Gilets jaunes : mais où étaient donc les musulmans, le 17 novembre ?

Publié le 19 novembre 2018 – par Christine Tasin (Riposte Laïque)

La « diversité », les « nouveaux Français », la « France de demain » chère à Mélenchon : aux abonnés absents, le 17 novembre !

Ces gens si prompts à agiter leur carte d’identité ne se sentiraient pas concernés quand les Français d’origine sont dans la rue ?

Eux si prompts à l’occuper, la rue, à pleurnicher, à quémander, à réclamer une égalité de droits (ou plutôt une supériorité de droits – mais pas de devoirs…). À moins qu’ils ne soient tellement occupés à lécher le cul de Macron pour obtenir un statut spécifique et privilégié pour l’islam qu’ils ne veulent absolument pas le fâcher ?

Tous les témoignages reçus, toutes les images, toutes les vidéos concordent. La France du 17 novembre est la France des « de souche », la France des lépreux, la France d’il y a 50 ans, blanche, mixte, goguenarde, aimant rire et persifler, aimant danser, hommes et femmes main dans la main, et se révolter. Des Français qui disent « nos ancêtres les Gaulois » et qui ne se posent pas la question de savoir si leurs ancêtres sont Gaulois, Francs, Normands, Romains, Italiens, Espagnols, Portugais, Vikings… Des Français qui se sentent chez eux – pour combien de temps encore ? – en France.

Mais où étaient-ils, ces immigrés, et notamment ces musulmans qui occupent tant nos dirigeants et qui intéressent tellement les politiques qu’ils obsèdent ?

Ils obsèdent l’ONU et la CEDH, qui cherchent par tous les moyens à modifier nos lois et nos coutumes pour nous imposer les barbus et les voilées. Ils obsèdent Collomb, mort de peur, qui a même préféré s’enfuir la queue basse plutôt que de les gérer. Ils obsèdent Macron, qui passe ses jours et ses nuits à chercher quoi leur offrir pour obtenir la paix, au moins tant qu’il est aux manettes. Ils obsèdent les tribunaux, qui ne savent plus où donner de la tête devant les délinquants musulmans, devant les plaintes contre les Résistants à l’islamisation. Ils obsèdent policiers et pompiers, vivant dans la crainte de devoir intervenir dans leurs quartiers, au risque de finir grillés dans leur voiture…. Liste illimitée, mais chacun comprend ce que je veux dire.

La Seine-Saint-Denis, les quartiers nord de Marseille, Lille… les 1 000 quartiers à problèmes (devenus de ce fait « prioritaires » !) ont fait les morts le week-end dernier, c’est indubitable. D’ailleurs, s’ils ne l’avaient pas fait, la contestation aurait tout de suite tourné en scènes d’horreur, en voitures et poubelles brûlées, en vitrines cassées, en rues dévastées… Il y a un monde entre notre manière de manifester, de façon bonhomme, et la violence endémique de toute manifestation islamique. C’est d’ailleurs, pour le moment, leur force, leur moyen de pression. Même la CEDH a refusé la liberté d’expression à une Autrichienne par peur des émeutes…

Pas une émeute. Pas d’Allahu akbar. Rien de tout cela, une preuve de plus que la diversité n’était pas là.

Les musulmans se fichent de nos demandes, de nos contestations, ils ne se joignent pas à nous. Pourquoi ?

Ne seraient-ils pas concernés par le prix de l’essence ?

Ne vont-ils pas travailler ?

Ne circulent-ils pas ?

Cochez la bonne réponse. On peut en cocher plusieurs.

– Ils ne travaillent pas.

– Ils ont des moyens de vivre dépassant largement ceux du Français moyen, du sans-dents.

– Ils sont tellement formatés par l’islam que seule la défense de cette saloperie d’islam les fait sortir de chez eux et se mobiliser.

Leur mission est en train d’aboutir, la France est presque totalement islamisée, presque totalement soumise à la charia, en douceur et par le chantage, à la fois par les efforts conjugués de la taqîya des Frères musulmans et à la fois par la violence des masses musulmanes en émeute et celle des terroristes. Macron prépare l’islam de France, il se prépare à signer le Pacte mondial des migrations… Bientôt, il prendra Marwann Muhammad comme Premier ministre… Les musulmans ne voudraient surtout pas, par une participation maladroite à la contestation en masse de Macron, permettre à ce dernier de reculer…

Quelles que soient les raisons que vous avez cochées, il n’y a qu’une conclusion à tirer de tout cela : les musulmans qui se mettent à l’écart d’un mouvement de masse comme celui des gilets jaunes montrent qu’ils ne se sentent pas français, qu’ils ne sont pas français, ce qui démontre, ô combien, ce que nous affirmons depuis des lustres : l’islam est incompatible avec la France, avec la République, avec les Français.

Christine Tasin

http://resistancerepublicaine.eu/2018/11/19/gilets-jaunes-mais-ou-etaient-donc-les-musulmans-le-17-novembre/





Au moment où Brigitte combat la fessée, Macron se prend une grande claque

Dîner pincé, le 17 novembre au soir, à l’Élysée. Le menu est pourtant excellent, mais les nouvelles contrarient le jeune Président, qui n’aime pas être contredit. On ne contredit pas un énarque sorti de l’« Inspection », comme on dit entre initiés.

Juste au moment où Brigitte se lance dans un émouvant, et ô combien utile, combat contre la fessée – ce mal du siècle -, son petit mari se prend une grande claque de la part de cette valetaille de gilets jaunes. De quoi vous flanquer une indigestion de pigeonneau en gelée au jus de truffes.

L’image du winner startuper mondial en prend un sacré coup : et qui l’a ainsi métamorphosé en loser ? Ces gens qui ne sont rien. Lui qui rassemblait, autour de lui, tout le gratin mondial la semaine dernière, se permettant de se payer la tête de Trump et d’insulter les mal-pensants Serbes, le voilà ravalé au rang de petit Président contesté par ceux qu’il ignore superbement depuis son investiture.

Car ce sont bien les oubliés qui se rappellent à lui subitement et en nombre malgré les avertissements désintéressés, bien sûr, de la presse bien-pensante : « Que risquent les gilets jaunes ? » Devant des policiers qui leur ressemblent, les Français, comme je n’en avais récemment vu qu’aux obsèques de Johnny, sont sortis de chez eux. Vous savez, pas ceux qu’on voit en toute occasion dans les télés pour célébrer la « diversité », mais des Céfrans qui n’ont pas la possibilité de passer à la télé, déjà parce qu’ils bossent et qu’ils sont, de plus, ignorés par la plupart des journalistes. J’ai même vu un gilet jaune prévenir : « Gaulois en colère ».

La banlieue subventionnée assiste en silence à leur sortie en force. Grigny et Viry-Châtillon en restent stupéfaites. Curieusement, aussi, je n’ai pas vu de drapeau algérien brandi par ces manifestants-là, juste de nombreux drapeaux bleu-blanc-rouge.

Surpris, aussi, les policiers qui s’entendent interpeller par des « La police avec nous » que seuls les plus anciens d’entre eux avaient déjà entendus. Résonnent aussi de nouveaux « Pose ton casque », « Fais comme les Italiens ». Diable, à l’Élysée on n’en arrive à ne pas savourer le délicieux moelleux au pur cacao bio et équitable d’Équateur. Soirée gâchée.

Source Boulevard Voltaire