Une bande de mineurs étrangers, isolés, s’adonne à des vols, des violences et à un trafic de stupéfiants dans le centre-ville. Policiers et élus s’avouent impuissants face à ce phénomène.
Selon nos informations, la récente fermeture des toilettes publiques, aux abords de la place, aurait été décidée à cause des trop nombreuses agressions qui s’y produisaient. Des passants y sont entrés de force avant de se faire frapper et voler leurs affaires.
Pourtant, les rondes policières s’y poursuivent. « Il y a un travail de présence physique des policiers, pour rassurer et pour dissuader », explique Régis Allegri, commissaire central de Brest (Ouest France du 21 mars). « Les forces de l’ordre ont procédé à beaucoup d’interpellations », assure aussi Yann Guével, adjoint au maire de Brest, en charge de la tranquillité urbaine.
Mais ces interpellations multiples n’ont aucun effet sur les jeunes. « Ce sont des groupes mobiles et structurés, estime Stéphane Andry. On n’a plus affaire au petit Brestois qui fait des bêtises et qui doit arrêter quand il a 18 ans… Maintenant, on fait face à des jeunes violents et sans limites. »
Nous croyons tous que le temps passant, l’instruction des erreurs aidant, les hommes éviteront de les renouveler, de les éviter ! La vie est espiègle diront certains, d’autres diront tragiques.
Quand on s’intéresse à l’Histoire, on s’aperçoit très vite qu’il existe des similitudes entre les époques. Des personnages construisent des idéologies pour l’amour des peuples et réalisent un peu tard, qu’elles sont mortifères. Alors, quelques décennies plus tard, elles sont remplacées par d’autres croyances, qui seront tout aussi mortifères que les précédentes.
L’humanité au fond n’apprend rien. L’égalité absolue entretient avec le despotisme des liaisons secrètes disait François René de Chateaubriand et cette connaissance n’a pas empêché le communisme, le fascisme, le nazisme.
Pourtant, nous savions que les leaders, les duces, les führers, et autre petits pères et guides du peuple sont souvent cruels avec leurs populations ! Nous le savons depuis si longtemps. L’homme de l’avenir sera celui qui aura la plus longue mémoire disait Frédéric Nietzsche, mais l’homme oublie, l’homme est incapable de saisir et de transmettre cette mémoire. Sa faculté d’oubli est monstrueuse. Elle a été analysée, étudié et comprise ! Les outils utilisés à l’époque par Lénine, Staline, Mussolini ou Hitler étaient foudroyants. Imaginez aujourd’hui ce qu’ils pourraient faire avec la télévision ! Adolf Hitler dans Mein Kampf disait : si vous désirez la sympathie des masses, vous devez leur dire les choses les plus stupides et les plus crues.
Combien d’émissions de télévisions sont-elles effectivement stupides et crues. Le rire gras, les lourds, le cul, l’abaissement des téléspectateurs est tellement évident sur nos chaînes de télévisions. Au nom du divertissement ! Comment ne pas être choqué par des animateurs comme Cyril Hanouna qui utilise cette bêtise humaine pour se faire de l’argent ! Certes, cet animateur Hanouna n’est pas un Hitler bien sûr, mais il participe, utilise cette bêtise, et ne cherche aucunement à élever le niveau, à faire réfléchir ! Toute propagande doit être populaire et placer son niveau spirituel dans la limite des facultés d’assimilation du plus borné parmi ceux auxquels elle doit s’adresser. Si la faculté d’assimilation de la grande masse est très faible, son entendement petit, par contre son manque de mémoire est grand. Toujours dans Mein Kampf !
Tout bouge, rien ne change ! Un peuple qui réclame sans cesse l’égalité est bien près d’accepter la servitude disait Gustave Le Bon ! Nous ne cessons de l’appeler en permanence cette égalité, y compris par le nivellement par le bas !
L’humanité est restée au niveau zéro de son évolution intellectuelle, et morale. Les peuples les plus civilisés sont aussi voisins de la barbarie que le fer le plus poli l’est de la rouille pensait Le Marquis de Rivarol.
Vous allez sur internet, et vous tombez sur des gens qui pensent que la terre est plate, d’autres que les extraterrestres sont parmi nous, etc. Sans compter les religions qui détruisent la libre pensée, la réflexion en interdisant de penser en dehors de la doctrine. La pire étant l’islam qui tue l’apostat, renie l’enfant, interdit les libertés, la sexualité libre, et sanctionne par la mort l’homosexualité !
Comment ne pas songer à l’excellent Guillaume Faye pour réussir socialement, il faut avoir une position qui aille dans le sens de la soft idéologie antiraciste, immigrationniste et égalitaire comme au temps de l¹URSS, où il fallait être pro-soviétique. Tout est dit !
Nous vivons cette époque du formatage massif des peuples, celui de la France en particulier !
Téléfilms et films formatés à l’antiracisme. Publicités vantant les mérites du « vivre ensemble ». Message des deux modes sur le métissage, la tolérance, l’amour et la paix ! Ce qui n’interdit pas les viols des femmes, les meurtres d’enfants, la pédophilie, les violences, les agressions tandis que l’on tait les prénoms des auteurs pour ne pas stigmatiser !
Chaque jour, la télé nous apporte notre pitance d’émotion comme une sorte d’apéritif qui nous prépare à une entrée ! Sur la Syrie pour commencer, celle du vilain Bachar Al Assad et ses « crimes ». Vient le plat de résistance de Vladimir Poutine. Hier, c’était l’aide à la Syrie, le bombardement d’Alep, les civils assassinés sous les bombes, et les gentils casques blancs. Aujourd’hui, c’est le poison qu’il aurait donné quasi de sa main, à un ancien espion russe en Angleterre. Pas de preuve ? Qu’importe, le soupçon à la veille des élections russes suffit !
Nous sommes priés d’écouter la messe, d’être choqués, de protester en cœur. Vient le fromage consistant selon l’époque, à la neige, aux inondations, puis au soleil avec ses variantes paysannes de la terre trop sèche, puis trop imbibée, les maisons inondées, les larmes de Madame, la colère de Monsieur, etc.
Finalement c’est le dessert, avec le mariage d’une Princesse, le testament d’un chanteur, une idole mise en avant, un film à voir. Puis de nouveau la pub fascisante, la lobotomisation habituelle, les gamins heureux d’avoir un gâteau magique, les femmes ravie d’avoir un slip antiurinaire, et les hommes, une voiture intelligente tellement ils sont cons.
Comme ce n’est pas suffisant, arrive Hanouna, Nagui, ou le film formaté. Là, les méchants sont blancs et s’appellent Pierre, Paul ou Jacques et ils font plein de misères à Moussa, Mohamed ou Akim qui sont pour le « vivre ensemble » !
A contrario, vous ne trouverez rien, ou si peu sur les civils morts sous les bombardements de Mossoul et de Raqqa. Pourtant, il y eut des centaines de morts sous les bombes américaines, anglaises, françaises ! Pas un mot, ou si peu sur les Kurdes qui se battent contre le dictateur Erdogan.
Il envahit la Syrie, Pas grave ! Il tue des civils ? Quelle importance ! Les Kurdes et leurs femmes guerrières ont été les premiers résistants à Daech ? Ils peuvent bien crever maintenant. Tout le monde s’en fiche, et particulièrement les tenants politiciens de France et leurs porte-voix radio-télévisés. Mais aussi Bachar et Poutine ! Pour ce qui est des USA, on sait qu’ils lâchent facilement leurs alliés !
Rien ou si peu sur le Yémen où les bombes françaises évitent les civils. Sûrement parce que c’est dans les contrats qui lient les usines d’armements de Sarkozy, Hollande, Macron avec le gentil roi d’Arabie Saoudite, celui qui a autorisé les femmes à conduire une voiture ! Un roi bien plus libéral et fréquentable que Vladimir Poutine n’est-ce pas !
En Hollande, la gauche socialiste passe une alliance avec les islamistes au nom de la lutte contre l’extrême-droite ! Ces moutons hollandais socialistes sont devenus fous. Ils viennent chercher un abri dans la tanière des loups ! Rotterdam (Pays-Bas) : la gauche s’unit derrière le parti islamique pour faire barrage à l’extrême-droite
Comme je vous le disais plus haut, l’humanité n’apprend rien. L’islam, en 14 siècles, c’est plus de 140 millions de morts. Rien qu’en Inde, c’est 80 millions de morts avérés, au point que même une province s’appelle Hindi Kouch ! Les sultans Bahmani, qui gouvernaient en Inde centrale, s’étaient fixé de massacrer 100 000 hindous par an et semblent s’y être tenus, explique François Gautier, ancien correspondant en Inde du Figaro et de Marianne, dans « Un autre regard sur l’Inde ». Staline et Hitler dépassés par les sultans musulmans ! Qu’en pensent les Trudeau et Macron de leur visite en Inde ? Rien bien sûr. L’histoire ils s’en moquent !
L’humanité est condamnée à répéter en permanence les massacres, les tueries, les meurtres, les viols et les exactions en tous genres. Certains pessimistes diront que l’humanité n’est que le cancer de la planète. Un cancer qui détruit tout ce qu’il touche et finira bien par disparaître de lui-même, ou par être détruit en même temps que la planète ! Scénario pessimiste en effet !
A l’occasion de la “Marche de la paix” du 15 mars 2018, ce sont 500 000 personnes que Viktor Orban a rassemblées à Budapest, à trois semaines des législatives.
Un chiffre colossal pour un pays de 10 millions d’habitants.
Imagine t-on un Macron rassembler 3,3 millions de personnes à Paris ?
Dans un vibrant discours célébrant l’identité hongroise et la défense de la patrie, le Premier ministre a enflammé son peuple, remonté comme jamais contre une Europe qui n’a d’autre obsession que de détruire les nations et d’effacer des siècles d’histoire du vieux continent.
Orban sonne une nouvelle fois le tocsin, estimant que c’est une bataille existentielle qui se joue, pour la survie de la Hongrie et de l’Europe.
“Les pays qui n’arrêtent pas l’immigration seront perdus”.
“l’Afrique veut défoncer notre porte, et Bruxelles ne nous défend pas”.
“L’Europe subit une invasion, et les élites européennes regardent avec leurs mains en l’air”.
“ Ils veulent qu’en quelques décennies, de notre propre gré, nous donnions notre pays à d’autres. Des étrangers venus d’autres coins du monde qui ne parlent pas notre langue, ne respectent pas notre culture, nos lois et nos modes de vie. Qui veulent remplacer les nôtres par les leurs. Ils veulent qu’à l’avenir, ce ne soit plus nous et nos descendants qui vivent ici, mais d’autres.”
Pour Orban, le multiculturalisme est une illusion, car les sociétés musulmane et chrétienne ne s’uniront jamais.
Et d’enfoncer le clou en dénonçant l’irresponsabilité d’Angela Merkel :
“Je n’ai jamais compris comment le chaos, l’anarchie et le franchissement illégal des frontières étaient considérés comme des choses positives dans un pays comme l’Allemagne, que nous considérons comme le meilleur exemple de discipline et de respect de la loi”.
On mesure l’abîme qui sépare un Viktor Orban, le Charles Martel de l’Europe, et un Macron, qui mène une politique immigrationniste délirante qui ruine la France et dynamite la cohésion nationale.
Les pays de l’Est sont le dernier rempart contre l’idéologie mondialiste qui mène l’UE à sa perte.
Il y a quelques mois, c’est le président tchèque Milos Zeman qui évoquait “les émeutes raciales » récurrentes en France, sur fond de “guerre séculaire avec l’islam”.
“J’ai déjà parlé, il y a quelques années, de ces zones interdites où les policiers ont peur d’entrer la nuit. Un lecteur en colère m’avait écrit et dit que j’inventais tout cela, que ces “zones interdites” n’existaient pas. Donc je lui ai répondu que lorsqu’il visiterait Bruxelles, il devait aller à Molenbeek et que s’il visitait Paris, il devait aller à Saint-Denis….je pourrais en trouver beaucoup d’autres. J’ai dit, dès le début, que la culture de ces migrants était incompatible avec la culture européenne”.
En Pologne, le discours est le même.
“On ne veut pas vivre le chaos racial dans lequel vous vivez”, dit un citoyen polonais.
“On veut préserver notre identité. C’est notre droit. Ce n’est pas une question de racisme. Est-ce qu’on s’étonnerait de ne pas voir de blancs au Ghana et que les Ghanéens trouvent cela normal de ne pas en voir ? “
“Je suis venue en France avant et pendant l’Euro 2016 de football. Je n’ai pas reconnu ce pays alors que j’y étais venu en 1997… Comment avez vous fait pour laisser rentrer autant d’Africains et d’étrangers ? A Paris, c’est incroyable en tout cas. Du côté de la gare du Nord, je n’ai parfois croisé aucun Européen. On n’a plus l’impression d’être en Europe”.
On le voit, la cassure est totale entre ces deux Europe.
Celle des bisounours à l’Ouest, qui voient leurs pays s’effondrer sans réagir et en redemandent en votant systématiquement pour les fossoyeurs de la nation.
Et celle des patriotes de l’Est, qui savent très bien ce que signifie le mot liberté et qui sont prêts à quitter l’U.E si on leur impose une immigration qu’ils ne veulent pas.
Eux, ne comprendront jamais que les dirigeants occidentaux s’acharnent à détruire leur pays.
En attendant, Macron nous concocte la loi la plus immigrationniste qui soit, en élargissant le regroupement familial pour les dizaines de milliers de mineurs isolés qui déferlent sur la France. Il faut s’attendre à un tsunami gigantesque, qui va submerger notre pays dans les 10 prochaines années.
La France de demain, c’est le Mayotte d’aujourd’hui. Un volcan en ébullition.
Voici ce que dit le député LR Mansour Kamardine, qui soulignait en 2016 le risque de guerre civile :
“Mayotte, c’est 265000 habitants, dont seulement 100000 sont français. Et sur les 165000 restants, deux tiers sont en situation irrégulière.”
Mais en France, comme en Angleterre ou en Allemagne, tous ceux qui s’opposeront à cette entreprise de démolition de la nation, subiront les foudres de la justice.
C’est cela la mirifique Europe qui devait nous apporter le grand bonheur, la paix, la sécurité et le plein emploi !!!
Elle nous a privés de nos libertés et nous a apporté la dictature de la pensée unique.
Robert Ménard le maire de Béziers a été relaxé, hier en cour d’appel, de sa condamnation par la dix-septième Chambre correctionnelle, le 25 avril 2017, à 2000 euros d’amende pour « provocation à la haine ».
Et qu’avait fait Robert Ménard ?…Son métier de maire tout simplement, qui consiste entre autres à observer des faits et à les décrire.
L’élu avait twitté le 1er septembre 2016 le message suivant: « #rentréedesclasses: la preuve la plus éclatante du #GrandRemplacement en cours. Il suffit de regarder d’anciennes photos de classe ».
Et il avait récidivé le 5 septembre sur LCI :
« dans une classe du centre-ville de chez moi , 91 % d’enfants musulmans. Evidemment que c’est un problème. Il y a des seuils de tolérance (…) ».
Mais enfin au nom de quoi ce maire se mêle-t-il de dire la vérité ?… Il devrait être totalement interdit aux élus de dire le vrai, de dire ce qui se passe, de décrire les faits tels qu’ils sont.
Déja en mai 2015, Robert Ménard avait suscité un tollé en évoquant « 64,6 % » d’élèves de confession musulmane dans les écoles publiques de Béziers, une estimation basée sur… les chiffres de la mairie pour la cantine, tout simplement. Un maire n’aurait pas le droit de se baser sur des chiffres émis par la mairie. Ce qui est quand même inquiétant sur la fiabilité de ces chiffres…
Mais où va-t-on si les maires commencent à dire la vérité ?…Les élus ne nous ont jamais habitués à un tel luxe, nous, les sans dents.
Pourtant cette vérité était corroborée par des parents d’élèves musulmans eux mêmes, qui avaient à l’époque déploré que leurs rejetons ne soient pas exposés au français dans les cours de récréation. Car du coup leur français laissait clairement à déplorer et leur intégration serait problématique si cela continuait…
Les sept associations subventionnées pour répandre le haine et diviser, qui poursuivaient Robert Ménard, sont donc déboutées, à la grande joie de tous les gens honnêtes. L’une d’entre elles, la Maison des Potes, très sélective sur ses potes, a fait savoir qu’elle se pourvoyait en cassation. Tout le monde ne peut pas être Pote de la Maison des Potes.
Le motif de relaxe est peu clair. Les juges d’appel ont justifié ce revirement par un changement de la jurisprudence de la Cour de cassation, qui exige désormais que les propos incriminés contiennent « une exhortation éventuellement implicite » à la haine ou à la discrimination pour que le délit de « provocation » soit constitué, ce qui n’est ici, selon eux, pas le cas.
Là, les juristes vont certainement se faire des nœuds au cerveau : qu’est-ce que cette nouvelle catégorie d’infraction dernière née, « exhortation éventuellement implicite à la haine » ? En quoi une exhortation peut-elle être « éventuellement implicite » ? Parce que le mot exhortation, lui, est très clair. Il est synonyme d’encouragement et incitation. Il y a donc une contradiction dans les termes. Une exhortation est toujours explicite.
Exhortation implicite est donc un oxymore, c ‘est à dire une expression rapprochant des termes contraires, comme « se hâter lentement » dans « Le lièvre et la tortue » de Jean de La Fontaine.
L’oxymore visant à générer une apparente absurdité, nous ne sommes pas tirés d’affaire si nos juges la favorisent. Même si l’absurde est moins grave que l’injuste.
A se demander si la cour d’appel n’aurait pas besoin d’un petit cours de vocabulaire comme on en avait autrefois dans le primaire.
Le pote Samuel Thomas de la Maison des Potes voit dans ce changement de jurisprudence un « risque de libération de la parole raciste », rien que cela.
D’autres, optimistes, y verront les circonvolutions de juristes qui aimeraient un peu d’apaisement, et une occasion de se tirer dans les pattes entre magistrats, par ce désaveu de la dix-septième chambre.
Mais enfin ne rechignons pas trop, si une nouvelle jurisprudence même embrouillée permet à Robert Ménard d’être relaxé, on ne va pas faire la fine bouche.
Et si, comme « un merveilleux malheur », autre oxymore, titre d’un essai de Boris Cyrulnik, ce revirement de jurisprudence permettait que les associations lâchent un peu les baskets des patriotes, nous n’aurions qu’à nous en féliciter. Ce ne serait pas un malheur. Au contraire.
Publié le 13 mars 2018 – par Général Martinez dans “Riposte Laïque”
Monsieur le président de la République,
Lors de votre discours du 31 décembre dernier pour présenter vos vœux à nos compatriotes, vous affirmiez vouloir rendre la France plus forte et plus juste, 2018 devant être le renouveau de la concorde et de la cohésion de la nation. Vous inspirant d’une phrase célèbre vous déclariez : « Demandez-vous chaque matin ce que vous pouvez faire pour le pays », et vous invitiez les Français à s’exprimer pour « que toutes les voix, y compris discordantes, soient entendues ». Alors, si ma voix – en raison des propos qui suivent – sera probablement considérée comme discordante, vous devez au moins l’entendre. Sera-t-elle écoutée, c’est une autre affaire, mais l’important est qu’elle contribue à alimenter un débat devenu vital pour le salut de la nation, car comme vous le mentionniez dans votre allocution, « nous avons tous quelque chose à faire pour la nation ». C’est même un devoir pour moi qui l’ai servie longtemps sous l’uniforme et qui continue, avec d’autres lanceurs d’alerte, à la servir aujourd’hui avec conviction et détermination.
Comme vous le proclamez, vous êtes effectivement « le fruit d’une forme de brutalité de l’histoire, d’une effraction ». Une brutalité de l’histoire organisée de main de maître par des officines clandestines liées à un pouvoir à l’agonie et qui a conduit en 2017 à l’élimination du candidat promis à la victoire de l’élection présidentielle. Et une effraction, résultat du hold-up démocratique qui a suivi. En bafouant ainsi la démocratie, on a réussi à empêcher le débat qui était devenu prioritaire, à savoir la nécessaire réaffirmation de notre identité culturelle et civilisationnelle face à la barbarie qui s’installe avec la complicité de collabos félons et qui constituera pour longtemps un obstacle à la concorde et à la cohésion de la nation. Un curieux déroulement forcé des événements pour espérer une France plus forte. Alors, si vous affirmez que « Je n’oublie pas d’où je viens », vous permettrez d’affirmer à notre tour que nous n’oublions pas, nous non plus, d’où nous venons, ce qui précisément nous permet de savoir où nous ne voulons pas aller. Car l’histoire est tragique. Votre prédécesseur, refusant l’évidence, l’a découvert brutalement le 14 juillet 2016. Vous commettriez une grave erreur en misant toute votre action sur la seule amélioration de la situation économique du pays. Le vrai problème aujourd’hui n’est pas économique, il est culturel. Conduire la destinée d’un pays, d’un peuple ne se réduit, en effet, pas à une gouvernance inspirée du management des grandes entreprises. Il y a d’autres ressorts qui conduisent un peuple à vouloir faire ensemble, ce qui naturellement permet de vivre ensemble. Car un peuple a une histoire, une mémoire, une âme qui le caractérisent et ne pas vouloir en tenir compte et s’attacher à dégrader ou à détruire ce qui a constitué ce socle unificateur, en favorisant l’implantation d’un autre peuple porteur d’une culture totalement étrangère, c’est le vouer à sa perte. Ce n’est pas ce que les citoyens attendent de leurs dirigeants politiques.
A votre demande, la réflexion est aujourd’hui engagée et des projets de loi sont à l’étude (« fake news », asile, immigration, islam). Tous ces thèmes, traités simultanément, sont cependant étroitement liés entre eux ce qui traduit en réalité – c’est un aveu implicite – la reconnaissance d’un même problème, d’un même péril : l’islam. L’islam qui n’est pas une religion, mais un corpus politico-religieux, un système qui régit tous les aspects de la vie quotidienne, une idéologie totalitaire et mortifère incompatible avec nos valeurs, notre civilisation et la démocratie. La lettre ouverte adressée au Premier ministre, le 09 août 2016, rappelant l’incompatibilité de l’islam avec nos valeurs et suggérant les réponses à y apporter vous est communiquée. Cela permet de porter ici l’attention sur ces projets de loi et la réflexion engagée et sur les doutes sérieux qu’ils suscitent quant à leur finalité, surtout après votre déclaration du 09 novembre dernier aux Emirats Arabes Unis : « Ceux qui veulent faire croire que l’islam se construit en détruisant d’autres monothéismes vous trahissent ». Sauf votre respect, ce propos est effarant car, hormis le signe malheureux d’une soumission qu’il traduit, c’est nier l’évidence et refuser de reconnaître le massacre ou la mise en esclavage d’une multitude d’êtres humains dans le monde et dans l’histoire parce que non musulmans ou qui ont refusé de le devenir. Doit-on rappeler que la seule relation entre l’islam depuis sa naissance et notre civilisation européenne forgée par notre héritage gréco-romain et judéo-chrétien est marquée par la confrontation continue ? Et depuis la fin de la Guerre froide, nos dirigeants politiques n’ont cessé de reculer sous les assauts de l’islam conquérant qui a su créer le désordre et la discorde jusque dans l’école. Cette école qui pendant très longtemps a été le lieu de baptême de la démocratie mais qui en a désormais sonné le glas. Etes-vous conscient que dans une multitude d’écoles, la langue française est devenue une langue étrangère ? Votre prudence, comme celle manifestée par vos prédécesseurs, résonne aujourd’hui, dans ce rapport de force engagé par l’islam et auquel vous n’échapperez pas, comme un renoncement à affronter l’esprit totalitaire. Lors de votre visite récente à Calais, le dialogue engagé avec un prétendu réfugié ne laisse aucun doute sur l’angélisme et la naïveté, voire le déni de nos autorités. Entré il y a deux ans illégalement sur notre territoire, il prétend avoir fui la guerre. Qui peut croire qu’un père de cinq enfants abandonnerait ainsi sa famille dans un pays en guerre ? N’est-on pas là devant ce que vous appelez une « fake news » ? S’agissant de l’asile, chacun sait que le droit d’asile réservé à ceux qui encourent dans leur pays les violences d’Etat est complètement dévoyé. On détourne aujourd’hui la loi sur l’asile en accueillant toute la misère du monde et en maintenant sur notre sol – en violation totale de nos lois – ceux qui en ont été déboutés et ce, au détriment de nos propres miséreux. Sur l’immigration, la démonstration est faite avec ces territoires perdus de la République et avec la violence meurtrière qui a jusqu’ici frappé la France et l’Europe qu’avoir accepté depuis plusieurs décennies une immigration musulmane, dans une société occidentale laïcisée qui a pour fondement le christianisme, sans exiger en contrepartie sa soumission à nos lois, à nos valeurs, à nos traditions et à notre mode de vie, est une pure folie. Quant à l’invasion migratoire que subit l’Europe depuis 2015, elle est globalement de même nature sur le plan culturel et constitue une attaque sans précédent des peuples européens visant à les déstabiliser puis à les déstructurer à terme avec une arme redoutable, la démographie. Enfin, la lutte contre la radicalisation n’est qu’une vaste farce consternante, car vouloir déradicaliser ces fous d’Allah, convaincus par leur idéologie de mort, est utopique et constitue donc une perte de temps et d’argent.
Alors, devant les drames qui se préparent, il n’est pas raisonnable de continuer à favoriser l’implantation de l’islam dans notre pays. Il faut au contraire adopter des mesures coercitives propres à inverser le cours des choses. Vous n’avez pas le droit de sacrifier l’avenir du peuple français et son histoire bimillénaire pour satisfaire les exigences des derniers arrivants et leur esprit de conquête. Votre devoir n’est pas d’organiser l’islam en France mais de faire respecter et appliquer nos lois et au besoin d’envisager la remigration de ceux qui considèrent la loi islamique supérieure à celle de la République. Nous ne voulons pas de la charia, la loi islamique, dans notre pays. Et la charia, qui a été déclarée incompatible avec la démocratie par la CEDH en 2003, c’est, entre autres, le voile – sous toutes ses formes – le refus de la liberté de conscience et par voie de conséquence de la liberté d’expression, le refus de la laïcité, le rejet de tout ce qui n’est pas musulman, l’infériorité de la femme, la mort pour les apostats, etc. Contrairement à ce que certains de vos conseillers préconisent, il est donc inimaginable de créer une taxe « halal » pour financer cette idéologie incompatible avec nos valeurs. Ce serait une double faute : admettre que la charia (halal=charia) est supérieure à la loi de la République et collaborer à son implantation criminelle. Cette pratique barbare d’abattage des animaux, indigne d’un pays civilisé, et qui de surcroît présente des risques sanitaires sérieux, doit même être supprimée.
L’heure est grave, Monsieur le Président. Gouverner c’est prévoir, et pour obtenir la concorde dans le pays, à condition de le vouloir, il faudra du temps (plusieurs décennies). Mais il faut auparavant réussir à rétablir un minimum de cohérence interne de la société sur les plans culturel et civilisationnel. Car l’obsession mondialiste et bien-pensante prônant le multiculturalisme qui n’est en réalité qu’un biculturalisme est une véritable imposture, mais une imposture sanglante. Et la menace qui pèse dorénavant sur la nation à cause de tant de trahison de la part de ses élites politiques peut être illustrée par ces trois citations révélatrices et à méditer :
« La nationalité musulmane est une supranationalité (…) Elle est au-dessus de toutes les nationalités (…) L’islam n’a plus à être considéré comme une simple religion mais comme un fait politique majeur dans notre pays (…) l’islam est un phénomène socio-politique (…) c’est une idéologie de lutte, une idéologie d’agression » (Dalil Boubakeur, recteur de la Grande mosquée de Paris),
« Ce corpus de textes et d’idées que nous avons sacralisé depuis de nombreuses années suscite l’hostilité à notre égard du monde entier (…) Est-il concevable que 1,6 milliard de personnes puissent penser qu’elles doivent tuer les autres membres de l’humanité, qui compte sept milliards de personnes aux fins de pouvoir vivre ? » (Abdel Fattah al Sissi, président de l’Égypte),
« Avec vos lois démocratiques nous vous coloniserons, avec nos lois coraniques nous vous dominerons » (al Qaradawi, théologien prédicateur des Frères musulmans).
Il est donc temps de crever l’abcès. Repousser l’échéance ne fera qu’aggraver la situation car il n’est pas nécessaire d’être grand clerc pour comprendre que l’absence de décisions fermes des dirigeants politiques pour inverser le cours néfaste de cette islamisation à marche forcée de notre pays, contraire aux intérêts de la nation française, conduira inévitablement au chaos, à la guerre – cette guerre qui vient inexorablement – sur notre propre sol. Car 30 % des musulmans dans notre pays aujourd’hui (28 % cf. rapport Institut Montaigne) sont radicalisés, réclament l’application de la charia et utilisent leur « religion » comme un outil de rébellion contre la société française et contre l’Occident en général. Ils combattent nos lois, nos valeurs, nos principes de vie et sont prêts à en découdre. Et des citoyens, de plus en plus nombreux, attachés à leur héritage historique, spirituel et culturel, exaspérés par l’aveuglement, le déni et le manque de courage de leurs élites politiques et ne comprenant pas leur absence de vision à long terme sont, eux, de plus en plus déterminés à vouloir défendre la terre de leurs ancêtres, leur patrie, contre les derniers arrivants qui rêvent du califat mondial. Il est déjà miraculeux qu’ils aient fait preuve de sang-froid et de responsabilité après les carnages et les actions barbares qui ont frappé la France récemment. Mais personne ne peut dénier au peuple français le droit de vouloir défendre son identité et manifester sa volonté d’assurer sa continuité historique. C’est son droit le plus légitime. C’est le droit de tout peuple, de toute nation. Depuis trop longtemps, par naïveté, manque de clairvoyance, déni de réalité, voire collaboration croyant sauver ainsi la paix civile et sociale, la classe politique n’a cessé de fournir et mettre en place tous les ingrédients qui alimentent les tensions et conduisent à la guerre sur notre propre sol. Il est minuit moins le quart, Monsieur le Président, trois fois cinq minutes symbolisées par les trois prochaines années de votre quinquennat. L’islam doit être soumis aux lois de la République ; et ceux qui ne l’acceptent pas doivent partir, voire être poussés vers la sortie.
Avec l’expression de ma très haute considération.
Le 05 mars 2018
Antoine MARTINEZ
Officier général (2s)
Entre 2010 et 2018, le nombre d’Égyptiens est passé de 78 à 96 millions. C’est près d’un quart de la population en plus, une véritable bombe démographique.
Étouffante, polluée et encombrée, la ville du Caire est une parfaite illustration de ce qui attend l’Égypte d’ici 20 ans : un pays surpeuplé au bord de l’asphyxie démographique. Avec une naissance toutes les treize secondes, l’Égypte dépassera les 100 millions d’habitants d’ici trois ans. C’est à la fois une menace pour le pays et un casse-tête pour les autorités. Plus de mariages, plus de naissances, un cocktail potentiellement destructeur alors que 10% seulement du territoire égyptien est considéré comme habitable le long des côtes et du Nil.
Un cas qui n’est pas isolé
L’Égypte n’est pas le seul pays dont la population est en train d’exploser. “C’est un phénomène mondial. Il y aura 10 milliards d’habitants sur Terre en 2050, autant dire demain. L’explosion démographique est déjà en cours. Le continent qui va croître le plus vite, c’est l’Afrique. […] 46 pays vont voir leur population baisser dans les 30 prochaines années, tous dans l’hémisphère nord”, analyse Alban Mikoczy.
Andreas Geisel, ministre de l’Intérieur du land de Berlin, a déclaré mercredi que la haine envers les Allemands était en hausse dans la capitale allemande.
« La haine contre les Allemands existe en Allemagne. Ce n’est pas la norme, mais cela devient de plus en plus courant – ce serait une erreur que de nier le phénomène », a déclaré Geisel au quotidien Tagesspiegel.
« Que pouvons-nous y faire? Il est clair que nous devons intensifier nos efforts pour intégrer les gens. Cela inclut des cours d’allemand et d’éthique pour les réfugiés, de manière optimale pour tous », a ajouté le social-démocrate.
Le ministre de l’Intérieur répondait à un long rapport publié mardi par Tagesspiegel qui se demandait si Berlin devenait « un lieu de peur ».
Le journal a relaté les expériences individuelles de différents Berlinois qui avaient contacté le journal pour faire valoir que la ville devenait un lieu «d’agression accrue avec un sentiment de peur». Et ce sentiment a quelque chose à voir avec l’arrivée des réfugiés.
Philippe Val, journaliste et ancien directeur de publication de Charlie Hebdo était l’invité de #Punchline sur CNEWS. Pour lui “”La crise migratoire à Mayotte est un signal d’alerte”.