Le scandaleux vote en catimini dépossédant la France de ses fleurons rentables !

Les 577 députés honorablement rémunérés sont élus pour voter des lois à la majorité. En principe, car ce que nous savons beaucoup moins, c’est que certaines lois censées améliorer notre vie et celle de la France sont votées en catimini par quelques poignées d’élus.

Ce fut le cas, le 15 mars, à 6 h 15 du matin, lorsque 45 députés sur 577 étaient restés éveillés pour voter, toute honte bue, la privatisation de sociétés en parfaite santé. Lorsqu’il était ministre de l’Économie, Emmanuel Macron avait déjà bradé une société comme Alstom Énergie à l’américain General Electric, les Chantiers navals de Saint-Nazaire aux Italiens, les ciments Lafarge aux Suisses.

Mais là, ce 15 mars au petit matin, c’est un moment clé du quinquennat Macron auquel les Français n’ont pu assister. Et nous devrions tous écrire à nos députés, qui dormaient bien tranquillement ce matin-là, pour leur demander des comptes sur leur absence. « Une honte intégrale », comme l’a écrit un « Facebooker ».

Car le résultat est là : l’Assemblée nationale a voté la loi PACTE (plan d’action pour la croissance et la transformation des entreprises), dans laquelle se cachent d’un seul coup la privatisation des Aéroports de Paris, de la Française des jeux et d’Engie, ainsi que la suppression des tarifs réglementés du gaz, la réglementation de l’assurance-vie et la modification des seuils sociaux !

Pour ce vote majeur, ils étaient… 45 sur 577. Soit 7 % des effectifs. Et, donc, 532 absents ! Il aura suffi de 27 députés En Marche ! pour valider la vente des bijoux de la famille France, 15 députés ont voté contre et 3 ont osé s’abstenir.

La démocratie française est ainsi faite que des lois primordiales sont votées en catimini par une poignée de députés qui ont attendu l’aurore pour le faire. Il est vrai que le Sénat doit encore donner son avis, mais avec la majorité massive du groupe LREM, la braderie aura bien lieu. Car il s’agit bien d’une braderie : les trois sociétés nationales sont très largement bénéficiaires et la vingtaine de milliards (dont quinze pour ADP) qui seront récoltés par l’État pour ces ventes seront vite engloutis dans la dette abyssale de 2.350 milliards.

André Bercoff, qui a consacré au vote de cette loi PACTE une partie de son émission, ce mercredi, sur Sud Radio, s’en est offusqué par un « Ni vu ni connu, je t’embrouille », puis il a interrogé Laurent Izard, l’auteur de La France vendue à la découpe, à qui il a soutenu que vendre ADP, « ce n’est pas un crime, c’est une forfaiture ». En effet, ADP, c’est effectivement la première frontière de France, une frontière qui pourrait tomber dans les mains d’une puissance étrangère. Laurent Izard a constaté qu’ADP était aussi la plus grande structure aéroportuaire du monde, que la Française des jeux, si elle n’avait pas un intérêt stratégique primordial, avait été pour l’État français extrêmement rentable, et qu’Engie était une entreprise d’approvisionnement en énergie capitale qu’il était curieux de laisser entre des mains étrangères.

Philippe Vigier, député UDI, a conclu vers six heures du matin que « cette privatisation d’ADP est une faute, et vous le constaterez vous-même. Une fois la concession accordée, jamais l’État n’aura les moyens de remettre la main sur ADP. La triste expérience des autoroutes nous a malheureusement donné raison. »

Quant à Jean-Luc Mélenchon, à cinq heures du matin, il s’était levé pour protester contre les méthodes du Parlement de « débattre à cinq heures du matin des discriminations à l’embauche, à trois heures du tarif de l’électricité et à cette heure-ci de tout ce que nous avons entendu. Tout cela est absurde. C’est une folie ! C’est certainement la forme la plus grave de dysfonctionnement de la vie du Parlement. »

Voilà où le macronisme nous conduit. Vers une perte de souveraineté qui, à petit feu, tue des siècles d’indépendance. Et ce Président voudrait que nous votions pour lui, le 26 mai ? Il rêve !

Selon les autorités allemandes, 1/3 des demandeurs d’asile arrivent en avion, la moitié sont sans papiers et les 2/3 n’ont pas de motif valable

Hans-Eckardt Sommer, président de L’Office fédéral pour l’immigration et les réfugiés (BAMF), considère que le nombre actuel de demandes d’asile déposées en Allemagne est trop élevé. […] « Nous avons enregistré l’an dernier 162 000 demandes initiales d’asile », a déclaré Sommer. « Cela correspond à une grande ville qui arrive chaque année chez nous. »

Seuls 35 pour cent obtiennent un statut de protection, selon le patron du BAMF. « Nous voyons donc de façon très nette que beaucoup de gens viennent ici sans avoir de raison justifiant l’asile », a déclaré Sommer. […]

De nombreux demandeurs d’asile ne présentent toujours pas de papiers d’identité lors du dépôt de leur demande. Selon les indications données par Sommer, cela représente actuellement 54 pour cent.

Comme l’a déclaré le président du BAMF, de nombreux demandeurs d’asile entrent manifestement par avion en République fédérale.
[…] Lors de contrôles aléatoires, « un tiers environ des demandeurs d’asile interrogés » indiquent » être entrés en Allemagne par les aéroports ».

Die Welt

Grand Paris : les migrants mineurs isolés délinquants chassés de Paris frappent désormais en banlieue et s’attaquent aux maisons ou aux voyageurs

Des bandes de jeunes voleurs étrangers étendent leur terrain de chasse, depuis Paris, à l’ensemble de l’Ile-de-France. Très certainement téléguidés par des donneurs d’ordre restés dans leur pays.

(…)On les appelait les enfants des rues du XVIIIe arrondissement, mais bon nombre de ces jeunes à la dérive squattent désormais un immeuble de Saint-Denis (Seine-Saint-Denis). Depuis le début de l’année, ces mineurs marocains ou algériens, pour la plupart toxicomanes et violents, spécialisés dans les cambriolages et les agressions dans les transports, ont changé de stratégie. Jusqu’ici, ces jeunes gens, apparus fin 2016 dans le quartier de la goutte d’or, se regroupaient et « oeuvraient » dans la capitale.

« Ils prennent le RER ou le train et s’attaquent aux maisons ou aux voyageurs »
« Depuis l’automne dernier, une augmentation significative des délits perpétrés en banlieue par ces jeunes est clairement perceptible », précise un policier parisien. Durant les neuf premiers mois de l’année 2018, en ce qui concerne les seuls cambriolages commis par ces mineurs isolés, 57 % des faits étaient répertoriés dans Paris intramuros, le reste en banlieue. En octobre et novembre, le phénomène s’est inversé. 88 % de passages à l’acte ont eu lieu en petite couronne.

La grande couronne parisienne n’est pas non plus épargnée. « Ils prennent le RER ou le train par groupes de trois et s’attaquent aux maisons ou aux voyageurs pour leur voler leurs téléphones portables ou des sacs à main, précise un gendarme. Au palais de justice de Versailles dans les Yvelines, le tribunal pour enfant et la section mineurs du parquet gèrent au moins trois cas par semaine avec une première difficulté : connaître leur âge réel car lorsqu’ils sont arrêtés ces voleurs, souvent connus sous plusieurs allias, disent tous être âgés de 16 ans.

m.leparisien.fr

Débat du 20 février 2019 à HEC où François Asselineau a été confronté à un professeur de Sciences-Po Paris et au responsable national des « Jeunes avec Macron » (JAM).

Le 20 Février, HEC Débats co-organisait avec Symposium Centrale-Supélec et Agora ENSAE la Grande Journée de Débats, sur le thème cette année de « l’Union européenne : l’heure des choix ». Cette première table ronde abordait la thématique de la désunion européenne avec nos 3 invités :

– Richard Balme, professeur et directeur du master International Public Management à Science-Po Paris.

– Martin Bohmert, délégué des « Jeunes avec Macron » (JAM) et ingénieur spécialisé en innovation et énergie en Europe.

– François Asselineau, candidat à l’élection présidentielle et président de l’UPR.

« Immigration ou colonisation ? » : Discours d’Éric Zemmour lors d’une conférence en Hongrie, en présence de Viktor Orbán

Le Sommet de Budapest sur les migrations, organisé par le Mathias Corvinus Collegium, se déroule du vendredi au dimanche, en présence du Premier ministre hongrois Viktor Orbán et de l’ancien président français Nicolas Sarkozy. (source) Rappel : Nicolas Sarkozy en Hongrie pour une conférence sur l’immigration : « Viktor Orbán est un ami (…) Personne n’a […]

Éric Zemmour, fils de l’immense Soljenitsyne

Publié le 23 mars 2019 – par Philippe Arnon (Riposte laïque)

La lucidité d’Éric Zemmour sur l’état de la France est de la même veine que celle d’Alexandre Soljenitsyne sur celle du monde, une génération auparavant. Il faut y voir une incontestable filiation. Les deux hommes ont ceci de commun qu’ils sont tourmentés par la dégénérescence, par cette propension qui anime l’histoire et qui pousse l’humanité vers une animalité primitive. Alors qu’à travers leur fatuité hors-norme résultant de leur triomphe sur le communisme bolchevique, les chantres de la bien-pensance s’attendaient dans une impatience quasi jouissive à ce que le survivant de « L’archipel du goulag » entreprenne un éloge passionné et marqué de leur soi-disant « monde libre » quels ne furent pas leur surprise et leur désenchantement de l’entendre dire dans un discours à Harvard le 8 juin 1978 :  » … si l’on me demandait si, en retour,  je pourrais proposer l’Ouest en son état actuel, comme modèle pour mon pays, il me faudrait en toute honnêteté répondre par la négative ». Mais alors pourquoi ? parce que « le déclin du courage est peut-être le trait le plus saillant de l’Ouest… et semble aller ici et là jusqu’à la perte de toute trace de virilité… leurs mains (celles des dirigeants occidentaux) se paralysent face aux gouvernements puissants et aux forces menaçantes, face aux agresseurs et à l’Internationale de la terreur ».

Éric Zemmour ne dit pas autre chose : « En se féminisant, les hommes se stérilisent, ils s’interdisent toute audace, toute innovation, toute transgression ». Bref, ils ne sont plus en force pour lutter contre la liquéfaction de leur société et contre l’introduction microbienne multiforme qui participe à sa dissolution. L’islam s’est immiscé, timide au départ, puis de plus en plus déterminé parce que nourri uniquement par la faiblesse de l’assailli, finissant par transformer une société auparavant unie par une seule identité, en un multiculturalisme déstructurant. Mais la critique du modèle occidental par Soljenitsyne ne s’arrête pas là, loin s’en faut : « Tout ce qui se trouvait au-delà du bien-être physique et de l’accumulation de biens matériels, tous les autres besoins humains, caractéristiques d’une nature subtile et élevée, furent rejetés hors du champ d’intérêt de l’État et du système social, comme si la vie n’avait pas un sens plus élevé… Les États devinrent sans cesse plus matérialistes ». Éric Zemmour parle de « l’angoisse existentielle, la solitude, le désarroi et le déracinement » mais aussi de « dissolution » et de « destructuration ». Pour Soljenitsyne, le désir permanent de posséder toujours plus et d’avoir une vie meilleure, et la lutte en ce sens, ont imprimé à l’Ouest les marques de l’inquiétude et même de la dépression ».

Avec cette course effrénée, cette danse de Saint-Guy de consommation, on en arrive très vite à la mondialisation dans laquelle « les riches s’enrichissent et les pauvres s’appauvrissent » comme l’ affirme Éric Zemmour qui a parfaitement compris que l’objectif final du capitalisme est la disparition de la nation par annihilation de ce qui fait sa propre identité, en vue de n’avoir devant lui qu’un consommateur, un bovin brouteur de ses produits et qui ne se pose surtout pas de questions. Tout se tient finalement : l’Ouest a poussé le bouchon beaucoup trop loin et a fini par provoquer « l’irruption de cet individualisme arrogant et nihiliste » comme le précise Éric Zemmour. « L’homme a vu complètement s’étioler la conscience de sa responsabilité devant Dieu et la société » affirme avant lui Soljenitsyne.

Naturellement – c’est une évidence – devant la dégénérescence générale, les deux hommes sont profondément inquiets. Éric Zemmour se risque à dire : « Je redoute la disparition de la France ». Quant à Soljenitsyne, il lève les bras au ciel : « Si le monde ne touche pas à sa fin… cela va requérir de nous un embrasement spirituel. Il nous faudra nous hisser à une nouvelle hauteur de vue, à une nouvelle conception de la vie, où notre nature physique ne sera pas maudite… mais, ce qui est bien plus important, où notre être spirituel ne sera plus piétiné… Nous n’avons pas d’autre choix que de monter… toujours plus haut ». La porte malgré tout est donc ouverte finalement sur un certain espoir. Si Éric Zemmour reste plus terre à terre, moins attaché à ce besoin d’élévation spirituel propre à Soljenitsyne, c’est à une virilité retrouvée qui ressemble à une nouvelle Bataille de la Marne à laquelle il fait appel. Cela ressemble malgré tout à du Soljenitsyne, seulement sous une autre forme : « Mon livre (Destin français) est un appel à un nouveau sursaut. Nous devons réagir à notre colonisation culturelle par l’islamisme d’un côté et par la mondialisation d’inspiration américaine de l’autre ».

La seule chose qu’on peut reprocher à Éric Zemmour (et qui l’éloigne ainsi de Soljenitsyne) ou plutôt le seul regret qu’on puisse avoir en le lisant, c’est que son amour passionné, trop passionné pour la France, lui fait négliger le monde. Or la France est une toute petite partie du monde. On ne peut donc aborder sa dégénérescence sans faire référence à celle du monde qui l’entoure. Mais peut-être cette lacune sera-t-elle le thème central de son prochain essai. Ce serait une très heureuse surprise, qui pourrait se traduire, qui sait, par l’ attribution, comme pour Soljénitsine, du prix Nobel de Littérature…

Immigration : qui a dit que l’Occident était xénophobe  ?

Le Pew Research Center a montré que, bien loin d’être une particularité occidentale, le désir de juguler l’immigration est commun à de nombreux pays : Ces dernières années, on a beaucoup écrit sur la peur de l’immigration en Occident. Par contre, ce qui n’a pas retenu beaucoup d’attention, c’est ce que des pays extérieurs à l’hémisphère occidental peuvent aujourd’hui penser de l’immigration. Quelle est l’opinion des Nigérians, Indiens, Turcs ou Mexicains vis-à-vis des migrants qui arrivent dans leur pays  ? On n’en entend pas souvent parler.

Sur ce sujet, deux enquêtes récentes fournissent d’intéressants résultats. Le pourcentage de sondés souhaitant moins ou plus du tout d’immigrants dans leur pays était plus élevé en Afrique du Sud (65 %), Argentine (61 %), au Kenya (60 %), Nigeria (50 %), en Inde (45 %) et au Mexique. (44 %) qu’en Australie (38 %), au Royaume-Uni (37 %) ou aux États-Unis (29 %). Dans les vingt-sept pays passés en revue, moins du tiers des personnes interrogées déclaraient que leur pays devrait accueillir davantage d’immigrants. Une étude Ipsos MORI de 2017 sur les tendances « nativistes » (l’hostilité à l’égard de l’immigration) mondiales brossait un tableau similaire. Lorsqu’on leur demandait s’ils pensaient que leur pays serait « plus fort » s’il « stoppait l’immigration », davantage de Turcs (61 %) et d’Indiens (45 %) avaient acquiescé en comparaison avec les Britanniques (31 %), les Australiens (30 %), les Allemands (37 %) ou les Sud-Africains (37 %). Quant à la question « vous sentez-vous étranger dans votre propre pays ? » – un autre indicateur d’hostilité à l’égard de l’immigration –, 57 % des Turcs, 54 % des Sud-Africains, 46 % des Brésiliens et 39 % d’Indiens avaient répondu par l’affirmative. Les chiffres étaient moins importants chez les Allemands (38 %), les Britanniques (36 %) ou les Australiens (36 %). Enfin, 74 % des Turcs, 64 % des Péruviens, 62 % des Indiens et 60 % des Sud-Africains étaient d’accord pour dire que les employeurs devaient donner « la priorité » aux locaux plutôt qu’aux d’étrangers, contre 58 % des Américains, 48 % des Britanniques et 17 % des Suédois.

Croire que le « nativisme » est réservé aux Occidentaux blancs est une idée reçue. Il s’agit en réalité d’un phénomène mondial qui est souvent plus fort dans les pays non occidentaux.

(…) Le Point

Il parait que les immigrés rapportent plus qu’ils ne coûtent à la France

RUTUBE.fr donne son point de vue !

Arrêtons avec cette politique comptable !

C’est vrai, la France peut et doit accueillir des immigrés mais de façon raisonnable et raisonnée ! 80% des français n’ont rien contre les immigrés. C’est l’immigration de masse et non maîtrisée qui fait peur et qui tue la France.

La France doit garder ses racines et sa culture.

Non à l’immigration de masse, oui à l’accueil aux vrais réfugiés (et non les réfugiés économiques).

Quand la France retrouvera-t-elle ses vrais valeurs ?

Je suis d’une généraration qui connu les années 70, 80 et 90 où la dérision était partout. On pouvait ironiser sur les religions et sur tout autre sujet….

Aujourd’hui on parle en permanence de religion et d’Islam….franchement il y en a ras le bol ! Si l’arrivée de nouveaux immigrants doit rimer avec Voile, soumission, Halal et tout le reste….alors non merci. On a réussi à ne plus être sous l’emprise des curées ce n’est pas pour récupérer les Imams et leur religion dogmatique et oppressante. Un peu d’air vite ! Rendez-nous notre France, Nos année 70 et 80 et bye bye les religions.