Ci-dessous, plusieurs liens vers les videos de la chaîne “Le pixel mort”.
Montrer et dénoncer en compilant tout un ensemble de vidéos qui donnent un ton décalé sur les événements et les personnes qui y participent. Bravo ! Très beau travail.
Mettez vous à l’aise, munissez vous de votre boisson favorite et appréciez ces événements dans lequel ” Pixel Mort” nous invite.
[ZAP] GILETS JAUNES & MACRON : ÇA TOURNE MAL
[ZAP] SCHIAPPA & HANOUNA : pour l’amour de la démocratie
[ZAP] LE GRAND DÉBAT : APOGÉE DÉMOCRATIQUE
[ZAP] CASTANER EN PLS – Gilets Jaunes
[ZAP] LA POLICE VA CRAQUER – Gilets Jaunes
[ZAP] MACRON VS ONU : LE COMPLOT INTERNATIONAL
[ZAP] OPÉRATION CACATOV
Merci au Pixel Mort 🙂
[ZAP] VIOLENCES : L’ESCALADE – Gilets Jaunes
[ZAP] CLASH DES CLASSES : LES GILETS JAUNES ET L’ISF
Contacté par Infos Bordeaux, celui-ci a donné davantage de détails sur les circonstances de l’agression. Ce weekend, en sortant de chez des amis vers 03h00 du matin, une bande de 6 personnes ont tenté de dépouiller ce jeune bordelais. Celui-ci a tenté de se défendre, mais les agresseurs l’ont roué de coups, donné de coups de lame et ouvert le crâne avec une matraque.
Des policiers sont arrivés sur place au moment des faits, et ont pu appréhender les agresseurs. Choquée, la victime tient à remercier les forces de l’ordre « lls m’ont sauvé la vie, je leur en suis très reconnaissant ».
Trois des agresseurs font l’objet de poursuites. Selon nos informations, il s’agit d’étrangers en situation irrégulière, prétendus mineurs, et originaires d’Afrique du nord.
Sur les réseaux sociaux, l’information est très commentée. Elle a même été publiée sur le site Fdesouche. A ce jour, il n’y a toujours rien dans la presse locale.
Coucou twitter ! Je fait désormais partie du club pas-si-fermés des gens enrichis culturellement: traquenard à 6 chances vs moi seul, pour me faire les poches, coups de couteaux et matraque dans ma courge, youpi. Faites gaffe à vous et vos proches les amis ! (ps: j’vais bien)
Ce mardi 5 mars, un jeune homme de 28 ans a été retrouvé poignardé chez lui à Lyon. Le journal Le Progrès ainsi que des proches révèlent avoir reçu la vidéo du meurtre diffusée sur le réseau social Facebook.
Les autorités appellent les internautes à ne pas relayer la vidéo. Ce mardi 5 mars, le journal Le Progrès révélait avoir reçu via les réseaux sociaux une vidéo montrant le meurtre d’un jeune homme de 28 ans perpétré à La Croix Rousse à Lyon. La police a elle-même été informée par un proche de la victime après qu’il ait également reçu la vidéo. Sur place, les sapeurs-pompiers ont découvert le corps du jeune homme allongé sur le sol, pieds et poings liés. Il a été poignardé à huit reprises dans le dos.
D’après Le Progrès, le meurtre aurait été filmé par l’un des protagonistes. Le fichier “aurait été envoyée depuis Lyon vers Mostaganem, en Algérie, puis aurait été transférée via la messagerie, en France, dans le Var et le Rhône”. Le parquet de Lyon a ouvert une enquête pour meurtre avec actes de tortures en bande organisée.
Alors qu’une deuxième victime et les auteurs du crime sont activement recherchés, la vidéo serait encore visible sur le réseau social Facebook. La police locale a déjà appelé les internautes à ne pas regarder la vidéo, à ne pas la partager et à ne pas réagir dans le cadre du protocole Pharos, la plateforme d’harmonisation, d’analyse, de recoupement et d’orientation des signalements.
La voici telle que diffusée par Démocratie Participative
Direct depuis le terrain grâce aux reporters indépendants !
Gilets jaunes, acte 17. Pour le dix-septième épisode de la mobilisation du mouvement contestataire, un “acte décisif” est promis apr Eric Drouet et d’autres leaders. A l’approche de la fin du grand débat, il semblerait que les gilets jaunes souhaitent se réinventer.
À Paris, plutôt que les habituelles manifestations du samedi, il est prévu un “sitting” au Champs-de-Mars durant tout le week-end. Par ailleurs, on note un appel au rassemblement surprise à Roissy-Charles de Gaulle.Un projet de manifestation serait également prévu, ce samedi, partant des Champs-Elysées.
En province, Bordeaux, Toulouse et le Puy-en-Velay semblent partis pour être de nouveaux des points chauds des gilets jaunes.
Bonjour, nous avons décidé d’ajouter un lien vers la chaîne UPR TV. Un autre regard sur l’Europe avec des chiffres et des faits que l’on vous cachent dans les medias nationaux.
Le cardinal Barbarin a été condamné à 6 mois de prison avec sursis dans l’affaire du prêtre pédophile Bernard Preynat. Les catholiques, les Français, sont divisés sur cette condamnation. Une minorité désapprouve totalement. Une majorité, dont je suis, salue cette décision.
Qu’a fait le Cardinal Barbarin ? Pas grand chose… il n’a rien fait. Et c’est justement ce qu’on lui reproche : il a agi par omission. C’est dans le droit pénal : non-dénonciation d’infraction, et… dans le catéchisme, dont se réclame le cardinal Barbarin : on pèche par action, par pensée ou par omission.
Le cardinal Barbarin n’a pas mesuré la gravité des faits. Il les a signalés au pape en 2014 mais pas à la justice. Ses prédécesseurs aussi sont coupables, car les agissements du Père Preynat étaient connus de l’Église depuis 1991, date d’une première dénonciation de l’une de ses soixante dix-victimes. On pense que le cardinal Barbarin était au courant depuis 2010.
Pour les victimes, laissées sans défense aux mains du P. Preynat, et dont la vie a été brisée par ses agissements, cette absence de mise à l’écart du prédateur, cette absence de reconnaissance de leur souffrance, leur immense solitude alors que l’Église devait prendre soin d’eux et éloigner les prédateurs, est inqualifiable. Tout cela sous prétexte d’épargner l’institution, qui en sort davantage flétrie.
Le cardinal Barbarin a fait ce qu’il fallait faire : il a à nouveau présenté sa démission au pape. Il serait bien d’aller un peu plus loin, et de renoncer à faire appel. Il faut accepter la justice des hommes. Un appel rouvrirait les plaies.
Ce procès va, on l’espère, secouer l’Église de manière salutaire : désormais les actes des pervers, violeurs ou pédophiles, devront être, dès qu’ils sont connus, dénoncés à la justice. Que ces prédateurs sachent qu’ils seront sur le champ exclus de l’Église. Cela pourrait les dissuader.
Bien sûr, il faudrait en amont exercer un meilleur discernement sur les entrées au séminaire et ne pas recruter de personne ayant des penchants pervers…
Au-delà de cette salutaire condamnation, un vaste champ est ouvert. Ce n’est pas seulement l’Église qui doit impérativement faire le ménage, c’est aussi le pouvoir politique, et bien sûr l’islam. Car il est bien facile de condamner le cardinal Barbarin d’un côté et de l’autre de fermer les yeux sur ceux dont les actions sont bien plus graves.
Parmi nos politiciens, certains se sont rendus coupables des mêmes faits, ou ont montré les mêmes penchants, sans qu’aucun frein n’y soit mis. Tout le monde connaît l’attirance de Daniel Cohn-Bendit, député européen, qui a failli devenir ministre de l’Écologie de Macron, pour les petites filles défaisant sa braguette. Tout le monde a entendu parler du tourisme sexuel de Jack Lang ou de Frédéric Mitterrand. D’autres sont encore à débusquer. Il faudrait leur enlever toute parcelle de pouvoir.
Et que dire de l’islam ?… C’est vrai, on n’a plus le droit de parler de cette question depuis l’affaire d’Élisabeth S-W condamnée par la CEDH (mais l’appel est en cours.) Dire ce qu’il en est en islam semble désormais interdit.
Pourtant cette religion doit également faire un ménage conséquent chez elle. Adorer un prophète qui a épousé une fillette de 6 ans pour la déflorer à 9 ans est confondant, pour nous, Occidentaux. Promouvoir de ce fait, comme le fait l’islam, le mariage le plus tôt possible et bien sûr sans consentement en imitation du « beau modèle », ne peut que nous interroger, si on en a encore le droit.
Qu’est-ce qui est ainsi légitimé, auquel on donne un statut, et dont on ne peut faire état ?… C’est mille fois pire que ce qui se passe dans l’Église. Car dans l’Église ces actes, loin d’avoir un statut, à mille lieues d’être inscrits dans les textes religieux, sont normalement sanctionnés, même s’il y a de terribles couacs. La question, dans l’Église, peut être soulevée, et des plaintes déposées. En islam, impossible.
Les textes islamiques sur le sujet semblent être légion, mais non, non, ils n’encouragent pas des actes non consentis entre un majeur et un mineur… Qu’il suffise de citer d’abord le Coran, sourate 65-4, qui parle évidemment du mariage de filles prépubères, puisque même si elles n’ont pas eu leurs règles, il leur faut attendre trois mois de viduité avant de se remarier après répudiation.
En islam, le mariage selon certains « savants » peut être conclu dès le berceau, et la discussion entre deux « savants » pour savoir si un bébé peut supporter ou non la pénétration est écœurante :https://www.youtube.com/watch?v=JNEH0bI6lUk
Selon Boukhari, les pères peuvent donner leur fille en mariage dès le berceau : (Ibn Battâl dans son Explication du Sahih d’al’Boukhâri p. 172-173)
Dire et faire connaître la vérité ne peut faire de mal à personne, seul le mensonge est une nuisance.
Le Coran et les autres textes musulmans doivent être expurgés des textes normalisant toute perversion. Les imams faisant des prêches en ce sens doivent être mis en prison, ou expulsés sans espoir de retour. Toutes les dispositions doivent être prises pour que ce scandale cesse. Le mieux évidemment étant de ne pas autoriser l’islam en France tant qu’il ne se sera pas réformé.
On ne peut pas faire deux poids, deux mesures : on ne peut pas condamner (à juste titre) ce qui se passe dans l’Église sans condamner ce qui se passe dans l’islam et qui est, si on peut établir une échelle dans le mal, encore plus grave, choquant les non-musulmans, sauvage, barbare, et tout à fait contraire à l’ordre public.
La semaine dernière, une stèle commémorant l’ancien emplacement de la synagogue de Strasbourg était endommagée. Avant tout résultat d’enquête, on criait au loup antisémite. Pour apprendre, une semaine après, que l’acte était accidentel… Devra-t-on, désormais, parler d’antisémitisme accidentel pour éviter le ridicule à toutes les bonnes âmes qui s’émeuvent par réflexe au moindre graffiti ?
Dimanche dernier, la prestigieuse basilique Saint-Denis, nécropole des rois de France, subissait des dégradations : grand orgue endommagé, des vitraux brisés. Cela n’a rien à voir, mais rappelons qu’il y a quelques mois, la basilique avait subi l’outrage de migrants, soutenus par l’extrême gauche, qui avaient manifesté dans le sanctuaire comme dans la rue. Comme dans la rue où l’on casse les vitrines, dans l’église on casse des vitraux ! Mercredi, c’est un lieu de culte catholique plus modeste, l’église paroissiale de Reichstett en Alsace, qui a subi des dégradations : un vitrail centenaire brisé, des portes forcées, des vitres cassées. Des inscriptions à caractère satanique à la craie ont été retrouvées sur les murs de l’église. BFM TV, ce vendredi, rappelait qu’en 2018, 90 % des dégradations d’édifices religieux concernaient des bâtiments chrétiens : 878 exactement. Les statisticiens auront beau jeu d’expliquer que cette proportion est normale car (pour l’instant) les lieux de culte les plus nombreux en France sont chrétiens, et principalement catholiques.
Notons, tout de même, que le ministre en charge des Cultes, Christophe Castaner, ne semble pas avoir l’émotion compulsive sur Twitter qu’on peut lui connaître par ailleurs. Pas le moindre tweet ministériel pour condamner de la façon la plus ferme ces actes ignobles et inadmissibles dans une République qui assure à toutes et à tous la liberté de croire ou de ne pas croire. Des actes, qui, croyez le bien, ne resteront pas impunis, etc. Enfin, vous connaissez la chanson… Il est vrai qu’on ne connaît pas encore leurs auteurs et qu’il faut se garder de toute précipitation et surtout d’amalgame, n’est-ce pas. Une marche vespérale à la lumière des bougies n’est donc pas appropriée. Et puis, il se peut aussi que le ministre ait usé son crédit mensuel de superlatifs et d’hyperboles et finisse par être à court.
Cela dit, Christophe Castaner est tout excusé, quand on écoute les propos plutôt lénifiants du président de la Conférence des évêques de France, Mgr Pontier, archevêque de Marseille. Interrogé par Le Point, la semaine dernière, sur la série de profanations d’églises dans le pays, le prélat se voulait rassurant. Et quand des politiques, comme Ciotti, dénoncent une « cathophobie qui gagne tous les milieux et conduit à des violences », l’archevêque répond benoîtement : « Je ne vois pas quels faits permettent à ces politiques de tenir un tel discours. » Vu comme ça, effectivement… Comme disait le prophète Jérémie, « ils ont des yeux mais ne voient point ».
En un temps lointain, on ferma et transforma en parc à fourrage les églises. Bien longtemps après, un certain clergé up to date voulut en faire des lieux de vivre ensemble enrubannés de papier crépon où l’on se regardait le nombril plutôt que de regarder le bon Dieu. Puis, donc, aujourd’hui, le retour des vandales. Et pire que tout : le temps de l’indifférence. Grande pitié des églises de France, pour reprendre le titre d’un livre de Barrès !
Bah dites-donc, il manque sérieusement d’humour, le p’tit Ruquier, quand il n’est pas aux manettes de son émission du samedi soir !
C’est qui Ruquier ?
Non mais des fois… « Y a pas » que des navets comme « Plus belle la vie » à la télé, il y a aussi de grands moments audiovisuels, notamment chaque samedi en fin de soirée, avec le merveilleux « talk-show » de France 2, payé très cher avec nos sous, et baptisé « on n’est pas couché », précisément mené par le grand manitou du service public… Laurent Ruquier soi-même.
Et pour ceusses qui s’y rendraient pour la première fois, Ruquier, c’est le petit crétin à lunettes qui tressaute stupidement à chacune de ses blagues, qu’il trouve tellement géniales qu’il n’en peut plus… et auxquelles le public, trié sur le volet (un peu comme celui des rencontres avec Macron vous voyez ?) fait écho en s’esbaudissant, ainsi que les VIP invités, également sur le même moule, et gare à ceux qui n’emploieraient pas le politiquement correct…
La photographie ci-dessus est bien préoccupante. Elle montre, réunies derrière une banderole portant la mention « Adam et Fatih, plus jamais ça », les familles des deux jeunes délinquants de la cité Paul Mistral de Grenoble, morts dans un accident avec un bus alors qu’ils fuyaient, à plein gaz, sur un scooter volé, un contrôle de police.
Cette photographie nous enseigne deux choses essentielles :
1- Tout d’abord, il s’agit majoritairement de personnes arabo-musulmanes et donc issues de l’immigration, qui marchent en tête d’un cortège de 2 000 personnes environ, provenant certainement pour la plupart du quartier Paul Mistral de Grenoble où se sont, essentiellement, déroulées pendant plusieurs jours de véritables scènes de guérilla urbaine avec plusieurs tentatives de prises d’assaut d’une caserne de CRS, des incendies criminels de bâtiments et de dizaines de véhicules.
2- Ensuite, elles proclament : « Plus jamais ça ».
Que veulent-elles dire par-là ? Que plus jamais leurs enfants et leurs amis de leur quartier ne doivent attaquer la police et mettre le feu au quartier et à d’autres secteurs de Grenoble ou plutôt que la police ne doit plus jamais se mettre en chasse de leurs enfants quand bien même ceux-ci commettraient des délits en violation de la loi de notre pays.
C’est en effet le discours qu’ont tenu les père et oncle ainsi que les habitants de ce quartier en expliquant que leur délit ne valait pas une arrestation au risque de les mettre en danger…
Faut-il rappeler que ces deux jeunes avaient été signalés sur un puissant scooter volé sans plaqueremontant le Cours Jean-Jaurès tout en dégradant des véhicules stationnés avant de rejoindre le quartier Mistral puis d’en ressortir, toujours sur ce scooter volé et sans plaque, avant d’être pris en chasse par la police qui essayait de les arrêter ?
Faut-il rappeler qu’une semaine auparavant, une centaine de jeunes de ce même quartier Paul Mistral avait attaqué les policiers qui avaient osé arrêter un individu détenteur de drogue puis s’en étaient pris ensuite aux pompiers appelés pour éteindre, déjà, d’autres incendies que ces jeunes avaient allumés ?
Mais comment est-il possible qu’en France, une puissance de vieille civilisation occidentale, on puisse, chose jamais vue auparavant, s’attaquer ainsi à des pompiers dont la mission est justement d’éteindre les incendies et de porter secours aux malades et blessés ? Il y a là une grave et préoccupante dérive, décadence que nous ne connaissions pas, à ma connaissance, avant la dernière décennie du XXe siècle !
Faut-il rappeler qu’en l’occurrence, ici à Grenoble, mais aussi dans de nombreuses autres villes de France, ces plus ou moins jeunes et d’autres adultes estiment qu’ils sont chez eux dans ces quartiers, sous-entendu que l’uniforme de la police et des pompiers n’ont rien à y faire et surtout pas à y faire respecter la loi et la règle françaises ?
Une ultime question se pose alors. Pourquoi n’a-t-on pas encore entendu les autorités nationales comme le ministre de l’Intérieur se prononcer avec force pour demander que cessent immédiatement ces violences et destructions inadmissibles comme il l’a tant de fois fait lors des manifestations des Gilets jaunes ?
Une ultime remarque également sur la dangereuse fracture morale, politique, culturelle et donc sociétaleque suscitent, au cœur de notre pays, ces populations, immigrées de plus ou moins fraîche date, ainsi que leurs enfants, et dont certains éléments affichent ouvertement ou dissimulent en eux, un désir de revanche, de vengeance contre la France.
Ci-après, un exemple de cette fracture entre des référentiels culturels différents voire antagonistes. Au préfet de l’Isère, qui annonçait dans une lettre datée du 15 janvier 2019 (c’est pas vieux) vouloir fermer une grande mosquée de Grenoble où un imam tenait depuis 2014 (pourquoi l’État a-t-il attendu si longtemps ?) des propos de nature à provoquer la violence, la haine, ou la discrimination contre les fidèles des autres cultes et pouvant constituer le terreau d’actions terroristes, le président de l’association musulmane dauphinoise, destinataire de cette lettre, répondait par l’intermédiaire du Dauphiné-Libéré du 28 janvier 2019 : « Pour nous, tant que l’imam ne s’écarte pas des écrits du Coran, il n’y a pas de problème ». Article ci-joint.
Le problème est pourtant bien là, dans cette référence au Coran ; puisque celui-ci appelle, notamment dans les versets 29 et 30 de la sourate 9 à faire la guerre aux gens du Livre, sous-entendu les juifs et les chrétiens.
Le Coran qui est, rappelons-le, la source première et sacrée de toute loi légitime pour aux yeux des musulmans, dont un grand nombre considère logiquement en ce qui les concerne, que la charia, la loi musulmane, est supérieure en légitimité à la loi française.
On a alors à notre disposition une partie de l’explication du comportement séparatiste et déstabilisateur de certaines de ces populations musulmanes, surtout quand elles sont en plus encadrées et financées par des organisations islamistes étrangères ou des États étrangers.
L’actualité de la recrudescence de tension militaire entre l’Inde et le Pakistan au sujet du territoire disputé du Cachemire depuis 1947, devrait nous inciter à consulter nos livres d’Histoire sur l’origine et la motivation des musulmans, minoritaires au sein de l’empire finissant des Indes, qui préférèrent la guerre et la partition en 1947, plutôt que de vivre sous la houlette et la loi impie des Hindous.
En ouvrant le DL (Dauphiné Libéré) ce matin, principal journal de la région grenobloise, j’ai eu presque envie de rire à la lecture de l’actualité : « Cette nuit à Grenoble 65 véhicules brûlés, une arrestation ». C’est aussi comique que s’il avait été écrit : « Cette nuit à Grenoble un Gilet jaune manifeste, 65 arrestations ». J’ai bien dit « presque »car en fait c’est dramatique…
Dramatique à plus d’un titre car deux jeunes gens de 17 et 19 ans ont perdu la vie. Dramatique car les quartiers dits sensibles de Grenoble sont à feu et à sang, et que ces quartiers s’étendent de plus en plus. Mais revenons aux faits. Au départ un banal accident de la route a coûté la vie à deux jeunes. Là où ça se complique, c’est qu’on apprend qu’ils étaient pris en chasse par une voiture de police (sérigraphie) et qu’il s’ensuivit des heurts avec la police et de véritables émeutes…
Avant d’avoir plus amples renseignements sur l’affaire, j’envoyais à un ami le SMS suivant : « Si l’information était objective, on aurait pu lire que deux jeunes Maghrébins, multirécidivistes, roulant sans casque sur une moto volée, ont percuté un car qui rentrait au dépôt. Malheureusement, les secours rapidement sur place n’ont pu que constater le décès des deux jeunes délinquants. »
Je ne m’étais pas beaucoup trompé. Tout était exact. Ils avaient été surpris en train de dégrader des véhicules en centre-ville. La première voiture de police renonçait à les poursuivre, car les deux jeunes avaient emprunté l’A480 à contresens, mais les signalait à leur collègues en voiture banalisée.
Les deux jeunes racailles, défavorablement connues des services de police, ont été prises ultérieurement en chasse par ce deuxième équipage, et c’est en sortant de la voie express qu’ils ont percuté, sur la bretelle qui mène au pont de Catane, un car qui transportait des footballeurs amateurs…
Résultat, deux morts, une nuit d’émeute avec voitures incendiées, matériel urbain vandalisé, multiples feux de poubelles, bâtiments de la ville incendiés et ceci que pour la première nuit… Suite à cet événement, des jeunes de quartiers, sûrs de leur quasi-impunité, ont attaqué la CRS 47 à coup de cocktails Molotov ! Rien que ça.
On peut dire sans exagérer que c’est une volonté délibérée de la classe politique de ne pas réagir avec la plus grande fermeté et avec les moyens adéquats que nécessitent de telles situations…
Laissez travailler la police et faites-leur confiance, ils ont la volonté et la capacité d’intervenir efficacement, si leur hiérarchie, aux ordres des politiques, ne les menaçait pas de garde à vue et autres moyens de rétorsion dès qu’ils commencent à rétablir l’ordre dans ces quartiers difficiles… Ne pas mettre le feu aux banlieues, ne pas intervenir, ne pas faire de vagues.
On connaît le refrain alors qu’il est encore temps d’agir. Vous l’avez compris, ces deux jeunes issus des « quartiers défavorisés » ont des noms que le politiquement correct nous interdit de nommer. Malheureusement ces zones de non-droit s’étendent dramatiquement à Grenoble. Les zones à risques de Grenoble que sont les quartiers Teisseire, Mistral, Arlequin et j’en passe, s’étendent de plus en plus.
Certaines communes comme Meylan, la Tronche, Corenc étaient épargnées. Les actualités récentes montrent que la délinquance se déplace. L’assassinat du jeune Adrien Perez par les frères Younès et Yanis El Habib, à Meylan à la sortie d’une discothèque, le Phoenix, montre que cette délinquance n’épargne plus les communes dites résidentielles.
L’élection à Grenoble d’un maire de gauche et même d’ultragauche, Éric Piolle, n’est pas fait pour arranger les choses. Je ne vous dis pas toutes les mesures aberrantes prises par celui que l’on surnomme « Piolle-pot », dont il a épousé les idées. Il refuse de mettre des caméras de surveillance, diminue l’éclairage public en centre-ville, favorise bien entendu la mixité sociale et s’appuie sur la loi SRU qui impose 25 % de logement sociaux, partout où c’est possible…
La délinquance à Grenoble y est telle que j’ai renoncé depuis longtemps à me déplacer en ville la nuit ; j’ai même renoncé à aller au cinéma à Échirolles, même en plein jour, à cause du risque d’agressions, de vols… La dernière fois que je suis allé en plein jour au cinéma à Échirolles (dite banlieue sensible) il y avait deux cars de CRS pistolet et PM au poing, suite à une agression, en plein jour… Je ne vous conseille pas non plus de traverser de nuit le parc Paul Mistral (centre-ville de Grenoble), vous avez une chance sur deux de vous faire agresser. Les trafics en tous genres, et notamment de drogue, plombent la vie des quartiers.
Le procureur de la République de Grenoble, Jean-Yves Coquillat, déclarait il y a quelques temps qu’il n’avait, « de toute [sa] carrière », « jamais vu une ville aussi pourrie et gangrenée par le trafic de drogue ». « Il y a des points de revente quasiment partout, a-t-il affirmé. Jusqu’à quand et jusqu’à quel degré d’insécurité les Français accepteront-ils de subir cette délinquance pour une grande partie issue de l’immigration ? Faudra-t-il des drames comme celui-ci, puissance dix, pour que les politiques réagissent ?
Il semble que non, Éric Piolle déclare même qu’il fait bon vivre à Grenoble. Étant grenoblois de souche, j’y ai passé toute ma jeunesse, étudié, travaillé toute ma vie, et je peux vous affirmer que depuis plus d’une ou deux décennies, j’ai modifié mes habitudes, ma manière de me déplacer, mes loisirs en fonction de l’insécurité grandissante qui règne sur Grenoble et sa banlieue.
Jeune retraité, je ne dirais pas comme on entendait autrefois les anciens parler : ah ! si j’avais vingt ans de moins ! Vu la dégradation de notre société, non, je n’ai pas envie d’avoir vingt ans de moins, et je n’aurai bientôt plus l’âge de crier “aux armes citoyens…”