Il y a 56 ans… la plus grande crèche du monde s’installait à Paris


En 1960, les crèches de Noël étaient encore un aimable sujet de fin d’année sans aucune polémique. Le Figaro présente une installation géante sous un chapiteau de cirque, promue par Radio-Luxembourg.

En cette fin d’année 1960, la porte Maillot à Paris accueille le chapiteau du Grand cirque de France. Et contrairement à d’habitude, les lieux n’accueillent ni clown, ni trapéziste, mais ce qui se présente comme la plus grande crèche du monde, sous le patronage de Radio-Luxembourg. «Il s’agit en fait d’un «mistere» de la plus ancienne tradition ,écrit Le Figaro, mais utilisant toutes les ressources de la technique moderne – son stéréophonique, jeux de lumière – dont la durée n’excédera pas les forces du jeune public: une demi-heure.»

À une époque où la présence de crèches ne soulevait pas encore de débats devant le Conseil d’État, le spectacle était assuré «dix fois par jour entre 15 et 23 heures, du 25 décembre au 4 janvier, la première ayant lieu la nuit de la Nativité avant la messe des gens du voyage célébrée sous le chapiteau même, par Mgr Rhodain.»

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Les crèches ont bien changé en un siècle

Pourquoi le Japon préserve son identité dans la mondialisation : «Ouvrir le pays aux immigrés serait la remise en cause de son harmonie»

Le Japon reste aujourd’hui encore la troisième économie mondiale, pourtant il ne transige pas avec ses traditions. Face à la doxa libérale, il revendique une identité qui fait la part belle au groupe et à l’homogénéité.

Imaginez un pays qui refuserait les plus grands dogmes de la mondialisation et qui parviendrait pourtant à se hisser dans le tiercé gagnant de l’économie planétaire! Ce pays existe: bienvenue au Japon. (…)

L’immigration, qui pourrait pourtant compenser le déséquilibre de la pyramide des âges est nulle ou quasi nulle et même les immenses besoins de reconstruction post-tsunami n’ont pas suffi à faire ouvrir les vannes. Seuls quelques «guest workers» (travailleurs invités) sont acceptés sur les chantiers, mais ils n’ont d’invités que le nom. Leur travail est précaire, conditionné dans le temps, ils ne peuvent pas faire venir leur famille et ils sont renvoyables dans leur pays à tout moment.

(…) Pour comprendre cette situation, il faut aller chercher du côté de la psyché, de la culture et de la tradition.

Ouvrir l’archipel aux immigrés serait pour un Japonais la remise en cause de l’équilibre et de l’harmonie nécessaire au pays, avec un risque de perte de ses traditions.

(…) En bref, les Japonais préfèrent donc penser que les robots assureront plus sûrement leur avenir que n’importe quelle mutation qui remettrait en péril leur identité.

Cette résistance aux oukazes de la mondialisation n’a pas pour l’heure pénalisé l’archipel. Le pays reste la troisième économie mondiale. (…) Nous sommes bien ici dans un face-à-face de deux modèles cohérents et totalement différents. D’un côté, la proposition libérale est celle de l’émancipation de l’individu par sa perfomance dans un ensemble fait de diversité et dans un temps qui va toujours plus vite. De l’autre, la proposition japonaise est celle d’une identité qui fait la part belle au groupe et à l’homogénéité dans une culture du temps long.
Que le Japon perde cette bataille et il sera pour les adorateurs de la doxa libérale la preuve que la mondialisation représentait bien le sens de l’Histoire. Que le Japon parvienne à résister et il demeurera pour les partisans de l’identité des nations la preuve de «la possibilité d’une île» comme dirait Houellebecq. En attendant l’issue de cette mère des batailles, le Japon est bel est bien devenu le premier laboratoire de la mondialisation.

Le Figaro

Europe : des politiques de plus en plus hostiles aux migrants

Ils sont un milliard, un habitant sur sept à travers le monde est un migrant. C’est aujourd’hui la journée internationale des migrants instaurée par l’ONU. L’occasion de prendre conscience de ces déplacements accrus par les différents conflits dans le monde. L’Europe est une destination des ces migrants même si elle reste loin derrière les pays d’Asie et d’Afrique, ceux à proximité immédiate des zones de conflit, qui assurent l’essentiel de l’effort.

Les peuples de France


La petite phrase du philosophe Alain Finkielkraut concernant les obsèques de Johnny Hallyday sur « les non-souchiens brillaient par leur absence » a déclenché une vive polémique.

Pourtant, c’est l’exacte vérité. Il suffisait de regarder les images pour se rendre compte qu’à de très rares exceptions le blanc dominait outrageusement. Ce qui dans les rues de Paris aujourd’hui est plutôt rare. Bien entendu, il n’est pas ici question de reprocher aux minorités de plus en plus visibles leur goût musical. N’étant pas un fan de feu l’idole des jeunes cela serait malvenu de ma part.

Mais cette absence est tout de même révélatrice. Tout comme était révélatrice la très faible présence de ces mêmes minorités visibles lors de la marche en l’hommage de Charlie Hebdo en janvier 2015. Ce qui a fait dire au lapin taquin sur twitter, un poil perfide : « C’est vrai qu’il y avait que des Blancs à l’hommage à Johnny. On aurait dit une manifestation contre le terrorisme. » Ces absences prouvent une chose. Aujourd’hui, en France, il n’existe plus un peuple français mais des peuples vivant en France. Des peuples qui ne se comprennent pas. Des peuples qui ne partagent pas les mêmes valeurs, les mêmes traditions. Des peuples qui ont leurs propres cultures et coutumes. Des peuples qui ont leurs propres idoles. Une belle baffe au concept vide du « vivre ensemble ».

Il y a même un peuple qui réclame aujourd’hui d’avoir sa propre langue. Nous saurons probablement en 2018 si le gouvernement français cédera à la revendication des autonomistes corses sur la reconnaissance officielle de la langue corse ce qui aboutira à son utilisation dans tous les domaines de la vie publique (éducation, administration, médias, services publics etc…). D’autres peuples attendent patiemment l’ouverture de cette boîte de Pandore. En effet, comment pourra t-on justifier dans le futur de refuser un statut analogue à la langue arabe alors qu’une récente étude américaine du Pew Research Center estime à 13 millions le nombre des musulmans dans notre pays en 2050 ? Le détricotage de la nation française n’en est qu’à ses débuts. Inconsciemment, c’est aussi cela que pleuraient des millions de Français de souche avec la disparition d’une idole française. Cela ne concernait qu’un peuple. Pas les autres.

Rédaction de Civilwarineurope

Wauquiez, la droite « dure » avec des élus qui aident les mosquées dans toute la France

Document présenté par Joachim Véliocas rendant compte de l’engagement pro actif des élus Républicains pour la construction des mosquées, à mille lieues des discours de fermeté tenus par Laurent Wauquiez. Le nouveau président de LR n’a jamais recardé ses lieutenants mettant des terrains municipaux à disposition des islamistes avérés (voir le livre Ces Maires qui courtisent l’islamisme). Il a toujours laissé faire, et laissera faire.

Finkielkraut sur l’hommage à Johnny : « Le petit peuple blanc est descendu dans la rue, les non-souchiens brillaient par leur absence »



Quand Laurent Joffrin donne raison à Alain Finkielkraut : « C’est vrai que les banlieues n’étaient pas là lors de l’hommage à Johnny »

Encouragez les jeunes talents youtubers !


Ajoutez des commentaires à la page RuTube : http://rutube.fr/youtubers/

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Nous attendons de vous de donner le nom de chaines youtube vraiment originales avec des jeunes youtubers qui veulent vraiment percer.

Le décès de Johnny Hallyday, icône de la chanson française.

Mort de Johnny Hallyday : une cérémonie historique samedi à Paris. Le cortège funéraire devrait descendre les Champs-Elysées, avec un passage place de la Concorde.
Les obsèques de Johnny Hallyday, décédé dans la nuit de mardi à mercredi à l’âge de 74 ans, se précisent. La famille du chanteur et les autorités privilégient l’organisation d’une grande cérémonie ce samedi 9 décembre, à Paris, a-t-on appris de sources policières. Tout sera définitivement arrêté ce jeudi matin, à l’issue de dernières réunions préparatoires.


Avec la mort de Johnny Hallyday, dans la nuit du mardi 5 au mercredi 6 décembre, à l’âge de 74 ans, c’est une légende de la chanson française qui disparaît.

L’artiste était devenu un mythe vivant en France, ayant conquis un très large public qui appréciait autant sa personnalité et sa sensibilité que ses chansons. Sa carrière est phénoménale, il a enregistré plus de mille titres, composé une centaine de chansons et vendu 110 millions de disques.

Johnny Hallyday en chiffres :
110 millions de disques vendus
3239 concerts
187 tournées
79 albums dont 29 «studio»
40 disques d’or
29 millions de spectateurs
9 -Stade de France-

1964 : quand Johnny Hallyday revenait de son service militaire (video)

Le nombre d’entrées de réfugiés aux Etats-Unis s’effondre de 83% pour la période octobre-novembre

Le nombre de réfugiés admis aux Etats-Unis s’est effondré depuis que Donald Trump a levé leur interdiction d’entrée de 4 mois. Seuls 3 108 réfugiés sont entrés aux Etats-Unis en octobre et novembre. L’administration Obama en avait admis 18 300 pour la même période de l’année dernière. Les nouveaux chiffres représentent une chute de 83%.

Trump a réactivé le programme d’admission de réfugiés en octobre. Un mois plus tôt, il avait abaissé leur seuil annuel d’admission de 110 000 à 45 000 (plus bas niveau historique). A ce rythme, il est pourtant peu probable que l’administration approche ce chiffre.

Cette limite s’ajoute au décret anti-immigration touchant 7 pays à majorité musulmane. Trump avait promis durant la campagne présidentielle de «stopper le flux massif de réfugiés» pour protéger le pays des terroristes.

«La stratégie du président sur les réfugiés est guidée, avant toute autre considération, par la sécurité du peuple américain», a déclaré Helen Aguirre Ferré, porte-parole de l’administration Trump, à Fox News. «Les Etats-Unis peuvent aussi aider un grand nombre de réfugiés en les réinstallant dans leur région d’origine et en leur permettant de retourner en toute sécurité chez eux».

Moins de musulmans figurent parmi les nouveaux réfugiés, selon le rapport publié. Les musulmans représentaient environ 40% des réfugiés admis aux Etats-Unis en novembre 2016. Mais depuis novembre dernier, ils ne sont plus que 10%.

Dans le même temps, l’administration a déclaré s’être retirée du pacte mondial pour les réfugiés, un accord qui avait été conclu lors de l’assemblée générale de 2016 par Barack Obama et qui visait à organiser les mouvements migratoires dans le monde.

(…)

Source (traduction @fandetv)