Victoire judiciaire pour Vigilance Halal : égorgement suspendu en Seine-et-Marne

Protection et respect de l’animal et du consommateur.

L’association de consommateurs Vigilance Halal vient de remporter, dans la plus grande discrétion, une bataille juridique symbolique, en ce mois de décembre. La cour administrative d’appel de Paris vient en effet de suspendre les décisions de la préfecture de Seine-et-Marne accordant des autorisations de déroger à l’obligation d’étourdissement des animaux. Traduction : l’abattage halal pratiqué dans des abattoirs locaux doit être interdit dans ce département. 

Breizh-info.com : Vigilance Halal vient de remporter un procès important. Que pensez-vous de cette décision ? 

Alain de Peretti (Vigilance Halal) : C’est le fruit de la persévérance car l’action a été initié en 2012 devant le tribunal administratif dans un certain nombre de départements. Nous avons attaqué l’autorisation préfectorale de « déroger à l’étourdissement » en échange d’un cahier des charges jamais respecté selon nos informations, un seul point était à notre portée en fait pour le démontrer : la tenue d’un registre des commandes spécifiques. Nous avons perdu en première instance au bout de trois ans tout de même, au motif que ce document était d’ordre commercial, donc non communicable… Comme si nous étions des concurrents commerciaux ! Lire la suite de l’interview  sur Breizh-Infos

Nous avions interviewé le docteur vétérinaire Alain de Peretti sur les multiples dangers sanitaires de la viande halal :

Pour s’y retrouver sur les viandes arrivant dans le circuit traditionnel non étiquetées Vigilance Halal a lancé le label « Suivez le Coq »

Londres (G-B) : des affrontements entre la police et des Gilets Jaunes pro-Brexit


Le mouvement des « gilets jaunes » commencent bel et bien à s’exporter à l’étranger.

Des tensions ont émaillé ce 5 janvier une manifestation pro-Brexit. Ses participants, vêtus de gilets jaunes, se sont rassemblés dans le centre de Londres. (RT)

Le mouvement des « gilets jaunes » commencent bel et bien à s’exporter à l’étranger. Ce samedi des « yellow vests » ont manifesté dans plusieurs grandes villes du Royaume-Uni. A Londres, des manifestants ont brièvement bloqué le pont de Westminster avant de se diriger devant le siège du Parlement, où d’importants ralentissements étaient signalés par les autorités, alors que des fumigènes étaient utilisés.

Quatre personnes, dont une adolescente de 13 ans, avaient été interpellées ce samedi à 11 heures en marge des manifestions à la suite de heurts avec les forces de l’ordre.

(…) 20minutes.fr

Le piège du Pacte de Marrakech

Le 19 décembre 2018, alors que les Français avaient les yeux ailleurs, les uns sur les gilets jaunes, les autres sur les Fêtes qui approchaient, le représentant de la France à l’ONU a voté en faveur du « Pacte de Marrakech », c’est-à-dire du « Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières ». Notre pays avait déjà apporté son soutien à ce texte dans cette ville du Maroc, les 10 et 11 décembre. C’est un obscur secrétaire d’État qui y avait représenté le Président de la République empêtré dans les difficultés du pouvoir. Cette discrétion n’avait rien d’étonnant, puisque la signature de la France sur un sujet aussi sensible que l’immigration n’avait donné lieu à aucun vote ni à aucun débat, ni dans la nation, ni au parlement.

Dans la plupart des pays, un débat a eu lieu, pas en France, ce qui en dit long sur la dérive non-démocratique de notre pays. L’argument invoqué pour justifier l’injustifiable consiste à souligner que les dispositions du pacte sont « juridiquement non contraignantes ». Il s’agirait donc d’un texte sans portée sur la réalité autre que vertueuse et virtuelle. Le bon sens nous dit toutefois qu’il n’y a aucune raison de donner la signature officielle d’un État à un accord sans portée. En fait, on se trouve une fois de plus en face d’une subversion de l’ordre démocratique, de la souveraineté des peuples par un pouvoir d’une autre nature, utilisant d’autres moyens.

Les peuples, notamment ceux de la vieille Europe, ont acquis, pour certains depuis longtemps, pour d’autres, plus récemment, le pouvoir de décider de leur avenir. La volonté de sauvegarder leur identité et leur cohérence y grandit face à la menace migratoire. L’esprit de Davos, du Forum économique mondial est tout différent. La richesse mondiale dépend, selon lui, essentiellement de la croissance des échanges, de la circulation des marchandises, des services et des hommes. De là proviennent à la fois la pression sur les prix et celle sur les rémunérations en raison de la concurrence dans un marché ouvert. Les deux conséquences négatives que sont, d’une part, l’accroissement des inégalités et notamment l’appauvrissement des classes moyennes des pays développés, et d’autre part, la perte de cohésion des nations incapables d’assimiler les flux de migrants en provenance de cultures par trop différentes, sont totalement ignorées par une pensée qui privilégie l’économie et qui substitue la « gouvernance » rationnelle des entreprises au gouvernement des États. Elle le fait par la puissance des médias, par le biais d’organisations non-gouvernementales, qui tendent à influencer les opinions publiques et à exercer des pressions « morales » sur les élus afin de conduire les seconds à décider, les premières à accepter des décisions évidemment contraires à leurs intérêts. Lorsqu’il est évident qu’une consultation populaire conduirait au refus d’une mesure conforme à l’esprit de Davos, alors c’est le pouvoir doux qui subvertit la démocratie : des gouvernements avalisent des règles non contraignantes, acceptent qu’un forum vérifie périodiquement dans quelle mesure elles auront été observées, et subissent ensuite la pression des médias, des ONG, puis l’intrusion de la justice se référant à un texte non contraignant, mais qui le deviendra peu à peu.

C’est exactement le piège du Pacte de Marrakech ! Et c’est la raison pour laquelle des démocraties lucides et vigilantes ont refusé de signer ce texte, soit en votant contre, soit en s’abstenant, soit en étant absentes lors du vote. Parmi les États qui ont signé, figurent les pays d’émigration, ou ceux qui n’attirent guère les migrants, les régimes non-démocratiques qui se moqueront bien de ces règles, et enfin ceux qui sont gouvernés dans l’esprit de Davos, la France, notamment qui en est le chef de file avec son Président énarque et banquier. Au nom de leur souveraineté et du devoir de sauvegarder la cohésion nationale, les États-Unis, l’Australie, Israël, le groupe de Visegrad, l’Algérie, l’Autriche, le Chili, l’Italie, Singapour, la Suisse, rejoints par le Brésil de Bolsonaro, en tout 42 nations n’ont pas signé ou voté le Pacte de Marrakech.

Gilets Jaunes le 5 janvier à Paris. Direct !

«Gilets jaunes» acte 8 EN DIRECT. Près de 25.000 manifestants dans toute la France, selon le ministère de l’Intérieur

DIRECT 1 : https://www.facebook.com/PRESSTVFRANCAIS/videos/1118301421685028/UzpfSTkxOTkxNzk5ODA2MjAxMDpWSzoxMTE4MzAxNDIxNjg1MDI4/

DIRECT 2 : https://www.facebook.com/brutofficiel/videos/275415553149092/?notif_id=1546694962766725&notif_t=live_video

HISTORIQUE : https://www.facebook.com/sputnik.france/videos/236780753906729/?t=18

Retour sur les vœux du président Macron.

Publié le 31 décembre 2018 – par Jacques Guillemain, Riposte Laïque

Lors de ses vœux, Macron a fait trois bras d’honneur aux Français.

Monsieur le Président,

Votre prestation est un monument d’hypocrisie. C’est ahurissant. Une fois de plus vous vous foutez ouvertement du peuple français en lui présentant vos vœux pour 2019.

Je ne reviens pas sur le bilan que vous brossez de votre action et sur votre volonté de poursuivre vos réformes.

Je constate que vous n’avez eu aucun mot de  compassion pour les Gilets jaunes en détresse, vous contentant d’énumérer les exactions commises, sans citer les coupables, ces casseurs d’extrême-gauche et ces loubards de banlieue venus piller les beaux quartiers.

Vous dénoncez la montée des extrêmes sans expliquer pourquoi le peuple exaspéré se détourne de votre politique injuste qui consacre la préférence étrangère.

Vous évoquez l’immigration comme un phénomène inéluctable compte tenu de la démographie africaine, en omettant de dire que l’Italie, l’Australie ou la Hongrie ont mis fin à l’invasion avec des mesures énergiques.

Monsieur le Président, vous mentez en faisant croire aux Français que les migrations sont une fatalité.

Votre premier vœu pour 2019 est un vœu de véritéalors que votre quinquennat n’a été que mensonge et trahison depuis 18 mois.

Comment osez vous parler de vérité alors que l’affaire Benalla, qui revient au devant de la scène n’est qu’un chapelet de mensonges et de non-dits ?

Vous dénoncez les “fake news” alors que vous êtes le premier à mentir au peuple en prétendant que le Pacte de Marrakech n’est pas contraignant. Si c’était le cas, une douzaine de pays occidentaux ne se seraient pas abstenus de le signer !

Vous voulez de la transparance, de l’humilité, du dialogue. On croit rêver. J’évoque plus loin votre façon de gouverner. Tout le contraire de votre discours de ce soir.

Votre deuxième vœu est un voeu de dignité et de respect du citoyen.

Comment osez vous oublier que vous n’avez cessé d’insulter et de mépriser le peuple ? Les agriculteurs, vous les laissez crever avec 350 euros par mois pendant que vous consacrez 50 000 euros par an pour chaque mineur isolé. 40 000 MNA en 2018 ! Combien en 2019 ? 60 000  pour un coût de 3 milliards que paieront les Gilets jaunes ?

La liberté d’opinion ? Mais vous voulez légiférer pour faire taire les patriotes, ces lépreux populistes que vous haïssez !

L’ordre républicain ? Mais allez donc le rétablir dans les banlieues islamisées au lieu de matraquer les GJ !

Votre troisième vœu est un vœu d’espoir.

Vous parlez de liberté, de maitrise de notre destin ! Comment osez-vous ?

Les Français ne veulent plus d’immigration et d’islamisation de leur pays, mais vous leur imposez le Pacte de Marrakech qui organise le tsunami migratoire et interdit toute critique des migrations.

Vous défendez le projet européen qui nous a dépossédés de notre souveraineté monétaire, territoriale, budgétaire, diplomatique, judiciaire.

On ne peut même plus expulser un délinquant étranger sans que la CEDH n’y mette son nez.

Et cerise sur le gâteau, vous osez nous parler d’amour de la patrie, de votre fierté des Français que vous avez traînés dans la boue pendant 18 mois.

Par conséquent, ne vous faites aucune illusion. Quels que soient vos mea-culpa, quels que soient vos regrets pour vos comportements passés, les Français ne se laisseront pas amadouer par vos vœux pour l’année 2019. C’est trop tard, la confiance a disparu à jamais. Vous les avez trop souvent bernés.

Les Français ne vous aiment pas car vous les avez trahis dès le premier jour où vous avez décidé de vous lancer dans la campagne présidentielle. Insultes et mensonges permanents sont la marque de votre gouvernance. Vous n’avez pas de respect pour le peuple et encore moins pour les petits métiers.

Mais que serait un général sans la confiance de ses soldats ? On vous dit intelligent mais l’évidence vous échappe…

Il est donc totalement illusoire d’espérer  tourner la  page de 2018, véritable année noire de votre présidence, qui a définitivement plombé votre quinquennat et fait de vous le plus malaimé des présidents de la Ve République.

En un an, votre cote de confiance s’est effondrée de 23 points pour atteindre 21 %.

Certains n’hésitant pas à balancer votre portrait au bout d’une pique.

Vous n’avez été élu que par les 24 % des électeurs du 1er tour de la présidentielle. Mais le mode de scrutin vous a permis de rafler 60 % des sièges de l’Assemblée et la Constitution vous attribue 100 % du pouvoir de décision, soit bien davantage que celui dont dispose le président des États-Unis !!

Rien ne peut se faire sans votre aval.

L’histoire de votre prise de pouvoir, avec la torpille qui a frappé Fillon sous la ligne de flottaison reste à écrire. Qui a monté cette machination diabolique pour couler Fillon, alors que la droite jugeait cette élection imperdable pour son champion ?

En mai 2017, vous aviez donc tous les atouts en mains. Un boulevard s’ouvrait devant vous pour rendre à la France la grandeur qu’elle avait encore à la fin des Trente Glorieuses.

Une opposition laminée comme jamais, des syndicats à bout de souffle incapables de mobiliser leurs troupes, des médias totalement subjugués ne jurant que par Macron, une aura internationale dont rêverait n’importe quel chef d’État étranger et un peuple français s’étant quand-même décidé à vous suivre pour réformer un pays malade de 40 années d’immobilisme et de culture de l’échec.

Hélas, c’était sans compter avec votre ego démesuré, avec votre arrogance, avec votre mépris du peuple que vous n’avez cessé d’humilier et d’insulter. Voilà 40 ans qu’on vous rabâche que vous êtes le plus beau et le plus intelligent. Alors, vous avez fini par vous prendre pour le Mozart de la politique, le nouveau roi d’Europe pouvant tout se permettre.

Vous n’aimez pas la France puisque vous l’avez accusée de crime contre l’humanité en Algérie et avez nié sa culture propre. Quelle bassesse !

Vous l’avez même salie de façon ignoble devant les 193 États de l’ONU :

« Je viens d’un pays qui a fait beaucoup d’erreurs, beaucoup de mauvaises choses ». Aucun chef d’État au monde n’insulte ainsi son pays. C’est de la trahison.

Par ces propos, vous vous êtes révélé indigne de gouverner notre France millénaire qui a derrière elle des siècles de grandeur et tant de personnages illustres qui l’ont fait rayonner sans  jamais la salir.

Vous n’aimez pas notre armée puisque vous avez humilié publiquement et poussé à la démission le CEMA dès le 14 juillet 2017, en osant rappeler à ce grand soldat « Je suis votre chef ». Difficile de faire plus ridicule face à un grand serviteur de la France, dont la fidélité et le dévouement sont au dessus de tout soupçon.

Et le 11 novembre vous n’avez même pas daigné célébrer dignement le Centenaire de la victoire de nos Poilus, lui préférant un Forum pour la Paix qui ne sert à rien mais qui vous permet uniquement de briller sur la scène internationale. Chez vous, tout n’est que calcul.

Et pour mettre un peu de vinaigre sur les plaies, vous avez sali notre armée en l’accusant d’avoir pratiqué la torture en Algérie, oubliant les actes terroristes et les abominations perpétrées par le FLN  contre nos soldats et les populations civiles. Un procès à sens unique contre nos militaires qui servent la France. Ce n’est pas ce qu’on attend du Chef des armées.

En quelques mois, vous vous êtes mis à dos Poutine, Trump, Salvini et Orban, pour la simple raison qu’ils ne partagent pas vos délires mondialistes qui ruinent l’Europe et détruisent la France. Mais aujourd’hui, vous voyant embourbé dans la révolte des Gilets jaunes, vos quatre cibles préférées ricanent et on les comprend.

Ce jeune président français arrogant, qui prétendait donner des leçons au monde entier, doit en rabattre !

Vous vous mettez le monde entier à dos car vous ne supportez pas la contradiction. Toute la planète  doit penser comme vous, le premier de la classe ! Comme si les peuples américain, russe, italien ou hongrois n’étaient pas libres de mener la politique qui convient à leurs propres intérêts. Tout le monde ne rêve pas d’un mondialisme délirant !

Le peuple français vous l’avez toujours insulté dès le premier jour. Tantôt « illettré » ou « alcoolique ».  Tantôt « fainéant » ou « moins que rien », incapable de se réformer.

Quant à la majorité de Français qui ne veulent plus d’immigration et jugent que l’islam est un frein à l’intégration, vous les traitez de lépreux populistes, vos sbires n’hésitant pas à les mettre dans le même sac que les nazis en se référant aux années 30. Une telle fourberie est pitoyable !

Agiter un drapeau français en clamant « On est chez nous » devient un délit !

L’échec de l’intégration et les ravages de l’islamisme qui transforme nos banlieues en mini-califats, vous n’en parlez jamais. Votre ministre de l’Intérieur Gérard Collomb a pourtant démissionné pour cette raison, nous alertant sur le risque imminent d’un embrasement généralisé des banlieues.

Mais votre unique combat, c’est celui des« progressistes » contre les « populistes ».

Il est clair que vous manquez d’expérience et que votre jeunesse est synonyme d’amateurisme. Le danger du Grand Remplacement vous le niez alors que dans une génération, les natifs seront devenus minoritaires dans leur propre pays, avec les bouleversements et les conflits interethniques et interconfessionnels que l’on imagine.

Le terrorisme a déjà fait 250 morts et 1000 blessés depuis 2015. Et les Français subissent 1000 agressions gratuites par jour, mais vous refusez de sévir et de construire les 15 000 places de prison promises en 2017 !

Votre société multiraciale paradisiaque sera un enfer.

Votre politique désintègre la nation alors qu’on attend votre protection, comme le font un Salvini ou un Orban, qui donnent priorité aux intérêts de leur peuple.

Vous bradez la France et combattez les patriotes qui défendent leur identité et leur patrimoine culturel. En signant le Pacte de Marrakech, vous avez signé l’arrêt de mort de la France de nos ancêtres, pour faire des Français des citoyens du monde, sans Histoire ni héritage culturel, parce que votre obsession est de bâtir une France post-nationale, noyée dans le grand village mondial multiculturel.

C’est un crime contre les Français et une trahison envers nos Poilus qui se sont sacrifiés pour notre liberté.

Et que dire de vos frasques qui salissent la fonction présidentielle alors qu’on attendait que vous lui redonniez un peu de lustre après les comportements humiliants de Hollande, lors des affaires Leonarda et Théo ?

Lors de la Fête de la musique, sur les marches de l’Élysée, une troupe de danseurs en bas résille et marcel a craché ses insanités devant un couple présidentiel tout sourire, dont la photo dégradante a fait le tour du monde.

De Gaulle doit se retourner dans sa tombe à la vue d’un tel boxon, là où tant de rois et de grands de ce monde ont été reçus avec faste et honneurs !

Ensuite, vous avez alimenté le scandale à Saint-Martin, en prenant la pose avec un jeune délinquant dépoitraillé, faisant un doigt d’honneur devant l’objectif ! Une photo qui a également fait le tour du monde, ternissant un peu plus votre image de premier de la classe et faisant honte au peuple français. Quel gâchis !

Mais ce sont surtout vos mensonges qui vous ont discrédité. Ils sont quotidiens.

Vous aviez promis de respecter le référendum approuvant la construction de l’aéroport de Notre-Dame-des-Landes. Mais par lâcheté vous avez botté en touche, en trahissant les électeurs et en bafouant 178 décisions de justice favorables au projet, pour donner raison à une poignée de squatteurs d’extrême- gauche occupant illégalement le terrain depuis 10 ans !

Ce faisant, vous avez bafoué à la fois la démocratie et la justice.

À cinq reprises pendant la campagne électorale vous avez répété devant les médias que vous ne toucheriez pas aux retraites. On voit le résultat aujourd’hui, la révolte des Gilets jaunes est le résultat de votre aveuglement  face à la détresse de la classe moyenne, saignée par votre politique mondialiste qui oblige le peuple à partager son modeste pouvoir d’achat avec toute la misère du monde.

Le peuple est écrasé d’impôts pour fiancer le coût démentiel de l’immigration de masse de pauvres non qualifiés, totalement improductifs.

Que chaque Français dépense 2000 euros par an pour financer l’immigration n’est pas votre problème. Mais cela va le devenir, car la révolte des GJ ne fait que commencer.

L’immigration de pauvres ne peut que niveler la France par le bas et donc ruiner un peu plus les Gilets jaunes. Tout va s’aggraver car vous niez le danger de l’immigration de masse.

Toute votre politique est vouée à l’échec si vous ne fermez pas les frontières. C’est inéluctable. L’immigration est la cause essentielle de nos  2300 milliards de dettes. 45 milliards partent chaque année pour payer les intérêts de nos créanciers étrangers. C’est 4,5 fois ce que les Gilets jaunes ont obtenu suite à leur révolte.

Appauvrissement généralisé et désintégration de la nation sont au bout du chemin de toute politique mondialiste. Le « vivre ensemble » n’existe nulle part dans le monde.

50 % des jeunes musulmans, parfaitement manipulés par les barbus, souhaitent l’instauration de la charia et vous ouvrez encore plus largement les frontières ! C’est irresponsable. Plus l’intégration échoue, plus vous chargez la barque.

Ce sont des légions de migrants qui errent dans nos rues car les structures d’accueil sont depuis longtemps saturées. Vous avez perdu le contrôle de la situation aux frontières, à Calais et à Paris.

Mais c’est le 1er Mai 2018 que l’opinion a vraiment basculé et que votre descente aux enfers a commencé, inexorable, incontrôlable, parsemée d’erreurs de communication grotesques et de magouilles sordides.

Les violences de Benalla, usurpant la fonction de policier pour molester des manifestants, ont d’abord été camouflées par l’Élysée et ensuite traitées par le mépris et l’arrogance. Pourquoi fanfaronner ?

« S’ils veulent un responsable, il est devant vous, qu’ils viennent me chercher ».

Commission d’enquête de l’Assemblée totalement sabotée, perquisition au domicile de Benalla bâclée, avec disparition du coffre-fort dans la nuit, sans qu’il y ait la moindre demande d’enquête pour connaître le contenu dudit coffre !

Aucune explication sur les incroyables privilèges dont bénéficiait Benalla, soi-disant simple porteur de valises, responsable de la logistique des voyages présidentiels, mais mieux traité qu’un ministre d’État !

Que cache une telle protection ? Qui est le véritable Benalla qui menace de parler ? Le peuple attend vos réponses alors que vous vous réfugiez dans le silence, quand ce ne sont pas les communiqués de votre entourage qui cherchent à noyer le poisson et se contredisent.

Car il y a obligatoirement anguille sous roche après cette panique qui dure depuis 6 mois.

L’affaire des passeports diplomatiques et des multiples voyages de Benalla en Afrique, en Turquie et en Israël vient de montrer que l’Élysée a menti en prétendant que les ponts avaient été coupés avec votre ex-conseiller.

Et aujourd’hui, Mediapart  balance une nouvelle grenade dégoupillée dans les couloirs du Palais.

Benalla vient d’affirmer qu’il était régulièrement en contact avec vous depuis son licenciement et Mediapart a confirmé ce jour que les messages échangés « ont été authentifiés ».

Donc le pouvoir  a menti. Benalla n’est pas devenu le paria de l’Élysée et n’a jamais été en disgrâce.

« Ça va être très dur de le démentir parce que tous ces échanges sont sur mon téléphone portable », dit Benalla.

http://www.lefigaro.fr/politique/le-scan/2018/12/30/25001-20181230ARTFIG00036-alexandre-benalla-promet-de-rendre-ses-passeports-diplomatiques.php

Que peut espérer le peuple d’un président qui ment sans arrêt, dit tout et son contraire ?

Quel crédit accorder à ses promesses d’écoute ? Que penser d’un  « grand débat national » redonnant la parole au peuple pour l’associer aux décisions qui engagent son avenir ?

Dès lors que vous avez évacué du débat sur l’immigration et l’islam, les deux sujets existentiels qui conditionnent l’avenir même de notre nation millénaire, il ne peut y avoir de confiance entre l’Élysée et le peuple.

Par conséquent, ces vœux présidentiels pour 2019 n’ont aucune chance de rétablir le lien indispensable entre un peuple et ses élus.

Votre objectif est la disparition des nations, dans le droit fil du programme de l’ONU qui veut l’abolition des frontières et un grand brassage des peuples, ce qui va anéantir la civilisation occidentale.

Mais les patriotes n’accepteront pas de sacrifier leur patrimoine culturel et leur identité pour satisfaire vos délires mondialistes.

Après la révolte sociale des Gilets jaunes viendra le sursaut identitaire salvateur pour défendre notre civilisation et notre identité.

Pour vous, monsieur le Président, l’aventure féérique de mai 2017 est terminée. La descente aux enfers va se poursuivre parce que vous refusez d’écouter le peuple qui a toujours le dernier mot.

Contrairement à un Trump, un Salvini ou un Orban, vous préférez écouter les mondialistes de l’UE ou de l’ONU, plutôt que d’écouter le peuple français. C’est ce qui va vous perdre.