« La France après le Frexit », conférence animée par François Asselineau, ancien candidat à l’élection présidentielle de 2017, tête de liste UPR aux élections européennes de 2019. Cette conférence sera suivie d’un échange avec le public.
Jour : 23 février 2019
Gilets Jaunes Acte XV !
Plusieurs milliers de manifestants ont commencé à partir de midi à descendre dans le calme les Champs-Elysées, point névralgique de la mobilisation parisienne chaque week-end, selon un journaliste de l’AFP sur place.
Cette “marche dans les beaux quartiers”, qui regroupe deux défilés déclarés en préfecture, doit traverser le quartier de l’Opéra, contourner le musée du Louvre et faire une pause devant le siège du Medef avant de rallier l’esplanade du Trocadéro pour une dispersion à partir de 17H00.
“Je suis là pour dénoncer l’hypocrisie du +greenwashing+, la corruption du gouvernement vendu aux lobbys industriels, alors que nous faisons des efforts en investissant dans le bio”, explique Mathilde Destenapes, 27 ans, agricultrice bio dans les Landes. Elle a profité de son passage au Salon de l’agriculture pour se joindre à la manifestation.
L’une des figures du mouvement, Eric Drouet, aperçu dans le cortège parisien, s’était rendu plus tôt dans la matinée au Salon inauguré par Emmanuel Macron. “Le dialogue a été rompu il y a un certain temps” et “on voulait voir si on pouvait s’approcher du président”, a-t-il affirmé à l’AFP. Le chef de l’Etat reste la cible privilégié des slogans et des chants des manifestants.
“On ne lâche rien”, déclarait mercredi sur YouTube le chauffeur routier de Seine-et-Marne, dans l’une de ses vidéos en direct, populaires auprès des “gilets jaunes”.
Un appel à rester mobilisé alors que, depuis quatre week-ends consécutifs, l’affluence décroît selon le ministère de l’Intérieur, dont les chiffres sont régulièrement contestés par les manifestants.
– Pique-nique à Chambord –
“Non le mouvement ne s’essouffle pas, et je pense que ça peut durer. On a traversé la période hivernale où les personnes les plus fragiles ne pouvaient pas se déplacer”, affirme Jérémy Desbois, ouvrier de 22 ans, dans le cortège parisien.
Le dernier samedi avait mobilisé 41.000 personnes en France, dont 5.000 à Paris, selon le ministère, contre 282.000 lors de la première journée d’action du 17 novembre, date du lancement de ce mouvement de contestation sociale inédit.
Ailleurs, les autres figures du mouvement ont annoncé leur présence dans différents lieux de rassemblement.
Sur Facebook, Maxime Nicolle a indiqué qu’il participerait au rassemblement à Rennes tandis que Priscillia Ludosky s’est jointe au pique-nique géant organisé sous un soleil printanier devant le Château de Chambord, un pied de nez à Emmanuel Macron qui y avait fêté ses 40 ans fin décembre 2017. “La non-organisation du mouvement en fait sa force et sa faiblesse. On est forcément tous d’accord, avec une organisation plus stricte, on aurait été plus vite”, a déclaré à l’AFP la jeune femme, tandis que dans une ambiance bon enfant, des manifestants se prêtaient au jeu des photos et selfies devant le château de François Ier.
D’autres rassemblements en province sont prévus, comme à Toulouse, l’une des places fortes de la mobilisation, où des “gilets jaunes” et des militants écologistes ont bloqué dans la matinée une plateforme Amazon.
A Bordeaux, théâtre régulier de heurts violents avec les forces de l’ordre, les syndicats de police bordelais ont alerté vendredi leur hiérarchie nationale sur la situation “critique” et la “lassitude morale et physique” des policiers, réclamant des moyens de lutte plus efficaces contre “la guerilla urbaine”.
“Si certains pensent que les policiers seront épuisés et qu’on les aura à l’usure, ils se trompent”, avait cependant assuré le ministre de l’Intérieur Christophe Castaner, lors d’un déplacement à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis). “Les policiers seront présents et feront leur métier”, avait-il ajouté.
Brest: blessé par une tronçonneuse, il doit attendre 33h pour être soigné à l’hôpital
Avec une plaie ouverte de sept cm de long et trois de profondeur, faite par une tronçonneuse, un homme a dû attendre 33 heures avant de se faire opérer. Suite à son expérience peu agréable dans un CHU, le patient a dénoncé sa gestion technocratique «dramatique» et a estimé qu’il y avait «peu de place à l’humain».
Avec une blessure ouverte faite par une tronçonneuse, un habitant de la région de Brest a dû passer 33 heures à attendre avant de se faire opérer. Dans son courrier, dont des extraits ont été rendus publics par Ouest-France, il a fait part de son expérience au CHU de Brest.
Après être arrivé aux urgences vers 13h avec une blessure de sept cm de long et trois de profondeur, l’homme en est sorti que sept heures plus tard, mais toujours sans avoir été opéré. Sa plaie a été nettoyée trois fois, puisque l’infirmier qui s’occupait de lui est sorti plusieurs fois et a été obligé de redésinfecter la blessure. Le patient a tenu à souligner qu’il était resté à jeun toute la journée.
Lorsqu’il est revenu au CHU le lendemain matin, toujours avec la blessure ouverte, il a appris qu’il ne serait opéré que dans l’après-midi. L’opération s’est enfin déroulée dans la nuit et n’a duré que 14 minutes, insiste le patient:
«Je quitte l’hôpital vers une heure du matin. Bilan: 33 heures d’attente entre l’inscription aux urgences et la prise en charge, et ce avec une blessure ouverte.»
Tout en remerciant le professionnalisme des personnels soignants de l’hôpital, il a mis en relief la dégradation du système et la gestion technocratique du CHU «dramatique».
«Une fois admis, le patient est prisonnier du système. Il doit subir une organisation déficiente qui donne peu de place à l’humain au nom d’une pseudo-rentabilité. […] Plutôt que de donner au CHU une belle vitrine, des blocs opératoires supplémentaires ouverts auraient pu faire l’objet d’une expérimentation», a-t-il conclu.
Cette guerre contre l’antisémitisme part bien mal
Source : Boulevard Voltaire.
Parfois, on se demande si on n’est pas chez les fous. Mercredi soir, au dîner du CRIF, Emmanuel Macron évoquait « une résurgence de l’antisémitisme sans doute inédite depuis la Seconde Guerre mondiale ». S’il le dit. La veille, Gilles-William Goldnadel déclarait : « Depuis 1945, toute goutte de sang juif qui a coulé en France vient de l’islamisme, personne d’autre », et l’avant-veille, la journaliste Judith Waintraub soulignait qu’« aujourd’hui, l’antisémitisme qui tue et qui a tué depuis 2003, ce sont des crimes qui ont été perpétrés par des arabo-musulmans, ce n’est pas l’extrême droite ».
Alors, sans doute un peu naïf, on imagine qu’ils vont taper un grand coup. Par exemple, fermer quelques salles de prière où l’on prêche – pas en latin – la haine de la France, des croisés, des juifs, expulser quelques imams étrangers. Mais non, pas du tout. Le Président annonce qu’il a demandé au ministre de l’Intérieur d’engager la procédure pour dissoudre trois groupuscules d’extrême droite, dont le Bastion social. « Une annonce d’opportunité », affirme Mediapart, révélant que la décision était dans les tuyaux du ministère de l’Intérieur depuis plus de deux mois. Dans opportunité, il y a opportunisme, que voulez-vous… Et, toujours selon Mediapart, le motif de dissolution du Bastion social ne serait pas l’antisémitisme mais son incitation à la constitution d’un groupe armé. Qu’il soit opportun de dissoudre ces groupuscules (Bastion social, mais aussi Blood & Honour Hexagone et Combat 18), c’est possible, nous n’avons pas les éléments pour en juger. Mais, franchement, est-ce bien au niveau de l’enjeu que beaucoup considèrent aujourd’hui comme une grande cause nationale ? On nous parle d’une sorte de croisade, si j’ose dire, et on nous exhibe le panier à salade du petit matin avec Castaner qui mène les gardes à vue dans son sweat à capuche et Nuñez qui distribue les sandwichs.
Mais, cela dit, ne désespérons pas : le Président a annoncé que c’était « pour commencer ». Une mise en bouche, en quelque sorte, une manœuvre de diversion ou de contournement pour frapper encore plus fort après. Le coup de la tenaille comme dans La Septième Compagnie… Frapper fort, c’est bien. Frapper au bon endroit serait encore mieux.
Mais il faudrait quand même qu’on leur dise que Drumont est mort depuis plus d’un siècle, que la Seconde Guerre mondiale est terminée depuis trois quarts de siècle, que Lucien Rebatet, lui aussi, est mort (dans son lit) en 1972 et que « Franco est tout à fait mort », comme chantait Brel, Franco qui, du reste n’était pas antisémite. Leur dire aussi, puisqu’on aime décidément les amalgames dans ce pays, que le seul ministre qui a été condamné pour crime contre l’humanité, en France, avait appartenu à l’UDR (ancêtre des LR)… pas au FN. Mais nous nous éloignons du sujet. Quoique. Car on a bien compris que, par capillarité, si cette lutte contre l’antisémitisme peut nuire à qui vous savez, on ne va pas se gêner. À trois mois des élections, que voulez vous…
Donc, visiblement, comme le fait remarquer Gabrielle Cluzel, il ne manque pas un bouton de guêtre à notre armée du bien pour gagner la guerre d’avant. On s’apprête à accueillir les djihadistes de retour de Syrie et d’Irak (il se trouvera bien des avocats pour défendre leurs droits à pension d’invalidité et, pourquoi pas, au pays des fous, à pension du combattant) qui reviendront « auréolés » de leur « gloire guerrière ». Mais qu’on se rassure, la République va dissoudre ce qu’elle considère sans doute comme les restes des ligues de février 34 !
Cette guerre contre l’antisémitisme part bien mal.
Hommage à Jean-Pierre Pernaut, la bête noire des journaleux…
Publié le 22 février 2019 – par Josiane Filio ( source : Riposte Laïque)
Je parlais ici même il y a peu, de la cérémonie des Bobards d’Or destinée à glorifier les plus fourbes et menteurs parmi les médias aux ordres du pouvoir, organisée par Polémia et Jean-Yves Le Gallou pour la dixième fois ce 18 février.
Cérémonie annuelle toujours prétexte à de bonnes rigolades, que ce soit au niveau du choix des « nominés » dans chaque catégorie, qu’à celui des résultats…
Alors il m’a semblé que pour être totalement juste, il faudrait également récompenser officiellement les journalistes sachant respecter leur belle profession, en refusant de se joindre au chœur des « glapisseurs » patentés, menés en coulisse par l’Élysée dès qu’un événement susceptible de nuire au vaniteux mouflet qui y loge se profile à l’horizon.
Je me suis donc mise à l’affût de ces perles rares que sont les journalistes, toutes catégories confondues, restés humbles au point de ne pas continuellement s’essuyer les pieds sur la vérité, et de ne pas faire passer leur intérêt personnel avant la neutralité indispensable pour diffuser les bonnes infos.
Eh bien dites donc, les amis… À l’inverse de ce dont se gaussait Pierre Cassen dans sa vidéo sur la difficulté à sélectionner pour les Bobards d’Or, les plus minables parmi la marée de journalistes devenus journaleux, ne se privant pas de mépriser ceux à qui ils mentent… figurez-vous que le choix a été vite fait, vu le nombre croissant de possesseurs de carte de presse prêts à se coucher devant les puissants, pourvu qu’ils y trouvent leur compte à titre personnel… le reste il s’en moquent !
Et à mes yeux, le seul et heureux élu, donc forcément lauréat est… monsieur Jean-Pierre Pernaut, qui chaque jour, et bien qu’il travaille pour TF1, chaîne qui par ailleurs ne brille pas par le patriotisme et le respect de la déontologie journalistique… nous livre à 13 heure un journal sympathique où les nouvelles nationales voisinent avec les reportages régionaux, le tout sur un ton « bon enfant », tellement éloigné de celui « sentencieux » de certains de ses confrères, non seulement incapables de masquer leurs opinions personnelles (qui indiffèrent totalement les citoyens et par conséquent les exaspèrent !), mais se permettent de surcroît d’afficher leur mépris pour les classes moyennes, laborieuses et honnêtes, tout en se targuant d’être des humanistes !!!
Alors pourquoi ai-je envie de rendre hommage à ce journaliste resté respectueux de son public ?
Tout simplement parce qu’ayant, paraît-il, jeté une pierre dans le marigot de la doxa dominante en refusant de se conformer à la pensée unique dans une de ses déclarations, hors direct, les censeurs-politico-journaleux se sont empressés de monter au créneau avec leur sempiternelle accusation, sachant bien évidemment que de nos jours la liberté d’expression ne prévaut que pour ces diffuseurs de mensonges !
Et qu’a-t-il donc fait de si grave, Jean-Pierre, pour se voir aujourd’hui une nouvelle fois (*) taxé de racisme, ni plus ni moins… seul anathème usé jusqu’à la corde par les beaux esprits, incapables d’étayer autrement leurs prises de positions exclusivement « politiquement correctes » ?
Eh bien dans un premier temps, il aurait (conditionnel prudent employé par les faux-cul du Canard enchaîné) refusé de diffuser dans son JT de 13h, un « micro-trottoir » dans lequel figurait une femme voilée… ou plus exactement « enfoulardée », déclarant selon le Canard poursuivant son hypocrite dénonciation :
« Il n’y aura pas de femmes voilées dans mon journal ! »
Le sujet est finalement passé à 20h, les collègues de JPP étant nettement dépourvus d’éthique personnelle et de respect dû aux téléspectateurs… Ce qui n’a pas du tout empêché la clique de l’auto-proclamé « camp du Bien » de s’offusquer de la sortie présumée du présentateur.
Aujourd’hui il ressort que l’intéressé nie pratiquer une telle censure en marge de ses JT ; « La source de l’hebdomadaire français n’est pas révélée et nous nous devons de prendre cette information avec toute la précaution nécessaire », écrit d’ailleurs le journal belge « Le Soir ».
Toutefois la charge des donneurs de leçons, (ceux-là mêmes qui trouvent absolument normal qu’une Marine Le Pen représentant à elle seule un bon gros tiers des électeurs soit en permanence conspuée ou oubliée)… se situe au-delà de cette simple anecdote, dûment commentée des habituels arguments fallacieux, avant même qu’elle soit prouvée.
Il est néanmoins décelable, au détour de certaines petites phrases, que sans jamais se permettre de grossièreté comme tant d’autres, Jean-Pierre affiche un patriotisme décomplexé, comprenant évidemment la préférence nationale, sans en faire des tonnes… ce qui pourtant ne passe pas chez ces grands esprits pratiquant une équité à géométrie très variable, dès lors qu’on ne partage pas leurs opinions !
Il s’agit indubitablement d’une accusation visant à épingler en place publique un dissident refusant de pratiquer le « politiquement correct » en usage exclusif sur tous les organes d’information.
Ne cherchez donc pas ailleurs la vindicte qui fait rage contre lui depuis deux jours sur les plateaux télés et ailleurs : JPP est un sale raciste nauséabond, dès lors qu’il refuse d’afficher le sacro-saint bonheur du vivre-ensemble avec tous, obligatoire, et se complaît à mettre en valeur nos spécificités nationales et régionales.
Deux exemples de jugement péremptoire de la part de deux prétendus « larges d’esprit »… dès lors que l’on pense comme eux !
En juin 2018, Laurent Ruquier avait ainsi estimé, sous la forme d’une boutade, que le meilleur remplaçant possible pour le poste de JPP était probablement Florian Philippot, l’ancien bras droit de Marine Le Pen. « On garderait à peu près le même esprit, non? », avait raillé l’animateur de France 2. Les deux hommes ne s’entendent guère, Ruquier estimant également que le 13h de Pernaut est « très populaire» et « flatte des sentiments pas toujours nobles».
Aucune surprise quand on connaît la finesse d’esprit et l’orientation de cette petite ordure (j’assume) qui nous est imposée dans plusieurs émissions « de bon ton »… précisément aux antipodes d’un JPP, puisque derrière sourires hypocrites et ricanement stupides se cachent un véritable anti-Blanc-hétérosexuel qui ne dit pas son nom !
Une autre enquête, publiée le 11 avril 2018 par le site Buzzfeed, naviguait dans les méandres du compte Facebook du journaliste de TF1. Un papier bien fouillé de David Perrotin – le journaliste a d’ailleurs réagi à la polémique qui touche actuellement Jean-Pierre Pernaut, estimant sur Twitter que JPP était là « fidèle à lui-même » – qui épinglait que le présentateur du JT « n’hésite pas à liker toujours publiquement de nombreux posts politiques anti-Macron, antimigrants ou même issus de l’extrême droite… »
Voilà ! Le pot aux roses est enfin dévoilé ; Jean-Pierre Pernaut refuse de cirer les pompes du bouffon-menteur Macron, comme la grande majorité des médias-politiques-showbiz préférant cracher sur le peuple pour se faire bien voir en haut lieu (mais qui demain prétendront l’avoir combattu dès qu’il sera enfin à terre)… il doit donc être exécuté, de toutes les manières possibles, comme toux ceux qui disent la vérité !
Quoi qu’il en soit, peut-on vraiment brocarder un journaliste qui a fait ses preuves depuis plus de 30 ans, tant du point de vue des sujets traités que du respect du public en étant toujours impeccable à l’antenne (quand tant d’autres nous imposent de plus en plus un laisser-aller vestimentaire et/ou une barbe, pas toujours bien entretenue, mais conforme à certaine communauté imposant partout ses codes), parlant un français châtié et compréhensible par tous… après comparaison avec cette foire d’empoigne que sont les « talk-shaw » où chacun vocifère son point de vue, coupant la parole de ses interlocuteurs, sans se soucier d’être compris dans le brouhaha général, telle l’émission du benêt Hanouna, dûment adoubé par le pouvoir (Marlène si tu nous lis…)???
Jean-Pierre Pernaut, seul homme droit parmi les médias officiels ?
C’est bien trop peu, surtout quand on sait que sans les monstrueuses subventions versées, avec nos impôts » aux millionnaires possesseurs des principaux organes médiatiques… l’immense partie des bonimenteurs serait au chômage.
Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression !
(*) Après un reportage fin 2016, sur les maraudes de bénévoles de la Croix-Rouge à Limoges pour venir en aide aux SDF, Jean-Pierre Pernaut avait évoqué l’ouverture du centre d’accueil pour réfugiés porte de la Chapelle à Paris, par ces propos :
« Voilà, plus de place pour les sans-abri mais en même temps les centres pour migrants continuent à ouvrir partout en France ! »
Propos approuvés par une grande majorité de citoyens… mais dont la bien-pensance sévissant partout n’a que faire, et avait trouvé là une nouvelle fois matière à monter au créneau pour dénoncer le malotru refusant d’adopter la langue de bois qui est la leur…