La chanson du jour, The kids are on High Street – Madrugada

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Madrugada, un groupe fantastique que l’on n’entend pratiquement jamais et pourtant leur musique est plaisante à écouter et d’un bon niveau à l’image de ce morceau : The kids are on High Street. A la première écoute on tombe sous le charme.

Madrugada, a fantastic band that you hardly ever hear and yet their music is fun to listen to and of a good standard, like this track: The kids are on High Street. At first listen you fall in love.

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Quartier de la Guillotière à Lyon : à Mazagran, les dealers font la loi, les riverains vivent reclus

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« Je vis l’enfer ». Voici comment Kévin*, 52 ans, perçoit son quotidien depuis des mois. Installé rue Jangot avec son chien Mike, sa fenêtre donne sur l’aire de jeux de la place Mazagran. À son plus grand désarroi : « On y voit des deals, des rixes, des hommes dans des états seconds, sans parler du bruit insupportable des enceintes ». Bref, « c’est un cauchemar ».

Pour s’en rendre compte, direction son appartement. Il nous accueille aux côtés de Martine*, une autre membre du collectif « Vivre Mazagran ». Installé en 2016, le quinquagénaire célibataire se souvient à quel point il était « ravi de ne pas avoir de vis-à-vis ». Quatre ans plus tard, c’est la Bérézina : « Cela coïncide avec l’arrivée de nouveaux guetteurs en septembre dernier ».

(…)

www.leprogres.fr

A relire :

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Projet Immigration : Encore plus et toujours plus…

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À l’image d’Emmanuel Macron annonçant un projet de loi contre le séparatisme islamiste aux lendemains de l’assassinat de Samuel Paty par un terroriste islamiste tchétchène, Gerald Darmanin et Olivier Dussopt ont, dans une interview au Monde publiée ce mercredi matin, puis sur BFM TV dans l’après-midi de la même journée, énoncé les grands principes du projet de loi immigration, annoncé pour le début d’année 2023.

Dans un exercice de style similaire, donc, à l’affaire Paty, difficile de ne pas faire le lien entre le tempo de cette interview et le meurtre sordide de la petite Lola. En invoquant un projet de loi, l’exécutif veut convaincre qu’il agit. En difficulté sur le sujet des fameuses obligations de quitter le territoire, Darmanin se défend comme il peut et met en avant les difficultés d’application : « Il y a près de 50 % des OQTF qui font l’objet de recours qui les suspendent. L’une des dispositions du projet de loi qui sera examiné début 2023 au Parlement est de fortement simplifier les procédures et de passer de douze à quatre catégories de recours, pour exécuter beaucoup plus rapidement les mesures », affirme-t-il, ce mercredi matin, au Monde« En résumé, les OQTF ne sont pas appliquées et ce n’est jamais de leur faute », pointe le député RN de Vaucluse Hervé de Lépinau, qui fustige « un double discours permanent »

Assouplissement dur ou durcissement souple ?

En matière d’évidences, Gerald Darmanin est la réincarnation de La Palisse : « L’assassin présumé de la petite Lola, venu avec un visa étudiant pour un CAP et resté irrégulier sur notre sol pendant trois ans. Personne ne s’est demandé où était cette personne. C’est un problème. » Un problème, effectivement. Et le locataire de la Place Beauvau a récidivé, mercredi après-midi, sur BFM TV, avec ce splendide « Je ne fais pas de lien entre immigration et délinquance […] mais ce serait absurde de ne pas constater qu’une partie des étrangers dans les grandes métropoles commettent l’essentiel, plus de la moitié des actes de délinquance ». Ne pas faire de lien tout en faisant le lien. Une savante déclinaison de l’en même temps macroniste.

Et tout est de la même facture. Tout en voulant durcir la politique migratoire, le tandem Dussopt-Darmanin veut aussi faciliter les conditions d’accueil d’une immigration professionnelle censée soulager les secteurs sous tension. Comprenez la main-d’œuvre. « Nous souhaitons, tout particulièrement dans les métiers en tension, comme ceux du bâtiment, que le travailleur immigré en situation irrégulière puisse solliciter la possibilité de rester sur le territoire sans passer par l’employeur », affirme Olivier Dussopt. Durcir la politique migratoire en facilitant l’immigration, donc… « On va revivre le sketch de la loi Séparatisme », soupire un député de l’opposition. En effet, celle-ci, rebaptisée d’ailleurs « loi confortant le respect des principes de la République », n’aura eu qu’un effet limité et aura été patiemment déconstruite et détricotée par une opposition de gauche et reniée au fur et à mesure par une majorité tétanisée à l’idée de passer pour islamophobe. Se dirige-t-on vers un scénario équivalent ? « Évidemment, nous lirons ce projet avec attention et nous l’amenderons en conséquence », prévient-on du côté du RN. Darmanin, d’ailleurs, ne les oublie pas : « S’il n’y avait plus de problème d’immigration en France, il n’y aurait plus de Front national. » Une bonne piste à étudier ? « Si la France retrouve sa souveraineté, nos concitoyens une vie libre et décente et la sécurité un rétablissement, je serai heureux de mettre la clef sous la porte », répond un député du Rassemblement national. Pas pour demain, donc.Au fond, tout le drame de ce pays est résumé en une phrase par l’inénarrable Darmanin : « Tout étranger qui commet un acte de délinquance grave sera expulsable. » De l’intention sans action. Du verbiage sans exécution. Ménageons au premier flic de France le suspense : tous les criminels sous OQTF étaient expulsables. Le problème, c’est qu’ils n’ont pas été expulsés. Et cette carence fondamentale n’est pas fataliste ni métaphysique, elle est éminemment politique. En attendant, Darmanin promet : « Nous devons être gentils avec les gentils et méchants avec les méchants. » Cela promet.

Marc Eynaud, dans BV

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Une destitution de Biden ferait bien les affaires de Trump

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Une victoire des républicains aux midterms le 8 novembre, si toutefois il n’y a pas de fraude, pourrait signer la fin pour Biden.

Entre une sénilité qui s’aggrave, toujours plus difficile à cacher, et les accablantes révélations du rapport Marco Polo, qui prouvent que Joe Biden a été complice de certains crimes de son fils Hunter, il semblerait que « Sleepy Joe » soit sur un siège éjectable. S’en rend-il compte ? Pas certain.

Philippot revient sur le sujet

Les républicains, s’ils gagnent les élections du 8 novembre, ce que tous les sondages annoncent, envisagent ouvertement de lancer une procédure de destitution à l’encontre du Président américain. Une éventualité qui ouvrirait un boulevard à Donald Trump, qui clame sans relâche que Biden lui a volé sa victoire en 2020.

Son retour serait pour lui un triomphe après la gigantesque fraude électorale niée et mise sous le tapis par les démocrates. Plaintes classées sans suite = pas de preuves = pas de fraude. C’est aussi simple que cela la justice impartiale et intègre au sein de la plus grande démocratie du monde. Une tache indélébile dans le mandat de Biden, resté un usurpateur pour beaucoup.

Mais Biden destitué, ce serait une belle revanche pour Trump, traîné dans la boue par toute la presse occidentale depuis deux ans. Et ce serait la fin de Joe Biden, abusivement présenté comme un modèle de vertu, grand défenseur de la démocratie.

Écarté des réseaux sociaux, privé de son droit d’expression dans les médias, Trump va pouvoir s’exprimer sur Twitter, racheté par Elon Musk, qui entend bien balayer de sa société les ennemis de la liberté d’expression. Il a déjà commencé à nettoyer la boutique. La gauche américaine, pourrie jusqu’à l’os, donneuse de leçons de morale pour mieux tromper le peuple dans son dos, en est verte de rage.

52% des Américains sont d’accord pour une procédure de destitution à l’encontre de leur Président. En pleine guerre avec la Russie, un départ de Biden, suivi d’un éventuel retour de Trump, renverserait la situation en Ukraine et ramènerait sans doute la paix en Europe. Après huit mois de mensonges et de propagande antirusse, un retour au réel ne serait pas de trop.

Trump est un business man, pas un faucon va-t-en-guerre. Avec lui, les affaires passent avant les expéditions aventureuses.

Mais nous n’en sommes pas encore là.

Les preuves de sénilité de Joe Biden s’accumulent. Il se perd dans les jardins de la Maison Blanche. Il cite des personnes disparues en les croyant encore vivantes. Il tourne parfois sur l’estrade, cherchant son chemin, comme dans un état second. Il parle tout seul. Il confond la guerre en Irak et en Ukraine. Mais tout cela n’est que la partie émergée de l’iceberg. Ses absences le privent de plus en plus de ses capacités d’analyse et de jugement. En pleine guerre entre les deux principales puissances nucléaires, c’est gravissime.  Il oublie sans doute qu’il est Président des États-Unis mais tente de faire le job en public, avec le soutien des médias et de son entourage, qui utilisent tous les moyens pour masquer la gravité de son état.

Mais c’est surtout du côté judiciaire que ça sent le roussi pour le vieux Joe.

Dans un précédent article nous avions évoqué le rapport Marco Polo, un document explosif envoyé à tous les élus républicains de la Chambre. Toute l’Amérique connait dorénavant ce que le Système tentait de cacher depuis plus de deux ans.

Les magouilles du fils Biden, dévoilées par son ordinateur tombé entre les mains du FBI, n’ont plus de secret pour personne. Et la complicité de Joe Biden, qui affirmait n’être au courant de rien, ne fait plus de doute selon le rapport Marco Polo.

Ce rapport dénonce les 459 crimes et délits de la famille Biden. De quoi alimenter l’enquête du FBI.

https://marcopolousa.substack.com/p/report-on-the-biden-laptop

« Le fondateur du groupe, Garrett Ziegler, estime qu’il a découvert un total de 459 violations documentées des lois étatiques et fédérales sur l’ordinateur portable. »

Il comprend 140 crimes présumés liés aux affaires, 191 délits liés au sexe et 128 crimes liés à la drogue.

La fraude fiscale dont parlent les médias, plutôt discrets et gênés, est l’arbre qui cache la forêt.

Les salles de rédaction françaises rasent les murs, mais Hunter Biden pourrait bien être mis en examen et, après le 8 novembre, c’est Joe Biden qui pourrait bien faire l’objet d’une procédure de destitution.

Les « complotistes » avaient donc raison dès 2020. Tout indique que Hunter est mouillé en Ukraine pour des affaires graves et qu’il y était pour le compte de son père. Ce pourrait être le plus gros scandale depuis le Watergate sous Nixon.

https://www.arabnews.fr/node/221426/international

  • La Russie affirme que le second fils de Joe Biden était directement impliqué dans les plans américains de déploiement d’armes de destruction massive.
  • Selon un sondage, 66 % des électeurs potentiels estiment que les questions suscitées par la fuite des courriels de Hunter Biden sont « importantes ».

« Lorsque le Président américain Joe Biden a accusé son homologue russe Vladimir Poutine de se préparer à utiliser des armes chimiques ou biologiques en Ukraine, il a involontairement levé le voile sur un scandale qui couve depuis longtemps et qui implique son fils, Hunter Biden. »

Le Kremlin a répondu aux déclarations de Joe Biden en accusant son fils de contribuer à faciliter un programme d’armes biologiques en Ukraine, remettant ainsi sous les feux de la rampe les affaires douteuses de Hunter Biden lorsque son père était vice-président des États-Unis.

Les critiques conservateurs affirment que le second fils du Président s’est associé à son oncle James Biden pour exploiter l’influence politique de Joe Biden, d’abord en tant que sénateur de longue date du Delaware, puis en tant que vice-président de Barack Obama pendant deux mandats, afin d’obtenir des contrats lucratifs en Ukraine − allégations que tous deux nient.

Les courriels récupérés comprennent les détails choquants d’un style de vie décadent, ainsi que des informations relatives aux contrats étrangers de plusieurs millions de dollars de Hunter Biden avec la Chine et l’Ukraine.

En 2014, Hunter Biden a rejoint l’entreprise publique ukrainienne de gaz naturel Burisma en tant que consultant à 1 million de dollars par an. Moins d’un mois après que son père, alors vice-président, a visité l’Ukraine et rencontré les dirigeants de Burisma en avril de la même année, les contrats lucratifs ont commencé à affluer.

« C’est un complot de taille monumentale. C’est le scandale politique le plus conséquent depuis le Watergate, et il mérite une enquête au Congrès non moins robuste et non moins bipartisane que celle-là. »

Igor Kirillov, responsable des défenses radiologiques, chimiques et biologiques au ministère russe de la Défense, a déclaré que Hunter Biden était directement impliqué dans les projets américains de déploiement d’armes de destruction massive en Ukraine.

Kirillov l’a accusé de financer « le programme d’armes biologiques du Pentagone en Ukraine » par le biais d’un fonds d’investissement, a rapporté l’agence de presse Sputnik International, soutenue par le Kremlin.

« L’implication dans le financement de ces activités par des structures proches des dirigeants américains actuels, en particulier le fonds d’investissement Rosemont Seneca géré par Hunter Biden, attire l’attention. L’ampleur du programme est impressionnante. »

Médias et camp démocrate ont tout fait pour étouffer le scandale qui risque de renverser Biden, tout comme le Watergate eut raison de Richard Nixon en 1974.

Mais les républicains sont bien décidés à ce que cette affaire mène Hunter Biden au tribunal afin que toute la lumière soit faite sur les implications de la famille Biden en Ukraine.

Quant à la procédure de destitution, c’est l’épée de Damoclès sur la tête de Biden.

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

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