Ces femmes, d’abord françaises avant d’être djihadistes… comme dit Christophe Castaner

Source, Boulevard Voltaire.

Regroupées dans un camp à l’est de la Syrie, dans l’attente de leur rapatriement dans leurs pays d’origine, les femmes djihadistes venaient de France, d’Allemagne, du Canada, du Brésil, en fait, du monde entier. C’est que les autorités kurdes en ont ras le bol, de ces 500 familles étrangères islamistes – en tout, 25.000 déplacés dans ce camp – qui ont, souvent, payé des passeurs pour fuir les dernières zones de combat. Dans quel état d’esprit se trouvent-elles, sont-elles soulagées de rentrer au bercail, regrettent-elles leur choix, le vivent-elles comme un traumatisme ? À les écouter, sur BFM TV comme dans le reportage de France 24 du 8 février dernier, ce n’est pas évident !

Prenons, par exemple, Christelle, la Bordelaise – que l’on subodore convertie. Partie en Syrie en 2014 pour « la religion »« bien sûr qu’ [elle] regrette ». Que regrette-t-elle ? Les atrocités de la guerre, la barbarie des actes qu’elle a pu voir perpétrer, la trahison commise envers son pays ? Non, la djihadiste pleure parce qu’elle a « tout perdu en venant ici » – elle parle certainement de son djihadiste de mari « mort dans une frappe d’avion », elle dit aussi s’être retrouvée, comme ses sœurs islamistes, « coincée, piégée ». Christelle devrait quand même être contente de rentrer au bercail, en sécurité, mais non. « Moi, j’aurais préféré rentrer dans un pays où il y a plus d’islam parce qu’en France, on ne peut pas vivre sa religion comme on veut. »

Un torrent de tweets pleut.
« Qu’elle demande l’asile à l’Arabie saoudite et autres émirats. »
« Pas de problème, qu’elle choisisse un pays musulman, ici, personne n’en veut. »
« Qu’elles y restent. »
« Sans limite. Irrécupérables. Faites leur plaisir : laissez-les là-bas, c’est leur choix. »
« Paroles pleines de bon sens, ça tombe bien, on ne veut pas de vous. »

Et des dizaines d’autres du même acabit.

Cette Christelle, plus musulmane que française, qui rêve de continuer de s’affubler du niqab en France, une exception au milieu d’une majorité de repenties ? Cela n’est pas l’avis de Roméo Langlois, reporter à France 24, envoyé se rendre compte sur le terrain. « Même si elles disent aujourd’hui ne plus être avec Daech, la plupart continuent d’avoir une pratique extrémistes de la religion musulmane. »

Pas l’avis, non plus, d’un responsable du camp pour lequel « ces étrangères sont pétries d’idéologie radicale » et « potentiellement dangereuses ». Pire : « Elles sont très féroces, traitent les Syriens de mécréants, d’apostats, brûlent leurs tentes » car « elles se considèrent comme les seules vraies musulmanes ». De vraies musulmanes, en effet qui « ont tout sacrifié, leur sang » et même « leurs enfants »« pour que l’islam prospère à nouveau ».

Christelle va rentrer, Mathilde, aussi. Au début, « le sort réservé aux femmes yézidies, les bombes, les décapitations, les femmes vendues », tout ça, « ça fait bizarre » mais « après, c’est malheureux, c’est comme tout, vous vous habituez » ! Glaçant.

Si seulement l’Arabie saoudite, par exemple, accueillait toutes les Christelle et Mathilde de Syrie ou d’ailleurs ! Las, ce gentil pays préfère avoir « un mur officiellement anti-djihadiste » mais, en réalité, « anti-réfugiés ». Comme quoi, les murs, ça marche !

Alors, combien parmi ces femmes à bientôt revenir, une fois qu’elles auront « repris des forces », en occurrence du poil de la bête, auront hâte de suivre les conseils prodigués par l’État islamique qui conclut « On recommencera » ? Avec tout plein de Christelle prêtes sans doute à tout pour une France islamisée et tout plein de Mathilde que des horreurs n’atteignent plus. Plus toutes et tous (selon la formule macroniste) les autres qui rêvent de califat, il y a de quoi se faire du souci… non ? Mais il est vrai, comme le dit Christophe Castaner, que ces femmes sont françaises avant d’être djihadistes…

Le silence des « chefs » Gilets jaunes sur l’immigration fait le jeu de Macron

Publié le 10 février 2019 – par Cyrano (dans Riposte Laïque)

Le cœur de la politique de Macron et des mondialistes, c’est la libre circulation des capitaux, des produits et des hommes. Cela s’appelle la mondialisation, et la concurrence libre et non faussée. C’est contre les dégâts de cette politique que partout dans le monde, des nouveaux dirigeants, que les médias appellent « populistes », sont élus. La plupart du temps, ils appellent à restaurer la souveraineté de leur pays, à rétablir des frontières, à prendre des mesures qui protègent leur économie, et surtout à refuser une immigration massive, majoritairement africaine, que leur peuple rejette.

Parmi les grands pays du monde, il ne reste que la France et l’Allemagne pour défendre le modèle mondialiste, quand les États-Unis, le Brésil, les pays de l’Est de l’Europe, l’Autriche et surtout l’Italie ont basculé dans le camp du protectionnisme et du populisme.

En France, 80 % de nos compatriotes ne veulent plus d’immigration, comme nous le démontrait Jacques Guillemain.

https://ripostelaique.com/80-des-francais-ne-veulent-plus-dimmigration-il-faut-donc-interdire-tout-debat.html

Se moquant totalement de leur avis, Macron, dans une de ses soirées du Grand débat, expliquait aux Français qu’ils allaient devoir subir encore davantage d’invasion migratoire, puisque, selon lui, sans que personne ne le contredise, « ceux qui construisent des murs, cela ne marche pas ».

Et pourtant, Martin Moisan a démonté les arguments de Choupinet en deux temps trois mouvements.

https://ripostelaique.com/en-2-le-traitre-macron-nous-explique-que-linvasion-africaine-va-saccelerer.html

Et pourtant, l’excellent Gilbert Collard avait démontré que, quand il s’agit de protéger l’Élysée, les murs, cela fonctionne…

Au début du mouvement des Gilets jaunes, le mot d’ordre était « trop d’impôts, trop de taxes », notamment contre l’augmentation du prix de l’essence, qui a été le détonateur d’une révolte qui en était, hier, à l’Acte XIII.

En toute logique, le coût de l’immigration, même s’il n’est pas la seule cause de l’explosion du prix de l’essence et des prélèvements, aurait dû figurer dans les revendications essentielles des Gilets jaunes. Ainsi, nos amis de Résistance républicaine avaient-ils préparé, et distribué, un tract destiné aux manifestants qui avait toute sa pertinence, et qui demeure d’actualité.

https://ripostelaique.com/wp-content/uploads/2018/11/Tract17-11.png

Mais pour un ensemble de raisons, les arguments développés dans ce texte n’ont jamais été repris par aucun porte-parole Gilet jaune. D’abord, les seuls qui, par leur formation politique, auraient pu le reprendre, à savoir Franck Bulher et Benjamin Cauchy, ont été rapidement évincés, pour, paraît-il, ne pas marquer le mouvement. À la place, les médias ont déroulé le tapis rouge à des Drouet, Ludosky, Levavasseur, Nicolle et autres, qui se sont mis à parler du Ric, de l’ISF, et ont détourné l’objectif original du mouvement, en taisant soigneusement la question de l’immigration, qui est pourtant l’inquiétude numéro un de nos compatriotes.

D’autre part s’est mise en place une véritable police de la pensée, dans le mouvement, ainsi qu’une milice politique violente sur le terrain. Dans les assemblées générales, des petits groupes, pas forcément violents, de bobos de gauche et de chochottes ont souvent réussi à empêcher que cette discussion soit mise en avant, avec l’alibi de l’unité du mouvement. Dans un autre registre, les Antifas et les Black Blocs faisaient régner la terreur dans le mouvement, entendant expulser physiquement et casser la gueule à tout ce qui représentait une option patriote. Ce qui leur valut cet « hommage » de notre fondateur…

Tant qu’ils ne diront pas clairement la vérité aux Français sur le prix de l’immigration, et l’agression culturelle qu’elle représente par son nombre et la religion de la plupart des clandestins, les porte-paroles des Gilets jaunes feront, à leur corps défendant, le jeu de Macron.

Ce président est certes haï de nos compatriotes par son arrogance, son mépris contre les Français, ses insultes répétées de notre pays et de son Histoire. Mais, alors que la France a la chance de disposer d’un mouvement exceptionnel, de portée révolutionnaire, là encore, les Drouet et autres ne se conduisent pas en chefs d’un mouvement patriote, criant leur amour de la France et appelant à la révolte contre les agressions que le peuple français subit.

Ce mouvement est sain à la base, le refus de toute récupération le démontre, mais il se fait torpiller au sommet par un ensemble de manipulations politiciennes qui font le jeu de Macron et de ceux qui le soutiennent.

Tel le couvercle d’une cocotte-minute, la question de l’invasion ne pourra pas être éternellement tue, parce que des commissaires politiques de gauche, soutenus par les médias de propagande au service du régime, ont décidé que les Français n’avaient pas le droit d’en parler.

Nous vous en faisons la promesse, le 17 mars, vous entendrez des Gilets jaunes de qualité, même s’ils ne sont pas sur les plateaux de télévision, parler de l’immigration, mais aussi des taxes, de la transition écologique, des violences policières, des violences judiciaires, du traitement médiatique, et même des similitudes entre la Révolution française de 1789 et la période actuelle.

Ce qu’ils ne disent pas à la télévision, vous l’entendrez, à Rungis, si vous vous inscrivez.

https://www.weezevent.com/assises-de-la-france-des-gilets-jaunes