Deux mois désormais que le rendez-vous est devenu hebdomadaire. Les appels à la mobilisation pour un “acte 10” de la protestation des “gilets jaunes” se sont multipliés cette semaine, alors même qu’Emmanuel Macron a officiellement lancé mardi le “grand débat national” pour tenter de mettre un terme à cette crise.
Et dire que les médias traditionnels reprochent aux Gilets jaunes de haïr les journalistes, voire d’en molester quelques-uns, surtout s’ils travaillent pour BFM-TV, LCI ou CNews. Certes, après toutes les saloperies déversées contre le mouvement, nous ne conseillons pas à Aphatie, Brunet, Elkrief ou Truchot de se pointer à une manifestation sans un solide service d’ordre, tant ils ont dépassé les bornes, multipliant insultes et désinformation sur le mouvement, taisant l’ampleur de la répression, mettant en avant quelques propos isolés pour discréditer le mouvement, le tout au service du régime. Depuis deux mois, et sans doute bien davantage pour beaucoup d’entre eux, les Gilets jaunes ont compris ce qu’étaient les principaux journalistes des grands médias : des propagandistes du gouvernement, payés, et fort bien, pour le protéger.
Par contre, tout autre est l’accueil réservé aux journalistes de Russia Today, pourtant diabolisés et calomniés par ce gouvernement et ses médias, qui ont donné régulièrement la parole aux principaux porte-paroles des Gilets jaunes, et ont couvert de manière fort objective les événements, ce qui, d’ailleurs, leur a valu de devoir s’en expliquer devant le CSA ! Et manifestement, le jeune reporter-journaliste Vincent Lapierre est très apprécié par les Gilets jaunes, qui paraissent fort bien le connaître, et l’admettent comme faisant partie des leurs.
Ce reportage est exceptionnel. Il dure 24 minutes, et a déjà dépassé les 100 000 visites, en moins de 24 heures, et il a dépassé les 1 000 commentaires. On y voit qui sont les manifestants parisiens. C’est une France jeune, combative, déterminée, révoltée par la pauvreté qu’ils subissent, malgré leur travail, et par le train de vie insolent de ceux qui nous gouvernent. Beaucoup crient leur colère, dans un langage que les journaleux du système qualifieraient d’ordurier et de vulgaire, alors qu’il ne fait que traduire l’exaspération de tout un peuple.
On y voit des figures comme Éric Drouet, mais aussi des personnes plus âgées, le témoignage extraordinaire de cet homme de 86 ans, qui, en quelques mots, résume la situation et le comportement de Macron, en atteste. Les Gilets jaunes chantent à pleins poumons des airs révolutionnaires et reprennent des slogans très combatifs contre Macron. Ils paraissent s’être organisés, avec un service d’ordre qui demande aux manifestants de rester compacts.
Bien sûr, le choix de se rassembler à Bercy est hautement symbolique, et la finance en prend pour son grade. Tous les Gilets jaunes interrogés ne parlent que de social, aucun n’évoque le combat identitaire, et pourtant, cette France en révolte retrouve son identité, dans la rue. C’est la réunion du peuple de France, qu’il vote Mélenchon ou Marine, à laquelle on assiste. Un passage fort est ce jeune qui se dit antifa, et qui vient saluer Vincent Lapierre. Inenvisageable il y a deux mois !
On constate qu’il n’y a aucun incident dans le cortège (qui dépasse les 10 000 manifestants, quoi qu’en dise Castaner) entre Bercy, où ils se sont rassemblés le matin, jusqu’à l’Étoile, où ils sont arrivés à 14 heures. Par contre, à partir de ce moment, avec une forte présence de CRS, les accrochages commencent, l’ambiance change. On voit des scènes surréalistes dans un grand nuage de gaz. On assiste à des tirs de Flash-Balls, et on voit des hommes, jeunes et moins jeunes, se retrouver au sol, gravement blessés. On est vraiment au cœur de la manifestation, et on voit la volonté de la police de Castaner de blesser des manifestants qui ne représentent aucun danger. On voit comment se déroulent certaines arrestations ciblées, où une femme qui ne paraissait pas bien agressive se retrouve arrêtée par des hommes habillés en civil, avec un brassard.
On peut ne pas partager les propos de certains manifestants, mais ce reportage rend hommage au combat des Gilets jaunes, et montre la réalité des manifestations parisiennes sous un angle que personne d’autre n’avait traduit aussi bien que Vincent Lapierre.
Ce jeune homme, qui couvre toutes les manifestations, gauchistes, sociales, identitaires, depuis des années, a déjà subi de nombreuses agressions, auxquelles il a toujours fait face avec un courage et un sang-froid exceptionnels. Il n’est pas un journaliste professionnel, mais sa pratique fait honneur à une profession que trop de personnes déshonorent par leur soumission au pouvoir.
On attend avec impatience le prochain reportage sur les Gilets jaunes de Vincent Lapierre, et on ne peut qu’encourager nos lecteurs à mieux le connaître et à le soutenir.
Il m’amuse parce que pris la main dans le pot de confiture, il s’imagine que cela va passer comme une lettre à la poste, et qu’il pourra récidiver autant de fois que cela lui plaira, sans problème. Il m’amuse comme un gamin de six ans qui croit que tout lui est permis et que plus c’est gros, plus ça passe.
Mais il arrive que ça casse et patatras, voilà Benalla en garde à vue pour faux et usage de faux :
Benalla, c’est ce simple garde du corps qui s’appellerait paraît-il Lahcène Benahlia et non Alexandre Benalla. Ce proche de Macron dont on se demande par quel tour de passe-passe il a pu devenir un proche, par quelle incurie de l’Élysée. Car il avait des précédents, déjà.
En effet Benalla a été chauffeur d’Arnaud Montebourg, alors ministre, avant de travailler pour Macron, mais Montebourg l’avait licencié pour faute grave : Benalla avait causé un accident et essayé de prendre la fuite.
Benalla, celui qui a cru qu’il pouvait librement assouvir ses pulsions violentes sur deux manifestants. Ceux-ci n’étaient pas paisibles mais on voit mal comment un Marocain (car les Marocains restent toujours marocains, a dit le roi du Maroc) peut se permettre de casser du Français.
Mais le gentil Benalla est tombé des nues devant les reproches car, a-t-il dit suavement, il faisait le coup de poing pour aider la police. Gentillesse méconnue…
On a ensuite appris avec la plus grande stupeur que Benalla était à 26 ans lieutenant-colonel de réserve de gendarmerie, avec un salaire mirobolant, certainement apprécié à sa juste valeur par les Gilets jaunes. Puis qu’il avait un magnifique appartement Quai Branly, aux frais de la République.
Appartement sur lequel on a mis les scellés mais cela n’a pas empêché un coffre de se volatiliser.
On a appris aussi qu’il avait un badge d’accès à l’Assemblée nationale, badge conservé malgré son licenciement et utilisé deux fois depuis…
Tout est trouble chez lui, y compris le fait qu’il devait se marier le 21 juillet à la mairie d’Issy- les-Moulineaux, alors qu’il avait été mis en garde à vue la veille. Oui, mais des petits malins n’ont pas trouvé trace des bans. Et Benalla n’aurait pas revu celle dont on ne sait pas si elle est son épouse ou pas, mais dont on sait que Benalla ne savait pas qu’elle travaillait pour LREM…
Enfin les macronistes ont cru que Benalla allait se faire oublier mais c’était mal le connaître. On vient de le retrouver faisant des voyages au Tchad juste avant le voyage de Macron, en jet privé, et rencontrant le président tchadien, lui, le simple garde du corps. Pour lui dire quoi ?… Au nom de qui ?…
À cette occasion on découvre que Benalla avait plusieurs passeports diplomatiques. Oui, lui, simple porteur de valises et garde du corps. Et qu’après avoir été remercié par l’Élysée, il les avait rendus mais qu’on les lui avait redonnés. Ubuesque mais vrai.
Et cerise sur le gâteau, on découvre que Benalla possède également un téléphone crypté secret défense !
Et qu’il n’avait jamais cessé, selon lui, d’être en communication avec Macron !
Il y a eu aussi le permis de port d’armes…demandé par lui et obtenu.
N’en jetez plus, c’est trop, même s’il y en a encore !… Ce gamin mérite une énorme fessée, une déculottée… au sens propre et au sens figuré.
Un petit fait semble être passé inaperçu au milieu de cet imbroglio : Edwy Plenel, qui avait invité à voter Macron, a lâché Benalla, le 28 décembre, en expliquant que Benalla était protégé par Macron, et qu’il fallait savoir pourquoi :
On pouvait penser que si Plenel par la voix de Mediapart lâchait Benalla, c’était un signe et qu’il allait se passer quelque chose. Voilà qui est fait, avec cette nouvelle mise en garde à vue de Benalla. On espère enfin savoir bientôt pourquoi Benalla est protégé ainsi par Macron. Même si on a déjà une petite idée…
Pour conclure, car tout a une fin pour les aigrefins, les escrocs, les profiteurs, les sans- scrupules et sans-principes, cela sent la fin pour Benalla car tant va la cruche à l’eau qu’à la fin elle se casse. Et cela pourrait bien du même coup sentir vraiment, cette fois, la fin pour Macron… du moins les Français le souhaitent de toutes leurs forces.
Et après, la France (ou ce qu’il en reste) n’existera plus.
La cause des réformes abruptes lancées sans précaution et qui ont mis le peuple en émoi réside dans l’obligation sacrée de ce président de rencontre d’avoir à sceller la remise définitive de la souveraineté des Gaules – et donc de la France – dans les mains de la Germanie.
Cette capitulation aura lieu le 22 janvier à Aix-la-Chapelle, capitale de Charlemagne, dernier empereur d’Occident.
En effet, et sans que nul ne l’ait su, sans qu’aucun de ceux qui savaient ne l’eussent clamé, la classe Bilderberg au pouvoir et la chancelière se sont donné rendez-vous à Aix-la-Chapelle pour signer une quasi-fusion (ils disent « rapprochement ») entre la France et l’Allemagne.
Le traité (qui sera ratifié le même jour par les deux parlements) portera sur la défense, la politique étrangère et l’économie pour fonder le prototype d’une Europe « souveraine ».
Plus de 200 juristes des deux pays travaillent d’arrache-pied pour harmoniser les législations des deux États. Lequel fera sa révérence à l’autre ? Lequel acceptera de perdre des avantages juridiques, des libertés, de renoncer à une fiscalité avantageuse ? Gageons que le plus fort l’emportera et il n’est guère besoin de dire qui domine de Merkel ou Macron.
Mais le traité prévoit également que les régions frontalières, et sûrement l’Alsace, deviendront des « euro-districts » où les transports, la distribution de l’eau, l’électricité et probablement la fiscalité seront fusionnées entre la partie allemande et la française. Un Alsacien sera-t-il allemand ou français ? La revanche de 1918 est là, sous nos yeux, en plein bicentenaire de la fin de la Première Guerre mondiale et du début des négociations qui ont mené au traité de Versailles.
L’armée, à coté des parlements, sera une institution partagée, coordonnée et utilisée opérationnellement par cette entité sans nom mais qui aura la haute main sur les futurs engagements de l’armée aujourd’hui française.
C’est le début réel de « l’armée européenne » appelée de ses vœux par Macron avant la célébration du 11 novembre 1918.
S’il y avait une raison obscure pour qu’un président français refusât un défilé militaire pour « ne pas froisser » Merkel, elle est révélée : le traité d’Aix-la-Chapelle étant en vue la France et l’Allemagne ne faisait déjà plus qu’un dans son esprit.
Or nous ne le savions pas, or aucun homme politique ne s’en est préoccupé, et or donc le peuple allait changer de maîtres sans avoir été consulté ! Et encore pire, la question de l’Union européenne étant exclue du « débat national » on comprend que celui-ci n’est qu’un simulacre. Et ils osent nommer ceci dans la novlangue que le novétat va requérir pour fonctionner une « démocratie » ?
Non, c’est une forfaiture et une haute trahison.
Enfin, à législation commune (« harmonisée », goûtez à l’euphémisme), à armée intégrée, il faut une politique étrangère unique qui doit être affirmée par une décision phare : l’abandon ou le partage du siège de la France au Conseil de sécurité de l’Onu. La France doit donc agir activement auprès des Nations unies, des États-Unis, de la Russie et des autres membres permanents de ce Conseil pour que l’Allemagne, qui vient d’y entrer comme membre provisoire pour deux ans, accède à ce statut permanent que la défaite de 1945 lui a interdit.
Or, comme il est prévu expressément que toutes les décisions du « couple » seront discutées et adoptées préalablement à toutes les réunions internationales auxquelles la France et l’Allemagne participeront, que des déclarations communes seront la règle, on comprend qu’à l’Onu, avec un ou deux sièges, ce sera l’Allemagne qui s’exprimera sur les grands problèmes.
Enfin, l’économie sera intégrée, avec même des régions où on appliquera des lois et règlements communs (lesquels ? Fiscaux ? Normatifs ? Comptables ?).
Il s’ensuivra, qu’avec l’appui de l’Eurogendfor, déjà opérationnelle, le maintien de l’ordre et la mainmise allemande sur des secteurs entiers (territoires, ou activités) de la vie des Français, celle-ci va devenir pesante.
Il ne reste qu’une question : en quelle langue travaillerons-nous ?
Il découle de la nouvelle réalité qui résulte de cet acte scélérat – la création d’un quasi état franco-allemand – et du poids mafieux de Bercy et de la haute administration française en général (voir les enquêtes de la Cour des comptes depuis trente ans et les livres publiés à ce sujet) qu’une appréciation nouvelle de l’action de Gilets jaunes est nécessaire.
Ou elle devient une révolution, ou elle s’éteint pour longtemps avec la France.
Et elle ne peut se muer en révolution qu’aux conditions suivantes :
La Constitution et tous les traités signés à partir de ce jour par un gouvernement illégitime sont nuls et non advenus. Aucun des élus ou fonctionnaires qui y participent n’a mandat du peuple souverain pour ce faire. En conséquence ils commettent des actes de forfaitures punissables par toutes les Constitutions précédentes. Institution d’un état de suspension du droit aux termes des codes de 1967 en attendant la réécriture d’une nouvelle Constitution qui devra déclarer inaliénable tout ou partie de la souveraineté française. Un refus de la poursuite de l’immigration et l’affirmation du retour des populations installées par la force de traités que le peuple n’a pas approuvés.
Sans ces objectifs métapolitiques, jamais la contestation de passera l’obstacle de la puissance supranationale qui menace et qui aura force de loi après le 22 janvier.
Qu’on en tire les conclusions, car il ne suffit plus de croire que ceux qui n’ont pas le pouvoir (la classe politique) pourraient contrevenir au traité en cours de signature. Et surtout dans un état endetté (2 trillions et demi d’euros, et des emprunts pour 2019 à hauteur de 200 milliards d’euros).
Sans la souveraineté pas de liberté.Georges Clément
Éric Dick est donc condamné à une amende de 10 000 euros avec sursis et 2500 euros de dommages et intérêts à verser à la Mie Câline pour avoir dénoncé le tout halal de cette chaîne et avoir évoqué les doutes concernant l’éventuel financement du terrorisme par le halal.
Mais Éric n’est pas abattu, au contraire, puisqu’il voit le bon côté des choses, à savoir que l’amende est avec sursis et que les dommages et intérêts sont de 2500 euros et non de 50000 comme le demandait La Mie Câline. Et il va faire appel, naturellement !
Il n’empêche que la lâcheté et la dhimmitude de nos élus qui n’ont pas le courage d’imposer l’étiquetage du halal « pour ne pas stigmatiser les musulmans » comme le disait le secrétaire d’État de Sarkozy, Frédéric Lefebvre est responsable de cette condamnation….
Bravo à Éric pour sa ténacité et son combat. Nous lui avons déjà rendu hommage à de nombreuses reprises sur notre site, et nous avons souligné les avancées, significatives, que son combat a déjà permis en Vendée :
En cette période de Gilets jaunes, ce ne sont pas tant les décisions d’une justice hélas trop souvent aux ordres qui comptent, mais les pas de fourmis des Résistants. Pas de fourmis qui, multipliés par 10, par 100, par 1000… pourraient bien amener une révolution…
Ça ne s’arrange pas chez moi question colère, je remarque qu’une fois de plus, le niveau dépasse les limites.
Moi qui pensais que les réfugiés étaient des gens en quête d’asile, d’aide, de soutien. Moi qui entends chaque jour que nous les accueillons par milliers, que nous les nourrissons, les logeons, leur apprenons la langue, souvent bénévolement, essayons de leur trouver un boulot, que l’Etat leur verse des allocations. Certes, le Formule 1, ce n’est pas le Plazza, et le gratin dauphinois, ce n’est pas du méchoui, mais on fait ce qu’on peut !
Pourquoi ces personnes qui sont donc accueillies ici aussi bien que possible, se baladent ils tous avec des saignoirs en poche ? En poche, j’ai mes clés, mes papiers, et dans mon sac mon portable et une pochette de maquillage, peut-être un livre de poche, des mouchoirs. En Allemagne, certains couteaux sont classés comme étant à usage restreint, en ce qu’ils peuvent être détenus dans la maison ou en entreprise, mais ne peuvent pas être portés sur la personne6. En outre, le paragraphe 42 de l’article 5 de la loi sur les armes donne à chaque état la possibilité de promulguer des réglementations locales interdisant le port d’armes et de tout objet dangereux à des fins de protection de la sécurité publique et de l’ordre.
En France le port de couteaux en est illégal, sauf si une bonne raison peut être avancée, par exemple, dans le cadre professionnel. En cas de transport dans un véhicule, les couteaux doivent être placés dans un endroit sûr, par exemple un compartiment fermé à clé inaccessible pour les occupants du véhicule.
Lors de sa publication, l’article 173 du décret du 30 juillet 2013 prévoyait que le port ou le transport des armes en vente libre constituait une contravention de 4° classe punissable d’une amende de 750 €, somme qui pouvait être ramenée à 145 € si l’on payait rapidement (amende forfaitaire). L’article 173 du décret a toutefois été rapidement modifié et un amendement à la loi de 2012 déposé afin de modifier les articles L. 317-8 et L. 317-9 du code de la sécurité intérieure. Selon ces dispositions, toutes les armes de la catégorie D, qu’elles soient en vente libre ou non, ne peuvent être ni portées ni transportées sans motif légitime. En cas d’infraction, il est prévu des peines de 15 000 € d’amende et d’un an de prison.
Malgré toutes ces lois et ordonnances parfaitement sensées, au début de ce mois, un Afghan a blessé grièvement au couteau un jeune homme qui lui demandait simplement de ne pas cracher dans le train. Le pauvre, il n’avait pas les codes. Mais un dépeçoir en poche, comme tous ses coreligionnaires. Il avait fui, mais a pu être arrêté grâce à la caméra de surveillance. La victime a été transportée à l’hôpital, gravement blessée, et a dû subir une intervention chirurgicale d’urgence. Toujours hospitalisée. L’assaillant avait craché plusieurs fois dans le train et s’était fait approcher poliment par la victime qui lui a demandé d’arrêter. L’Afghan a sorti son couteau – comme tous les autres gentils migrants, les aubaines pour toute l’Europe – et a frappé la tête du jeune homme (38 ans) puis l’a poignardé au niveau de l’estomac.
Je ne sais plus quand ni où j’ai lu cette phrase : bientôt, nous devrons nous coucher par terre dans la rue pour qu’ils puissent traverser sans se salir les pieds. Carpettes ! Nous sommes des carpettes. Personnellement, vous réagissez ? Moi pas, et pourtant, ce n’est pas l’envie qui me manque.
Je traversais récemment une route à grand passage sur un passage clouté quand un conducteur n’a non seulement pas freiné, mais m’a quasiment frôlée à toute vitesse. Je voulais sortir mon portable pour photographier la plaque, quand un ami m’a crié : attention, c’est peut-être un musulman. Tu vas te faire égorger. J’ai remis le portable dans ma poche. Carpette.
Il y a peu, j’étais assise dans un tram qui n’était pas vraiment plein. Montent deux basanés avec un très grand chien. Ils sifflent, s’apostrophent à voix haute, font intentionnellement du boucan, provoquent, chahutent, et ensuite, ils assoient leur animal sur un siège, juste à côté d’une petite vieille dame terrorisée qui n’a pas osé piper mot. Personne n’a rien dit, rien fait. Je me suis levée le plus discrètement possible pour aller m’asseoir plus loin. Carpette. Peur. Je ne prends plus le tram. Et pourtant, comme ce serait bien de désengorger les rues qui sont continuellement bouchées ? Que dire par ailleurs des bandes qui font régner la loi dans les transports en commun ou dans la rue ?
Pourquoi se baladent-ils tous avec des couteaux en poche ? Pourquoi se conduisent-ils tous comme des bêtes furieuses, alors que nous les accueillons et qu’ils sont mieux traités que la plupart des pauvres français? Ici, à Bruxelles, on voir encore régulièrement des sans-logis couchés à même le trottoir. J’ai enfin retrouvé une vidéo que je cherchais depuis longtemps. Un journaliste allemand a observé les migrants jetant par terre des aliments et des bouteilles d’eau non entamées. On voit aussi les documents identitaires foulés aux pieds. La vidéo est relativement ancienne (2014), a été réalisée par un reporter qui est allé à la rencontre des invités personnels de Merkel. Loin des images des médias officiels, il a filmé ce qu’il a vu : la réalité de l’invasion. Il a vu des individus qui ne souffrent d’aucun traumatisme, suffisamment aisés pour se payer parfois des taxis, n’ayant besoin de rien, équipés de smartphones, et jetant la nourriture sans le moindre problème, détruisant des bouteilles d’eau minérale pleines, dégradant des cultures et larguant les « papiers » qu’ils réclament devant les caméras à si grands cris. Ces images ont été tournées à la frontière entre la Serbie et l’Ancienne République yougoslave de Macédoine.
Merci Merkel ! Merci pour les caméras, les blocs de béton, les policiers armés jusqu’aux dents, les quartiers sensibles, merci pour nos filles violées et étranglées, merci pour la peur, merci pour nos enfants, quel sera leur avenir ?
J’ai à nouveau recueilli quelques commentaires : Si vous étiez dans un pays en guerre vous enverriez femme et enfants dans un pays où ils seraient tranquilles, je ferais de même, je prendrais les armes pour essayer de gagner une liberté qui me permettrait de vivre chez moi comme l’ont fait les résistants en France durant la seconde guerre mondiale, au risque de ma vie. Vous osez prétendre que certains ont des propos racistes, pensez-vous que dire que 95% des migrants sont des hommes jeunes et dans la force de l’âge est raciste? Que ces jeunes feraient mieux de se battre pour essayer de retrouver la liberté pour leur pays, et que la plupart n’est pas dans le besoin avec des téléphones qui chez nous, coûtent plus de 400 euros, appellent chez eux tous les jours, les communications, ne sont pas gratuites, que je sache ? Des propos racistes ?
Cette vague d’immigration est un non-sens, c’est le suicide européen. L’Europe va se transformer en un gigantesque Gotham City mais sans Batman pour nous sauver. Je suis maman et je n’aurai jamais qu’un seul enfant car je m’inquiète trop pour son avenir, pas pour le mien mais pour le sien. Si quelque chose doit se passer, en protéger un seul me parait plus simple. Mon conjoint et moi, ne nous sentons plus en sécurité en France et nous pensons quitter notre pays. Nous ne gagnons pas trop mal notre vie, nous payons nos impôts, nous bossons durement, nous respectons les règles et nous aimons notre pays, mais ce qu’il devient est lamentable. Dans la rue, je me sens une étrangère, dans mon propre pays. J’entends parler le cyrillique, l’arabe, je vois des voilées partout, dans la rue, chez le médecin si bien que je me dis que l’on nous trompe sur le nombre de musulmans en France. Nous vivons dans une ville touristique qui s’est dégradée grandement en 5 ans avec l’immigration massive. Les musulmans ne respectent aucune règle tout leur est dû, aucune volonté d’intégration, leur seule volonté, les prestations sociales. Je suis désespérée et n’ai plus ni espoir ni foi en l’humanité et je vomis ces associations antiracisme ou pro migrant qui vendent leur pays. Nous sommes Français, nous étions le pays de la culture et des Lumières avec une riche histoire et nous sommes devenus une POUBELLE. Cessez donc de me traiter de raciste, cessez de me demander de me taire. J’ai peur et je le hurle. Pas pour moi. Pour mes petits-enfants. Qui sont gentils, appliqués, affectueux, et à qui ont serine que les migrants sont « gentils ».A
J’aime bien les caissières. Derrière leur caisse anonyme, qui ressemble un peu à une forteresse, elles voient beaucoup de choses, il leur arrive de penser, et d’avoir une personnalité qui parfois interroge. Elles sont capables du meilleur comme du pire. Ce matin, c’était le pire.
De passage dans un Monoprix d’une ville bobo-friquée-déconnectée de la réalité, dans la région parisienne, celle-ci s’empare du Parisien que je mets sur le tapis, et… se plonge tranquillement dedans.
Amusée, je la laisse lire, cela dure quelques petites minutes. Puis elle hoche la tête et dit :
– Toujours les mêmes images des Gilets jaunes… toujours la même rengaine, on en a assez.
Je lui réponds : – Il faut aller sur les sites de réinformation, si vous voulez des informations différentes…
Elle fait la moue, l’air malheureux. J’en profite pour lui déclarer que je soutiens les Gilets jaunes, ce qui doit être rare dans cette ville, comme soutien et comme déclaration.
Elle me répond que les Gilets jaunes ont des demandes pour les classes moyennes mais rien pour ceux qui n’ont rien. Je lui rétorque que c’est un début, que ça va venir, qu’il faut être optimiste. Elle me répond qu’elle a de toutes façons horreur des extrêmes, phrase lambda de béni-oui-oui qui ne veut rien dire, et elle me fait comprendre qu’elle n’est pas convaincue par les Gilets jaunes.
La discussion continue. Nous abordons plusieurs problèmes soulevés par les Gilets, mais pas celui de l’immigration, alors je me lance :
– Il y a aussi la question de l’immigration. Nous ne pourrons plus payer longtemps. Là elle tique, hoche la tête et lâche : – il ne faut pas être raciste. Je lui réponds que ce n’est pas une question de racisme, mais de saine gestion. J’essaie de lui expliquer que nous sommes pratiquement les seuls à accorder tant de privilèges aux étrangers, et que nous mêmes, dans les autres pays, nous devons travailler et payer notre séjour. Elle hoche encore la tête.
J’y vais franchement : – Voyons, vous avez sûrement un petit salaire, et vous acceptez que les mineurs non accompagnés nous coûtent 50 000 euros par an ?…
Malheur et calamité, cette ville est boboïfiée jusqu’aux tréfonds, jusqu’aux petits salaires. Réponse stupéfiante et textuelle de la caissière : – Cela m’est égal, à ceux qui ont eu un tas de problèmes pour venir jusqu’à nous, qui ont pris la mer, vaincu toutes les difficultés, je suis prête à donner une bonne partie de mon salaire.
Je lui répète que cela ne pourra pas durer. Mais mes achats sont passés, la caisse clignote, la cliente suivante, une vieille dame distinguée, sévère, chapeau rond sur la tête, gants de cuir, a l’air bien décidée à prendre son tour et à ne plus nous laisser parler. Elle me pousse pratiquement dehors. Dommage.
Dommage que je n’aie pas eu le temps de dire à cette caissière qu’un jour, si elle continue comme cela, elle n’aura plus que ses yeux pour pleurer, si elle ne finit pas emburquinée, égorgée halal, sa retraite ayant fondu par manque d’indexation sur le coût de la vie. J’espère que sa dernière sortie était juste l’effet de son idéologie obtuse et qu’elle n’y croyait pas vraiment.
Voilà une caissière bien lobotomisée, bien lavée du cerveau. Bien endoctrinée. Bien suicidaire, puisque acceptant de tout donner aux migrants, même sa propre vie. Bien contradictoire, car sa place est davantage du côté des Gilets jaunes que du côté des bien-pensants moralisateurs et totalitaires.
Voilà comment on essaie d’endoctriner les Français jour après jour : l’immigration, c’est tellement bien que nous n’avons pas d’autre choix que de mourir pour les migrants, qui sont des gens tellement meilleurs que nous. Et dernière invention de nos idéologues, celui de la volonté : il suffirait que les migrants aient voulu nous envahir, pour que nous soyons obligés de les accepter. Les grands soldats de notre Histoire, nos parents qui se sont battus pour que la France reste la France, doivent se retourner dans leurs tombes.
Et sur beaucoup, cela marche. Notre Grand Remplacement par des envahisseurs guerriers plus ou moins camouflés se porte mieux que jamais. Et l’islamisation qui va avec.
Les Gilets jaunes ont encore du pain sur la planche pour persuader tout le monde qu’ils ont raison. Même lorsqu’on emploie des arguments forts, certains opposants ou indifférents aux Gilets restent ancrés dans leur position mortifère. Même lorsqu’ils sont les premiers à avoir besoin de l’action des Gilets. Faudra-t-il les convaincre de force ?…
Et vraiment, qu’attendent les Gilets jaunes pour se saisir du plus grand problème de notre pays, celui qui va saper toutes nos économies et surtout notre civilisation, celui de l’immigration-islamisation ?
Ce sont des “Black Blocs” qui ont défoncé la porte du ministère de Benjamin #Griveaux samedi dernier et non des #Giletsjaunes, une vidéo prouvant cette information a été publiée. Une vidéo qui inquiète au plus haut sommet de l’État.
Un rapport publié par le site américain Clarion project souligne les activités expansionnistes des Frères musulmans dans les pays européens, notamment la Suède, la Norvège et le Danemark, en recueillant des fonds auprès des communautés musulmanes de ces pays. Le rapport affirme que les membres de la Confrérie cherchent à gagner la sympathie des gouvernements européens.
Le rapport, publié il y a deux jours, indique que les membres des Frères Musulmans tentent de recruter des migrants et des réfugiés arrivés dans ces pays afin d’y renforcer leur présence. De plus, les Frères jouent sur la corde des droits de l’homme.
Le site évoque le rôle de l’union des musulmans qui se trouve en Suède, fondée en 1980 à Stockholm, et regroupant 40 groupes. Il révèle que 132 citoyens suédois ayant adhéré à l’organisation terroriste Daech ont suivi un enseignement au sein de cette union.
Le rôle
Le rôle du bureau de la confrérie à Stockholm est indissociable de celui des autres bureaux du groupe dans un certain nombre de pays. Ils sont tous liés au rêve de la maîtrise du monde de Hassan Al-Banna, fondateur de la confrérie en 1928. Celui-ci a commencé son activité dans un bureau appelé « Le centre des contacts avec le monde» à Al-Darb Al Ahmar, quartier populaire du Caire, avant d’être transféré dans plusieurs pays.
Le petit quartier général des Frères situé à Al-Darb Al-Ahmar a été témoin d’événements déclenchés par les Frères pour parvenir à leurs fins expansionnistes.
Hossam Tammam, chercheur spécialiste de l’Islam politique, affirme dans son livre : « Les transformations des Frères musulmans » que le siège d’Al-Darb Al-Ahmar était devenu un véritable ministère des Affaires étrangères des Frères musulmans, dont les contacts s’étendaient à la plupart des pays musulmans. « Les Frères avaient de nombreux contacts dans le monde islamique. Ils étaient en contacts avec Abdel- Kérim Al-Khatabi, et Alal Al-Fassi, fondateurs du Mouvement islamique au Maroc, le prince Chakib Arslan en Syrie, Nawab Safavi, fondateur du mouvement Fadayyan Islam en Iran et avec Al-Nadawi en Inde », explique le chercheur.
Le Centre islamique, fondé par le gendre d’Al-Banna, Saïd Ramadan, à Munich après son émigration en Allemagne dans les années 1960, est devenu le nouveau « ministère des Affaires étrangères » des Frères musulmans. Ce centre est devenu le siège des réunions de l’organisation internationale des frères et a contribué à l’établissement de relations élargies avec les dirigeants des Frères dans le monde. Il a joué un rôle important dans des dossiers internationaux impliquant les Frères musulmans comme le dossier de l’organisation terroriste Al-Qaïda et ses relations avec les Frères musulmans.
Sondage Odoxa : Macron en chute libre, les Français très pessimistes pour cette annéeLes Français sont très pessimistes pour cette année 2019 sur le plan économique, selon un sondage Odoxa pour BFM Business, Challenges et Aviva Assurances publié ce jeudi 10 janvier. Dans ce baromètre, la popularité du président Emmanuel Macron chute de 20 points en un an, passant de 49 % en janvier 2018 à 29 %.
Les Français sont très pessimistes pour l’année 2019 sur le plan économique, selon un sondage Odoxa pour BFM Business, Challenges et Aviva Assurances publié ce jeudi 10 janvier. D’après cette enquête réalisée via internet les 2 et 3 janvier auprès de 1 004 personnes, six Français interrogés sur dix (59 %) anticipent 2019 comme une année de « difficultés économiques » et seulement 7 % comme une année de « prospérité ».