L’homophobie n’est pas morte. Loin de là. Voici une scène ordinaire de l’homophobie crasse au centre Commercial Carrefour Colmar à Rueil Malmaison le samedi 3 mars à 19H.[…]
« Aujourd’hui samedi 3 mars 2018 vers 19h00 alors que je passe en caisse avec mon ami, une femme d’à peu près 25 ans accompagnée de sa fille de 4 ans pousse violemment nos achats sur le tapis de caisse et dépose les siens.
[…] La femme nous a traité de sales gros pédés….de tarlouses….qu’on avait pas le droit de vivre en France quand on est pédales pour reprendre son expression.
Les insultes ont continué en arabe ensuite…« Sales shbeb…..en Algérie les mecs comme vous on les égorge….»
[…] Elle a pris son portable en appelant quelqu’un de son entourage en lui disant qu’il y avait deux clients PD qui ne méritait pas de vivre et qu’il fallait les buter…[…]
Un vigile arrive…. […] La cliente le connaissais et lui demande comment il va. Et elle continue auprès du vigile en disant qu’on était deux PD et qu’on devait crever. Mon ami et moi on insisté auprès du vigile pour que ca s’arrête. Et là incroyable le vigile de carrefour nous demande de nous calmer. […] Au final on s’est fait insulter et menacer de mort sans que le personnel de carrefour n’intervienne. Le vigile nous a demandé de payer et de partir sans faire d’émeute…
Les Sud-Africains sont-ils racistes ? N’en déplaise à nos Obono, Ndiaye, Diallo, Avia, Noël, et d’autres, il s’avère que oui. Le racisme anti-blanc existe bel et bien en Afrique du Sud comme d’ailleurs il existe en France, aux USA et dans d’autres pays.
Le Parlement sud-africain a donné mardi le coup d’envoi d’une réforme de la Constitution pour autoriser l’expropriation sans compensation des terres agricoles au profit de la majorité noire, un sujet très sensible qui agite la vie politique du pays. (Source)
A cette lecture, on commence à comprendre pourquoi les colons blancs des USA n’ont laissé aucune chance aux Indiens d’Amérique, du Canada, que les Anglais n’ont laissé aucune chance aux Aborigènes d’Australie ! La méthode d’extinction des revendications a été efficace. Les Néerlandais, Français et Allemands d’Afrique du Sud (Les Boers) ont eu des pudeurs que les Anglais n’ont jamais eues !
Les blancs sont-ils devenus les bêtes noires des Africains. De tous les Africains ? Si nous en jugeons par les réactions de nos « français noirs » issus de l’Afrique, on peut se poser des questions ! Pour ma part, je pense que les noirs ne sont pas différents et qu’ils connaissent bien le racisme pour le pratiquer eux-mêmes. Qu’ils n’aiment pas les blancs. Certes, je ne généralise pas, mais je ne suis pas sûr qu’un noir lambda prenne parti pour un blanc dans la rue, si ce blanc était victime d’une agression par d’autres noirs ! Que l’on ne me fasse pas le discours sur l’esclavage, j’ai déjà répondu sur ce sujet !
L’Afrique du Sud, commence réellement le 6 avril 1652 avec l’arrivée du commandant néerlandais Jan van Riebeeck dans la baie de la montagne de la Table où il fonde Le Cap. D’un point de vue historique, il n’y avait pas de noirs à l’arrivée des blancs sur la pointe du Cap.
Ils étaient essentiellement des protestants fuyant les persécutions catholiques. Dire qu’il n’y avait pas d’état digne de ce nom, n’est pas insulter les noirs qui vivaient plus à l’Est à l’époque. Dire qu’il y a eu des confrontations entre les noirs et les blancs serait idiot. Nous sommes au 17ème siécle, en 1652. D’autant plus que les blancs se contentaient dans un premier temps, de rester sur les côtes. Les noirs peu nombreux d’ailleurs, vivaient en tribus dans les terres de l’Est.
Les blancs reproduisaient ce qu’ils avaient vécu. Ils ont fait pendant des années ce que les premiers colons ont fait dans les territoires devenus plus tard les USA ou l’Algérie.
En 1685, soit 36 ans après, le nombre des colons est de 800. Ce sont essentiellement des fermiers, des artisans ou des manutentionnaires. Ils sont rejoints en 1688 par 238 huguenots français chassés des villages du Sud-Luberon par la révocation de l’Édit de Nantes et installés par le commandeur Simon van der Stel dans la vallée d’Olifantshoek pour y développer la viticulture sur des terres riches en alluvions. Ces nouveaux colons sont instruits et vont marquer très fortement de leur empreinte la culture blanche sud-africaine, apprenons-nous sur Wikipédia.
On s’aperçoit que ce ne fut pas une armée d’occupation et si les noirs l’avaient voulu, les blancs seraient repartis, ou ils auraient été tués sur place. Mais encore, aurait-il fallu qu’il y ait des noirs à cette époque sur cette terre vierge !
La première manifestation d’une identité africaine des blancs de la colonie fut faite en 1706 par un jeune hollandais qui refusa la prédominance de son pays d’origine. C’est la volonté de suprématie hollandaise qui poussa les premiers boers à aller plus loin dans les terres vers l’Est ! Cela nous rappelle les USA et ses colons, sauf qu’en Afrique du Sud, il n’y avait pas d’indiens.
Il fallut, avec cette remontée des Boers vers l’Est, loin du Cap, attendre 1779 pour que la rencontre se fasse avec les Xhoras, une tribu noire. A 1500 km du Cap, et à 700 km à l’intérieur des terres. Imaginez que vous débarquez à Marseille, et que vous trouvez votre premier gaulois en Picardie. Les Xohras venaient de l’Afrique centrale et eux se dirigeaient vers le Sud.
Pour ceux qui se poseraient la question des Zoulous : la patrie d’origine des Zoulous semble se situer dans la région de la Tanzanie moderne. Leur présence en Afrique du Sud actuelle, remonterait au XIVe siécle. Tout comme les Xhosas qui se sont installés dans cette Afrique du Sud actuelle, au cours des vagues migratoires bantoues antérieures. (Source)
À la fin du XVIIIe siècle, la population blanche est majoritairement issue des Pays-Bas, des États de langue allemande et de France. Ainsi, au moins 14 000 Allemands se sont installés dans la colonie du Cap entre 1652 et 1792, dépassant le nombre des huguenots français. En 1795, la population d’origine européenne compte alors 20 000 personnes et se trouve dépassée par celle des esclaves (25 000 individus).
Puis vint les emmerdeurs d’Anglais, et tout se mit à déraper… comme d’hab !
Tout cela pour dire que les noirs n’ont pas plus de droits sur cette terre que les blancs, sauf à dire que c’est la couleur majoritaire d’un continent qui prime et alors nous pouvons poser la même question sur l’Europe blanche, l’Asie jaune, etc. Chacun chez soi en fonction de la couleur ? Aberrant n’est-ce pas. Surtout pour les Diallo, Obono, Sy, Ndiaye, Avia, Noël, etc. Sans compter les quelques membres adhérents au CRAN, etc.
A une très large majorité, les députés d’Afrique du Sud ont adopté une motion mettant en place une commission chargée de réviser à cette fin l’article 25 de la loi fondamentale d’Afrique du Sud. Près d’un quart de siècle après la chute de l’apartheid, la question de la redistribution des terres reste très controversée. Souvent, la redistribution se solde par un échec. Les nouveaux propriétaires sont contraints de jeter l’éponge, incapables d’assurer la rentabilité de leur exploitation par manque de formation, de moyens ou d’accès aux marchés.
Le nouveau président Cyril Ramaphosa a promis une réforme agraire destinée à « panser les plaies du passé ». De quel passé parle-t-il ? Celui des Boers venus de loin, fuyant la persécution et s’installant sur une terre vierge de présence humaine, ou celui de l’Apartheid ? Règlement de compte ou justice ?
Au Zimbabwe voisin, l’ex-président Robert Mugabe a lancé dans les années 2000 une réforme agraire fondée sur l’expropriation brutale des fermiers blancs. Elle a plongé le pays dans une misère noire. D’un pays exportateur, il devint importateur de tout, y compris du minimum vital pour vivre. Ce pays du temps de la Rhodésie était prospère, mais avait le défaut d’être franchement raciste. Toutefois, chacun pouvait manger à sa faim. La justice était blanche et il valait mieux de ne pas avoir affaire à la justice si l’on était noir.
Les noirs sont-ils plus heureux aujourd’hui ? Je pense qu’ils ont loupé leur indépendance ! Les « opprimés » commettent toujours la même erreur. Ils font confiance à leurs libérateurs. Nous l’avons vu dans tous les pays qui ont obtenu leur indépendance. Le pire étant le Liberia, jamais colonisé qui lui, ne doit son existence qu’à l’implantation des noirs américains anciens esclaves. Ceux-ci se dépêchèrent de mettre en esclavage les locaux, et de vivre comme leurs anciens maîtres !
Je pense qu’il y a un temps pour tout et que chaque pays avance à sa vitesse. L’Europe, les frontières des Nations européennes ne se sont pas construites en 10 ans ! L’Afrique avance lentement ! Les blancs voulaient accélérer le tempo. Ils avaient de l’avance, la connaissance, une histoire européenne. L’Afrique tribale n’avait pas toute cette connaissance, ces techniques, ces savants, etc. Il fallait sans doute l’attendre, et l’accompagner.
L’Apartheid fut un choix désastreux. Exproprier les blancs d’une terre qui leur appartient, ou leurs ancêtres sont enterrés est un autre choix désastreux.
L’Afrique du Sud autrefois puissante et riche, mais injuste, va tomber dans la misère, et ne sera pas plus juste pour autant ! Nous avons l’Algérie comme exemple, elle se fit sans les « pieds noirs ». C’est une Algérie indépendante aujourd’hui, où même Nelson Mandela soutenait le FLN.
Nous savons désormais que la jeunesse fuit ce pays, et que l’Algérie sombre. Nous pouvons à coup sûr, dire que l’Afrique du Sud ouvre une page noire de son histoire, et que son avenir est bien sombre.
Roberto Di Stefano (Maire de la ville italienne de Sesto San Giovanni) : «Beaucoup de villes italiennes nous demandent comment nous avons réussi à interdire la construction de la mosquée et à nous débarrasser des migrants (…) La gauche planifiait de construire l’une des plus grandes mosquées dans le nord de l’Italie, cela aurait fait de ma ville la Mecque du pays. C’était un projet criminel qui aurait fait de Sesto San Giovanni un aimant à musulmans».
– RT France, 3 mars 2018, 7h02
« La barbe noire bien taillée, et costume-cravate inhabituel pour un islamiste convaincu, Mohammad Allouche avait la tâche de conduire la délégation rebelle syrienne, qui a négocié pour la première fois – du moins publiquement et officiellement – avec le régime de Damas, du 23 au 24 janvier à Astana.
Ancien étudiant en jurisprudence islamique en Arabie saoudite, le royaume wahhabite qui prône la pratique et la propagation d’un islam rigoriste, Mohammad Allouche n’est autre que le cousin de l’ancien leader de Jaïch al-Islam Zahran Allouche. Celui-ci a été tué dans un raid aérien de l’armée syrienne, le 25 décembre 2015.
Membre du Haut Comité des négociations (HCN) de l’opposition, l’instance qui représente les principaux groupes politiques et armés de l’opposition syrienne, mise sur pied fin 2015 avec l’appui de l’Arabie saoudite et des Occidentaux, Mohammad Allouche représente surtout l’un des plus importants groupes rebelles syriens.
Très actif dans les zones rurales de la région de Damas, notamment dans la Ghouta orientale (banlieue est de la capitale), Jaïch al-Islam serait constitué de 15 000 à 20 000 combattants islamistes, selon des services de renseignement occidentaux. Lire la suite sur France 24
Jaish Al Islam place des civils dans des cages pour en faire des boucliers humains informe l’AFP. Rappelons que la France a soutenu le Haut Comité des Négociations (HCN), aussi appelée Plateforme de Riyad, lors des négociations de Genève I et II. Relire notre interview avec la syrienne Randa Kassis de l’opposition laïque.