+ Webtube : Avec ce gouvernement on passe son temps à faire deux pas en avant et trois pas en arrière en prenant des décisions puis des contre-décisions. Que ce soit pour le nucléaire, les centrales à charbon, la réglementation de la vitesse sur les routes…. et tout le reste…. Cette façon de gouverner coûte un pognon de malade…. Mais M. Lemaire s’en fiche avec sa politique du quoi qu’il VOUS en coûte!
C’était l’une de ses promesses de campagne pour lutter contre le dérèglement climatique : fermer toutes les centrales à charbon encore actives. Quand il était candidat, Emmanuel Macron promettait l’arrêt des quatre sites (Havre, Saint-Avold, Cordemais et Gardanne). Une fois élu à la tête de l’État, le Président a réitéré sa volonté de fermer les usines à charbon. « C’est une décision écologique : les centrales à charbon représentent 2 % des émissions de CO2 (gaz carbonique) en France, mais 30 % des émissions de la production électrique », affirmait Emmanuelle Wargon, ancienne secrétaire d’État auprès du ministère de la Transition écologique en 2020. Elle soulignait également que l’engagement du président de la République « sera[it] tenu ». Mais cette promesse, elle non plus, n’a pas été tenue.
Dans le quinquennat, nous devrons fermer toutes les centrales à charbon qui existent encore dans notre pays. #PandaLivepic.twitter.com/Stpo8zryU0
À peine deux ans plus tard, la presse titre à tout va « En Moselle, la centrale de Saint-Avold fait le plein de charbon et se prépare à tourner à plein régime » ou encore « La centrale à charbon de Saint-Avold joue les prolongations et rappelle ses salariés licenciés » (Europe 1). En 2018, Saint-Avold avait d’ailleurs reçu la visite de François de Rugy. Lors de ce déplacement, le ministre de l’Écologie avait déclaré vouloir accompagner les salariés. Après la fermeture de la centrale en mars 2022, les 70 employés ont tous été rappelés pour redémarrer la production de charbon. Une réouverture justifiée par la menace d’un black-out cet hiver. Le gouvernement a d’ailleurs appelé les Français à faire des « petits gestes » pour réduire leur consommation d’énergie.
Ce changement important pour Saint-Avold et les salariés de la centrale à charbon, nous sommes déterminés à l’accompagner dans un esprit de responsabilité vis-à-vis de chacun ! pic.twitter.com/oLCl3TuGVc
C’est un changement total de paradigme. Certes, la réouverture de centrales à charbon est appuyée sur une crise énergétique, mais quelques années auparavant, le charbon était considéré comme le mal absolu. Une énergie tellement conspuée que les pays membres du G7 se sont engagés, en 2021, à ne plus financer de projets de centrales à charbon dans le monde. « Il est maintenant reconnu par tous les pays du G7 que le charbon est une énergie du passé. Et que sa sortie est un impératif pour tous », avait écrit le chef de l’État sur son compte Twitter. Il semble avoir changé d’avis.
Le premier réacteur de #Fessenheim sera mis à l'arrêt samedi. C'était un engagement d'@EmmanuelMacron. C'est un moment historique pour notre politique énergétique, cohérent avec nos objectifs :
Si l’on doit rouvrir des centrales à charbon à l’aube d’une pénurie d’énergie, c’est également la responsabilité du gouvernement. En effet, selon plusieurs spécialistes des questions énergétiques, si Emmanuel Macron ne s’était pas entêté à réduire de 50 % l’électricité d’origine nucléaire d’ici 2025, et s’il n’avait pas fermé Fessenheim, la France ne serait pas dans la même position. « La pénurie éventuelle vient des arrêts des centrales à fioul et à charbon décidés sous la pression des écologistes politiques auxquelles ne peuvent se substituer les énergies intermittentes éoliennes ou solaires, estime Loïk Le Floch-Prigent, ancien PDG de GDF et d’Elf Aquitaine dans un entretien accordé àMarianne. La production française revient donc sur les épaules du nucléaire et de l’hydraulique, qui sont pilotables, mais il y a eu aussi des arrêts décidés par le gouvernement – comme à Fessenheim. »
Contraint par la réalité, le gouvernement a laissé tomber ses lubies écologiques — la France représente moins de 1 % des émission de gaz carbonique — pour redevenir pragmatique. Espérons qu’il ne fasse pas une deuxième fois la même erreur.
Depuis des mois, l’Agence européenne de gardes-frontières et de gardes-côtes (Frontex) est l’objet d’attaques virulentes de la part des ONG favorables à la déferlante migratoire et de la gauche du Parlement européen. La Commission, en ligne directe avec ces groupes de pression, avait mandaté l’Office de lutte antifraude de l’Union européenne (OLAF) pour enquêter sur le fonctionnement de l’agence, bien que ceci n’ait eu aucun lien avec une quelconque fraude. À la suite du rapport rendu par l’OLAF, Fabrice Leggeri, directeur de Frontex, avait été poussé à la démission, accusé d’avoir fermé les yeux sur des opérations de refoulement de supposés réfugiés en mer Égée, voire d’y avoir prêté main-forte.
L’affaire rebondit après la publication d’éléments de ce rapport confidentiel par le journal allemand Der Spiegel, rapport dont certains membres du Parlement européen réclament la publication à cor et à cri. Sur la forme, une fois de plus, un fonctionnaire en mal de reconnaissance journalistique, ou par militantisme idéologique, brise le secret professionnel. Sur le fond, rien de bien nouveau : les mêmes accusations de refoulement. Mais c’est l’occasion, pour certaines ONG, et notamment la Cimade, d’aller plus loin encore et de réclamer la suppression pure et simple de l’agence, la démission du directeur étant estimée comme insuffisante.
L’article 33 de la convention relative au statut des réfugiés de 1951 interdit d’expulser ou de refouler, « de quelque manière que ce soit », les réfugiés dont la vie ou la liberté seraient menacées, tout comme sont prohibées les « expulsions collectives d’étrangers ». Mais le Conseil de l’Europe tout comme la Cour européenne des droits de l’homme n’ont eu de cesse d’élargir les raisons de refuser les expulsions à la santé (arrêt Paposhvili c Belgique) ou au risque de persécution, que ce soit de caractère politique, religieux ou sexuel (arrêt Y. P. et L.P. c. France), la difficulté résidant dans l’appréciation du risque, au-delà de la torture, des agissements dégradants ou indignes auxquels pourraient être exposés les réfugiés de façon avérée.
On le sait, le droit international relatif aux réfugiés est de plus en plus détourné pour devenir le support de filières de migrations illégales. En effet, les réfugiés doivent bénéficier de procédures individualisées et avoir droit à une possibilité effective de recours. Autant de moyens pour les faux réfugiés mais vrais migrants illégaux de gagner du temps, de rendre leur retour plus difficile, voire de disparaître dans la nature et, bien sûr, de mobiliser les ONG favorables à l’entrée massive de migrants.
Sur le fond, le combat mené par la Cimade, France terre d’asile ou encore l’Open Society Foundations du spéculateur George Soros vise à détruire le droit des États souverains à accepter ou refuser les entrées de populations étrangères sur leur sol. Derrière le mythe du « citoyen du monde » qui n’est citoyen de nulle part se cache la volonté de détruire les nations comme lien d’ancrage des êtres humains et comme cadre naturel du gouvernement des hommes. Place au gouvernement par une nomenklatura mondialisée de masses d’individus indifférenciés, que l’on déplace d’un point à l’autre de la planète pour des raisons économiques. Pour cela, il convient de faire disparaître les nations, donc les frontières qui permettent d’identifier et de protéger des communautés humaines liées par une histoire propre, une culture partagée, des projets à bâtir ensemble.
Transformer Frontex en agence d’assistance aux migrants ou, mieux, la détruire, c’est, du même coup, détruire le mythe de « souveraineté européenne » cher à Macron. Car si l’Union européenne n’a plus le droit de garantir ses frontières, elle n’est plus qu’un espace économique d’arrivée et de transit, sans civilisation propre, sans dessein ni destin particuliers.
La volonté de certains, au sein même de l’Union européenne, d’abandonner tout contrôle effectif aux frontières ruine l’idée même d’Union européenne et ne peut avoir comme conséquence que la reconstitution des frontières internes. Dans sa soumission aux États-Unis, dans son désir inconsidéré de s’élargir en toute direction et jusqu’aux confins asiatiques, dans son refus de reconnaître les racines de sa civilisation, dans son angélisme migratoire censé compenser son effondrement démographique, l’Union européenne se condamne elle-même à n’être que ce vague objet international non identifié dont Henry Kissinger cherchait en vain le numéro de téléphone. Si Frontex doit être détruite comme Carthage afin de complaire à certaines ONG, c’est le mythe même de souveraineté européenne que l’on détruit. Faut-il vraiment s’en plaindre ?
+ Webtube :Ce qui s’est passé au Kosovo pourrait nous éclairer sur la situation dans certains de nos quartiers ou de nos villes… Ce n’est pas rassurant !Article à lire absolument.
Ces jours-ci, le Kosovo se rappelle à nous. Au fond, depuis l’intervention de l’OTAN en 1999 – sans mandat de l’ONU, rappelons-le -, rien n’a vraiment été réglé, au Kosovo. Peut-être parce que rien n’est vraiment réglable.
En 1997, un général français expliquait à des militaires qui s’apprêtaient à partir pour la Bosnie-Herzégovine que la situation de l’ex-Yougoslavie était comparable à celle de ces vieux appartements dans lesquels, au gré de la succession d’une multitude de locataires, les couches de papiers peints s’étaient superposées les unes aux autres. Un jour, l’idée prend à un nouvel occupant d’enlever tout cela pour repartir sur de bonnes bases. Et c’est là que, malheureusement, sous l’effet de la spatule ou de la décolleuse à vapeur, les cloisons s’effondrent en même temps que le papier se décolle ! L’Histoire ne se résume pas, comme dans les westerns américains, à la lutte entre les gentils et les méchants, comme on veut le faire croire depuis plus de trente ans que les cloisons de l’ex-Yougoslavie se sont écroulées. Un western qui, d’ailleurs, n’en a pas terminé son cinéma : dimanche soir, sur les réseaux sociaux, le petit et très artificiel Kosovo était comparé à la malheureuse Ukraine, petits drapeaux à l’appui, et, évidemment, la vilaine Serbie à la méchante Russie – il est vrai alliées de toujours…
En tout cas, le cas du Kosovo dans sa dimension démographique devrait nous amener à nous questionner sur notre propre situation française. En 2011, le géographe Laurent Chalard, dans la revue Géostratégiques, écrivait : « Le cas du Kosovo est particulièrement intéressant car il montre bien comment les évolutions démographiques peuvent avoir des conséquences géopolitiques majeures, quand deux populations vivant sur un même territoire ont des dynamiques démographiques différentes. En l’occurrence, pour reprendre la terminologie du géographe Gérard-François Dumont, les populations albanaises répondent à la loi de la stimulation alors que les populations serbes répondent aux lois de la langueur et du repoussement, conduisant à l’application de la loi du différentiel. Le groupe politiquement dominé par la Serbie depuis sa reconquête du Kosovo sur l’Empire ottoman a fini par prendre un poids démographique tel qu’il a renversé à son profit la primauté politique. »
En effet, en 1948, les Serbes ne représentaient plus que 24 % de la population du Kosovo, pourtant berceau de la nation serbe car berceau de l’Église orthodoxe serbe, alors que les Albanais, eux, représentaient déjà 68 %. En 2006, les Serbes n’étaient plus que 5 % et les Albanais pesaient désormais d’une majorité écrasante : 92 %. Globalement, cette évolution sur deux ou trois générations fut d’abord liée à un écart important du taux de natalité entre les deux populations. En 1961, ce taux était de 4,6 % pour les Albanais, 3,1 % pour les Serbes. En 1990, ce même taux était de 2,8 % pour les Albanais, 1,7 % pour les Serbes. Ajoutons à ce phénomène une migration importante des Serbes, notamment des jeunes, vers la Serbie centrale, migration qui s’est accélérée lors des frappes de l’OTAN en 1999 et depuis l’instauration du régime albanais de Pristina, soutenu par les États-Unis, et l’on n’a pas besoin d’être géographe ou politologue pour comprendre que la domination politique des Albanais au Kosovo était, malheureusement, d’avance écrite dans les chiffres.
Comparaison n’est pas raison, mais rien n’empêche donc de réfléchir raisonnablement à la situation de notre pays, non pas globalement mais au moins localement. Après tout, le Kosovo, ce n’est jamais qu’un territoire de 11.000 km2, soit deux fois la superficie des Bouches-du-Rhône, moins de deux millions d’habitants, l’équivalent de la population de ce même département. Des zones, des villes, des quartiers entiers ne connaissent-ils pas cette loi du différentiel entre stimulation d’un côté et langueur et repoussement de l’autre, pour reprendre les expressions des géographes ? En 2011, la mère supérieure d’un couvent orthodoxe niché au-dessus de Mitrovica, enclavé dans un secteur albanais, lui-même inséré en zone serbe, me disait : « Ne laissez pas faire en France ce que nous avons laissé faire au Kosovo. »
Selon les chiffres officiels, 696 personnes à bord de 14 petites embarcations ont été interceptées en effectuant la périlleuse traversée, dans l’un des détroits les plus fréquentés au monde, portant à plus de 17.000 le total depuis le début de l’année. Les traversées de la Manche à bord de petites embarcations continuent à augmenter de manière importante.
Face à l’ampleur du phénomène, le gouvernement britannique a conclu un accord avec le Rwanda pour envoyer dans ce pays d’Afrique de l’est les demandeurs d’asile arrivés illégalement sur le sol britannique. Bien qu’aucune de ces expulsions n’ait encore eu lieu – un premier vol prévu en juin a été annulé après une décision de la Cour européenne des droits de l’Homme (CEDH) – les candidats à la succession de Boris Johnson, Rishi Sunak et Liz Truss, ont tous deux promis de poursuivre cette politique très controversée.
Un récent rapport parlementaire estimait que cette mesure est loin d’avoir l’effet dissuasif escompté et plaidait pour que Londres négocie avec Paris l’installation sur le sol français de centre d’examen des demandes d’asile. Les députés soulignaient que les traversées de la Manche à bord de petites embarcations continuent à augmenter de manière importante : 28.500 personnes sont ainsi arrivées au Royaume-Uni en 2021, un chiffre qui pourrait selon eux atteindre 60.000 d’ici à la fin de l’année. […]
À l’automne 2021, Priti Patel avait selon la presse britannique menacé de ne pas verser les plus de 60 millions d’euros promis, faute de résultats côté français, au grand étonnement de son homologue français Gérald Darmanin. […]
Synopsis et details: Dans le film Notre-Dame brûle en streaming vf,
Le long métrage de Jean-Jacques Annaud, reconstitue heure par heure l’invraisemblable réalité des évènements du 15 avril 2019 lorsque la cathédrale subissait le plus important sinistre de son histoire. Et comment des femmes et des hommes vont mettre leurs vies en péril dans un sauvetage rocambolesque et héroïque.
Kosovo : l’impérialisme américain dans toute son ignominie et son infamie
14 ans après son indépendance autoproclamée, le Kosovo illustre à merveille l’impossible cohabitation entre chrétiens et musulmans, dès lors que ces derniers sont majoritaires.
Les tensions au nord de cette province, où la minorité serbe continue d’être harcelée par le pouvoir de Pristina, prouvent que la cohabitation pacifique entre musulmans et chrétiens orthodoxes est un leurre.
Et ce n’est pas en amputant la Serbie de sa province du Kosovo, musulmane à 90 %, qu’une paix durable est assurée. Les guerres interconfessionnelles dans les Balkans, mais aussi ailleurs, sont des guerres de 1000 ans.
Sans la présence des 4000 soldats de la KFOR, la force multinationale, les Serbes du Kosovo seraient persécutés jusqu’à leur fuite définitive vers la Serbie.
L’islam et la chrétienté, c’est l’eau et le feu. Cette incompatibilité est écrite dans le Coran et dure depuis 14 siècles. Et aucune autorité musulmane n’expurgera le livre sacré de ses versets les plus violents à l’encontre des infidèles. Par conséquent, le multiculturalisme n’est qu’une douce illusion.
Le Kosovo, pure émanation du droit américain, lequel supplante le droit international comme chacun sait, est l’exemple même de la stupidité des États-Unis, qui ont cru pouvoir dépecer la Serbie sans dommage, au nom du droit d’ingérence humanitaire, un droit qui n’est rien d’autre qu’une violation pure et simple de la souveraineté nationale.
Mais ce que veut Washington ne souffre aucune contestation, comme on le voit encore aujourd’hui en Ukraine, où la russophobie américaine a force de loi pour les Occidentaux.
Depuis 1945, le droit international et les résolutions de l’ONU ne pèsent strictement rien s’ils ne reçoivent pas au préalable l’aval de Washington, qui considère que la loi du plus fort, donc la sienne, est toujours la meilleure.
Toute la politique et la diplomatie des États-Unis reposent sur un principe élémentaire : on bombarde d’abord et on négocie ensuite. Corée, Vietnam, Irak, Libye, Syrie, Afghanistan…
Cette arrogance du plus fort s’est notamment exprimée en 1999 contre la Serbie, puis en 2008, pour imposer l’indépendance unilatérale du Kosovo, au mépris le plus flagrant du droit international.
Profitant de l’extrême affaiblissement de la Russie après l’éclatement de l’URSS en 1991, l’Otan, sans l’aval de l’ONU, a lancé un raid aérien de 1000 avions sur la petite Serbie, alliée de Moscou.
Le prétexte ? Belgrade perpétrait soi-disant un génocide contre son propre peuple, en massacrant à tout-va et en jouant au foot avec les têtes des Albanais du Kosovo. Un mensonge d’État dénoncé plus tard, mais la Serbie fut écrasée sous un tapis de bombes pendant 78 jours, jusqu’à sa reddition.
La France, oubliant que les Serbes sont nos alliés et amis de toujours, s’est odieusement associée à cette ignominie, en violation totale de la charte de l’ONU.
Et cerise sur le gâteau, Emmanuel Macron, ce Président immature et ignare de tout, n’a rien trouvé de mieux que d’humilier le Président serbe le jour de la commémoration du centenaire de l’armistice de 1918, en le reléguant hors de la tribune officielle. Une gifle diplomatique que le peuple serbe n’a pas oubliée.
Car ce que ne sait pas notre inculte Président, c’est que les Serbes étaient nos alliés en 1914 et qu’ils ont perdu 1,2 million de soldats.
Refusant de célébrer la victoire des Poilus pour ne pas humilier les Allemands, nos éternels ennemis, Macron a humilié les Serbes, nos amis et alliés historiques ! C’est dire combien notre orgueilleux Président flotte dans ses habits beaucoup trop grands pour lui. C’est le lot des médiocres.
En 2008, les États-Unis ont imposé leur loi du plus fort, une fois de plus, en déclarant l’indépendance unilatérale du Kosovo, au mépris du droit international.
Belgrade ne reconnaît nullement cette indépendance, pas plus que l’ONU. Et la France, éternel valet des États-Unis, s’est totalement déshonorée en trahissant un pays ami de toujours et en se pliant au diktat de Washington. Mais il est vrai que nos élus n’ont jamais brillé par leur connaissance de l’histoire et leur maîtrise de la géopolitique.
« Ainsi, pour l’ancien ministre français Jean-Pierre Chevènement, la reconnaissance du Kosovo « est une triple faute » : faute contre l’histoire, le pays n’ayant jamais été indépendant, faute contre le droit, la guerre déclenchée en 1999 par l’Otan ayant ignoré les principes du droit international, et faute contre l’Europe unie »
La mission de l’Otan se dit prête à intervenir pour calmer les tensions et de son côté, le Président serbe a déclaré :
« Nous ne voulons pas de conflits et nous ne voulons pas de guerre » a déclaré Vucic dans son discours. « Nous prierons pour la paix et rechercherons la paix, mais laissez-moi vous dire tout de suite : il n’y aura pas de reddition, et la Serbie gagnera. S’ils osent commencer à persécuter, harceler et tuer les Serbes, la Serbie gagnera ».
Nul doute que Moscou observe la situation de près. Si, en 2008, Poutine n’a pas eu les moyens militaires de protéger son allié, et a dû avaler une humiliation de la part des Américains, la donne a changé. Le Tsar a repris la main de façon magistrale. Il est craint.
L’annexion de la Crimée par Moscou n’est que le légitime retour du boomerang après l’indépendance unilatérale du Kosovo. Poutine avait prévenu l’Occident que le dépeçage de la Serbie, pays frère de la Russie, ne resterait pas impuni.
Et bien que l’ONU ne reconnaisse pas le Kosovo en tant qu’État, Pristina aspire à adhérer à l’UE, alors que la Serbie attend à la porte depuis 10 ans.
Le Kosovo, un État mafieux et corrompu, théâtre de tous les trafics, y compris le trafic d’organes, ce qui s’apparente à un crime contre l’humanité, ambitionne de rejoindre l’UE, qui se veut le temple de la démocratie et des droits de l’homme, ni plus ni moins !
Pour conclure, résumons l’ignominie dont la Serbie a été victime depuis 1999 (extrait du lien ci-dessus) et rappelons quelques vérités mises sous le tapis. Tout est dit :
– Les Serbes sont injustement diabolisés au regard du passé historique (résistance durant la Seconde Guerre mondiale) ;
– L’hypocrisie et l’indignation sélective concernant les peuples opprimés : les Kurdes en Turquie ou encore les Palestiniens n’ont pas du tout droit au même soutien médiatique ;
– L’UCK, l’Armée de libération du Kosovo, était considérée comme une organisation terroriste par les États-Unis jusqu’en 1998 ;
– Les négociations de Rambouillet qui avaient précédé l’intervention de l’OTAN ont été délibérément sabordées, proposant des conditions inacceptables à la Serbie (une espèce de protectorat sur l’ensemble du pays) ;
– La guerre, préparée à l’avance, était illégale ;
– Le plan « fer-à-cheval » d’expulsion des Albanais était un faux grossier et le massacre de Raçak du 15 janvier 1999 qui a légitimé la guerre un mensonge ;
– La prévention de génocide relevait de l’intoxication, les chiffres des victimes kosovares ont été multipliés ;
– La presse française s’est en très grande majorité rangée derrière l’OTAN, délaissant tout esprit critique. Fait incroyable, Philippe Val, directeur de Charlie Hebdo (journal à l’origine d’extrême-gauche) est devenu subitement belliciste et fanatiquement atlantiste ! Bien sûr on n’échappera pas à l’inévitable BHL qui interpellait Régis Debray dans un article resté célèbre (« Adieu Régis ») ;
– Les exactions serbes se sont principalement déroulées après le début des premières frappes en 1999 ;
– Les bombardements de l’OTAN ont causé la mort de centaines de civils serbes ;
– Les indépendantistes modérés de la LDK (Ligue démocratique du Kosovo) d’Ibrahim Rugova ont été injustement écartés et ont subi les violences de l’UCK avec des assassinats politiques ;
– Un nettoyage ethnique des minorités non albanaises (Serbes mais aussi Roms, Ashkalis, Bosniaques et Turcs) a eu lieu juste après la fin de la guerre et s’est poursuivi les années suivantes : attentats, disparitions forcées, meurtres… Les émeutes racistes de mars 2004 ont provoqué la mort de 19 personnes et un nouvel exode de population, devant les forces d’occupation (KFOR) impuissantes ;
– Il n’y a pas de véritable État au Kosovo, c’est la mafia issue de l’UCK qui a pris le pouvoir et empêche l’émergence d’une véritable économie et d’une vie démocratique. Les témoins gênants qui voulaient dénoncer les crimes de certains chefs ont été assassinés.
Et c’est ce pays qui prétend intégrer l’UE ?
Cela dit, j’espère qu’un jour un auteur intègre et impartial nous livrera la vérité historique sur la guerre qui se déroule aujourd’hui en Ukraine, pour réhabiliter le grand patriote et homme d’État qu’est Poutine, et pour remettre Zelensky à la place qui est la sienne, à savoir celle d’un saltimbanque corrompu, honteusement mis sur un piédestal, dans le seul but de satisfaire à la politique russophobe de Washington.
+ Webtube :Ce n’est pas si difficile que ça d’expulser les migrants qui posent problème. Il suffit d’un peu de volonté et surtout d’un gouvernement volontariste qui ne serait pas à la botte de l’UE. En France on nous dit en permanence que c’est impossible, les pays ne veulent pas récupérer leurs migrants….. c’est parce que la France est faible et ne cherche pas à s’imposer. Lamentable !
La Turquie a expulsé un peu plus de 59 000 migrants en situation irrégulière jusqu’à présent cette année, en hausse de 136 % par rapport à la même période l’an dernier, selon les chiffres officiels.
Selon les données de la Direction de la gestion des migrations du ministère de l’Intérieur, 83 934 migrants irréguliers se sont vu refuser l’entrée en Turquie au cours des sept premiers mois de 2022, tandis qu’un total de 451 096 migrants irréguliers dans les provinces de l’est et du sud se sont vu refuser l’entrée au cours de l’année 2021.
Au total, 358 736 migrants en situation irrégulière ont été expulsés depuis 2016, a-t-il indiqué.
Au cours des sept premiers mois de cette année, 144 vols privés ont expulsé 35 728 personnes vers l’Afghanistan tandis que 7 214 ont été renvoyés au Pakistan, a-t-il ajouté Pendant ce temps, 514 358 Syriens sont retournés volontairement dans leur pays, selon les chiffres.
La Turquie, qui accueille déjà 4 millions de réfugiés – plus que n’importe quel pays au monde – prend de nouvelles mesures de sécurité à l’intérieur et à l’extérieur de ses frontières pour empêcher un nouvel afflux de migrants.
L’avenir de près de 5 millions de migrants, principalement des Syriens, en Turquie a suscité un débat houleux dans la politique turque ces derniers mois. Les migrants et les réfugiés en Turquie retourneront volontairement dans leur pays une fois la paix établie, a déclaré le président Recep Tayyip Erdoğan à ce sujet.
+ Webtube : Ces mosquées montrent bien à quel système de pensée elles appartiennent, elles soutiennent ce homme qui véhicule des propos incitant à la haine et la discrimination….. et on devrait laisser passer ça ?
La mosquée de Villeneuve-d’Ascq, comme d’autres lieux de culte proches de la mouvance des Frères musulmans, a lancé une pétition en ligne « en soutien au professeur Hassan Iquioussen », menacé d’expulsion vers le Maroc.
Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé jeudi dernier qu’il demanderait l’expulsion prochaine du prédicateur musulman Hassan Iquioussen, en raison de propos « incitant à la haine et à la discrimination et porteurs d’une vision de l’islam contraire aux valeurs de la République française ». Une décision qui s’appuie sur la « loi séparatisme », adoptée l’an dernier, et qui vise un imam et prédicateur proche des Frères musulmans, né à Denain, et actif depuis plusieurs années au sein des mosquées de la région.
Près de 16 000 signatures recueillies
Rapidement, les soutiens d’Hassan Iquioussen se sont mobilisés contre cette décision, notamment au sein des mosquées se réclamant de la mouvance de l’islam politique des Frères musulmans (lire ci-dessous). En première ligne de cette mobilisation, la mosquée de Villeneuve-d’Ascq a lancé une pétition en ligne contre cette expulsion, et son président, Mohamed Karrat, a écrit au préfet du Nord et au ministre de l’Intérieur pour leur exprimer son « énorme incompréhension » face à cette décision d’expulsion. « En tant que président d’une mosquée, je côtoie M. Iquioussen depuis de nombreuses années. Durant ces longues années, il a fait de nombreuses interventions au sein de notre centre. À travers ses interventions j’ai vu un discours apaisant, responsabilisant et appelant au vivre ensemble. »
Ce lundi, la pétition en ligne comptait près de 16 000 signatures. Le texte accompagnant ce soutien présente cette initiative comme étant celle de « citoyens et citoyennes, musulmans et non musulmans » qui appellent « les autorités françaises à suspendre cet avis d’expulsion qui créerait de la confusion dans la communauté musulmane française, et mettrait injustement en danger la vie d’un homme qui a toujours honoré la justice. » Né en France, Hassan Iquioussen est de nationalité marocaine, un pays où il n’a jamais vécu, et qui serait donc sa destination en cas d’expulsion.
Les mosquées signataires de la pétition dans la métropole
Plus d’une vingtaine de mosquées de la région ont rejoint l’appel à signer la pétition contre l’expulsion d’Hassan Iquioussen. Dans la métropole lilloise, les mosquées d’Halluin, de Lambersart, de Mons-en-Baroeul, Bilal de Roubaix et les cinq mosquées lilloises (la grande mosquée, Lille-sud, Assalam, Assouna et Lille-Fives) ont rejoint le mouvement.
+ Webtube : Tout est dans le titre. Ce prédicateur prêche la haine et l’intolérance, l’ensemble de la communauté musulman est en phase avec ses propos. On parle de religion de paix et d’amour ? Où ça ?
Le ministre de l’Intérieur Gérald Darmanin a annoncé, ce jeudi 28 juillet, l’expulsion à venir d’un prédicateur du Nord, Hassan Iquioussen, pour des appels à la haine et à la violence contre la communauté juive. Réputé proche des frères musulmans, cet imam très actif sur les réseaux sociaux a développé avec sa famille un vaste réseau religieux avec la complaisance d’élus locaux.
Le conseil des Mosquées du Rhône (CMR) ainsi que le Conseil Théologique des Imams du Rhône (CTIR) s’expriment sur cette expulsion soudaine : “Les motivations qui accompagnent cette décision ne nous semblent pas conformes à l’esprit de justice et d’équité qui sont le clef de voûte de nos institutions.”
À travers un témoignage, ces deux conseils souhaitent affirmer que l’imam, lors des différentes interventions et conférences qu’il avait mené dans les différentes mosquées du Rhône, a toujours été dans une ligne de respect des principes des lois qui fondent la république. Le CMR et le CTIR soulignent que Hassan Iquioussen avait toujours défendu les valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité en considérant que la laïcité est une chance pour le vivre-ensemble entre toutes les religions et toutes les philosophies.
“Nous l’avons toujours connu fidèle à son engagement rejetant la haine de l’autre, condamnant le racisme, l’antisémitisme, l’extrémisme, l’obscurantisme et le terrorisme et prônant l’égalité homme-femme, et a tout au long de son ministère promu sans relâche le dialogue, le respect, la paix et le vivre-ensemble. C’est parce que nous le connaissons, que nous sommes conscients de nos responsabilités et de la portée que cette décision pourrait avoir dans l’opinion publique.”
+ Webtube :La France avec ses paysages, sa gastronomie, sa douceur de vivre…..et maintenant ses “Chances pour la France”, vous verrez bientôt on viendra de loin pour les voir !