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Ecoutez DJMusic.fr Publié le Catégories Non classéLaisser un commentaire sur Voici 3 jeux courts pour ceux qui n’ont jamais le temps de jouerPour incarner « l’esprit de la nouvelle génération d’Européens », Bruxelles promeut le FEMYSO, « faux nez de l’islamisme » !
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++ Webtube : L’Europe nous conduit droit dans le mur. Elle nous réserve la faillite économique, l’immigration à marche forcée et la guerre…. Joli tableau
En novembre dernier, Helena Dalli, commissaire européenne à l’Égalité, publiait sur Twitter une photo d’elle avec les représentants du FEMYSO, le Forum des organisations européennes musulmanes de jeunes et d’étudiants, avec qui elle avait discuté de la « situation des jeunes musulmans en Europe et des défis rencontrés en raison des stéréotypes, des discriminations et de la haine ».
Marlène Schiappa, alors ministre délégué chargé de la Citoyenneté, avait vivement réagi, s’étonnant du soutien de la Commission à cette organisation qu’elle qualifiait de « faux nez de l’islamisme », les enquêtes (notamment celle de Marianne) ayant démontré sa grande proximité avec les Frères musulmans.
Dans son enquête parue quelques jours plus tôt, Marianne rappelait en effet que c’est le FEMYSO qui est « à l’origine de la campagne pro-voile du Conseil de l’Europe ». Et de citer les propos aimables de sa présidente Hande Taner dans une vidéo par Al-Jazeera : « Paris est actuellement la capitale du préjugé occidental » et « la plus grosse exportation de la France est juste le racisme ».
L’objectif affiché du FEMYSO est d’« encourager le développement d’une identité musulmane européenne ». Des chercheurs le décrivent comme « une émanation jeune et transnationale de l’Union des organisations islamiques en Europe (UOIE), structure proche des Frères musulmans et qui représente le courant fondamentaliste de l’islam en Europe ». S’y côtoient 32 organisations dont « les Jeunes Musulmans de France ou, en Allemagne, le département de jeunesse du “Islamische Gemeinschaft Millî Görüş” (Communauté islamique Millî Görüs) », relais de la propagande d’Erdoğan en Europe.
Avec des bureaux installés à Bruxelles et un lobbying efficace, le FEMYSO revendique sur son site ses « partenaires institutionnels », à savoir la Commission européenne, le Parlement européen et le Conseil de l’Europe. Selon Le Figaro de ce jour, l’organisation aurait encaissé 210.000 euros de fonds européens depuis 2007. Mais plus encore que les subventions, c’est surtout l’activisme officiel qui inquiète.
Suite aux propos scandaleux de la présidente du FEMYSO, Marlène Schiappa disait s’interroger sur ces organisations qui « tiennent des propos agressifs vis-à-vis de la France, et pas uniquement du gouvernement mais aussi de la culture française » et qui, néanmoins, « vont taper à la porte des bureaux européens pour recevoir de l’argent et des subventions ». Elle concluait : « En France, nous avons pris nos responsabilités en disant pas un euro d’argent public pour les ennemis de la République […] Maintenant, l’Europe doit faire ce travail. »
Mais l’Europe ne l’a pas fait. Et quand le député Nicolas Bay a posé une question écrite au commissaire européen Didier Reynders, celui-ci a répondu que la commission « sélectionne les bénéficiaires de subventions de façon rigoureuse, en les soumettant notamment à plusieurs contrôles différents fondés sur des critères objectifs ». Certes, en cas de « manquement grave aux obligations contractuelles, y compris la violation des valeurs de l’Union, la subvention peut être suspendue, résiliée ou réduite, et les fonds peuvent être recouvrés » mais, s’agissant du FEMYSO, « le suivi de la mise en œuvre des subventions dont [il] a bénéficié […] n’a révélé, à ce jour, aucune violation de ce type ».
Alors on continue, et dans son dernier clip vidéo officiel, la Commission met de nouveau en avant le FEMYSO. C’est à l’occasion de la Journée internationale de la jeunesse ; Ursula von der Leyen salue « l’esprit de la nouvelle génération d’Européens », entourée des jeunes parmi lesquels on retrouve les membres du FEMYSO, arborant leur logo.
C’est la seule association confessionnelle identifiable dans ce clip, sans doute parce qu’elle incarne aux yeux de Bruxelles le futur de l’Europe ?
Marie Delarue, Boulevard Voltaire
Ecoutez DJMusic.fr Publié le Catégories Non classéLaisser un commentaire sur Pour incarner « l’esprit de la nouvelle génération d’Européens », Bruxelles promeut le FEMYSO, « faux nez de l’islamisme » !Du monde de Sempé au nôtre : Les ruines de l’esprit
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En vacances en Gironde, entre deux incendies, alors que les pistes cyclables sont interdites aux cyclistes et piétons par arrêté préfectoral, je consulte, fasciné mais frustré, la carte des véloroutes et voies vertes de France sur un site qui leur est consacré. J’apprends que la Scandibérique est un réseau de voies cyclables reliant Trondheim (Norvège) à Saint-Jacques-de-Compostelle (Espagne) sur plus de 1.700 km. Fantastique !
Lorsque je parcours les sentiers forestiers le long de l’Eyre, jolie petite rivière rafraîchissante, ici ou là, des installations gymniques avec panneaux explicatifs m’incitent à faire des exercices physiques, et c’est très bien. Mon corps y trouve son compte.
Un coup d’œil sur ma boîte mail me signale de nouveaux articles du site Causeur. Celui de Thomas Morales, « Sempé, dessine-moi encore la France ! », me met en joie. Quelques phrases sont des morceaux d’anthologie :
« Il était un rempart à la veulerie généralisée. »
« Grâce à lui, j’ai pu communier enfin avec mon pays et lui trouver des excuses. Il m’a rendu moins amer avec ma géographie intime. »
« Il était à l’opposé de notre époque geignarde et souillonne qui, à force de vouloir tout dénoncer, a perdu le sens du beau et du friable. »
Quel bel esprit à la fois poétique et tendrement critique que celui de Sempé.
Mais le zapping brutal de cette carte européenne du bien-être physique à l’article de Morales sur Sempé me laisse un goût amer. Pourquoi ai-je le sentiment qu’entre Sempé et nous, un gouffre s’est creusé ? Que s’est-il passé ?
Nous assistons, je crois, à un déficit d’esprit, parce qu’on a tout misé sur le corps, de moins en moins sur l’esprit. Le pape Pie XI appelait ça les mystiques humaines, des manières humaines de chercher un absolu. Une catastrophe pour l’humanité ; elles ont accouché de deux monstres : la dictature marxiste-léniniste immédiatement suivie par la dictature nazie. Mystique du corps social pour l’une et du corps racial pour l’autre. Après la libération sexuelle de Mai 68, mystique du corps exalté, nous vivons aujourd’hui dans la continuité des mystiques humaines dans une logique matérialiste, celle du corps hygiénique. Dans tous les cas de figure, l’esprit ne trouve pas son compte.
Jamais l’âme et le corps n’ont été aussi séparés. Descartes jubile.
Dans la Rome antique, on tenait les masses populaires dans une relative servilité avec du pain et des jeux (panem et circenses). Aux temps des matérialismes modernes, le pain et les jeux ne suffisaient plus. Il fallait trouver au corps des justifications, des préoccupations qui élèvent l’humanité, qui lui donnent des ambitions au niveau de l’esprit. Le vieil adage mens sana in corpore sano donnait encore la priorité à l’esprit, mais on n’en est plus là, on est dans la sublimation du corps au détriment de l’esprit.
Les années 20 du XXe siècle étaient marquées par l’insouciance de l’entre-deux-guerres. Dans nos années 20, on n’est pas dans l’insouciance, on est dans l’angoisse d’un corps hygiénique, en bonne santé physique. Pour la santé mentale, on a les antidépresseurs et les psychothérapeutes à tous les étages. On en a eu un exemple historique avec la crise du Covid : rien pour l’esprit, et surtout pas l’esprit critique.
Contrairement à ce qu’écrit Merleau-Ponty (Le Visible et l’Invisible), ce n’est pas seulement dans le visible que résident les ruines de l’esprit, c’est dans toute une conception moderne de l’homme, de la connaissance et du monde, qui s’est construite sur la négation de l’être.
Morales termine ainsi son article : « Sempé était l’écrivain souterrain de nos bonheurs disparus. » Les ruines de l’esprit sont définitivement celles de la métaphysique et de la poésie. Plus qu’un problème culturel, c’est une question anthropologique. Que nous disent le transhumanisme, le wokisme, l’ingérence LGBT à l’école ? Le corps, c’est tout. L’esprit en est réduit à ce que je construis, ou j’imagine construire, autour de mon corps et de ses pulsions. On a glissé subrepticement, presque inconsciemment, de la civilisation de l’image vers la civilisation du fantasme. Mais peut-être, plutôt que des ruines, faudrait-il parler d’un étouffement de l’esprit par une incompréhension des liens entre le corps et l’âme, conséquence directe du dualisme cartésien et de sa vision de l’homme : un ange conduisant une machine. Si le corps est une machine, tout est possible.
Mais l’heure n’est plus aux lamentations. Il est temps de se retrousser les manches, de redonner, comme disait Maritain, « la primauté au spirituel ».
Ce jeudi, à la messe dans la petite église d’un village de Gironde, j’ai vu les bigotes de Sempé, souvent agenouillées malgré les rhumatismes. J’ai le sentiment que l’avenir de la France repose aussi sur leurs prières.
Frédéric Marc, Boulevard Voltaire
Ecoutez DJMusic.fr Publié le Catégories Non classéLaisser un commentaire sur Du monde de Sempé au nôtre : Les ruines de l’espritQuatre contre un, victime piétinée : à Santorin, des vacances à la française
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L’île grecque de Santorin, l’une des plus connues de l’archipel, est un petit paradis. Plages sublimes, maisons blanches et volets bleus, mer étale et transparente, un calme méditerranéen au parfum d’éternité, sous la fameuse « lumière grecque », à la fois douce et lucide, qu’aimèrent Michel Déon (Le Balcon de Spetsai), Charles Maurras ou encore Jacqueline de Romilly (Pourquoi la Grèce ?).
Dans ce cadre enchanteur, un influenceur originaire de Rueil-Malmaison, répondant au prénom de Nicolas, a décidé de s’installer. Il a même invité, grand seigneur, quatre « jeunes » de son quartier, « sensible, forcément sensible », comme dirait l’autre, à le rejoindre pour des vacances tous frais payés. Des « Nicolonies », selon le nom qu’il leur a trouvé, destinées à sortir ces futurs ingénieurs de la monotonie de leur quotidien, entre bornes d’incendie, rodéos et tirs de mortier. Fraternel jusqu’au bout, probablement inspiré par la générosité antique des pères nobles d’Homère, il a même prodigué à ses invités quelques conseils de bonne tenue: « Ici, c’est pas la Cefran, restez à votre place. » Ils étaient prévenus : contrairement à la Cefran, en Grèce (en Cegrè), on arrête les délinquants. Ça peut surprendre, je sais.
Des 'jeunes' invités à Santorin 🇬🇷par un influenceur plongent un type dans le coma après un vol violent. Leur hôte les avait pourtant prévenus "ici c'est pas la Cefran 🇫🇷, restez à votre place", "le pire, c'est qu'ils n'ont pas eu peur de moi" (après, le mec dans le coma, bon…) pic.twitter.com/asNB8Pe8Ff
— Jean-Robert (@Jean_Robert_29) August 12, 2022
Hélas, trois fois hélas, ces jeunes gens n’ont pas écouté les conseils. À peine sortis dans les rues de Santorin sans leur chaperon, ils ont littéralement massacré, à coups de poing, puis de pied, un touriste espagnol à qui ils ont pris son argent, son téléphone et sans doute une partie de ses fonctions motrices. Repérés puis arrêtés grâce aux caméras de surveillance, ces quatre héros modernes ont été déférés au tribunal de Naxos. Le seul mineur des quatre a été relâché, les autres incarcérés. Cette fois, pas de tweet vengeur et impuissant du Geraldis Darmanopoulos local, qui se rendrait sur place en trirème : non non, de la prison, tout simplement. L’Espagnol, lui, après un coma, est toujours dans un état sérieux.
À la cité de Plaine Gare, à Rueil, c’est évidemment la consternation. Les mieux informés parlent de propos racistes tenus par l’Espagnol. Un motif d’absolution. D’autres décrivent des jeunes « plutôt tranquilles ». Je vous parierais qu’ils étaient même « polis et discrets », qu’ils « disaient toujours bonjour » et qu’en dépit de « délits mineurs », ils étaient « plutôt sans histoires ». C’est le bingo des faits divers : attendons la suite de l’affaire pour cocher toutes les cases.
Ce qui caractérise notre époque, que certains païens assimilent à l’âge sombre du Kali-Yuga, c’est le renversement de tout, la salissure et l’avilissement de tout ce qui est beau, l’aberration érigée en norme, le déchaînement de la violence gratuite, la cruauté, l’impunité. Ces jeunes pleins d’avenir ne feront donc peut-être pas de prison. La France est bonne fille, ou plutôt, la Cefran est bonne meuf : les pouvoirs publics céfrans interviendront probablement pour les faire libérer.
Il n’y a pas si longtemps, les touristes français étaient en débardeur et en Croc, ils parlaient fort et seulement dans leur propre langue, ils étaient radins et râleurs. On en avait déjà honte. Force est de reconnaître que nous avons changé de gamme : les touristes français ne sont plus français que « par hasard », dit le député Pierre Lellouche (LR), un peu lent à comprendre ce que lui et les siens ont laissé faire depuis le regroupement familial. Il est un peu tard pour qu’il s’étrangle : la Cefran qu’il a voulue est sous ses yeux. Désormais, elle s’exporte même jusque dans les Cyclades.
Arnaud Florac, Boulevard Voltaire
Ecoutez DJMusic.fr Publié le Catégories Non classéLaisser un commentaire sur Quatre contre un, victime piétinée : à Santorin, des vacances à la françaiseJ’appartiens à cette génération de salauds qui ont détruit la France
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J’appartiens à cette génération de salauds qui ont détruit la France
Car si, à titre individuel, beaucoup se sont battus pour préserver le pays des délires mondialistes qui vont tout emporter, au niveau collectif, c’est bien la génération de ceux qui ont tenu le manche jusqu’aux années 2000 qui est responsable du naufrage identitaire et économique de la nation.
Que les générations futures nous pardonnent notre lâcheté, quand la France va se désintégrer comme le Liban.
Je fais partie de cette génération du baby-boom particulièrement égoïste, une génération bénie des dieux qui n’a pas connu la guerre, qui n’a pas connu l’extrême pauvreté, qui n’a pas connu le chômage durant toutes les Trente Glorieuses, qui a connu une croissance de 6 % et une augmentation du niveau de vie sans précédent. La France de la reconstruction et de la modernité, c’était le paradis. Mais nous avons dilapidé cet héritage inestimable légué par de Gaulle. C’est criminel.
Dans les années soixante, tous les métiers étaient ouverts et tout étudiant pouvait changer de voie, certain de trouver un emploi, quel que soit son cursus scolaire, manuel, scientifique, commercial ou littéraire. La France manquait de tout, du manœuvre à l’ingénieur, en passant par les médecins, les enseignants, les commerciaux et tous les métiers manuels, industriels ou agricoles.
Aucun ordinateur ne nous imposait ses propres choix en nous disant que le secteur de nos souhaits était bouché.
Le mot insécurité n’avait pas grande signification puisque la criminalité était cinq fois moindre qu’aujourd’hui. Tout au plus quelques bandes de « blousons noirs » se castagnaient-elles à coups de chaînes de vélo, mais cela n’avait rien à voir avec nos mille agressions gratuites et nos 120 attaques au couteau quotidiennes actuelles. On ne risquait pas sa peau dans la rue et on ne se faisait pas lyncher pour une cigarette ou un regard.
Les commissariats n’étaient pas attaqués avec la bénédiction des ministres de l’Intérieur et de la Justice.
Les mineurs n’étaient pas livrés à eux-mêmes et ne traînaient pas dans les rues à chercher l’incident.
On ne cramait pas 45 000 voitures par an juste pour le plaisir, histoire de provoquer le « bourgeois ».
Les soignants, les enseignants, les pompiers, les chauffeurs de bus étaient respectés et n’allaient pas au travail la boule au ventre, comme c’est le cas pour certains aujourd’hui.
Les femmes circulaient en toute sécurité dans les transports, portant mini-jupe et décolleté sans crainte de se faire traiter de salopes et d’être agressées. La sécurité était la norme contrairement au coupe-gorge actuel.
Je suis de cette génération d’après-guerre qui a vu la France s’enrichir à grande vitesse, en entrant dans la société de consommation, des loisirs et des libertés.
Ce fut une véritable révolution dans l’équipement des familles, la santé, l’information, les transports, les loisirs et les vacances.
Télévision en noir et blanc, transistor sur les plages, réfrigérateur, lave-linge, voiture, et plus tard le lave-vaisselle. C’est le boom de la consommation des ménages. Finis les Noël de nos grand-parents avec une simple orange sous le sapin. Les gamins sont comblés de jouets. La France est riche, de plus en plus riche.
On part en vacances sur la Nationale 7 et on envahit les plages.
La Nouvelle Vague révolutionne les mentalités, le cinéma nous fait vibrer avec Delon, Belmondo, Bardot et bien d’autres, sans oublier les stars américaines, ces géants d’Hollywood tous disparus.
On chante avec Johnny, Sylvie, Sheila, les Beatles et les Rolling Stones, en écoutant Salut les Copains. On danse le rock et le twist, pendant que nos anciens médusés y voient des danses de singe. Le fossé générationnel est béant entre ceux qui ont vécu la guerre et l’insouciante génération qui suit. Le tourne-disques et le magnétophone chauffent dès la sortie du bahut.
Mais entre croulants et yéyés tout va bien, même si on ne se comprend plus. La France est au top.
L’électro-ménager libère la femme qui fait des études et se lance dans toutes les professions. Certes, les femmes ont toujours travaillé dans les champs et les usines, mais dès 1960, tous les métiers s’ouvrent à elles.
Et que dire de la révolution sexuelle qui libère la femme avec la pilule, pour en faire l’égale des hommes en s’adonnant à l’amour plaisir sans restriction ni angoisse.
C’est cette France-là que nous a léguée de Gaulle. Une France heureuse, riche et prospère, sans violence, sans haine, sans racisme, sans terrorisme islamique.
Et c’est cette France que nous avons liquidée par lâcheté et inconscience, en votant pour ceux-là mêmes qui œuvrent à sa destruction, au nom d’une idéologie mondialiste dévastatrice, sans comprendre que l’islam radical, de son côté, ne veut pas de cette société occidentale décadente et tisse sa toile pour établir sa propre société fidèle au Coran et à lui seul.
Si les races peuvent se mélanger, les cultures ne se mélangent jamais.
Autant dire qu’une France de l’après-guerre, sans racisme, sans violence, sans fous d’Allah, une France paisible, riche et prospère, cela n’existe que dans nos rêves. En quarante ans, nous avons tout détruit et les générations futures nous maudiront jusqu’à la fin des temps. Oui, les baby-boomers, nous sommes bien une génération de salauds.
Certains verront dans mes propos la nostalgie de ma jeunesse. Non, c’est avant tout une immense tristesse, en comparant l’héritage que nos parents nous ont légué avec celui que nous allons livrer à nos descendants. Un saccage historique de la nation. Impardonnable.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque
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