La fable palestinienne (7) : le mur Israël-Gaza, objet de toutes les critiques

Publié le 15 février 2019 – par Louise Guersan ( Riposte Laïque)

Suite de notre article du 13 février 2019, La fable palestinienne : STOP, chapitre 6,
https://ripostelaique.com/la-fable-palestinienne-6-1965-1966-des-attentats-par-dizaines.html

Lorsqu’on fait le calcul des victimes des Palestiniens, on obtient les chiffres de 3 791 Israéliens tués de 1948 à 2014, mais également de… 2 014 Palestiniens également tués par des actes terroristes palestiniens de 1987 à 2014. Chacun en tirera les leçons qu’il voudra.
Et face au terrorisme, Israël s’est vu obligé de construire un mur de séparation à partir de 2002.

Que de critiques ce mur a-t-il entraînées dans la communauté internationale ! Bande d’hypocrites ! Les murs ont toujours existé. Je n’évoque pas ici les murs de nos maisons, faits pour protéger les familles. Ni ceux des villes fortifiées afin de défendre des communautés de taille moyenne des attaques de pillards. Non, je parle bien ici des murs séparant des peuples, et ils furent de tous temps nombreux.

Tenez, pour ne parler que des plus célèbres, l’empire romain en avait édifié plusieurs : au début du IIe siècle, le mur d’Hadrien, tout au long du nord de l’Angleterre, sur 118 km, flanqué de 300 tours, défendu par 17 camps retranchés, et construit afin de protéger l’empire des « barbares ». Ils avaient également édifié les limes de Germanie entre le Rhin et le Danube sur 550 km. Et la Grande muraille de Chine ? Vous n’en avez pas entendu parler, de la grande muraille de Chine ? Commencée au IIIe siècle et sur une longueur de quelques 6 200 km, elle devait protéger l’empire du Milieu des peuples turco-mongols et tatares qui finiraient cependant par l’envahir au XIIIe siècle.

Quant à l’époque contemporaine, ils abondent, les murs, et personne n’y trouve à redire. Il y en a aujourd’hui 65, dont beaucoup n’ont que quelques années, et mis bout à bout ils représentent la circonférence de notre planète, 40 000 km ! Allez, on va en faire un petit tour chronologique mais pas du tout exhaustif. Histoire de comprendre que le mur israélien n’est qu’une broutille dans la grande famille des murs construits contre les trafics, ou le terrorisme, ou l’immigration, ou Dieu sait quoi…

1953. En pleine guerre froide. Guerre soviéto-américaine par pays interposés. Édification d’une ligne de démarcation entre la Corée du Nord et celle du sud, sur 248 km de long et 4 km de large, gardée par 700 000 soldats nord-coréens et 400 000 soldats sud-coréens. Waouh ! plus d’un million d’hommes pour garder le mur.

Entre 1954 et 1962, dates correspondant à la guerre d’Algérie, édification d’un mur sur la frontière Maroc- Algérie, le Maroc pour se protéger de l’immigration algérienne, et l’Algérie pour se protéger des trafics marocains, en particulier de la drogue, trafic organisé au plus haut niveau de l’État marocain.

Entre 1957 et 1962 la France fait construire la ligne Morice entre l’Algérie et la Tunisie contre le terrorisme. (mais Israêl ne peut pas se protéger du terrorisme, n’est-ce pas ?).

1960 et sur 32 km, un mur est construit entre la Chine et Hong Kong.
En 1961, le « mur de Berlin » est édifié sur les ordres des dictateurs soviétiques. C’est en fait un double mur de plus de 3 m 50 de haut sur une longueur de 155 km, doublé de barbelés, équipé de centaines de miradors, et gardé par des Vopos et des chiens d’attaque.
À la fin des années 1960 et au début des années 1970, 99 murs dits « murs de la paix » (ha ha ha !) sont construits en Irlande du nord pour séparer les quartiers catholiques des quartiers protestants. Leur taille varie de quelques centaines de mètres à plus de 5 km.

De 1966 à 1982 la France fait construire un mur autour de Djibouti pour empêcher l’immigration des Somaliens. C’est un dispositif militaire.
À Chypre en 1974 est construite la ligne Attila pour séparer communautés grecques et turques.
En 1975, l’Afrique du sud construit un mur de 120 km pour empêcher l’immigration de son voisin pauvre le Mozambique.
De 1980 à 1987, le Maroc fait construire une barrière immense de 2 720 km et haute de 3 mètres qu’il nomme « barrière des sables », pour s’isoler du Sahara occidental et de ses terroristes. Cette barrière est doublée de champs de mines et gardée par pas moins de 100 000 soldats.
En 1991, l’Irak et le Koweït édifient à leur tour un rempart de 193 km. Comme pour le Maroc, la dimension est importante.
À peu près à la même période, l’Inde édifie aussi un mur encore plus grand de 3 200 km doublé par des barbelés et gardé par 80 000 gardes afin de tenir à distance le Bengladesh. Aspect particulier : un certain nombre de villages sont coupés en deux.
En 1999, des murs sont érigés en Roumanie, en République tchèque et en Slovaquie pour se séparer des populations internes de tsiganes. Mais ces murs seront vite détruits.

Quant à l’Ouzbékistan, il s’emmure tout seul entre 1999 et 2009 avec des remparts de 3 515 km pour se protéger de l’immigration de ses voisins et de leurs trafics, et l’année suivante l’Inde divise le Cachemire en deux par un mur de 550 km, en plein Himalaya.
En 2005 le sultanat de Brunei construit un mur de 20 km contre la Malaisie. L’année suivante, la Chine aménage une barrière de fils de fer barbelés le long de sa frontière avec la Corée du nord sur 1 416 km, et les États-Unis commencent leur mur de séparation avec le Mexique pour lutter contre l’immigration clandestine et les trafics de drogue. Long aujourd’hui d’un peu plus de 1 000 km, il a été construit sous les présidents Clinton, Bush et Obama, mais pas par Donald Trump malgré une propagande qui tente de laisser croire le contraire.

En 2007, c’est au tour du Brésil de construire son mur contre la Bolivie et le Paraguay pour les mêmes raisons. En 2013, il annoncera vouloir construire d’autres murs contre ses autres voisins.
2007 encore, l’Inde a entrepris la construction d’un autre mur qui devrait atteindre les 700 km pour se protéger du Pakistan tandis qu’à l’intérieur même de Bagdad on édifie un mur pour séparer les populations sunnites et chiites.
2012 : la Grèce érige des barrières sur sa frontière turque pour lutter contre l’immigration.
En 2014 l’Arabie saoudite a terminé son mur ultra moderne le long de l’Irak, et la Turquie a lancé la construction d’un mur la séparant de la Syrie (achevé en 2017).

2015 la Hongrie commence l’édification d’un mur de 175 km le long de la Serbie, de la Croatie et de la Roumanie pour se protéger d’une immigration devenue incontrôlable et la même année le Kenya entame la construction d’un mur de séparation avec la Somalie.
En 2016 la France (c’est la 3e fois que je la cite dans cette liste) a construit son fameux mur de Calais pour empêcher les migrants de monter à bord de camions à destination du Royaume-Uni.

Parmi tous les cas non cités encore, mentionnons brièvement les murs Malaisie/Thailande, Pakistan/Afghanistan, Bulgarie/Turquie, Tunisie/Libye, Espagne/Maroc (enclaves de Ceuta et Mellila), Émirats arabes unis/sultanat d’Oman…

Mais surtout, je veux mettre l’accent sur une info très intéressante : tandis que le monde arabe reproche à Israël le mur qui le sépare des Palestiniens, l’Égypte a élevé depuis 2007 des barrières de 14 km de long le long de la bande de Gaza pour empêcher l’immigration des Palestiniens ! Et là, la communauté internationale est restée silencieuse. EFFARANT. Quant aux Palestiniens, ils n’essaient pas de passer ce mur en creusant des tunnels en dessous et ne s’en plaignent pas. Il est vrai qu’ils n’ont pas grand-chose à tirer de l’Égypte… En tous cas, l’Assemblée générale des Nations unies a voté le 20 juillet 2004 par une résolution la destruction du mur israélien et le paiement de réparations aux Palestiniens. Que n’a-t-elle demandé le paiement de réparations à tous les 65 autres États qui ont édifié leurs murs.

Plus il y a de musulmans en France, et plus l’antisémitisme progresse…

Publié le 14 février 2019 – par Gérard Brazon (dans Riposte Laïque)


Houria Bouteldja- Une algérienne musulmane antisémite.

Antisémitisme : nous assistons un grand déballage d’hypocrites, au bal des faux-culs des politiques.

Je suis écœuré de les lire, les entendre, de voir leurs gesticulations devant des actes qui finalement sont la résultante de leurs actions passées et qu’ils continuent d’œuvrer pour que cela continue dans l’avenir ! Que penser du Crif qui refuse de voir où est le danger, et reste bloqué à l’antisémitisme d’hier ! Ces messieurs du Crif déjeunent avec le diable lui-même ! Pauvres fous !

Antisémitisme, la haine des juifs, à ce cri, voilà ces volailles qui courent dans tous les sens dans la cour de la ferme !  Immondes volatiles qui caquettent et feignent de n’y être pour rien et dénoncent l’autre, le Blanc en premier, le natif de France, le patriote, bientôt le Gilet jaune, celui qui alarme sur les dangers d’une immigration, qui est taxé de raciste, de xénophobe ! Il est prié de prendre la place de l’âne dans la fable, et surtout, de ne pas parlez pas du lion, des hyènes, des chacals, des chèvres !

Les lions : on peut les résumer comme ceux qui ont décidé que si l’antisémitisme n’avait plus trop de succès en France, il fallait le faire venir d’ailleurs, d’une immigration porteuse de ce virus intrinsèque au Coran !

Déclaré depuis 1 400 ans par Mahomet, et compris par tous ceux qui ont pu l’observer en tant qu’historiens, écrivains des religions, ou simples observateurs des sociétés issues de l’islam !

Le lion, c’est aussi celui qui en a profité comme toutes ces entreprises assoiffées de main-d’œuvre dans les années 1960/70 et qui ont fait venir un prolétariat bon marché, obéissant et imperméable aux revendications syndicales, contrairement au Japon qui a su se passer de l’immigration en révolutionnant la production par la robotique !

Les hyènes, ce sont ces partis politiques complices qui n’ont jamais voulu, ou su aborder ce sujet avec pragmatisme, et se sont laissé enfermer dans un discours simpliste, où trop prudent envers l’immigration. C’était devenu risqué d’en parler, de l’interdire, de le réguler au minimum. C’est devenu du racisme, un bon « outil de lutte » contre l’extrême droite fantasmée.

Les chacals, ce sont ces associations nées de ces différents pouvoirs politiques qui ont trouvé le moyen de se débarrasser de leurs responsabilités en les transférant à des technocrates, des chasseurs de primes, qui ont décidé seules que le racisme existait exclusivement contre ceux qui venaient d’ailleurs, et surtout pas envers les Blancs issus de la France profonde, ou de souche !

Les chèvres, ce sont les syndicats, les partis de la gauche, une certaine droite formatée au catholicisme bien-pensant. Tous ayant trouvé la parade en se transformant de l’intérieur, en donneurs de leçons. En luttant comme ils disent, contre les discriminations. En favorisant les salles de prières, en niant, ou en inversant les principes de la laïcité, en crachant sur les origines du peuple de France, en rappelant sans cesse les « heures les plus sombres », « la bête immonde encore féconde», « la honte de la collaboration », le mea-culpa permanent.

C’est la repentance en vague et sans cesse, jusqu’à la corrosion de cette France vieille de 1500 ans, et la volonté de la réduire à une période de 5 ans. Le drapeau fut rejeté, l’hymne hué, et tous deux considérés comme fascistes ! Chacun était appelé à se frapper la poitrine en signe de rédemption !

Pourtant, il y a eu des justes, il y a eu des résistants, il y a eu des femmes et des hommes qui partirent à Londres, qui s’enrôlèrent dans la France libre, etc. Pour obtenir la soumission, la bien-pensance ne rappelait les méfaits des collabos en occultant les origines des partis d’où ils venaient.

Ces chèvres ont fait des petits qui sont loin de s’être émancipés de leur atavisme ! Où sont les politiques, les journalistes, les médias et les syndicats qui osent dire la vérité : d’où vient essentiellement l’antisémitisme ?

Il faut le lire entre les lignes ! Il faut voir cette explosion de déclarations contre les antisémites d’aujourd’hui, qui ne seraient, à les en croire, que de la graine de nazis franchouillards ! Comme si l’antisémitisme se résumait à quelques connards nostalgiques des nazis, des demeurés transis d’admiration pour Hitler, de purs racistes ! Des adeptes de la primauté de la race blanche ! Ils sont combien en fait ? Ils sont une poignée ? Bien utile pour les pouvoirs en place !

Quelle formidable hypocrisie de ceux qui appellent à lutter contre l’antisémitisme et se préparent à libérer la haine antijuive à l’état pur des adeptes du djihad. Ils souhaitent faire venir 130 tueurs de Daech avec leurs familles en France ! Ils seront responsables des assassinés de demain, mais ils s’en moquent ! Responsables mais pas coupables !

Simone Veil est le faire-valoir de cette monstruosité ! Pour quelques graffitis, on déclare que l’on va lutter contre l’antisémitisme en rognant les libertés d’expressions ! Les juifs ont fui massivement le département de la Seine-Saint-Denis devenu majoritairement musulman ! Est-ce un hasard si les juifs s’en vont en masse d’un département ou régnerait dit-on, la paix, la tolérance et l’amour ? Des quartiers de Paris subissent le même sort ! Est-ce parce que des citoyens français se seraient impliqués dans le national-socialisme récemment ?

Condamnation unanime de la classe politique, nous dit la presse ! Quelle foutaise ! La classe politique est bien plus attentive à la communauté musulmane pourvoyeuse de voix aux élections !

Pourtant, ils savent d’où vient véritablement l’antisémitisme quand la presse rappelle les noms des tueurs de juifs ! Ilan Halimi par Fofana, les enfants de Toulouse par Merah, les morts de l’Hyper Cacher par Coulibaly, Sarah Alimi,Mireille Knoll assassinées par des musulmans aux cris d’Allahu akbar ! Sans compter les crimes contre les Chrétiens, les églises incendiées, taguées, etc., sur lesquels se taisent ces politiques et les médias, par peur d’être traités de racistes ou d’islamophobes ! 

Les responsables politiques comme les médias savent d’où vient l’antisémitisme !

Dire que cela vient de la guerre entre Israël et les habitants de la Cisjordanie ne suffit pas ! Si ce conflit à de l’écho en France, c’est qu’il y a des oreilles en France qui l’entendent, et des cerveaux formatés à l’antisémitisme dans les cités.

La pensée des immigrés d’hier et d’aujourd’hui se résume par cette déclaration d’Alija Izetbegovic, chef d’État de Bosnie-Herzégovine de 1990 à 2000.  Elle est particulièrement éloquente : « Il ne peut y avoir ni paix ni coexistenceentre la religion islamique et des institutions politiques et sociales non-islamiques. […] La renaissance islamique ne peut commencer sans une révolution religieuse, mais elle ne peut se poursuivre et être menée à bien sans révolution politique. C’est du pur jus Frères Musulmans que l’on tolère en France, et qui ont droit de cité à travers les « Musulmans de France », ex-UOIF !

Je terminerai par une sourate du Coran qui ne laisse pas de place à l’interprétation.

Sourate 60 verset 4: « Nous vous désavouons, vous et ce que vous adorez en dehors d’Allah. Nous vous renions. Entre vous et nous, l’inimitié et la haine sont à jamais déclarées jusqu’à ce que vous croyiez en Allah, seul. »

Il faudrait d’urgence que nos minables femmes et hommes politiques au pouvoir se mettent à lire le Coran, et comprennent que c’est de leur peau et de celles de leurs enfants qu’il s’agit !

Trump va obtenir son mur grâce à l’invocation de l’État d’urgence

Donald Trump va obtenir son mur grâce à l’invocation de l’Etat d’Urgence. «La Constitution joue en sa faveur. Les Démocrates ne pourront pas l’empêcher» commente un journaliste de France 24.

Les démocrates sont totalement défaits : ils n’ont pas réussi à empêcher le mur et n’ont pas non plus inclus une solution pour les dreamers ou les FCE dans leur deal, comme le leur avait proposé

Donald #Trump va déclarer l’urgence nationale pour obtenir les fonds nécessaires et construire le mur. Le Sénat vient d’approuver cette mesure à une large majorité (83-17) pour « éviter un nouveau #shutdown ».

Les gilets jaunes sans les Français issus de l’immigration


Depuis le 1er round des manifestations, l’examen de la composition populaire des cortèges des gilets jaunes révèle une réalité que le pouvoir s’emploie à camoufler et à interdire de citer : la presque inexistence des immigrés.

Pourtant, leur intégration est un enjeu capital pour le développement de la lutte des classes unitaire ou sa paralysie. Les pays anglo-saxons, et notamment les États-Unis, ont fait de l’immigration la plus formidable arme engagée contre l’unité populaire et le maintien du statu quo social.

À chaud : 13e round des gilets jaunes boulevard Saint-Germain.

Je rencontre des jeunes qui détruisent des Abribus® et des vitrines d’agences bancaires qui n’ont pas été protégées. Même la MAIF, mutuelle d’assurance des enseignants qui fonctionne partiellement avec des bénévoles, n’a pas été épargnée.

J’ai tenté de leur faire entendre raison ; ils ne connaissent pas la MAIF ! Ils en ont après les banques ! Ce mouvement a tout à apprendre. Les anciens de Mai 68 ne sont pas nombreux et, de toute façon, quasi inaudibles.

Quant aux Français issus de l’immigration, ils brillent par leur absence : ça en dit long sur leur implication dans la société et ses luttes sociales. Les fameuses minorités invisibles le sont vraiment ici : nos prétendues « chances pour la France » le sont sûrement pour le pouvoir, qu’elles n’ont pas l’air de contester beaucoup.

Dans les années 60-70, c’étaient des groupes organisés et compacts qui défilaient avec la CGT, notamment les travailleurs algériens de l’automobile. Époque révolue. Les organisations communautaires n’ont – à ma connaissance – pas pris position vis-à-vis du mouvement des gilets jaunes et encore moins appelé à le rejoindre. Quelques organisations minoritaires, comme la Ligue de défense noire africaine, Les Amis du CRIF ou Kalifat, se sont même montrées hostiles.

Le silence des uns et l’hostilité des autres (ardents défenseurs des politiques migratoires) expriment la victoire du MEDEF et des immigrationnistes, dont les efforts pour diviser les Français ont porté leurs fruits.

Que penser des absents ? Désintérêt pour les luttes sociales unitaires et repli sur leurs revendications identitaires ? Solidarité passive, voire complicité avec un pouvoir aux ordres du patronat qui profite de l’immigration de masse pour accroître le chômage afin de baisser les salaires et d’enrayer la baisse tendancielle du taux de profit (cf. Patrick Artus, « Karl Marx is back »La Documentation française) ?

On voit bien le danger des conséquences de l’immigration, qui produit l’isolement communautaire, la fracture du peuple français et l’affaiblissement relatif des luttes revendicatives.

Au moment où l’on observe une alliance, dans la rue, du nouveau prolétariat et de la nouvelle petite bourgeoisie, les Français d origine immigrée rompent l’unité populaire.

La prochaine étape sera-t-elle l’instrumentalisation des absents pour des affrontements communautaires ?

Source, Boulevard Voltaire.

Débat entre le rappeur islamiste Médine et Damien Rieu après le concert annulé du Bataclan.

Ecoeuré par le traitement médiatique complaisant dont fait l’objet le rappeur @Medinrecords pour son retour, Damien Rieu a décidé de diffuser ce soir à 20h (10/02) le débat où je le confronte aux preuves de son islamisme. #Médine


Rennes : 600 mineurs isolés, 80 % des délits, coût 22 millions, merci, Jean-Luc Chenut !

Publié le 8 février 2019 – par Geronimo (Riposte Laïque)

Dans le journal hautement intellectuel Ouest-France, daté du 07/02/19, un article particulièrement insupportable a retenu mon attention. Il fait l’état de la présence de « mineurs non accompagnés », les MNA comme on dit, sur la ville de Rennes.

L’éminent président du département, le socialiste Jean-Luc Chenut, les estime à environ 600. En fait ils sont plus près de 700, voire 800. Aucune mention de l’origine bien sûr.

Ces « pauvres enfants » arrivent en fait d’Albanie, du Maroc, de Tunisie, d’Algérie, de l’Érythrée, du Soudan, du Pakistan, d’Afghanistan, de Libye pour certains, et de Syrie soi-disant pour d’autres. Bref comme on peut le voir, que des pays en guerre, ce qui justifie leur présence chez nous, et ce qui justifie qu’on les prenne en charge à 100 %, les pauvres biquets.

Eh oui, car le budget alloué au bien-être de ces « parasites » est de 20 millions d’euros, 22 millions si on compte les charges de fonctionnement.

Résumons-nous : 20 millions d’euros divisés par 600 (on prend le chiffre connu d’accord…) ça nous fait 33 333 euros par tête de pipe et par an.

En gros, c’est comme si on donnait un salaire de 3 000 euro à chacun des ces « gosses », qui n’ont pas le droit d’être sur notre territoire car ils y sont arrivés clandestinement, qui ne produisent rien, qui n’ont aucun papier, dont on ne peut déterminer ni l’âge ni la véracité de l’origine, qui sont illettrés, asociaux, pluritoxicomanes (médicament, alcool, shit pour la plupart) qui sont TOUS musulmans, et qui, cerise sur le gâteau, passent leur soirées à voler, cambrioler, dealer et agresser les noctambules…

Vous voyez le tableau. En plus dans son boboïsme et son droitdel’hommisme constant, la ville de Rennes a placé une partie des ces « pauvres chéris », dans une ancienne caserne de gendarmerie, placée en plein centre-ville, et devant l’entrée d’un des plus beaux parcs de France. Cette caserne, entièrement refaite à neuf pour les accueillir, est aujourd’hui dans un état déplorable. Ben oui, ces « pauvres choupinets » qui n’ont pas les bons codes de conduite cassent tout (portes, cloisons, télés, tables, WC, douches, dès qu’ils ont une frustration.

Et bien sur leurs merveilleux éducateurs (dont le salaire rentre dans les 2 millions de frais de fonctionnement) se planquent dans leur bureau dès que leurs protégés se tapent dessus. Car, bien sûr, ces ethnies, bien que musulmanes et dont tous les membres sont frères et font partie de la grande oumma, se tapent allègrement sur la courge au moindre désaccord, et se tailladent à coups de couteau (bon ça c’est culturel, on ne peut rien dire).

Les Albanais attaquent les Arabes, les Pakistanais attaquent les Afghans, les Africains se fritent avec les Arabes et les Albanais, etc. On peut mixer dans tous les sens, en plus de nous détester, ils se détestent entre eux.

Mais il faut voir comment ils sont choyés, ces braves enfants. Le matin, le petit déjeuner, servi à profusion, est digne des grands hôtels ; on y trouve céréales, fruits frais, jus d’orange, lait, thé, viennoiseries. Bref, tout ce que bien des enfants d’autochtones n’ont pas sur leur table, à cause des salaires de misère de leur parents.

Le plus sidérant dans cet article, c’est que sans aucune honte, le président du département déclare qu’il n’appliquera pas la loi visant à ficher ces pauvres enfants, car il estime que ce n’est pas de son ressort. C’est l’État qui doit faire ça. Bref, c’est Ponce Pilate. Comme tout bon socialiste, il balance l’affaire aux autres et préfère continuer à utiliser l’argent des contribuables pour protéger ces bibelots.

Car, ces petits chéris-là sont responsables de plus de 80 % des délits commis dans la ville, notamment les vols, les agressions et le deal de rue. Bien sûr, quand ils sont arrêtés, les braves juges bien compréhensifs sur leur détresse les remettent aussitôt dehors. Et il est bien difficile de pouvoir faire des tests osseux pour déterminer leur âge, parce que même les médecins refusent de « collaborer », comme ils disent, pour certains.

Donc ces ces individus inassimilables ont de beaux jours de truanderie devant eux. Ils trouveront facilement chez les cas sociaux et les jeunes filles bien-pensantes gauchistes de Rennes, un ventre fécond qui leur assurera une progéniture française, dont il ne s’occuperont pas, mais qui leur donnera des papiers. Et la vie est belle.

C’est ainsi à Rennes… Et c’est comme ça partout.

Vivement le mois de mai, qu’on voit si oui ou non les Français sont des veaux, si les choses restent comme elles sont, alors tant pis pour nous tous, et pour nos enfants.

Hugh !!!

Passionnant échange entre Bernard Antony et Pierre Cassen, hier adversaires…

Publié le 4 février 2019 – par Lucette Jeanpierre (Riposte Lïque)

Ce débat, sur TV Libertés, animé par Martial Bild, c’est la France qu’on aime. Bernard Antony a lu le dernier livre de Pierre Cassen « Et la gauche devint la putain de l’islam », et il a adoré. Il aurait pu parler plutôt du livre qu’il a publié en 2013, qui aurait pu être édité par Riposte Laïque, et qui s’intitule « L’islam ou la soumission au prophète ».

Mais il a préféré que la demi-heure qu’a duré le débat sur TV-Libertés soit consacrée au livre de Pierre, que manifestement il a savouré, pour plusieurs raisons.

Rappelons que Bernard Antony est ce qu’on appelle un catholique traditionaliste, et que Pierre est athée et laïque. Bernard est viscéralement anti-communiste, alors que Pierre a longtemps fréquenté les milieux communistes, trotskistes. Bernard se targue d’avoir combattu la CGT, quand il travaillait dans l’entreprise, alors que Pierre y a été adhérent 38 ans.

Mais Bernard a adoré d’abord la charge de Pierre contre douze personnalités de gauche, et notamment contre Plenel, avec qui il a une histoire personnelle douloureuse, qu’il explique dans cet entretien. Il a apprécié particulièrement les autres portraits au vitriol du fondateur de RL.

Et cela donne cet échange fort intéressant, où les deux hommes choisissent de ne pas s’affronter inutilement sur des sujets qui pourraient les diviser (qu’ils citent), et de parler avant tout de leur amour de la France, avec une complicité et un respect réciproques qu’ils ne cachent pas.

Bien évidemment, et c’est le rôle d’un animateur, Martial Bild essaie de trouver quelques contradictions, voire quelques failles, dans cet échange plutôt consensuel, mais manifestement, les deux hommes ne sont pas venus pour en découdre, mais pour échanger, de manière alerte, mais amicale, et mettant en avant leur amour de la France.

J’oserais écrire qu’on sent un profond respect réciproque entre Bernard Antony et Pierre Cassen, et qu’on voit qu’ils seront du côté de la même barricade, quand il faudra se battre pour défendre et sauver la France.

Bernard Antony a cette formule magnifique : il y a autant de droite chez Pierre qu’il y a de gauche chez moi.

On ne peut que le remercier de son attitude et de la manière dont il a traité le livre de Pierre dans la revue « Reconquête ». On ne peut qu’apprécier l’ouverture d’esprit, dont devraient s’inspirer nombre de catholiques, du fondateur de l’Agrif, à l’encontre d’un homme qui ne croit ni à Dieu, ni à Satan…

Ce débat, finalement, est une exception, alors que cela devrait être la règle. Deux hommes libres, hier adversaires, se parlent sans masquer leurs différences, et se respectent. Il serait impossible sur le plateau d’une chaîne publique, avec un journaliste interrompant systématiquement les deux intervenants, et se mettant en valeur. Avec Martial Bild, qui sait relancer le débat tout en laissant parler librement ses invités, cela donne une demi-heure que j’ai trouvé passionnante, voire formidable.

Paris : Le responsable de la « team macron » reconnait qu’il a déménagé pour fuir l’insécurité

Pierre LE TEXIER est responsable du pôle e-influence chez En Marche


J’ai changé de quartier pour les mêmes raisons. Ce témoignage n’est pas politicien ou je ne sais quoi : il est juste. Il traduit une réalité vécue par beaucoup d’habitants à Paris.

J’habite à Paris. Ce soir, pour la première fois, ma compagne veut quitter notre quartier parce qu’elle ne s’y sent plus en sécurité : elle a peur pour elle et pour notre bébé. Franchement. Qui peut le lui reprocher ? Et vous @Anne_Hidalgo, qu’en pensez-vous ? #Thread 12/12


Mayotte : nouvelle route migratoire pour rejoindre l’Europe ?

De plus en plus de migrants originaires de l’Afrique des Grands Lacs et de l’Afrique de l’Ouest passent par Mayotte pour rejoindre la France métropolitaine. Une stratégie visant à éviter la traversée de la Libye et les risques de noyade en Méditerranée.

Le nombre de migrants en provenance de l’Afrique des Grands Lacs (RDC, Burundi, Rwanda) a doublé à Mayotte depuis trois ans. Sur 839 demandes d’asile déposées en 2018, 511 concernaient des personnes originaires des Grands Lacs d’après la préfecture. « Même si la part des migrants originaires d’Afrique continentale représente moins de 2% du total à Mayotte, la hausse est continue depuis 2015 », indique la préfecture.

Situé à quelques kilomètres des côtes tanzaniennes, ce département français de l’archipel des Comores est perçu comme une porte d’entrée vers l’Europe pour ceux qui cherchent à éviter de passer par la Libye et de traverser la Méditerranée. « Les pourtours de l’Union européenne, par la Libye et la Turquie se ferment. Conséquence : une troisième voie d’accès se crée par Mayotte à travers des réseaux constitués », constate Romain Reille de l’association Solidarité Mayotte.

« Lorsqu’ils arrivent ici, certains [migrants issus de la région des Grands Lacs] ne savent même pas qu’ils sont à Mayotte. Ils pensent être arrivés en France métropolitaine. Les passeurs leur avaient promis la France, ils ne s’attendaient pas à ça », raconte la Cimade, qui a recueilli d’autres témoignages sur place.

Des migrants de Côte d’Ivoire, du Burkina Faso et du Cameroun

De fait, Mayotte constitue une porte d’entrée vers la France métropolitaine puisque l’île est un territoire français. Les migrants d’Afrique continentale viennent y déposer leur demande d’asile. Une grande partie d’entre eux, les deux tiers environ, obtiennent une protection, selon la préfecture. « À plus de 95%, dès qu’ils ont obtenu l’asile, les réfugiés quittent Mayotte pour rejoindre la France continentale », constate encore Solidarité Mayotte.

Aux migrants originaires de l’Afrique des Grands lacs, se sont joints récemment des Ivoiriens, des Burkinabés et des Camerounais. Ils traversent le continent africain dans la diagonale pour rejoindre Mayotte et éviter la route libyenne.(…)

La multiplication des arrivées génère des tensions intercommunautaires sur l’île, où 40% de la population est étrangère, principalement comorienne. Les Comoriens, mais aussi les Africains du continent en font les frais. Les incidents se multiplient entre population locale et migrants. Dernier en date, en mars 2018, des collectifs d’habitants ont organisé des rondes anti-migrants et des « décasages », sortes de raids au cours desquels ils chassent les migrants de leurs logements.

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