Dimanche 29 septembre 2019 : François Asselineau s’est entretenu avec des adhérents et des sympathisants de l’UPR dans le centre ville de Rouen et a recueilli leurs témoignages sur le sinistre industriel majeur de l’usine Lubrizol. Il s’est ensuite rendu sur les lieux même de l’usine incendiée. L’air à proximité continue à y être particulièrement âcre et pique les yeux, tout comme dans certaines parties de l’agglomération rouennaise, même à plusieurs kilomètres du lieu de l’incendie. Le président de l’UPR s’est également rendu chez un adhérent résidant à Bois-Guillaume, à près d’une dizaine de kilomètres de l’usine, pour y constater les effets nocifs toujours perceptibles. Tous les témoignages recueillis sont unanimes pour souligner l’angoisse de la population devant les effets toxiques à long terme de ce gigantesque incendie sur la santé des populations, et pour dénoncer la totale impéritie, la carence scandaleuse d’informations fiables et le comportement profondément irresponsable de toutes les autorités compétentes. Non seulement des services de l’État, mais aussi de ceux du Conseil régional de Normandie, du Conseil départemental de Seine-Maritime et de la municipalité de Rouen. François Asselineau a renouvelé la solidarité de l’UPR avec les personnes touchées par ce drame. Il a appelé nos adhérents à se fédérer pour faire collectivement des dépôts de plainte contre X et contre la société propriétaire de l’usine. Il a également renouvelé sa demande d’une commission d’enquête transpartisane avec des responsables techniques venus de différents horizons pour avoir une enquête contradictoire et fiable des évènements survenus et de leurs conséquences à long terme sur la pollution des terrains et sur la santé des populations. Plusieurs des témoignages recueillis ont fait l’objet d’une captation vidéo qui sera mise en ligne dans les prochaines heures.
[…] Luchini, qui vit dans le 18ème arrondissement, juge que « c’est d’une saleté sublime, comme une ville du Moyen-Orient. Roland Barthes écrivait : Je n’aime une ville que quand elle est habitable. Mme Hidalgo a réussi à faire de Paris une ville qui n’est absolument plus habitable pour n’être plus que visitable ». «Mais elle va être réélue car elle plaît aux bobos», ajoute-t-il.
Celui qui est à l’affiche du film Alice et le maire, ce mois d’octobre, est interrogé en tant que parisien, sur la maire de la capitale.
« Cette femme, dit-il, a réussi à éteindre 1.5 million d’automobilistes, réduits en agneaux qui n’avancent plus. » « L’agressivité est passée au scooter, ce nouveau monstre polluant et sonore qui sème le chaos. Sans compter la trottinette et le vélo, le summum du danger ». […]
Face à l’immigration, les Français semblent de plus en plus nombreux à croire à une substitution de population. Mais le « Grand remplacement » et son inventeur, l’écrivain Renaud Camus, sont voués aux gémonies. À tort ou à raison ? Le chroniqueur Edouard Chanot donne son avis.
« En France, comme dans toute l’Europe, tous nos problèmes sont aggravés par l’immigration, école, logement, chômage, déficits sociaux, ordre public, prisons […] et tous nos problèmes aggravés par l’immigration sont aggravés par l’islam. C’est la double peine », a-t-il soutenu devant un public qui lui a réservé une standing ovation. Condamné récemment pour provocation à la haine religieuse, Zemmour a tancé les immigrés « colonisateurs » et « l’islamisation de la rue », ainsi que « l’universalisme marchand » et « l’universalisme islamique » qui « écrasent nos nations […] nos modes de vie, nos cultures ».
[…]Dressant un réquisitoire général de son époque, Eric Zemmour a conspué le procès intenté à “l’homme blanc hétérosexuel catholique”, “le seul ennemi à abattre”. “Le seul à qui on fait porter le poids du péché mortel de la colonisation, de l’esclavage, de la pédophilie, du capitalisme, du saccage de la planète. Le seul à qui on interdit les comportements les plus naturels de la virilité depuis la nuit des temps.” […]
Pour lui, l’Etat français est devenu « l’arme de destruction de la nation et de l’asservissement de son peuple, du remplacement de son peuple par un autre peuple, une autre civilisation ». « Entre vivre [et vivre] ensemble, il faut choisir », a-t-il d’ailleurs affirmé, paraphrasant le théoricien du « grand remplacement » Renaud Camus.
Cette semaine, “Au nom de la terre” prend la première place du box-office devant “Rambo : Last Blood”.
Mercredi 25 septembre, Au nom de la terre était en tête du box-office français. Premier long-métrage de fiction du documentariste Edouard Bergeon, ce drame sur le monde agricole a réuni 50 140 spectateurs sur 437 sites. Après avoir incarné un cavalier dans Jappeloup (2013) de Christian Duguay ou un gendarme dans La Prochaine fois je viserai le cœur (2014) de Cédric Anger, Guillaume Canet, grossièrement transformé, se met dans la peau d’un agriculteur épuisé par les dettes. […]
Rambo : Last Blood arrive en deuxième position, avec 41 928 entrées dans 500 salles. […]
La police de Kaduna, dans le nord du Nigeria, a découvert et secouru plus de 300 garçons de « nationalités différentes », dont des mineurs, victimes de torture et de viols dans un centre d’enseignement islamique, a déclaré vendredi à l’AFP un porte-parole de la police.
Un raid mené jeudi soir dans une maison du quartier Rigasa a conduit à la découverte des éleves et étudiants vivant dans « des conditions inhumaines et dégradantes sous couvert de leur apprendre le Coran et de les redresser », a expliqué le porte-parole de la police de l’Etat de Kaduna, Yakubu Sabo.
Le propriétaire de l’établissement et ses six assistants ont été arrêtés, a-t-il précisé.
« Nous avons trouvé une centaine d’étudiants, dont des enfants de neuf ans à peine, enchaînés dans une petite pièce, dans le but de les corriger et de les responsabiliser », a déclaré M. Sabo, précisant que beaucoup d’entre eux portaient des cicatrices sur le dos.
« Les victimes ont été maltraitées. Certaines d’entre elles ont déclaré avoir été violées par leurs professeurs », a déclaré Sabo.
La police a également trouvé une « chambre de torture », où des élèves étaient suspendus à des chaînes et battus lorsque les enseignants estimaient qu’ils avaient commis une faute.
[…] Une association de défense de l’environnement présidée par l’acteur Samuel Le Bihan développe une machine capable de transformer le plastique en carburant. Chrysalis, capable de produire 120 l de diesel à partir de 160 kg de déchets, est désormais prête. Elle pourrait être installée dans des pays émergents dans les deux ans.
L’ingénieur azuréen Christopher Costes était à Nice ce week-end pour présenter sa « Chrysalis », « avec cette nouvelle version de la machine, le rendement peut aller jusqu’à 120 l de diesel produit avec 160 kg de plastique en une seule journée ». […]
Concrètement, le procédé est aujourd’hui complètement au point. Christopher Costes utilise « le principe de la pyrolyse du plastique qui consiste à chauffer ce dernier à 450°C en l’absence d’oxygène, pour le ramener à l’état liquide et casser ses molécules », note l’association. […]
Plusieurs associations d’Eure-et-Loir organisent, ce samedi 21 septembre, une manifestation à Chartres, suite à un projet d’implantation de six nouveaux mâts dans le Perche. L’occasion de clamer haut et fort, tant à l’opinion qu’aux pouvoirs publics, que « les éoliennes ne servent à rien ».
Vous pensiez que les éoliennes étaient LA solution efficace en matière de transition énergétique ? Certes, elles dénaturent un tant soit peu nos paysages, mais puisque c’est bon pour la planète, nous martèle-t-on, peut-être faut-il se résigner et accepter que nos campagnes et nos vallées soient ainsi défigurées ? Détrompez-vous ! En réalité, « la production énergétique des 8.000 éoliennes installées ou en cours d’installation en France à la fin 2018 représente moins de 1,5 % de l’énergie consommée en France », dénonce Arnaud Casalis, président de l’association Perche Nature et Environnement, et l’un des organisateurs de la manifestation. Présenter les éoliennes comme une solution d’avenir relève donc du mensonge, puisque même ce faible pourcentage de production est parfaitement aléatoire et intermittent. Quand avons-nous le plus besoin d’électricité ? Pour nous chauffer ou nous rafraîchir et, ironie du sort, c’est précisément quand il fait le plus chaud ou le plus froid qu’il n’y a pas de vent, donc pas d’éoliennes. Par ailleurs, cette solution dite d’avenir ne permet absolument pas de stocker cette électricité. Dès lors, qui prend le relais pour pallier l’incapacité de l’éolienne à répondre à nos besoins ? Les centrales à énergies fossiles pour vous servir ! Autrement dit à gaz ou à charbon. En somme, plus nous installons d’éoliennes, plus nos centrales à gaz produisent de l’énergie et plus nous polluons. Pas mal, pour une énergie verte.
La carte éolienne se superpose à la carte de la pauvreté
Outre les nombreux effets dévastateurs bien connus sur l’environnement, la santé, la faune et la flore, un autre scandale lié aux éoliennes mérite notre attention. La Cour des comptes a récemment chiffré le gâchis éolien à 40 milliards pour les contribuables depuis 15 ans, soit 5,7 millions d’euros par machine. Pour mieux comprendre, Arnaud Casalis précise : « Ce sont 40 milliards d’euros qui ont été prélevés en 10 ans dans la poche du contribuable-consommateur pour un résultat plus que négligeable en terme de transition énergétique. » Or, d’après le site des Contribuables associés, nous apprenons que « ces sommes devraient être triplées d’ici 2030, l’argent filant directement vers les paradis fiscaux… soit 120 milliards d’euros de dette à venir pour l’État, sous forme d’engagements financiers non comptabilisés ».
Et il est particulièrement intéressant de constater que « la carte éolienne se superpose en France à la carte de la pauvreté. Encore une fois c’est la ruralité, déjà rudement mise à contribution, qui paie le prix fort pour le seul bénéfice de quelques-uns », regrette Arnaud Casalis. Pas d’inquiétude à avoir, en revanche, au sujet de l’encerclement de la cathédrale de Chartres également dénoncé. Une directive paysagère a été lancée par la préfecture afin de réglementer les constructions dans les cônes de vue de l’édifice du XIIIe siècle. « Nous avons des vues remarquables sur un rayon de 25 à 30 km autour de la cathédrale. Il faut les conserver », rappelait la préfète Sophie Brocas à L’Écho républicain. Maigre consolation, au demeurant : à condition de ne pas les installer n’importe où, l’on veut bien des éoliennes. L’entourage du maire de Chartres nous apprend que Jean-Pierre Gorges prévoit d’assister à la manifestation en écharpe tricolore afin d’apporter son soutien aux associations. Puissent leurs voix être enfin entendues.
La police de Baltimore a diffusé des images filmées d’une poursuite et d’une fusillade qui s’est terminée avec un policier blessé et le suspect mort.
La fusillade a eu lieu à la fin d’août et a commencé avec un policier qui a remarqué un suspect, armé d’une arme à feu, qui avait tenté de frapper un autre policier avec son VUS quelques jours auparavant. Le policier s’est précipité vers son véhicule et a saisi son fusil avant qu’une poursuite ne s’ensuive. Tyrone Domingo Banks, 30 ans, a commencé à tirer sur les policiers qui l’avaient coincé. Au cours du processus de maîtrise de l’homme, les officiers ont tiré 154 cartouches de munitions, d’après Fox 43.
Le commissaire de police de Baltimore, Michael Harrison, a diffusé les images lors d’une conférence de presse vendredi et a déclaré que la meilleure vidéo montre ce qui s’est passé ce soir-là.
« Ce que nous pouvons dire dans cette situation, c’est qu’il s’agissait d’un environnement où la vidéo montre clairement qu’il sort de la voiture et pointe une arme du doigt « , a dit Harrison. « Les officiers l’ont déjà reconnu de la veille où il y a eu deux incidents dangereux, puis il continue et il y a une deuxième rencontre. »
M. Harrison a déclaré que la police enquêtait sur le jugement qui se cache derrière le niveau de force et le nombre de balles qui ont été tirées pour tuer l’homme.
« En tant que service de police, nous devons être responsables de l’endroit où chacune de nos rondes se termine et nous devons être responsables des blessures collatérales, des dommages collatéraux et des décès collatéraux chaque fois que nous déchargeons une arme à feu qui nous préoccupe « , a-t-il dit.