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Voici une chanson qui rafraichit la tête. C’est beau et simple avec une voix chaude et envoutante. Une chanson comme on en faisait avant. Les temps ont bien changé alors profitez bien de ce petit bonbon acidulé qu’on se repasse en boucle sans se lasser.
Here is a song that refreshes the head. It's beautiful and simple with a warm and captivating voice. A song like we did before. Times have changed a lot, so take advantage of this little tangy candy that you can watch over and over again without getting bored.ADDFREESTATS.COM AUTOCODE V4.0 –> Ecoutez DJMusic.fr Publié le Catégories Non classéLaisser un commentaire sur La chanson du jour, Hell Or High Water – Passenger
Nanterre : le migrant congolais viole deux patientes de 78 et 68 ans dans un hôpital avant de violer une enfant de 12 ans
Articles : Nov.2022 – Oct. 2022 – Sept. 2022 – Aout 2022 Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887
Les hôpitaux français, c’est quelque chose.
La douceur de sa voix, son ton dépourvu d’acrimonie, sa retenue naturelle en feraient presque oublier, un instant, l’horreur de son récit. Elle qui, à 78 ans, pensait sans doute être à l’abri d’une telle effraction dans son intimité. En particulier au sein d’un établissement de santé…
Et pourtant. Ce 27 juillet 2022, voilà déjà deux semaines qu’Agnès (les prénoms ont été modifiés) est soignée pour une mauvaise chute à l’hôpital Max-Fourestier de Nanterre (Hauts-de-Seine), au rez-de-chaussée d’un des pavillons composant ce vaste ensemble hospitalier, qui comprend également un lieu d’accueil pour les sans-abri. Ce matin-là, il est environ 9h30 lorsqu’un homme — ni soignant, ni visiteur, ni patient — s’introduit dans la chambre qu’elle partage avec une autre patiente.
« Je lui ai demandé ce qu’il voulait, il a juste mis son doigt devant sa bouche, en signe de silence. J’ai commencé à avoir très peur », raconte la vieille dame. L’homme jette un œil derrière le rideau de séparation, « comme s’il choisissait sa proie », se penche sur le lit d’Agnès et tire violemment ses jambes vers lui. « Je répétais : Ah non ! Vous ne me ferez pas ça ! » raconte-t-elle.
Las, elle subit un premier assaut et une pénétration forcée. L’inconnu s’approche même une seconde fois, mais Agnès agrippe violemment son membre et le tord. « Je voulais qu’il reste des traces pour qu’on l’identifie », témoigne-t-elle, digne. Enfin alertée par les cris de deux dames, une infirmière accourt et se jette sur lui. Mais il la frappe et disparaît en courant au bout du couloir.
Sophie, la fille d’Agnès, n’est avertie qu’en début d’après-midi. « Votre maman a eu un petit souci, voilà ce qu’on m’a annoncé, se souvient-elle. Ce n’est qu’une fois sur place qu’on m’a parlé de viol. J’étais scotchée. » Instinctivement, Sophie demande s’il y a d’autres victimes. Silence. Elle apprendra finalement, « par des bruits de couloir » et des articles de presse, que l’homme en question a, en effet, récidivé moins de trente minutes après, en précipitant au sol une retraitée de 68 ans qui rejoignait son Ehpad, également situé dans l’enceinte de l’établissement… Celle-ci a également été violée.
« Ont-ils eu une réaction adaptée ? Ont-ils appelé immédiatement les policiers ? Comment a-t-il pu recommencer sans que personne n’entende crier, en plein jour, dans un lieu de passage ? » se demande aujourd’hui Sophie, très en colère, qui a décidé de porter plainte avec sa maman contre la structure pour « mise en danger de la vie d’autrui ». « C’est un lieu qui doit être sanctuarisé. Ce n’est tout simplement pas acceptable ! » résume-t-elle, pointant le défaut de sécurisation de l’hôpital.
Quelques jours avant les faits, Agnès s’était en effet plainte qu’on l’espionnait dans l’entrebâillement des fenêtres et avait insisté pour les garder fermées, en dépit des fortes chaleurs. Avait-il fait des repérages ? « J’ai eu le sentiment qu’il connaissait les lieux, il semblait à l’aise. C’est ça qui m’a fait le plus peur », témoigne encore la vieille dame, qui a entamé une psychothérapie pour surmonter son traumatisme.
Très vite, Sophie se rend également compte que l’issue de secours qui a vraisemblablement servi à l’agresseur s’ouvre très facilement de l’extérieur… Une défaillance déjà signalée à la direction par les infirmières. En vain. « Je leur ai dit : Il vient d’y avoir un viol, on ne peut pas laisser ça tel quel ! » Il lui est répondu que la porte est réparée. « C’était faux. Un mois après, tout ce qu’ils avaient fait c’était de placer une grande barre en bois pour empêcher la porte de s’ouvrir ! Y compris de l’intérieur… C’est n’importe quoi », s’agace-t-elle, clichés à l’appui.
« J’ai aussi appris que les soignants, par peur des agressions, réclamaient déjà depuis un moment d’être accompagnés d’un lieu à un autre. C’est bien la preuve que quelque chose ne va pas », poursuit Sophie. Dès le lendemain, sous la pression du personnel soignant, en colère, des vigiles supplémentaires sont embauchés, dont un posté à l’entrée du pavillon incriminé.
À l’époque, l’agresseur court encore. Ce SDF de 27 ans sera finalement interpellé le 9 septembre, presque par hasard, en train de frauder, gare de Lyon à Paris. Ses empreintes génétiques permettront de lui attribuer un troisième viol, commis deux jours après ceux de l’hôpital, toujours à Nanterre. L’homme avait repéré une fillette de douze ans depuis la rue, avait réussi à se glisser dans l’appartement par une fenêtre, l’avait enfermée à clé, étranglée, et lui avait imposé plusieurs actes sexuels avant de prendre la fuite. Un violeur en série présumé, qui a reconnu en garde à vue agir sous le coup de « pulsions » en ciblant des populations vulnérables. « C’est terrible, tout ça aurait pu être évité… », lâche Agnès en secouant la tête.
Contactée, la direction de l’hôpital, qui n’est pas informée du dépôt de plainte, fait valoir les mesures prises depuis les faits : contrôles d’identité systématiques, système de sonnette pour entrer dans les services, réparation de certaines caméras de surveillance et de toutes les portes… « On a énormément durci les conditions d’entrée, tout le monde a été assez traumatisé », reconnaît-on. Mais ces mesures, postérieures aux faits, sont sans incidence sur la plainte déposée fin septembre par Agnès et sa fille Sophie, contre l’établissement ainsi que sa directrice.
« L’hôpital a à sa charge des obligations de sécurité et de vigilance renforcées, compte tenu du public vulnérable qui y est accueilli, décryptent Mes Amelle Bouchareb, associée du cabinet Barok, et Ouadie Elhamamouchi, leurs avocats. Il a complètement failli à sa mission, en permettant un accès facilité et des intrusions, et ce alors même qu’il avait été alerté en amont. On a là des carences patentes et une inertie totale dont il va falloir répondre. » Sollicité, le parquet de Nanterre nous indique que la plainte « est encore à l’étude ». Une enquête pourrait être rapidement ouverte pour faire la lumière sur les dysfonctionnements dénoncés.
Pour Agnès, le mal est fait. Si elle refuse de s’épancher, par pudeur, l’expert psychiatre l’ayant examinée a relevé cauchemars, tristesse, culpabilité et honte. « Ma maman est devenue extrêmement anxieuse, alors que jusqu’ici, c’est elle qui me rassurait », dit Sophie. Mais leur souci est surtout altruiste : « On ne veut pas que ça se reproduise. » Quant à l’agresseur, des sentiments mitigés traversent la vieille dame. « Je lui en veux d’avoir bouleversé ma vie, la vie dont j’avais rêvé, qui était toute tracée. Cet homme-là doit se faire soigner. Mais en fait, je suis surtout en colère que ça ait pu se produire. Ça, ça ne passe pas », conclut-elle.
Il est 7h20 ce matin-là lorsque les fonctionnaires s’approchent d’un homme qui vient de franchir les tripodes sans titre de transport dans le hall du RER en direction de la ligne 1 du métro. Les gardiens de la paix décident de le contrôler. « Ils lui ont demandé ses papiers d’identité mais il n’en avait pas », explique une source proche de l’affaire. Également sans adresse, le SDF donne tout même son nom et une rapide vérification permet aux agents de l’identifier comme un ressortissant congolais sous le coup d’un mandat de recherche lancé par un magistrat du tribunal de Nanterre (Hauts-de-Seine).
Les autres arrivent.
Une importante opération de sauvetage était en cours mardi au large de l'île de Crète, en Grèce, pour venir en aide à environ 500 migrants en détresse. Deux cargos, un pétrolier et deux bateaux de pêche italiens participent à l'opération.https://t.co/aKEDJ06Iqw
— InfoMigrants Français (@InfoMigrants_fr) November 22, 2022
Lu dans DP
ADDFREESTATS.COM AUTOCODE V4.0 –> Ecoutez DJMusic.fr Publié le Catégories Non classéLaisser un commentaire sur Nanterre : le migrant congolais viole deux patientes de 78 et 68 ans dans un hôpital avant de violer une enfant de 12 ansAujourd’hui Mayotte, demain la France ?
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Plus de 8.000 kilomètres séparent Paris de Mayotte. Le département d’Outre-mer situé dans le très stratégique canal de Mozambique est aujourd’hui à feu et à sang. Ce lundi, le président du RN Jordan Bardella a appelé l’état à « reprendre le contrôle » à Mayotte au risque que la situation n’illustre « notre futur ». Mais que s’y passe-t-il et quelle est la réalité de la situation ?
Jordan Bardella appelle à «reprendre le contrôle» à Mayotte au risque que ça devienne «notre futur» https://t.co/jF6XymeG2b
— Europe 1 🎧🌍📻 (@Europe1) November 28, 2022
L’insécurité explose
« Parfois, on coupe une main ou un pied ». Les échos donnés par la presse de la réalité des exactions commises par de véritables bandes armées qui sévissent en toute impunité impressionnent. A quelques encablures de la capitale Mamoudzou, les rues ne sont pas sûres et la peur est omniprésente. Tout serait parti de l’attaque par caillassage d’un bus le 16 novembre dernier. C’est dire à quel point la situation était déjà tendue. Plus de 200 jeunes cagoulés et armés de machettes sont alors descendus dans la rue pour caillasser des magasins, saccager des voitures, couper les routes et paralyser la circulation. Un jeune de 20 ans a été tué à la machette, un automobiliste poignardé, son pronostic vital engagé… En trame de fond, des guerres de bandes se disputant le contrôle de quartiers. Des rixes que la métropole connaît déjà avec ces agressions parfois mortelles impliquant des jeunes de 14 ou 16 ans. Une situation de « guerre civile » pour la députée mahoraise Estelle Youssouffa (LIOT) qui réagissait sur Télématin le 25 novembre.
L’immigration massive : facteur principal
« Ah non, c’est à Mayotte le kwassa-kwassa […] Mais le kwassa-kwassa pêche peu, il amène du Comorien, c’est différent » La petite blague d’Emmanuel Macron en mai 2017 avait fait grincer des dents et particulièrement celles des Mahorais. Derrière cette saillie qui se voulait humoristique (et qui aurait au passage valu à n’importe quel autre homme ou femme politique un aller simple pour le bûcher médiatique), se cachait en réalité le fait que personne dans l’Exécutif n’ignore la sinistre réalité de Mayotte. Et c’est tout sauf amusant. Un habitant sur deux de l’archipel est étranger.
« 80% des affaires au tribunal à Mayotte concernent des étrangers en situation irrégulière. Oui, la violence qu’on subit est liée à l’immigration ! » Les propos de la députée de Estelle Youssouffa tenus ce mois-ci dans les couloirs de l’Assemblée Nationale ne souffrent d’aucune ambiguïté. Mayotte compte entre 250.000 et 300.000 habitants, dont 48 % sont étrangers. Et 95 % de ces étrangers sont des Comoriens qui ont embarqué pour la plupart depuis les îles voisines sur ces embarcations légères (Les fameuses kwassa-kwassa). « Ne serait-ce qu’au niveau hospitalier, c’est l’embolie, affirme un fin connaisseur de l’archipel. Les Mahorais qui en ont les moyens partent se faire soigner ou accoucher à la Réunion. Ici, les maternités sont remplies par les Comoriennes qui veulent faire naître leur enfant à Mayotte pour qu’il puisse profiter du droit du sol ». Une information confirmée par Europe 1 : “Ils sortent de leur pays pour venir ici, pour la plupart ce sont des Comoriens, expliquait à nos confrères en 2019 une cadre de Santé locale. Tout le monde vient chez nous car tout le monde connait la situation de Mayotte”. Même si l’Exécutif a rendu plus difficile les conditions du droit du sol à Mayotte, l’effort est insuffisant.
Dans ce contexte, autant préciser qu’on ne voit pas là-bas d’un bon œil la future loi Darmanin-Dussopt sur l’immigration de main d’œuvre. Daniel Zaidani, conseiller départemental RN de Mayotte le rappelait début novembre : « Ce serait un « appel d’air », il en veut pour preuve la régularisation des pêcheurs opérée il y a quelques années, « juste après ils ont changé de métier, et on s’est retrouvé avec de nouvelles vagues d’immigration » affirmait-il sur la chaîne de télévision 1ere. L’élu local a demandé que les deux députés de l’archipel joignent leurs voix à celles du RN en rejetant cette loi.
« Mayotte, c’est une REP géante » (REP, Réseau d’éducation prioritaire, ancienne Zone d’éducation prioritaire), soupire un habitant de l’archipel joint par téléphone. C’est ce qui devrait d’ailleurs inquiéter l’exécutif : si le numérateur de Mayotte est bien plus élevé, le dénominateur est le même qu’en métropole. Terrible fraction annonçant la fracture et un jour une addition sanglante.
Marc Eynaud dans Boulevard Voltaire
ADDFREESTATS.COM AUTOCODE V4.0 –> Ecoutez DJMusic.fr Publié le Catégories Non classéLaisser un commentaire sur Aujourd’hui Mayotte, demain la France ?Émeutes musulmanes : nos Tunisiens vont-ils imiter les Marocains belges ?
Articles : Nov.2022 – Oct. 2022 – Sept. 2022 – Aout 2022 Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887
Scènes d’émeutes à Bruxelles et dans d’autres villes belges, comme Liège. Pourtant, la Belgique avait eu l’élégance de perdre son match de football, en coupe du monde, contre le Maroc. Mais les Marocains ont tout cassé quand même !
Phénomène d’autant plus inquiétant que ce mercredi, les Français, déjà qualifiés, affrontent les Tunisiens, qui ont impérativement besoin de gagner pour avoir un mince espoir de qualification.
Il y a en Belgique, pour un pays d’à peine 12 millions d’habitants, plus de 500 000 personnes d’origine marocaine, soit 5 % de la population, et 8 % de moins de 18 ans.
Il y a en France, pour un pays de 67 millions d’habitants, plus de 700 000 Tunisiens, soit 1 % de la population.
Question : les Tunisiens de France se comporteront-ils comme les Marocains du Maroc ?
Cela dépendra de la volonté d’Allah, sachant qu’en France, on a Moussa !
Riposte Laïque
ADDFREESTATS.COM AUTOCODE V4.0 –> Ecoutez DJMusic.fr Publié le Catégories Non classéLaisser un commentaire sur Émeutes musulmanes : nos Tunisiens vont-ils imiter les Marocains belges ?Ce videur qui dégage les écolos du périphérique, c’est ma nouvelle idole
Articles : Nov.2022 – Oct. 2022 – Sept. 2022 – Aout 2022 Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887
++ WEBTUBE : Ca donne la pêche le matin de regarder ce type d’images. On se sent libérer après les avoir visionnées.
C’est aussi « ma nouvelle idole ».
Ma nouvelle idole!!! 😂
— frédéric hermel🇫🇷 (@fredhermel) November 27, 2022
pic.twitter.com/hRdc15Q6eD
C’est un fait indiscutable, nous avons en Europe et donc en France, les écolos les plus débiles.
On constate régulièrement dans les médias les actions que ces dégénérés mènent, et le relais consciencieux de leurs exploits dans les médias.
Ainsi, on ne compte plus les œuvres artistiques majeures vandalisées par ces tarés dans les musées.
Est-ce que balancer de la sauce tomate sur un tableau, se coller la main sur un autre ou toute action de ce type va régler quoi que ce soit au problème climatique dont ils se disent préoccupés ?
Évidemment que non. Et pourtant toutes ces actions vont crescendo. Mais pourquoi ?
En premier lieu, parce que l’Éducation nationale bourre la tête des gamins, matin, midi et soir de slogans « écologistes » dont la conclusion est invariablement : « il faut sauver la planète ». Ils sont donc des millions à avoir la tête farcie de ces débilités, pendant leurs années de scolarité. Pas étonnant que la première préoccupation des jeunes, selon les sondages, soit : « il faut sauver la planète ».
Le tout étant largement repris par les médias et dans la quasi-totalité des pubs qui passent à la télévision. Personne n’y échappe.
En conséquence, tous ces jeunes au QI de poisson rouge récitent du matin au soir « il faut sauver la planète » comme un mantra.
En second lieu, parce que le système – gouvernement en tête – est très content de voir ces actions être menées. D’ailleurs, avez-vous vu des sanctions prises contre ces activistes ?
Pourtant ce serait facile d’arrêter ces âneries. Une main collée sur un tableau, 2 ans de prison automatique et les frais de restauration à la charge de l’auteur. Blocage de la circulation sur le périphérique ou l’autoroute, idem automatiquement 2 ans de prison. Et si ces actions de blocage occasionnent accidents ou dégâts, allez hop… à la charge des responsables.
A mon avis, ça calmerait l’immense majorité de ces jobards qui aujourd’hui bénéficient d’une impunité totale.
Tous ces jeunes couillons qui mènent des actions de ce type sont les alliés du gouvernement qui est engagé dans une politique de « transition énergétique » afin de nous faire passer du nucléaire aux énergies « renouvelables » (éolien, solaire et méthanisation).
Vous savez… faut faire baisser la quantité de CO2 produite.
Pourtant le nucléaire est l’énergie la moins chère et la plus décarbonée.
Mais alors, pourquoi adoptent-ils cette politique ?
Parce que les Allemands ne supportaient pas que la France ait un énorme avantage sur l’Allemagne qui a décidé en 1998 d’abandonner le nucléaire.
Les Allemands ont obtenu deux choses de l’Europe, qui s’imposent donc à la France : obliger EDF à vendre 25 % de l’électricité produite à des « producteurs » qui ne produisent rien mais se contentent de revendre cette électricité plus cher et d’encaisser la différence.
D’autre part, l’Allemagne a obtenu de l’Europe que le prix de l’électricité soit couplé à celui du gaz dont l’Allemagne est absolument dépendante.
Les gouvernants français ont capitulé lamentablement devant l’Allemagne.
Résultat, on paye notre électricité beaucoup plus cher qu’on ne devrait, et en plus, avec la guerre en Ukraine et la flambée du prix du gaz, avoir de l’électricité et se chauffer devient un luxe que les Français vont découvrir quand le bouclier tarifaire va s’arrêter à la fin de l’année.
En parallèle, après ces décisions injustifiables qui contribuent à la ruine de notre économie, le gouvernement amplifie sa campagne pour les énergies renouvelables qui coûtent une fortune, sont inefficaces et de plus une catastrophe au plan environnemental et pour les populations.
Ajoutons qu’un certain nombre de villes – comme Paris, Bordeaux, Lyon, Strasbourg et d’autres – ont commencé à mettre en œuvre une politique d’agressions contre la population en interdisant l’entrée de ces villes aux véhicules qui « polluent ». Ce sont bien sûr les couches les plus modestes de la population qui seront les premières victimes. Ceux qui ne peuvent pas changer de véhicule pour faire plaisir à la doxa et sa dictature anti CO2. Alors que les diesels actuels ne polluent quasiment pas.
Mais au fait, est-ce que tout ce battage anti CO2 est bien crédible ?
Je vais donner quelques éléments qui vont permettre de répondre à cette question.
La théorie du CO2, responsable du dérèglement climatique, émane du GIEC (réunissant tous les pays membres de l’ONU qui le souhaitent).
D’abord, cette théorie est contestée par un nombre considérable de scientifiques.
Ensuite, il est de notoriété publique que le GIEC s’est fait prendre la main dans le sac à trafiquer les chiffres afin qu’ils disent la conclusion attendue.
Ceux qui s’intéressent au sujet peuvent rechercher les éléments concernant par exemple la polémique sur la courbe en forme de « crosse de hockey ».
Au final, la théorie du GIEC est très loin d’être évidente, et même sujette à une fort légitime contestation.
Second élément, la France produit moins de 1 % du CO2 mondial. La Chine c’est 29 % et les USA 15 %.
Pourquoi tous ces écolos ne vont-ils pas en Chine manifester ? C’est là-bas qu’il faut agir pour « sauver la planète ». Si elle doit l’être.
Mais non, c’est nous qu’ils persécutent. Alors que rien ne se joue en France sur ce plan.
On peut même dire que si tous les pays en étaient au niveau de la France, la question ne se poserait tout simplement pas.
Troisième élément, pour compenser son abandon du nucléaire et l’explosion du prix du gaz, l’Allemagne a décidé de rouvrir 27 centrales à charbon. Sans aucune réaction de nos écolos cinglés alors que c’est une catastrophe sur le plan du CO2.
Pour ceux qui l’ignorerait, 1 MGWh d’électricité produit par une centrale nucléaire c’est 3gr de CO2. Avec une centrale à charbon c’est 850 gr.
Quatrième élément, lorsque tout le parc éolien maritime sera opérationnel – et aura au passage défiguré notre littoral français et ruiné un certain nombre de marin pêcheurs – quelle quantité d’électricité sera produite ?
Cela représentera une quantité minable, équivalente à 13 % de la production de la centrale de Fessenheim !
Centrale fermée par Macron, pour honorer un misérable accord électoral entre Hollande et les Verts en 2012 !
Cinquième élément, vous vous souvenez sans doute de la polémique sur les jets privés.
Agressé sur ce point, Christophe Galtier – entraîneur du PSG – avait répondu que son équipe préparait le prochain déplacement en « char à voile ».
Il avait d’ailleurs rapidement battu en retraite et présenté ses excuses devant la bronca suscitée chez les bien-pensants.
Et pourtant… il avait mille fois raison. Vous en voulez la preuve ?
La seule centrale à charbon de Jänschwalde, en Allemagne, produira 25 millions de tonnes de CO2 par an. Et comme il y en a 27, cela fera 650 millions de tonnes de CO2 par an. Une paille…
La totalité du transport aérien en France produit, en une année, 22 millions de tonnes de CO2.
Les jets privés ne représentant qu’une infime minorité de ces 22 millions de tonnes de CO2.
Aucun écolo ne hurle au scandale pour la réouverture des centrales à charbon en Allemagne… et en France, mais ils sont au bord de l’apoplexie à propos des jets privés qui pourtant n’ont qu’un impact insignifiant.
Tout cela pour dire que tous ces activistes écologistes ne sont que des ignorants et des incultes.
Leurs théories sont basées sur des mensonges ou des contre-vérités.
Ils n’ont aucun argument étayé et se contentent de répéter des slogans prêts à porter sans même prendre une minute pour vérifier ce qu’ils affirment.
D’ailleurs, leurs arguments ne résistent pas une seconde à la critique la plus élémentaire.
Alors, oui, il est temps, plus que temps que les Français se réveillent et, sur la base d’éléments évidents que chacun peut connaître, refusent ces actions irresponsables des activistes écolos.
Et comme par ailleurs, ces actions nous pourrissent la vie alors que nous ne sommes nullement responsables de ce qu’ils dénoncent, il faut arrêter de se laisser impressionner par ces abrutis et leur faire comprendre que leur mascarade, ça commence à bien faire.
L’attitude de cet homme, dans la vidéo, qui vire manu militari ces énergumènes afin de nous laisser vivre en paix… c’est cette attitude qui est la bonne.
Il faut que partout cela se passe de cette manière.
Que ces tordus intoxiqués aux théories du GIEC aillent sévir ailleurs… en Chine par exemple !
Mais qu’on nous foute la paix en France.
Ce gars, sur la vidéo, c’est ma nouvelle idole.
Bernard Germain, Riposte Laïque
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