’autres collègues.
Ils surveillaient un scooter volé la veille, vendredi, et circulant sans plaque d’immatriculation, stationné dans l’avenue Jean de Noailles, lorsque quatre voyous s’approchèrent pour le saisir.
Les policiers interviennent et l’un d’eux est violemment frappé à la tête. Il tombe à terre se brisant une cheville.
Ses collègues appréhendent les deux agresseurs, cependant que les deux autres prennent la fuite.
En détention provisoire, ils seront jugés le 14 octobre pour « violences aggravées et recel de vol ».
À Nanterre (Hauts-de-Seine), un homme d’une quarantaine d’années a été placé en garde à vue pour le meurtre d’un employé de l’enseigne « Métro ».
Le corps de la victime a été découvert lundi, peu avant 7 h du matin, devant la porte du magasin.
Il avait été abattu de deux balles, une dans la tête et l’autre au thorax, et il est totalement inconnu des services de police.
Grâce à la visualisation, par la police Judiciaire, des images de vidéosurveillance placée devant le magasin, un suspect a été interpellé en fin de journée dans les Yvelines et placé en garde à vue.
Son casier judiciaire est bien rempli par plus de huit délits de violence antérieures à 2005.
À Vitré (35) – Un migrant, d’origine rwandaise, âgé de 39 ans, est actuellement jugé par la cour d’assises de Rennes pour le viol d’une femme, en octobre 2016, dans sa boutique, en plein centre-ville.
Né au Rwanda et arrivé en France depuis 2001, il avait obtenu le statut de réfugié.
Alors que la boutique de la Borderie était vide, vers les 18 h, il pénètre… mais laissons la parole à cette mère de 2 enfants, qui vit en couple, et raconte l’horreur qu’elle a vécue : « Il avait l’air tout à fait normal, il a regardé les vêtements, est sorti, puis revenu un peu plus tard. Il m’a attrapée par derrière en m’étranglant et ne m’a plus lâchée. »
Après une première agression sexuelle dans une cabine d’essayage, elle réussit à le faire changer de cabine en espérant qu’un passant puisse les voir de la rue.
En partant, le violeur s’excuse, lui demandant de ne pas prévenir la police car « il a des enfants ».
« J’ai porté plainte immédiatement. Je veux qu’il paye pour son crime ».
Avec neuf délits sur son casier judiciaire, liés à la consommation d’alcool, et deux séjours en prison, avant 2016, date de son viol, c’est grâce à son ADN, prélevé sur sa victime, qu’il a pu être confondu.
À Strasbourg (Bas-Rhin) – Une femme âgée de 56 ans, d’origine kosovare, a été assassinée à l’arme blanche, mardi en fin de matinée.
Elle gisait sur son lit, au 3e étage du foyer Adoma, situé rue de Soultz, dans le quartier de Neudorf.
C’est son mari qui a fait la macabre découverte, en rentrant de son travail.
Pour le moment aucune piste n’est privilégiée et les images des caméras de vidéosurveillance du secteur sont en cours d’analyse par les enquêteurs.
Le foyer accueille des personnes d’origine étrangère et ce couple vivait dans ce foyer depuis juillet 2019.
Selon la direction, il s’agit d’une famille discrète et bien insérée qui avait auparavant vécu quelques années dans un autre foyer Adoma, à Haguenau.
Justement, au sujet des étrangers « installés » en France, soyons rassurés : de nouvelles recherches réalisées conjointement par la direction centrale de la police des frontières et le service administratif national d’immatriculation des personnes nées hors de France nous informent que la fraude sur la Sécurité sociale ne serait pas de 14 milliards, comme annoncé par divers médias, mais de « seulement » 138,6 millions d’euros, moins alarmant, selon eux !
Cette fraude serait attribuée à des usurpations d’identités et des présentations de faux documents.
Déjà cela est inadmissible, à l’heure du numérique et des logiciels. Elle est surtout imputable au laxisme de certains fonctionnaires de toute la chaîne hiérarchique, surtout quand il s’agit « d’étrangers » !
Comme par hasard, il n’est plus question de ces 3 millions de centenaires « français » immatriculés, alors qu’en réalité ils sont moins de 20 000 ! Ni des 1 800 000 cartes « Vitale » éparpillées dans la nature !
Marseille, une des villes de France où l’on peut suriner à 14 ans ; La Provence compatit : ils ont même pu récupérer une photo de ce mineur, qui ne serait âgé que de 14 ans, qu’ils ont illico transmis à toutes les patrouilles de police du centre-ville. » C’est un gamin qu’on connaît dans le quartier, il touche un peu aux clopes, il fait aussi le pickpocket. Le problème, c’est qu’ils sont capables de tout tellement ils sont en galère. » http://www.fdesouche.com/1264703-marseille-un-adolescent-de-14-ans-poignarde-un-homme-en-plein-coeur
Italie, à Milan, le quartier de la gare est enrichi par les clandos: « les commerçants n’ont pas été surpris d’apprendre ce qui s’est passé hier : un militaire a été agressé et poignardé à la gorge à coups de ciseaux. Celui qui a commis cette agression au nom d’Allah est un immigré clandestin ayant déjà une belle liste d’antécédents à son actif. Il est accusé de tentative d’homicide à motif terroriste. »http://www.fdesouche.com/1264391-milan-dealers-islamistes-criminels-la-gare-centrale-devient-une-jungle
Suède, l’accueil chaleureux des adeptes à Momo, et l’innocence des journaleux : « Lorsque le groupe s’est rendu dans les bois où le centre devait être construit pour filmer une interview, plusieurs grosses pierres ont atterri à côté d’eux sur le sol », ont déclaré les journalistes de SVT.
Un citoyen de 63 ans a été poignardé ce samedi à Barcelone pour avoir récriminé un type qui a uriné dans la rue. L’homme en question s’est retourné et a poignardé le citoyen à plusieurs reprises, qui a été grièvement blessé mais n’a pas craint pour sa vie. L’une des blessures par coup de couteau a touché une côte flottante, ce qui a empêché une tragédie.
L’incident s’est produit dans la rue Nou de Sadurní. L’agresseur a réussi à s’échapper pendant qu’une ambulance et une patrouille de la Garde urbaine se rendaient sur les lieux pour soigner le blessé
Grâce aux images des caméras de vidéosurveillance présentes dans la zone de l’agression, les enquêteurs ont pu retrouver les deux responsables: l’un des deux, déjà connu des forces de l’ordre, se trouvait derrière les barreaux pour des faits similaires
Les deux étrangers accusés d’avoir agressé et dépouillé un Italien de 48 ans le 20 mars dernier ont finalement été inculpés.
[…] Le premier des deux est un Ivoirien de 28 ans, Sangare Bangali, qui se trouvait déjà en prison justement pour une agression similaire commise contre une femme dans cette ville en mai dernier. Le second, Mohamed Bashir Diallo, un Guinéen de 22 ans, également sans domicile fixe mais au casier judiciaire vierge, a quant à lui été arrêté par les carabiniers jeudi matin.
C’est la victime, un Rhégien de 48 ans, qui avait porté plainte pour ce qui lui était arrivé en plein centre ville historique durant cette terrible nuit du 20 mars. Alors qu’il se trouvait à un distributeur automatique, l’homme avait été approché par derrière par les deux malfaiteurs africains, qui l’avaient suivi sur une courte distance. Ils l’avaient ensuite violemment agressé, jusqu’à lui infliger des fractures et d’autres blessures importantes ayant nécessité une ITT de 25 jours. Après l’avoir tabassé, les deux voleurs s’étaient enfuis avec l’argent et le téléphone cellulaire de la victime, sans laisser de trace.
Grâce au visionnage des images captées par des caméras de vidéosurveillance présentes dans la zone, les enquêteurs ont réussi à retrouver l’identité des deux responsables. Facile à reconnaître du fait de la longue liste d’antécédents à son actif, l’Ivoirien Sangare Bangali était déjà derrière les barreaux.