Inutile de présenter les Beatles. Révolutionnaire à l’époque, leur musique a traversé les âges et reste totalement actuelle. On attend toujours le groupe musicale actuel capable de prendre la relève…. Quand on voit la soupe qu’on nous sert aujourd’hui, je pense qu’on va attendre un certain temps.
No need to introduce the Beatles. Revolutionary at the time, their music has survived the ages and remains completely current. We are still waiting for the current musical group capable of taking over.... When we see the soup we are served today, I think we will wait a while.
La vidéo du rappeur américain Takeoff qui a été abattu à Houston, aux États-Unis.
Une séquence exclusive du rappeur « Takeoff » sans vie posé sur le sol. Tout ça à cause d’un jeu de dés avec le groupe de l’autre rappeur américain Quavo qui a aboutit à une fusillade. pic.twitter.com/wNOENJBZd7
⚫ DRAME _ Le rappeur Takeoff, le neveu du rappeur Quavo, assassiné d'une balle dans la tête suite à une altercation qui aurait lieu entre son oncle et un gangster suite à une partie de dé 🎲 qui aurait mal tournée. pic.twitter.com/25oHnSDkAj
++ WEBTUBE :LA FRANCE EN 2050 : LE LIBAN d’aujourd’hui ?
Le général Michel Aoun, 89 ans, vient de quitter la présidence de la République du Liban. Il doit normalement être remplacé par un chrétien maronite. C’est le jeu curieux du confessionnalisme libanais qui, sur la base d’un recensement presque centenaire, attribue les postes à responsabilité en fonction de la religion. On n’ose pas remettre en question cette répartition à l’amiable au pays du Cèdre, probablement parce que le pays ne survivrait pas à un énième séisme politique. Les équilibres démographiques ont changé : comme chez nous, les chrétiens n’ont plus d’enfants, les musulmans en ont beaucoup, et s’ajoute à cela la question des réfugiés, dont les camps (palestiniens ou syriens) sont des zones de non-droit dans lesquelles on naît, on vit et on meurt sans beaucoup de perspectives de sortie. Cela ne vous rappelle rien ? Poursuivons.
Aoun, officier d’artillerie francophile, avait défendu le palais présidentiel contre les Syriens lors de la guerre de 1982, puis s’était opposé à Samir Geagea, un autre chef de guerre chrétien, à la fin des années 80. À la fois commandant en chef loyal et diviseur du camp maronite, il incarnait à lui seul les ambiguïtés du jeu politique libanais. Exfiltré en France par la DGSE, puis confortablement exilé de villa marseillaise en appartement parisien, Michel Aoun revint au Liban en 2005 sous les vivats, après que l’assassinat de Rafic Hariri eut rebattu les cartes. Son parti, le Courant patriotique libre (CPL), lancé et piloté à distance pendant ses quatorze années d’exil, n’attendait que lui, car l’aounisme est, en somme, une forme levantine de populisme militaire.
Aoun réalisa l’union contre nature des partis chrétiens et du puissant Hezbollah chiite, sur le dos du camp sunnite, qu’il accusait de tous les maux. Après une crise politique, une de plus, le général fut élu président en 2016. Déjà très âgé, il dut gérer le Covid, les crises financières, l’incendie du port de Beyrouth et, surtout, le retour d’une instabilité politique structurelle dans laquelle il portait une part de responsabilité. On dit beaucoup que son gendre, Gebran Bassil, le coupa progressivement de ses soutiens et contribua à l’atmosphère corrompue qui devait marquer sa fin de règne. Cela explique peut-être le résultat des dernières élections législatives, en mai 2022, qui ont vu les Forces libanaises de son vieil ennemi Samir Geagea redevenir le premier parti maronite du pays, au détriment du CPL.
Dans les années 50, le Liban était la Suisse du Proche-Orient. Sa diaspora puissante, sa culture millénaire, sa grandeur historique et architecturale en faisaient un cas à part, coincé entre les dictatures, les pétromonarchies et Israël. Son système confessionnel lui offrait un fragile équilibre, tandis que ses frontières, quoique contestées par la Syrie, tenaient à peu près la route aux yeux du monde. Aujourd’hui, la livre libanaise ne vaut plus rien, les banques sont braquées par des usagers qui veulent simplement récupérer leur argent, les médicaments les plus élémentaires manquent. Le clivage entre riches et pauvres, qui a toujours été visible, devient obscène. La diaspora est toujours fidèle (on peut citer la générosité de Rodolphe Saadé, patron de CMA CGM et cinquième fortune de France), mais le pays n’est plus que l’ombre de lui-même.
Preuve de cette déliquescence, qui semble ne pas pouvoir s’arrêter : la France s’est permis une déclaration paternaliste complètement hors de propos, par la voix de son ministre des Affaires étrangères, Catherine Colonna. « Le Liban traverse une crise économique, financière, sociale grave et inédite, qui requiert le bon et plein fonctionnement de toutes ses institutions (présidence, gouvernement, Parlement) pour prendre les mesures qui s’imposent pour redresser le pays et améliorer urgemment la situation des Libanais », dit le Quai d’Orsay, qui appelle les acteurs politiques à être « à la hauteur du moment ». La France, qui est elle-même en train de devenir Haïti, parle au pays qui a inventé l’alphabet sur un ton méprisant et comminatoire. Le gouvernement ne se serait pas permis cette familiarité avec un pays moins chargé d’Histoire mais plus lourd en capitaux. Seule la politesse de nos amis libanais, et le respect qu’ils conservent pour ce que fut notre pays, les empêchent de nous répondre vertement. Et puis, ils ont peut-être autre chose à faire…
En tous les cas, voici le Liban une nouvelle fois à la croisée des chemins. Depuis les années 70, il n’a connu que la crise, la guerre, le sang. Pas un gouvernement, pas un parti qui soit capable d’union nationale et de dignité dans la durée. Bon courage à nos frères d’Orient, que nous avons fait serment de protéger depuis 1535, mais qui nous renvoient aujourd’hui à notre propre incapacité.
Je ne connais pas personnellement cet officier, mais je partage à 100 % son analyse. Un article que nos généraux des plateaux TV seraient bien avisés de lire. Ils sauraient enfin de quoi ils parlent.
Il n’est pas courant de lire un article argumenté et cohérent dans cette presse écrite ou télévisée française […] Le colonel Régis Chamagne, pilote retraité de l’armée de l’Air, nous livre son excellente analyse, à 180° des boniments farfelus que nous rabâchent nos médias et nos « experts militaires », depuis maintenant huit mois.
C’est donc un plaisir de lire un article de vérité écrit par un officier de l’armée de l’Air, qui partage notre avis sur cette guerre. Un article qui me conforte dans mon idée qu’une majorité de militaires sont du côté russe dans cette guerre qui est celle de l’Amérique mais pas la nôtre.
Nous ne dirons jamais assez chez RL, combien nos généraux et hauts gradés des plateaux TV se sont fourvoyés, en débitant jour après jour leurs niaiseries et leurs délires otaniens. Pas un seul n’a eu le bon sens et la lucidité d’envisager une défaite de l’Ukraine, pas un seul n’a eu la méfiance et la sagesse d’évaluer au préalable la véritable puissance de l’armée russe, pas un seul n’a analysé les raisons objectives et historiques de cette offensive lancée par Poutine, pas un seul n’en a mesuré les enjeux pour la Russie.
Mais tous ont décrété en choeur que Poutine était un fou et un criminel de guerre. Un peu léger pour se lancer dans cette guerre par procuration ! Et je crois que le prix à payer par les Occidentaux va être à la hauteur de leur stupidité et de leur aveuglement. Ils ont foncé en dépit du bon sens.
Bien au contraire, dès les premières semaines de l’offensive, on entendait nos fins stratèges nous affirmer que l’armée russe en était restée à sa doctrine soviétique moyenâgeuse, cumulant toutes les tares, mal commandée, mal équipée, peu motivée et en passe de manquer de munitions. Bref, la victoire de Kiev était inéluctable, Poutine ne pouvant gagner cette guerre face à la puissance écrasante de l’Otan, trop heureuse de rentrer dans la danse pour en découdre avec l’ours russe, ennemi de toujours depuis 1945. Mais sans s’engager sur le terrain pour autant, la chair à canon ukrainienne faisant très bien l’affaire.
Même aujourd’hui, à la veille d’une offensive décisive, j’entends encore parler de déroute et de débandade russe !
Pourtant, huit mois après le début de l’offensive, c’est toujours l’armée russe qui occupe 20 % du territoire ukrainien et pas l’inverse. Dans ce laps de temps, l’Ukraine a perdu environ 20 000 soldats par mois, tués, blessés, déserteurs ou prisonniers. C’est cher payé pour des promesses occidentales de victoire qui ne se sont jamais réalisées.
Quand Poutine va présenter l’addition définitive, pourboire inclus, avec une Ukraine exsangue et une Europe ruinée, je me demande ce que Zelensky et les va-t-en-guerre occidentaux vont pouvoir dire à leurs peuples pour leur expliquer les causes de la cuisante défaite. Des centaines de milliers de morts pour rien, des dizaines de milliards partis en fumée, des sanctions qui se sont retournées contre l’Europe, des faillites en cascade, avec une crise économique, énergétique, financière et sociale sans précédent. De quoi désintégrer l’Otan et l’UE si nos leaders avaient un soupçon de bon sens.
Car il n’y a aucune illusion à avoir. Poutine va gagner cette guerre, dépecer l’Ukraine et prendre le lead du Nouvel Ordre Mondial qui se met en place. Ceux qui croient que Poutine va quitter le pouvoir en 2024 sur une défaite humiliante sont de doux rêveurs.
Beau bilan pour l’Occident ! Il est vrai que depuis 1945 l’Amérique cumule les fiascos. Mais celui-ci sera particulièrement retentissant pour l’équilibre du monde au cours les prochaines décennies !
Régis Chamagne nous rappelle qu’au delà des objectifs de sécurité pour le Donbass, Poutine mène une guerre existentielle face à un Occident dominateur qui veut sa perte. Une guerre de civilisation et c’est bien un Nouvel Ordre Mondial qui va donc émerger de cette guerre. Ce qui veut dire que Poutine ne reculera jamais et que 80 % des citoyens russes le suivent, parfaitement conscients des enjeux.
Les Occidentaux, quant à eux, n’ont pas encore pris la mesure des bouleversements qui s’annoncent, avec un choc politique, militaire, économique et culturel, dont la magnitude sera proche de 9 sur l’échelle de Richter. Un choc frontal entre le Bloc Atlantico-Occidental (BAO) et la Russie, nous dit Régis Chamagne.
Stratégie de Poutine sur trois fronts : militaire, économique et culturel.
Sur le plan militaire, j’ai déjà écrit que Poutine n’avait pas besoin du nucléaire pour gagner cette guerre. C’est ce que nous rappelle également l’auteur. Ses armes conventionnelles de dernière génération, que l’Otan ne possède pas, comme les missiles hypersoniques et les drones sous-marins indétectables, lui assurent la suprématie avec des frappes conventionnelles imparables. Un missile hypersonique est vite arrivé et un tsunami sur une ville côtière est du domaine du possible.
Les Occidentaux, qui voient que Poutine ne lâchera pas et que la Russie n’a encore donné que 20 % de ses moyens, commencent à agiter le chiffon rouge du nucléaire. Mais je ne crois pas au grand suicide collectif. Aussi timbrés que soient les faucons du Pentagone, ils savent très bien que Poutine possède 6 200 têtes nucléaires et ne bluffe jamais. Comme le dit Régis Chamagne :
« Il suffirait d’une bordée de missiles hypersoniques pour pulvériser le Pentagone et le centre de commandement de l’Otan, même sans charge militaire, c’est-à-dire sans explosif à l’intérieur. La simple énergie cinétique de ces missiles serait suffisante [l’énergie cinétique est proportionnelle à la masse et au carré de la vitesse. Ainsi un missile Kinzhal qui est trois fois plus lourd et douze fois plus rapide qu’un Tomawak possède une énergie cinétique 432 fois supérieure. »
Du point de vue économique, nous avons souvent évoqué l’effet boomerang des sanctions économiques, ainsi que le discours éminemment ridicule de Bruno Le Maire, qui prétendait détruire l’économie russe, ignorant que la Russie possède 20 % des richesses minières planétaires et que ce pays peut vivre en autarcie totale pendant deux ou trois ans. La France et l’Europe quant à elles sortiront laminées de cette guerre qui ne nous concerne pas, mais que nous menons en tant que vassaux serviles des Etats-Unis. Inutile de dire que les véritables problèmes n’ont pas commencé : faillites, pénuries, inflation, hausse des taux, plans sociaux, émeutes… 2023 sera une année terrible.
Quant au plan culturel, Régis Chamagne attend le GRAND DEBRIEFING (j’aime beaucoup) après trente années de lavage de cerveau politiquement correct, de régime woke à tous les menus et de délires LGBT qui envahissent même l’école.
Poutine, qui vient de légiférer pour interdire la propagande LGBT et rejette en bloc cet Occident décadent, qui détruit la famille et renie toutes ses valeurs conservatrices et ses traditions séculaires, va s’appuyer sur 80 % de l’humanité pour bâtir l’ordre mondial de demain, loin de l’hégémonie occidentale devenue insupportable à une majorité de peuples.
Enfin, le dernier acte se précise
« Le général Hiver arrive, et ce général est russe », nous dit l’auteur. En effet, Napoléon et Hitler en ont fait la triste expérience.
Comme écrit dans un précédent article, c’est la Novorossia qui va émerger de cette opération spéciale, une terre russe de Kharkov à la Transnistrie. L’offensive majeure se prépare.
« Les manœuvres préparatoires à l’offensive décisive ont lieu : mobilisation, entraînement et déploiement de 300 000 réservistes, bombardements stratégiques sur les arrières (système électrique, centres opérationnels et logistiques militaires, nœuds de communication…), nomination d’un nouveau commandant de théâtre, le général Sergueï Sourovikine qui a fait ses preuves en Syrie. »
Ajoutons que l’armée ukrainienne a perdu ses meilleures unités, envoyées au massacre dans des opérations quasi-suicidaires. Biden fait peu de cas de la chair à canon ukrainienne. Là aussi, il y aura des comptes à rendre…
Cette offensive sera massive, sur tous les fronts, avec des moyens gigantesques et sans doute des matériels nouveaux.
Voilà plus de 20 ans que Poutine reconstruit son armée, la plus moderne du moment, et je ne vois pas comment l’Otan pourrait renverser la donne, sauf à risquer une escalade incontrôlable. L’Ukraine vaut-elle une troisième guerre mondiale ?
Je cite : « Un monde s’effondre, un autre naît »
« Carroll Quigley, s’appuyant sur d’importantes archives et grâce à un travail de bénédictin, explique comment les élites anglo-saxonnes ont élaboré, dans la deuxième moitié du XIXe siècle, un plan de bataille afin de permettre à l’Empire britannique associé aux États-Unis d’asseoir une hégémonie complète sur le monde. Cette volonté de puissance et de domination a été l’œuvre d’une poignée d’hommes liés intimement à la haute finance de la City et de Wall Street. »
Mais tout cela touche à sa fin. La dictature du roi dollar, les 800 milliards du budget Défense américain pour dominer le monde, les expéditions coloniales tous azimuts (20 ans pour l’Afghanistan), les menaces, le chantage, les pressions sur l’Europe, les écoutes sur les alliés et les coups de poignard dans le dos (contrat sous-marins australiens), tout cela va disparaître. Ce sera long mais le mouvement sera irréversible.
De nouvelles relations internationales vont se développer
L’élargissement de l’OCS et des BRICS a commencé. Les pays demandeurs font la queue pour s’y intégrer, comprenant que le centre du monde n’est plus en Amérique. On imagine l’aura que Moscou va retirer de cette victoire sur l’Otan, auprès de six milliards de Terriens. Pour un « fou », c’est pas mal joué !
Lisez le lien ci-dessus, Régis Chamagne explique très bien cette fin du monde occidental.
Pour la France, l’une des rares nations millénaires, le salut passera par un retour à la vision gaulliste de notre pays.
Souveraineté totale, indépendance militaire, énergétique, économique. Une France sans ennemi mais capable d’assurer seule sa défense et sa sécurité. Une France du mérite et des valeurs traditionnelles, où la famille redevient la cellule de base de la nation.
Nous devons reprendre notre destin en main, car l’Otan nous a amené la guerre en Europe et l’UE nous a ruinés.
Des alliés et des partenaires qui nous trahissent ou rêvent de nous écraser, nous pouvons nous en passer.
Lors de son émission sur CNews du 30 octobre 2022, Ivan Rioufol critiquait la gestion du covid par le gouvernement français, dont Agnès Buzyn qui était ministre de la Santé et sera mise en examen pour mise en danger de la vie d’autrui.
Sur le virus covid, le journaliste rappelle (voir vidéo-ci-dessous) des faits snobés par l’intelligentsia parisienne : « Rappelez-vous que le Pr Montagnier avait émis cette hypothèse [NDLR, concernant la fuite du virus d’un laboratoire] et avait été traité de complotiste et de vieux fou. Alors que ceux que l’on disait “complotistes” à l’époque avaient visé juste sur ce sujet-là, mais aussi sur l’efficacité toute relative des vaccins. »
Ivan Rioufol exhume aussi le discours qui consistait à dire qu’il fallait se vacciner pour protéger les autres, puisque que cette injection devait stopper la transmission comme l’ont annoncé Albert Bourla (Pdg de Pfizer), Karine Lacombe, Nicolas Bouzou, Julien Pain… Ce qui se révélera totalement faux : « J’ai moi-même été accusé d’avoir du sang sur les mains parce que je ne voulais pas entrer dans cette hystérie sanitaire. Or il est admis aujourd’hui que ce vaccin contre le covid — qui est toujours expérimental — ne protège pas de la contamination, ni de la transmission. »
Alors que les vérités émergent, que les médecins sponsorisés désertent les plateaux de télévision, que les Jérôme Béglé tentent de fuir leurs responsabilités, la plateforme vidéo YouTube en est toujours au stade de la censure. Incapable de se réactualiser avec du bon sens, elle décide d’interdire coûte que coûte la vérité : “YouTube interdit les contenus qui contredisent le consensus des experts d’autorités sanitaires locales ou de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) au sujet du vaccin contre le COVID-19.”
Pourquoi ne faut-il pas critiquer les vaccins sur YouTube ? C’est très simple. YouTube est la propriété d’Alphabet. Et qui possède Alphabet ? Réponse : Vanguard, BlackRock, Fidelity management, State Street… Ce sont également les principaux actionnaires de Pfizer, de Moderna et de Johnson & Johnson. Rien d’étonnant à ce que YouTube ne veuille pas faire de peine aux laboratoires. Vanguard, BlackRock, Fidelity management et State Street dictent ses règles, avec l’appui de l’OMS, dont le principal financement provient de Bill Gates.