Eric Zemmour : « Nous avons eu un été meurtrier à cause du Grand remplacement »

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Jordan Bardella : Les sanctions contre les Russes ne « servent qu’à enrichir la Russie » et se « retournent contre nous »

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Comme le nez au milieu de la figure, Jordan Bardella tente, sur le plateau de BFMTV, de raisonner ses interlocuteurs face au réel, celui que vivent les Français. Les sanctions contre la Russie fonctionnent comme un boomerang. L’impact est extrêmement douloureux pour les Occidentaux, comme le souligne très justement le journal britannique The Sun : « Les factures énergétiques britanniques ont augmenté de 80 % et de 10 % pour les Russes ».

Le vice-président du RN rappelle que l’excédent commercial de la Russie « a été multiplié par deux par rapport à 2021 et ses revenus d’hydrocarbures ont augmenté de 40 % par rapport au mois de février 2020, très précisément un mois avant la guerre. On voit aujourd’hui que les sanctions énergétiques prises contre la Russie sont beaucoup plus douloureuses pour le peuple français que pour la Russie, qui est aujourd’hui noyée sous le cash ».

Alors que la France ce vante de ne plus acheter de pétrole à la RussieJordan Bardella relève une incohérence de taille : « On achète du pétrole à l’Inde qui fait venir son pétrole de Russie et qui nous le revend plus cher. Vous comprenez pas qu’il y a un problème ? »

Le Média en 4-4-2

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Alain de Benoist : « La guerre qui se déroule actuellement en Ukraine est en fait une guerre des Etats-Unis contre la Russie »

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En cette rentrée scolaire 2022-2023, nous avons donné la parole à Alain de Benoist, afin de faire le point sur l’actualité chaude du moment (guerre en Ukraine, crise politique et économique en France) mais aussi sur les perspectives, y compris chez nous, à moyen et long terme. Un entretien à découvrir ci-dessous.

Breizh-info.com : Tout d’abord, vous qui avez traversé la moitié du XXe siècle et le début du XXIe, diriez-vous que nous assistons actuellement, depuis quelques mois, à une accélération folle de l’histoire ?

Tout dépend de quelle accélération vous parlez. Il y a incontestablement une accélération sociale, qui vient du fait que nous vivons aujourd’hui en temps zéro : tout événement qui se produit dans un endroit donné est immédiatement connu dans le monde entier. Cet accélérationnisme nourrit le présentisme (et le stress qui va avec) et a notamment pour conséquence de rendre éphémère tout ce qui auparavant cherchait à s’inscrire dans la durée. Mais cela concerne surtout les pays occidentaux : sous d’autres latitudes, on n’a pas nécessairement le même sens de la temporalité.

Sur le plan historique, c’est plus complexe. On a effectivement le sentiment que beaucoup de choses sont en train de bouger, comme c’est souvent le cas lorsque différents cliquets jouent les uns sur les autres et déclenchent un ébranlement général. Mais s’agit-il vraiment d’une accélération ? On pourrait tout aussi bien penser qu’après une période glaciaire de quelques décennies, l’histoire reprend ses droits et que, comme dans toutes les époques de transition, on rebat les cartes. Mais il ne suffit pas de regarder ce qui se passe « depuis quelques mois », il faut aussi prendre un peu de recul. En l’espace de quatre ou cinq ans, il s’est plus passé d’événements sous la Révolution française qu’il ne s’en passe aujourd’hui ! Les processus en cours sont en outre loin d’être arrivés à leur terme. Sans vouloir cultiver le paradoxe, je leur trouve même une certaine lenteur… Quand on voit, par exemple, l’ampleur de la révolte sociale qui gronde, on se demande quand elle finira par éclater !

Breizh-info.com : Que vous a inspiré l’assassinat de Darya Douguine, et le traitement médiatique occidental qui en a découlé ? Que pouvez-vous nous dire sur elle, mais aussi sur son père à qui on a voulu l’assimiler d’office comme s’il s’agissait presque du même personnage ?

L’assassinat de Darya Douguine m’inspire ce qu’il devrait inspirer à tout homme normalement constitué : le dégoût qu’on ressent devant quelque chose d’abject. Les réactions des médias, elles, suscitent plutôt en moi un sentiment d’effroi. Que certains puissent trouver « remarquable » l’atroce attentat dont cette jeune intellectuelle, journaliste et philosophe – qui n’avait jamais fait qu’exprimer des idées –, a été la victime, certains n’hésitant même pas à s’en réjouir, montre que nous vivons dans le monde où, comme le disait Guy Debord, le vrai n’est plus qu’un moment du faux. C’est un monde orwellien, le monde de la terreur au nom du Bien.

J’ai bien connu Darya, comme j’ai bien connu son père. C’était une jeune femme délicieuse, charmante, intelligente, cultivée, intense, dotée d’un vif sens de l’humour, qui adorait la France depuis son adolescence. Elle adhérait en effet totalement aux idées de son père, mais elle en donnait une image plus légère, comme régénérée par l’eau fraîche. Quant à Douguine, son itinéraire et ses idées sont aujourd’hui bien connus, notamment pour ce qui concerne la géopolitique et l’eurasisme. On peut être en désaccord avec sa pensée, mais on ne peut nier qu’il s’agisse d’une pensée personnelle, qui ne s’est jamais ramenée à ânonner les slogans de tel ou tel milieu. C’est à mes yeux l’essentiel.

Breizh-info.com : La guerre en Ukraine semble faire perdre la raison à beaucoup. On sent une haine par procuration entre « supporteurs » d’un camp ou de l’autre, quasi pathologique désormais. Comment expliquez-vous cela ?

Je suppose que cela s’explique par la nature humaine. Peu d’hommes sont capables de faire la guerre sans haine, malheureusement. Mais dans le cas des « supporteurs », je crains que cette haine ne traduise bien souvent leur incapacité à décider de façon raisonnable de leurs positions et à argumenter pour les expliquer. En pareille occasion, beaucoup se déterminent par leurs sympathies ou leurs antipathies. Or, la sympathie et l’antipathie n’ont rien à faire en la circonstance. Seule importe l’analyse (on met les pour en abscisse et les contre en ordonnée) et les conclusions qu’on peut en tirer. Les gens de droite, je l’ai souvent écrit, ne sont pas des réflexifs, mais des réactifs. Au début de l’année, on les a vus s’emballer pour la candidature Zemmour alors qu’il suffisait d’en faire l’analyse pour comprendre que celle-ci déboucherait sur un échec. Il y a certes loin de la candidature Zemmour à la guerre en Ukraine, mais les réflexes sont les mêmes.

Je n’ai pour ma part aucune sympathie pour le sinistre président Zelensky, mais j’en ai beaucoup pour le peuple ukrainien, qui se retrouve aujourd’hui bombardé en raison des orientations désastreuses de son gouvernement. Mais que montre l’analyse ? Que la guerre qui se déroule actuellement en Ukraine est en fait une guerre des Etats-Unis contre la Russie. La question n’est donc pas de savoir si l’on préfère les Ukrainiens ou les Russes, mais si l’on se sent ou non solidaire de l’Amérique. Le choix me semble alors pouvoir être vite fait.

Breizh-info.com : Les répercussions en Occident, en plus des conséquences de la crise économique liée aux politiques covidistes, vont être énormes. Qu’avez-vous perçu dans le discours récent de M. Macron, qui, tel un mauvais Churchill, semble annoncer à son peuple du sang, de la sueur et des larmes ?

Je pense qu’Emmanuel Macron a pris conscience de la gravité de la situation, mais qu’il sait en même temps qu’il ne peut plus revenir en arrière sans se déjuger. Il n’est que trop évident que les sanctions contre la Russie – des sanctions d’une ampleur encore jamais vue – auront les Européens pour premières victimes, puisque ces derniers sont moins autosuffisants que les Russes. Comme l’a dit Viktor Orban, l’Union européenne s’est « tiré une balle dans le poumon » en s’engageant dans une voie suicidaire et totalement contraire à ses intérêts industriels et énergétiques. S’y ajoute la menace de crise financière mondiale, qui est plus présente que jamais. Et aussi, disons-le, le risque d’une extension de la guerre jusqu’à un point qu’on peut seulement imaginer. Aujourd’hui, Macron cherche des arguments pour imposer le rationnement comme, au moment du Covid, il en a cherché pour imposer l’enfermement. Cela ne suffira pas à éviter le lent glissement vers le chaos.

Breizh-info.com : La classe politique française est-elle selon vous aujourd’hui compétente, suffisamment qualifiée, pour être à la hauteur demain d’événements qui s’annoncent épiques mais aussi dramatiques pour nos populations ?

La réponse est dans la question, et vous la connaissez aussi bien que moi. L’élément essentiel en politique est la décision, alors que la classe politique n’a été formée que pour la gestion. L’imprévu, le cas d’exception, la laissent ahurie comme un lapin pris dans les phares. La décision n’est pas affaire de dossiers techniques et de rapports d’experts. Elle requiert un sens quasi physiognomique. Il s’agit de prendre la mesure d’un moment historique, d’évaluer les rapports de force et de déterminer ce qu’il faut faire en fonction de la finalité qu’on s’est fixée. Les hommes d’Etat savaient faire cela, les politiciens ne le savent pas. Cela dit, on pourrait aussi se poser la question de savoir pourquoi les hommes qui ont le sens de la décision se dirigent aujourd’hui de plus en plus vers des domaines autres que la sphère politique. On s’apercevrait alors qu’en dernière analyse, la médiocrité de la classe politique est le résultat direct de la dévaluation du politique.

Propos recueillis par YV

Breizh-info.com

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La Chine exporte du gaz russe vers l’Europe en catimini

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Au cours des six premiers mois de 2022, les importations de gaz naturel liquéfié (GNL) dans l’Union européenne ont augmenté de 60 % par rapport à l’an dernier, indique le cabinet d’études KPLR. L’Union européenne a ainsi importé quelque 53 millions de tonnes de GNL, cette année. Dans ce contexte, la Chine, apparaît bel et bien comme le « chevalier blanc inattendu » de l’Europe. Celui qui se porte à sa rescousse énergétique. C’est elle qui a permis à l’Union européenne de constituer des réserves de gaz plus vite que prévu, très largement grâce à du gaz naturel liquéfié.

Pour la petite histoire, en juillet dernier, l’empire du Milieu a acheté un total de 2,35 millions de tonnes de GNL à la Russie – d’une valeur de 2,16 milliards de dollars. Le volume des importations par la Chine en Russie a augmenté de 28,7 %. La Fédération de Russie peut se targuer de s’être hissée ainsi à la quatrième place en tant que fournisseur de GNL à la Chine, devançant l’Indonésie et les États-Unis. Et il va sans dire que cette quatrième place ne tient pas compte du fameux gazoduc du producteur russe Gazprom Power of Siberia qui livre quotidiennement du gaz à la Chine. Les livraisons de Power of Siberia ont augmenté, elles, de 63,4 % au premier semestre 2022. Pour mémoire, Power of Siberia est le deuxième gazoduc alimentant la Chine en gaz naturel, en termes de volume, derrière le Turkménistan.

Du gaz « blanchi »

On pourrait s’interroger sur cette augmentation inhabituelle des importations russes de GNL. On sait que la Chine importe plus de la moitié du gaz naturel qu’elle consomme, dont environ les deux tiers sous forme de GNL, et la demande a fortement chuté, cette année, dans un contexte de récession. La Chine, qui tient à garder d’excellentes relations gazières avec la Russie, s’est bien gardée de révéler la provenance de ce gaz. L’administration générale des douanes de Chine a, du reste, « blanchi » le gaz en provenance de Russie en indiquant tout simplement qu’il était estampillé « chinois ». L’administration générale des douanes de Chine a cessé de publier la répartition du volume des échanges de gaz naturel par pipeline depuis le début de l’année, le porte-parole Li Kuiwen confirmant que cette décision visait à « protéger les droits et intérêts commerciaux légitimes des importateurs et exportateurs concernés ».

C’est ainsi que la Chine revend discrètement du GNL russe au seul endroit qui en a désespérément besoin et plus que tout, à savoir l’Europe. Et il va sans dire que les marges bénéficiaires sont très appréciables. Dans cette perspective, les traders en contrats à termes de Shanghai estiment que les bénéfices générés pourraient atteindre 100 millions de dollars. Les affirmations de ce trader ont été corroborées par le plus grand raffineur de pétrole de Chine, la Sinopec. Cette dernière a d’ailleurs aussi reconnu qu’elle avait acheminé l’excédent de GNL vers le marché international.

Une situation ubuesque

Qu’on y songe : la Sinopec aurait à elle seule vendu 45 cargaisons de GNL, soit environ 3,15 millions de tonnes. La quantité totale de GNL chinois qui a été revendue est probablement supérieure à 4 millions de tonnes, ce qui équivaudrait à 7 % des importations de gaz de l’Europe au cours du premier semestre de cette année.

Tout ce GNL, bien que comptabilisé par les douanes comme du « GNL Chinois », émane en partie ou en totalité de la Russie. Les politiques qui nous gouvernent vivent en Absurdie : ils imposent des sanctions contre Moscou puis achètent du GNL russe… à la Chine. Mais pas au même prix !

Olivier d’Auzon, Boulevard Voltaire

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Immigration : le grand ras-le-bol des Français ne se cache plus

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Les Français sont-ils excédés par l’immigration ? Ce samedi 3 septembre, alors que des « mineurs isolés », poussés par des associations proches de l’extrême gauche, squattent l’ancien collège Bellefontaine à Toulouse, les riverains décident de prendre les choses en main. Quelques minutes à peine après l’arrivée de ces migrants dans l’enceinte de l’école, les habitants du quartier viennent eux-mêmes leur demander de quitter les lieux. Aidés, dans un second temps, par les forces de l’ordre, ces riverains réussissent à déloger les migrants dans le calme, au grand dam des collectifs pro-migrants mobilisés.

Les Français exaspérés

Ce « délogement citoyen et républicain », pour reprendre les mots de Gilles-William Goldnadel, s’inscrit dans un mouvement de fond qui traverse la société française. Après des années de laisser-aller migratoire, les Français n’acceptent plus l’immigration de masse qui déferle sur le territoire. Ainsi, selon un sondage CSA pour CNews réalisé au début de l’été, 65 % de nos compatriotes estiment qu’il y a « trop d’immigration » en France. Le résultat dépasse largement la barre des 80 % auprès des sympathisants de la droite. D’autres enquêtes d’opinions réalisées ces dernières années font également état du doute grandissant des Français vis-à-vis de l’immigration. Par exemple, près de 70 % d’entre eux ne voient plus l’immigration comme une chance (enquête IFOP pour Le Figaro, novembre 2020). Un sondage Ipsos publié en mars dernier révélait, quant à lui, qu’une « majorité de Français se disent inquiets au sujet de l’immigration, non seulement pour eux (57 %) mais surtout pour le pays (71 %) ». Résultat : près d’un Français sur deux craint le « Grand Remplacement de la population française » (enquête CSA pour CNews, février 2022).

Tous les voyants sont donc au rouge. L’exaspération gagne les Français, qui passent un cap et décident donc d’agir seuls pour lutter contre l’immigration. De leur côté, les pouvoirs publics ne semblent pas prendre la mesure du problème.

L’immobilisme du gouvernement

La politique migratoire demeure inchangée et les entrées sur le territoire français, loin de ralentir, ne cessent d’augmenter. La France a ainsi délivré 733.070 visas en 2021, contre 712.317 l’année précédente (soit une hausse de 2,9 %), notamment à des immigrés originaires du Maroc, d’Algérie, d’Arabie saoudite et de Tunisie. À cela s’ajoute une augmentation des primo-délivrances de titres de séjour (+21,9 %) et des demandes d’asiles (+ 30,3 % par rapport à 2019). Outre cette immigration légale comptabilisée par le ministère de l’Intérieur, il existe une immigration illégale, très importante, qui passe sous les radars de la Place Beauvau mais avec laquelle les Français sont contraints de vivre.

Autre symptôme de la faillite des pouvoirs publics en matière migratoire : le faible pourcentage d’expulsions d’étrangers en situation irrégulière effectivement réalisées. Le fiasco récent de l’expulsion de l’imam Iquioussen illustre à lui seul le manque de fermeté du gouvernement en matière migratoire. Car si le nombre d’obligation de quitter le territoire français (OQTF) prononcé augmente bel et bien depuis plusieurs années (+30 % entre 2016 et 2020), le taux d’exécution reste très faible. Seuls 6,9 % d’OQTF ont ainsi été exécutés en 2020, selon la mission Immigration, asile et intégration du Sénat. Un chiffre bien loin de 100 % d’exécutions d’OQTF promis par Emmanuel Macron en 2019.

Mais alors que les Français réclament davantage d’autorité et de fermeté en matière migratoire, le gouvernement décide de reporter la loi Immigration, dont l’examen était initialement prévu au mois d’octobre. À l’image des habitants de Toulouse, les Français vont-ils faire eux-mêmes ce que l’État ne fait pas ou plus, à savoir contrôler l’immigration ?

Clémence de Longraye, Boulevard Voltaire

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Élections de mi-mandat aux États-Unis : on ne devrait pas s’ennuyer !

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La campagne électorale pour les mid-terms aux États-Unis est entrée dans le dur. Pour Donald Trump, qui vise la présidentielle de 2024, il s’agit de soutenir les candidats républicains afin de rafler la mise et de conquérir la Chambre des représentants et le Sénat.

L’enjeu est de taille et le pari n’est pas gagné d’avance, puisque les sondages, très favorables au camp républicain depuis des mois, viennent de se retourner en faveur des démocrates, avec 47 % contre 43 %.

Il y a trois jours, en Pennsylvanie, Joe Biden lançait une virulente attaque contre Donald Trump, estimant que l’ancien Président représente « un danger pour la démocratie ».

https://www.ladepeche.fr/2022/09/02/etats-unis-joe-biden-denonce-lextremisme-de-donald-trump-dans-un-discours-dune-virulence-rare-10518964.php

Une attaque qui ne manque pas de sel quand on se souvient des millions de bulletins volés à Trump, dans les cinq derniers États où le dépouillement des votes n’était pas encore terminé.

Une fraude massive totalement enterrée par les médias, tous soumis à Washington. Il est vrai que quand on classe des  dizaines de milliers de plaintes sans suite, il ne peut y avoir de preuves. Même la Cour suprême a botté en touche.

« Donald Trump et les républicains MAGA représentent un extrémisme qui menace les fondations mêmes de notre République », a asséné le leader démocrate.

Pour Biden, c’est Trump qui ne respecte ni l’État de droit, ni la volonté du peuple. Il faut oser !

Accusant le milliardaire de violer la Constitution, Biden appelle les électeurs à « sauver l’âme de l’Amérique ».

Ce à quoi le sénateur Lindsey Graham, fidèle de Donald Trump, a réagi :

« Tout va bien pour l’âme de l’Amérique. Les Américains souffrent à cause de votre politique. L’inflation rampante. La criminalité hors de contrôle. La montée du terrorisme. Les frontières détruites. Arrêtez vos sermons ».

De son côté, Donal Trump, venu lui aussi soutenir son parti en Pennsylvanie, a dénoncé la perquisition du FBI dans sa résidence de Floride.

https://www.tf1info.fr/international/video-etats-unis-apres-les-attaques-de-joe-biden-donald-trump-repond-et-l-appelle-un-ennemi-de-l-etat-2231239.html

« Un abus de pouvoir  les plus choquants de la part d’une Administration dans l’histoire américaine. »

En pleine forme, Trump a traité Biden « d’ennemi de l’État », jugeant son discours « comme le plus vicieux, haineux, et diviseur jamais prononcé par un Président américain »

Dénonçant l’inflation et l’explosion de l’insécurité, il ajoute :

“Vous pourriez prendre les cinq pires Présidents de l’histoire des États-Unis, et les mettre ensemble, ils ne pourraient pas avoir fait le mal que Joe Biden a fait à notre pays en moins de deux ans”

On le voit, la campagne promet d’être animée. 

Jacques Guillemain, Riposte Laïque

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