Ron DeSantis est le dernier responsable politique en date à faire transporter des immigrés vers les bastions démocrates du pays. L’influent gouverneur républicain de Floride a revendiqué mercredi l’envoi de deux avions de migrants vers une île huppée du nord-est des Etats-Unis.
Un groupe d’une cinquantaine de migrants vénézuéliens, dont des enfants, est arrivé mercredi à Martha’s Vineyard, lieu de villégiature pour les plus fortunés ayant accueilli les Kennedy, les Clinton ou les Obama, selon le quotidien local MV Times. Bien que le gouverneur de Floride ait organisé ce transport, les avions de migrants arrivaient du Texas et non de son Etat, selon le journal.
« Beaucoup ne savent pas où ils sont »
« Des migrants sont en train d’être débarqués à Martha’s Vineyard par des vols affrétés depuis le Texas. Beaucoup ne savent pas où ils sont. Ils disent qu’on leur a dit qu’ils recevraient un logement et un emploi », a tweeté mercredi soir un élu démocrate local, Dylan Fernandes.
« Notre île s’est mobilisée » en fournissant lits, repas et soins, a-t-il ajouté, précisant que les habitants n’avaient pas été prévenus à l’avance de cette arrivée. La politique d’immigration, sujet explosif aux Etats-Unis, l’est encore davantage à quelques semaines d’élections de mi-mandat aux lourds enjeux, les républicains accusant le président Joe Biden d’avoir transformé en passoire la frontière avec le Mexique.
Un potentiel rival de Trump
Ron DeSantis, qui a assumé la responsabilité de ce transport par la voix de membres de son équipe, rejoint ainsi un mouvement lancé par les gouverneurs républicains du Texas et de l’Arizona, déterminés à envoyer des migrants vers les villes démocrates du nord et de l’est, dans un geste très politique destiné à leurs électeurs.
Ron DeSantis est en pleine campagne pour sa réélection en novembre. Il est également vu comme un potentiel rival pour l’ancien président Donald Trump dans la course à la Maison-Blanche en 2024. « Les résidents de Martha’s Vineyard devraient être ravis », a ironisé mercredi sur Twitter Christina Pushaw, de l’équipe de communication du gouverneur de Floride. « Les migrants illégaux rendront la ville plus diversifiée, ce qui est une force. Non ? »
En 2021, la population étrangère vivant en France s’élève à 5,2 millions de personnes, soit 7,7 % de la population française. 62,9% sont de nationalités extra-européens.
En France, alors que les étrangers représentent 7,6% de la population, ils sont surreprésentés parmi les mis en cause des délits commis dans les transports en commun :
– 44% des violences sexuelles – 56% des vols violents – 84% des vols – 25% des agressions
Image : L’homme, présent dans l’allée centrale, a tenté de forcer le cockpit et menaçait les passagers d’un vol Nice-Paris, dimanche 11 septembre.(Vol EJU4066 Nice)
Un 11 septembre terrifiant. Un vol Nice-Paris a été dérouté d’urgence à l’aéroport de Lyon Saint-Exupéry, dimanche. Un homme, agité et menaçant, a tenté de forcer la porte du cockpit de l’avion. Sous le choc, trois passagères ont témoigné auprès d’actu Lyon.
« Il était vraiment bizarre avant de décoller »
« On a décollé de Nice dans l’après-midi. Le type, assis derrière moi, avait l’air énervé. Il s’était pris la tête avec sa femme et demandait à voir le pilote. Il était vraiment bizarre avant de décoller », témoigne l’une d’entre elles.
Dans les airs, l’homme s’est levé, toujours aussi agité. « On a entendu des cris à l’arrière du vol », nous indique Vanessa, une deuxième passagère. « Je me retourne et je le vois en plein milieu de l’avion, en train de faire les 100 pas, de raconter n’importe quoi. Je me suis dit qu’on était mal barré. »
« Il nous demandait si on tenait à nos petites vies »
Sa voisine dans l’avion s’est assoupie après le décollage. Quand elle s’est réveillée, elle a vu l’homme, grand et corpulent, torse nu, en train de hurler « des horreurs » dans l’allée. « Il faisait peur, il intimidait tout le monde. J’ai cru que c’était fini à ce moment-là. Il nous demandait si on tenait à nos petites vies… »
Interpellé à l’atterrissage à Lyon
« Il insultait tout le monde. Il disait aux hôtesses de l’air : « toi, je te prends par le fion ! » J’avais l’impression d’être avec fou dans le métro, sauf que là, il n’y a pas d’arrêt pour sortir. » Le pilote de l’avion a mis en garde le passager agité via un message radio : « Si vous n’allez pas vous assoir, je fais atterrir l’avion à Lyon ».[…]
FIGAROVOX/ENTRETIEN– L’agression d’une octogénaire à Cannes par des individus de 14 et 15 ans a soulevé la question de la levée de l’excuse de minorité. L’essayiste propose une réflexion sur le rôle de la justice et le risque de désagrégation de la nation si celle-ci n’est plus rendue par l’État.
Ancienne élue locale, Céline Pina est journaliste à Causeur, essayiste et militante. Elle est la fondatrice de «Viv(r)e la République», elle a également publié Silence coupable (Kero, 2016) et Ces biens essentiels (Bouquins, 2021)
(…)
Les agressions se multiplient et le maire de Cannes affirme que le système juridique et pénal est «obsolète» face à la montée de la violence. Risque-t-on une désagrégation accélérée de la société dans ces conditions ?
La montée de la violence en France parle du déchirement de notre société politique et de l’absence d’une identité culturelle partagée. Elle parle du passage de la société démocratique à la société tribale. C’est ce que construit l’idéologie multiculturaliste quand elle rejette l’idéal de nation en lui substituant le communautarisme, autrement dit, la cohabitation sur le même territoire de communautés liées par un signe distinctif racial ou religieux qui fonde une identité fermée. Les sociétés démocratiques, au contraire, construisent leur identité sur un mode délibératif (par l’échange et la discussion) qui permet d’intégrer des personnes de tout horizon à condition qu’elles partagent des idéaux, des principes et un projet commun.
La société tribale ne fait pas de la violence entre les personnes un acte illégitime, elle ne cherche pas à justifier ses liens en se référant à des valeurs universelles, à la quête d’une définition partagée du bien et du mal. La base de son organisation est ce qui est bon ou mauvais pour la tribu. Celui qui est en dehors n’a droit à aucune protection. Il n’y a aucune reconnaissance d’une dignité humaine partagée, il y a le clan auquel on appartient ou auquel on a fait allégeance envers qui on a des devoirs, et les autres qui sont des ennemis potentiels et à qui on ne doit rien. Dans ces sociétés, il y a une culture de la similarité qui impose que l’individualité soit effacée. On appartient à la tribu avant d’être quelqu’un et cette appartenance définit les manières d’être et de penser.
Les sociétés démocratiques ne fondent pas leur cohésion sur des facteurs extérieurs et ne légitiment pas le pouvoir en référence à un Dieu, à une appartenance ethnique ou à une loi qui serait naturelle, elles assument l’hétérogénéité des hommes mais croient en l’universalité de leur raison et de leur capacité de dialogue.
Céline Pina
(…) Dans ce cadre, le droit est au service des hommes et l’œuvre de leur raison, il évolue et s’adapte en fonction des défis que ceux-ci affrontent et des modifications de leur environnement. Il est au service des hommes et de leur protection. Ce n’est pas une vache sacrée devant laquelle on se prosterne sans s’interroger, car il serait l’œuvre de Dieu. C’est un organisme vivant, autant que les hommes qui le constituent et la justice doit garder les yeux ouverts sur les réalités de son temps. Ce n’est pas les normes qui sont fixes, mais la façon dont l’homme les établit, la foi dans sa raison et sa capacité de création. La justice est donc en perpétuelle tension car elle doit s’inscrire dans la durée et accepter d’évoluer, comme dans la procédure, elle est soumise en tant que concept au contradictoire, mais elle est d’autant plus stable qu’elle respecte l’esprit de la loi. Aujourd’hui, on peut parfois avoir l’impression qu’elle s’accroche à la lettre de la loi, car elle en a perdu l’esprit. Cela expliquerait qu’elle soit si critiquée et inspire si peu confiance (68% des Français la jugent trop laxiste selon un sondage CSA de 2021, 69% la disent opaque car ils ne comprennent pas la logique des condamnations, 53% déclarent ne pas avoir confiance en elle).
La violence physique est une transgression majeure. Ainsi, quand les violences contre les personnes explosent, cela témoigne d’une société qui perd son équilibre et d’une justice qui ne joue pas son rôle. Quand cette violence paraît peu sanctionnée ou sanctionnée a minima, cela témoigne d’une société qui est en train de perdre le sens du commun et qui ne sait plus au nom de quoi ou pourquoi elle est légitime à agir. Quand on ne sait plus sanctionner, c’est que l’on ne sait plus au nom de quoi il est légitime de punir. Un système juridique et pénal qui perd pied face à la montée de la violence témoigne d’une désagrégation de la société déjà à l’œuvre et même avancée. Par exemple, face à la question de la peine d’emprisonnement, le fait que nous évoquions l’idée qu’elle ne garantit pas la rédemption du condamné montre que nous n’avons pas compris le premier rôle de l’emprisonnement: ôter du corps social un élément toxique, destructeur. Que la personne puisse changer ou s’améliorer n’est pas le problème principal, le socle de la décision est la protection du collectif. Encore faut-il que celui-ci se connaisse et se reconnaisse. Quand la société se désagrège, elle commence par perdre le commun, donc le fondement de ce qui fait la légitimité de ses lois et celle de ses jugements. Elle devient incapable de punir, donc de tracer la frontière entre ce qui est légitime et illégitime.
++ WEBTUBE : Monsieur Macron que faites-vous concrètement pour tous ces français qui travaillent dur, paient leurs impôts et qui en ont mare de voir leur ville saccagée et invertis des hordes de miséreux venus d’ailleurs ?…. c’est quoi votre solution ? Vous qui n’avez jamais produit quoique ce soit de concret à part de faire le fanfaron en essayant de prendre la posture d’un président….. Sachez que vous être un bien mauvais acteur en plus d’être un mauvais président de la République.
Incivilités, rodéos nocturnes, bagarres, menaces : depuis plusieurs mois, les incidents se multiplient dans le centre-ville de Saint-Girons. Excédés, plusieurs commerçants ont lancé une pétition qui a recueilli plus de 900 signatures.
La colère monte sur les deux rives du Salat, au cœur de Saint-Girons. Depuis plusieurs mois en effet, les incidents se multiplient autour de la rue Villefranche, à tel point qu’une dizaine de commerçants, excédés par la situation et, assurent-ils, le peu d’écoute de la municipalité, ont décidé d’agir et lancé mi-juillet une pétition.
Déposée dans une vingtaine de commerces, celle-ci a recueilli à ce jour plus de 900 signatures et dépassera sans doute les 1 000 lorsqu’elle sera déposée sur le bureau du maire, cette semaine – un chiffre important pour une ville de 6 400 habitants.
Bagarres, insultes et rodéos
Patron de la crêperie Le Temps d’une crêpe, rue Villefranche, Albert Pacini est à l’origine de cette initiative. « C’est insupportable, fulmine-t-il, on ne peut plus travailler dans des conditions paisibles. Il y a des bagarres trois ou quatre fois par semaine, les clients sont pris à partie en terrasse, on se fait agresser le soir par ces gens qui traînent parce qu’on refuse de leur donner à manger… Il y a des rodéos, aussi, des types qui descendent à toute vitesse, c’est insupportable. Les bagarres, j’ai eu des clients qui se sont levés pour aller les séparer, je suis même allé avec eux. Il y a cinq ou six jours, il y en a qui ont tiré un feu d’artifice, c’est rentré par une fenêtre et lorsque la dame est descendue pour se plaindre, ils l’ont tirée par terre, elle avait le visage ravagé. Il y a un mois et demi, un homme a été agressé à coups de barre, il a fallu que des clients interviennent pour que ça s’arrête. Le soir, quand on a fini, on s’enferme à l’intérieur. »
Et les incidents vont parfois jusqu’à la menace de mort. « Lorsqu’on essaye de faire quelque chose, j’en ai eu qui m’ont dit : « Je vais t’égorger, je vais te tuer, on va revenir à trois ou quatre et on va te faire la peau », témoigne Albert Pacini.
Les autorités turques ont entamé la mise en oeuvre de leur plan de rapatriement de centaines de migrants marocains en situation irrégulière, qui se trouvent actuellement sur leur territoire. Devenue la nouvelle porte d’entrée vers l’Europe, la Turquie a commencé à imposer un blocus sécuritaire strict aux migrants maghrébins qui considèrent désormais le pays comme une station de transit vers les pays de l’Union européenne.
Selon des témoignages obtenus par Hespress, les autorités turques ont construit des camps sécuritaires et militaires pour recevoir les migrants rapatriés de Grèce, dont notamment des Marocains, qui feront l’objet d’enquêtes en perspective de leur rapatriement vers leur pays d’origine, avec une interdiction de voyager en Turquie pendant 5 ans.
Lors de leur périple vers l’UE, les « Haraga » (migrants) comme on les surnomme au Maroc, sont contraints de laisser leurs passeports à leurs connaissances en Turquie, de peur de les perdre ou de les endommager, d’autant plus que les forces de l’OTAN et l’armée grecque ne font preuve d’aucune flexibilité dans leur traitement envers les migrants. Ces derniers sont donc traités comme des envahisseurs menaçant la sécurité intérieure du pays, et non comme des réfugiés.
Imad (22 ans), l’un des immigrés marocains souhaitant traverser vers l’Europe via la Grèce, a indiqué que « les autorités turques ont arrêté plusieurs migrants en raison de leur résidence illégale dans le pays« , notant qu’un certain nombre d’entre eux résident à Esenyurt, ou dans le quartier de Fatih à Istanbul.[…]
Le Royaume-Uni est décidément un pays de tradition ! Avec la mort de la Reine Elisabeth II et l’accession au trône de son fils sous le nom de Charles III, les Britanniques vont voir 10 choses changer dans leur quotidien :
Les heureux Britanniques n’ont pas l’Euro. La Livre rend, elle, toujours hommage au souverain, partant les pièces et billets devront être modifiés. Les pièces représentant le nouveau roi le montreront donc tourné vers la gauche. L’effigie d’Elizabeth II est, quant à elle, tournée vers la droite. Depuis le 17e siècle, c’est une tradition d’alterner les regards des monarques successifs. Les pièces d’Elizabeth II devraient rester en usage jusqu’à ce qu’elles soient progressivement remplacées. Elles deviendront ensuite collectors, comme un vieux disque de punk !
De nouveaux timbres devraient également faire leur apparition pour le plus grand bonheur des philatélistes. Le nouveau roi figurera ainsi sur les timbres britanniques et sur d’autres nations du Commonwealth.
Le célèbre hymne britannique, le God Save the Queen va également être modifié pour (re)devenir le « God Save the King », eh oui ! De surcroît, les « She », seront également remplacés par « he » à moins que, d’ici là, le Royaume soit entièrement gagné par le wokisme et son « they » (iel).
Les passeports britanniques sont délivrés au nom du souverain du moment. Il va donc falloir imprimer une nouvelle série de documents.
Au Royaume-Uni, chaque souverain a son propre drapeau, celui d’Elisabeth II portant un E majuscule, il devra être remplacé par un nouvel étendard aux armes de Charles III.
Partout au Royaume-Uni, sur les boîtes à lettres comme sur les casques de police, on voit le monogramme royal, Queen’s ERII, qui, là aussi, est individuel à chaque souverain. Il faudra donc modifier tous les équipements où ce monogramme apparaît !
Charles, en tant que prince de Galles, avait une signature. Depuis son accession au trône, il est désormais Charles III, il devra donc signer de ce nom avec un R en plus (« Rex » – Roi en latin)
Toutes les médailles militaires, médailles de mérite et autres devront être modifiées : elles portaient le portrait ou une mention de la Reine.
Les armoiries royales seront les mêmes mais risquent d’être légèrement modifiées ou, disons-le, rafraîchit.
Au Royaume-Uni, les souverains ont un ensemble d’avocats nommés pour faire partie du conseil de Sa Majesté. Ceux-ci arboraient jusqu’alors la prestigieuse mention « Queen’s Counsel (QC) ». Là encore, il faudra changer en « King’s Counsel (KC)
Par ailleurs, avec Charles III sur le trône d’Angleterre, l’Ecosse augmente considérablement ses chances de devenir indépendante et l’Irlande-du-Nord d’être réunifié avec la République d’Irlande.
Il y avait une manifestation hier à Vienne contre le Great Reset et ses conséquences
Toujours rien en France où les plébéiens continuent de rester calmes. Il y a plus d’ambiance du côté de l’Europe centrale.
En Allemagne de l’est, il y a un phénomène intéressant. La gauche communiste doit composer avec la droite nationaliste qui occupe désormais la rue.
Ici, un reportage (en allemand) sur la situation en Saxe où divers groupes nationalistes se coordonnent, tandis que les rouges doivent regarder ailleurs.
Il y a plus de testostérone là-bas que dans la kermesse hebdomadaire de Philippot avec ses « Si t’es contre le rationnement, frappe dans tes mains ».
Le niveau d’infantilisation est dramatique en France, peu importe les segments de la société.
Infantilisme. J’apprécie Philippot, mais ses manifestations style colonie de vacances «frappe dans tes mains», ça non. Ecouter : https://t.co/VqOZoFL58f
Il est des hasards de calendrier étonnants. Il y a vingt-et-un ans, le 11 septembre 2001, le monde entier découvrait, stupéfait, l’attaque des islamistes contre leur allié américain, et la chute spectaculaire des deux Tours, avec des milliers de morts.
Depuis cette date, si on écoute notre ami Giorgio Ghiringhelli, il s’est déroulé, au nom de l’islam, 42.000 attaques faisant 615.000 morts et blessés.
Il y a eu des spectaculaires attentats partout dans le monde. La sur-délinquance, majoritairement musulmane, frappe dans les grandes villes, mais de plus en plus à la campagne, les plus faibles, que cela soit des handicapés, des personnes âgées, des hommes isolés, des femmes, des enfants et mêmes des animaux jugés impurs.
Nous avons entendu parler d’un principe de précaution pour la moindre innovation technique, pour la moindre grippe. On abat même des troupeaux entiers, dès qu’une bête est contaminée. Mais il est toujours interdit de remettre en cause la compatibilité de l’islam avec notre civilisation, il est impossible de demander l’arrêt de l’immigration et le renvoi des clandestins et des indésirables chez eux. Au contraire, nos dirigeants continuent d’implanter des millions de musulmans en France, et c’est pareil dans toute l’Europe. C’est plus qu’un Grand Remplacement, c’est une politique génocidaire que mettent en place les mondialistes, élus par des imbéciles qui ne voient même pas qu’ils votent pour ceux qui préparent leur élimination.
L’exemple de Callac est significatif. La Bretagne est tout de même un pays curieux. C’est la région qui vote le plus pour Macron, et qui compte le plus de vaccinés. C’est une des régions de France où Eric Zemmour a fait ses plus faibles scores. C’est là qu’il y a les milices du pouvoir, qui osent s’appeler antifas, les mieux organisés, et les plus violentes, notamment à Nantes et à Rennes. Mais c’est aussi là qu’il y a la résistance identitaire, qu’elle se disent nationaliste bretonne, autonomiste, républicaine ou autre, est la plus implantée, la plus enracinée et la plus déterminée.
C’est dans ce contexte où le Grand Remplacement s’accélère, sous l’impulsion de Macron, de l’Union européenne et des mondialistes, qu’éclate l’affaire de Callac. Disons-le, si, comme cela se déroule tous les jours, le préfet, sous les ordres de Darmanin, avait distillé cent clandestins africains dans cent villes différentes, personne n’en aurait parlé. Mais cette fois, ils sont passés à une vitesse supérieure, par une association à migrants, dirigée par une riche milliardaire qui ne vit pas à Callac, et n’y a jamais mis les pieds. Ils ont donc décidé d’implanter une centaine de clandestins, et leur famille, qu’ils nous présentent comme des réfugiés politiques, et qui vont, selon eux, relancer une ville à l’abandon et la dynamiser avec leurs compétences.
C’est déjà ce qu’ils disaient en 2015, quand suite à l’énorme manipulation autour du petit Aylan, ils ont imposé la venue, sous l’impulsion d’Angela Merkel, dans toute l’Europe, de millions de migrants. Ils nous étaient présentés comme des pépites, des docteurs, des avocats. Depuis, on a vu, ils sont plus souvent devant les tribunaux qu’au travail, pour nombre d’entre eux.
Bien évidemment, notre site suit ce dossier de près, et Pierre Cassen, dès le mois de juin, dans sa vidéo quotidienne, informait nos lecteurs. Nous sommes, bien évidemment, avec Reconquête, Résistance républicaine et le Parti de la France, en première ligne de la mobilisation.
C’est un projet de Grand Remplacement grandeur nature qui se met en place, et c’est donc un test national qui se déroule à Callac. Si cela passe à Callac, cela sera un exemple pour des milliers de villages français, à qui ils imposeront la même chose. Comme d’habitude, nous aurons le scenario classique : les militants patriotes seront devant la mairie, pour défendre le fait que Callac doit rester Callac, la Bretagne doit rester la Bretagne, et la France doit rester la France. En face, les habituels collabos, ceux qui manifestaient avec les islamistes dans les rues de Paris, le 10 novembre 2019, hurleront contre un prétendu racisme, un fascisme imaginaire, et se comporteront, comme à leur habitude, en porteurs de valises des seuls vrais nazis qui existent dans ce pays, les soldats d’Allah. Et il est probable, hélas, que nombre d’habitants de Callac, terrorisés par la gauche, n’oseront rejoindre ceux qui défendent leur mode de vie – et accessoirement la valeur de leur maison – par peur des représailles.
Cette manifestation, à laquelle nous appelons tous les Bretons, mais aussi tous les Français disponibles, sera un test. Si elle s’avère un fiasco, ce que nous n’osons imaginer, nos adversaires seront plus forts pour imposer ce Grand Remplacement africain qu’ils mettent méthodiquement en place partout où cela leur est possible. Par contre, si la manifestation est massive (un service d’ordre efficace protégera les résistants), nul doute que cela peut changer la donne.
Aux Bretons, et aux Français, de savoir s’ils veulent un avenir comme celui que les mondialistes réservent aux habitants de Callac…
Cette femme a été agressée dans le nuit de samedi à dimanche sur les quais de Seine dans le XIIIe arrondissement, alors qu’elle venait de monter dans sa voiture. Un suspect a été arrêté rapidement par les forces de l’ordre..
Il est 3h50 quand les policiers sont appelés au secours d’une jeune femme qui vient de se faire agresser sur l’avenue Pierre-Mendès-France dans le XIIIe arrondissement de Paris. Les fonctionnaires trouvent la victime en pleurs qui s’est réfugiée dans un bar voisin. Elle explique qu’elle venait de s’installer dans sa Peugeot 206 lorsqu’un inconnu vêtu d’un jean bleu et d’une veste militaire s’est introduit de force dans l’habitacle.
Sans lui laisser le temps de réagir, l’homme l’a étranglé et lui a donné plusieurs coups de poing. Il est parvenu à la violer digitalement avant d’exiger ses clés de voiture et le code de son téléphone. La victime a profité d’un bref moment de répit pour sortir. Elle a fait quelques pas sur le terre-plein central avant d’être rattrapée par son agresseur qui l’a repoussée contre le capot en la frappant de nouveau.
(…) L’homme, de nationalité tchadienne, âgé de 27 ans, sans papier ni domicile, a été placé en garde à vue au commissariat du XIIIe arrondissement après avoir été enfermé dans une cellule de dégrisement car il était sous l’emprise de l’alcool.