++ Webtube : Franchement on ne va pas le plaindre… des “abrutis” comme celui-là on en voit tous les jours en France.
A Hayward, en Californie (États-Unis), un jeune roulant en motocross a réalisé une longue roue arrière en zone urbaine et a terminé sa figure lamentablement en percutant une voiture à l’arrêt à un feu rouge.
Pas une voix pour Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon, c’est en substance la position officielle de Reconquête!, le parti d’Eric Zemmour quelques jours avant le second tour des élections législatives. « Macron veut déconstruire l’identité française, Mélenchon veut la décrire. […] Nous faisons confiance à nos électeurs pour s’opposer à ces politiques et à ne pas leur donner une voix dimanche prochain » a déclaré le bureau exécutif de Reconquête! ce lundi soir. Une façon de répondre à l’appel du président du RN Jordan Bardella qui lundi matin appelait les électeurs de Reconquête! à voter massivement pour les candidats du Rassemblement national qui ne voudraient « ni de la République McKinsey ni de la République Traoré ».
Pas d’appel à voter RN ?
Dans les faits, ce n’est pas un appel à voter Rassemblement national, même si pour « s’opposer à ces politiques » il faille déposer un bulletin RN dans l’urne dans les presque 200 circonscriptions concernées. En revanche dans une poignée d’entres elles, comme la 3e circonscription de l’Isère qui voit s’affronter un candidat RN face à un LR, aucune consigne ne prévaut. « D’ailleurs ce n’est pas une consigne » précise un cadre de Reconquête!. « Nos électeurs feront ce qu’ils jugent bon. Nous leur avons simplement rappelé que Macron et Mélenchon sont les deux lames de la tenaille qui détruit la France ».
On pourrait penser qu’effectivement, un électeur d’Eric Zemmour se porterait naturellement vers un candidat RN mais la réalité n’est pas si évidente. « Un électeur Reconquête! qui voterait RN dimanche ajouterait le déshonneur à la défaite », déclare Norbert Hekimian, soutien d’Eric Zemmour et comptant plus de 16.000 abonnés sur Twitter. Le chroniqueur Gregory Roose, suivi par plus de 40.000 abonnés a quant à lui déclaré : « La semaine prochaine, j’aurai le choix entre RN et NUPES. Voter RN, c’est simplement surseoir à décliner. Je ne voterai pas ». Après, que l’on ait 10 ou 100.000 abonnés, on ne dispose que d’un seul bulletin de vote, Eric Zemmour et ses dizaines de millions de vues sur les réseaux sociaux, corrélés aux 7 % obtenus au premier tour de l’élection présidentielle, est bien placé pour le savoir. Néanmoins, dans quelle mesure ces prises de position auront-elles un impact sur le plan électoral ? On sait que les scores les plus hauts du parti d’Eric Zemmour l’ont été en PACA et à Paris, en d’autres termes Zemmour a réussi à capter une part de l’électorat CSP+ de droite mais n’a pas réussi à attirer l’électorat populaire acquis au RN, mais dans des seconds tours qui se jouent souvent à une poignée de voix, les candidats locaux du RN ne négligeront aucun soutien !
A trop surveiller de près ce grand remplacement que d’aucuns ne veulent pas voir, ou font mine de ne pas vouloir voir, on passerait presque à côté du grand effondrement qui est en train de happer notre pays.
Ce grand effondrement est incontestable dans les services publics, et dénoncé depuis des années maintenant par une majorité d’hommes et de femmes politiques de tous bords. L’état de la Justice, de l’Éducation nationale, et bien évidemment du système de santé public dans son ensemble en est la preuve incontestable. Ces trois piliers structurants de la société, garants de l’état de droit, de l’égalité des chances et de la santé pour tous ne sont même plus des caricatures de leurs promesses, mais des zombies.
Il est désormais flagrant qu’il existe une justice pour le commun des mortels, affreusement lente et inefficace par manque drastique de moyens, et une justice pour les puissants, agile et sévère avec les misérables. Ajoutons une troisième justice politique, qui place des pans entiers de la société sous sa coupe, en toute impunité.
Le constat de l’état de déliquescence dans lequel est plongée l’Education nationale est encore plus simple à faire. Le simple fait que les ministres qui se sont succédés rue de l’Université ces dernières années aient tous placés leurs enfants dans le privé, y compris pendant leur mandat, est un aveu criant.
Quant à l’hôpital public, et le système de soins français dans son ensemble, vous avez déjà lu des kilomètres d’articles à ce sujet, et avez expérimenté pour vous même ou pour vos proches le chaos des urgences, la chasse à l’ophtalmo, au gynéco, ou à l’oncologue. Vous savez.
Le problème, c’est que cette situation de déliquescence généralisée qui s’est amplifiée sournoisement au cours de la décennie écoulée dans le secteur public contamine désormais le secteur privé. La « QOS », pour Quality of Service, ou Qualité de Service en bon français n’est plus qu’un lointain souvenir, y compris au sein des grandes entreprises, même celles à la réputation de fiabilité et d’excellence.
Vous me direz, « en quoi est ce grave ? ». La réponse est pourtant simple. Un adage boursier dit « la mauvaise monnaie chasse la bonne ». Les assignats ont fait disparaître au fond des coffres les pièces en or. De la même manière, les mauvaises pratiques chassent les bonnes. Cette propension qu’a l’administration à ne pas répondre aux courriers qu’on lui envoie, à ne respecter aucune règle qu’elle impose aux autres, à complexifier l’intégralité de la chaîne relationnelle avec elle dans le seul but d’en perdre un maximum de monde en cours de route, afin de faire dégonfler les files d’attente, bref, cette propension à tout faire pour ne surtout rien faire, tout cela devient la norme aussi dans le secteur privé.
Il est certain que la pandémie a contribué à l’installation de ce phénomène, ou à son amplification. Courriers et serveurs vocaux nous ont demandé d’être compréhensifs, en raison de la situation sanitaire patatipatata… Mais il n’y a pas eu de retour en arrière : l’à-peu-près, le “plus tard”, le “ce n’est pas possible”, le “on le fait plus”, sont devenus la règle. Vous, moi, vos proches, avons des dizaines d’exemples récents du quotidien du lent naufrage de pans entiers du secteur privé. Les explications sont multiples, allant du matraquage fiscal et de la tyrannie de la marge à la crise des vocations, en passant par la blague de l’apprentissage subventionné, et le recours systématique au digital qui ne peut surtout pas tout. Mais le constat est là. Ce ne sont plus des cas isolés, ce n’est pas la faute à pas de chance et vous n’y êtes pour rien. La médiocrité est devenue le mode de fonctionnement normal de notre société moderne.
On peut regretter la nomination au gouvernement de Pap Ndiaye, un ministre qui, dans sa vision de la société, semble confondre la France et les États-Unis et montrer une certaine sympathie à l’égard du wokisme. N’en tirons pas de conclusions définitives : l’expérience a montré que, selon la formule de Montaigne, pour qui « le Maire et Montaigne ont toujours été deux, d’une séparation bien claire », il faut distinguer l’homme de sa fonction. Cependant, on ne peut que dénoncer le comportement d’un ministre qui, avant le second tour des élections législatives, écrit dans un tweet que « quelle que soit la configuration aucune voix ne doit aller au Rassemblement national. Le combat contre l’extrême droite n’est pas un principe à géométrie variable ».
De la part de quelqu’un qui a déclaré « Quand un blanc est victime d’une agression, il n’est pas victime de racisme , appartenant au peuple dominant » c’est assez plaisant . https://t.co/3WE37FQLb0
Certes, en tant qu’homme, il a le droit, comme d’autres, d’avoir cette pensée ostracisante. En tant que chercheur, en rendant publique une appréciation aussi partisane, il fait craindre que ses recherches ne soient pas toujours objectivement menées, mais conduites par des principes contraires à ce que devraient être ceux d’un chercheur, les idées préconçues et les préjugés. Qu’il ne soit pas le seul n’est guère une consolation : de droite, de gauche, du centre ou d’ailleurs, un chercheur digne de ce nom devrait rester humble et n’avoir pour objectif que la recherche de la vérité, qui n’est pas univoque.
Mais il y a plus grave encore. Pap Ndiaye est le ministre de l’Éducation nationale : cette fonction devrait lui imposer, dans ses déclarations publiques, à défaut de neutralité, une absence de parti pris. Il est, en effet, le ministre de tous les élèves, y compris de ceux dont les parents ont voté massivement pour le parti qu’il qualifie d’extrême droite. Il se doit de respecter ces familles qui ont confié leurs enfants à l’école de la République – à moins que, comme le disait Vincent Peillon, en septembre 2012, il n’ait l’intention d’ « arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel », à l’exception du déterminisme de sa propre idéologie.
Sans doute cette école est-elle déjà soumise au conformisme de la pensée. Ses professeurs votent encore majoritairement à gauche, des associations dans le vent y entrent comme dans un moulin, les projets d’établissement se fondent souvent sur les lieux communs de la bien-pensance. Mais, à l’exception de militants politiques pour lesquels tous les moyens sont bons pour influencer leurs élèves, la majorité des professeurs, quelles que soient leurs sympathies, essaient de limiter leur enseignement à la transmission des savoirs. Bon an mal an, on peut espérer que les influences, si elles existent, s’équilibrent. Si ce n’est pas le cas, les parents ont la possibilité de scolariser leurs enfants ailleurs ou de rétablir en famille, quand c’est nécessaire, la vérité des faits.
C’est le propre des régimes totalitaires de vouloir enrégimenter les enfants dès leur plus jeune âge. Si le ministre se confondait avec Pap Ndiaye et cédait à la tentation de mener dans l’enseignement une politique où l’imprégnation idéologique à sens unique supplanterait la transmission de savoirs objectifs et rationnels, il se comporterait en ministre de l’Éducation du peuple et de la Propagande, de sinistre mémoire. Souhaitons que ce tweet ne soit qu’une maladresse d’un ministre novice plutôt que l’acte délibéré d’un Ndiaye militant.
🔴 Les 7 hommes interpellés hier et soupçonnés d'exploiter des mineurs isolés au Trocadéro, sont tous Algériens et tous en situation irrégulière sur le territoire Français malgré de nombreux antécédents judiciaires, indique une source policière à @Valeurshttps://t.co/PP8M9sxsQO
Dans le détail: ➡️ Sami A., 32 ans, Algérien, sans papier, habite Drancy (93), 13 antécédents judiciaires dont 4 pour des vols en réunion ➡️ Nadir A., 26 ans, Algérien, sans papier, habite Bondy (93), 5 antécédents judiciaires, notamment pour stup
➡️ Massed O., 31 ans, Algérien, sans papiers, habite Montreuil (93), un antécédant judiciaire et divers activités délinquantes connues ➡️ Abderraouf S., 22 ans, Algérien, sans papiers, habite Montreuil aussi, quatre antécédents judiciaires à son passif
Sept personnes soupçonnées d’exploiter des mineurs isolés ont été interpellées lundi 13 janvier et placées en garde à vue, a appris l’AFP auprès du parquet de Paris.
Ces sept interpellations ont été réalisées dans le cadre d’une enquête ouverte en mars pour traite des êtres humains en vue de commettre des vols en bande organisée, trafic de stupéfiants et de produits psychotropes, ainsi que pour provocation de mineurs à l’usage de stupéfiants, a précisé le parquet. Les investigations sont menées par la SLDII, la sous-direction de la lutte contre l’immigration irrégulière.
Des psychotropes pour les inciter à voler
Selon une source proche du dossier, ces hommes sont soupçonnés d’avoir exploité des mineurs non accompagnés (MNA) en leur fournissant des psychotropes tels que du Rivotril (un puissant antiépileptique ayant pour effet de désinhiber), pour les inciter ensuite à commettre des vols. Quatre d’entre eux ont été interpellés dans le quartier du Trocadéro à Paris et trois autres dans deux centres de rétention administrative.
Quant les renseignements territoriaux font état de 144 incidents liés au port de tenues islamiques, il ne s’agit pas de 144 élèves hein. Mais de 144 établissements dans lesquels ces provocations étaient collectives et concertées.
— Fatiha Agag-Boudjahlat (@AgagBoudjahlat) June 14, 2022
Selon des chiffres du Service central du renseignement territorial, divulgués par RTL mardi 14 juin, 144 entorses à la loi de 2004 sur la laïcité à l’école ont été recensées au deuxième trimestre 2022 contre 97 sur les trois premiers mois de l’année, soit une augmentation de plus de 48 %.
« Je suis universitaire et scientifique, j’ai besoin de données avant de pouvoir agir, s’il y a lieu d’agir », a expliqué Pap Ndiaye
Info RTL 144 entorses à la loi de 2004 sur la laïcité à l’école ont été recensées au deuxième trimestre, contre 97 au premier d’après les policiers du SCRT qui ont livré le 8 juin une analyse du phénomène. Ils alertent sur des enseignants “démunis”.
Certains y verront une publication opportuniste du ministère de l’Intérieur après l’article de l’Opinion dénonçant début juin une “épidémie de tenues islamiques” dans les établissements scolaires. D’autres, au contraire, la confirmation d’un phénomène qui inquiète le corps enseignant.
Le Service central du renseignement territorial (SCRT), service de police héritier des RG et chargé notamment du suivi des communautarismes, a publié le 8 juin une note confidentielle, consultée par RTL, sur les entorses à la loi de 2004 sur la laïcité à l’école. S’il ne reprend pas le terme polémique “d’épidémie” le document de douze pages confirme la “multiplication” ces derniers mois de cas d’élèves qui refusent d’ôter leur voile islamique ou qui souhaitent porter des tenues “traditionnelles”, pour les filles des robes amples qui couvrent le corps type jilbebs ou abayas, pour les garçons kamis ou djellabas.
(…)
Dans le détail le document relève que 144 entorses à la loi de 2004 ont été recensées par le ministère de l’Éducation nationale entre janvier et mars 2022 principalement dans le secondaire. Ce qui représente 50% d’augmentation par rapport au premier trimestre ou 97 entorses avaient été rapportées. Un chiffre important mais à rapporter aux 5,6 millions d’élèves scolarisés dans les lycées et collèges. Autre point de comparaison, on en comptait 150 sur toute l’année 2018.
En théorie ces 144 incidents concernent toutes les religions car la loi ne permet pas de les catégoriser en fonction des confessions. Mais “l’écrasante majorité” des faits concerne l’Islam précise à RTL la source policière au fait du dossier.
Cette ancienne directrice d'école à Bobigny estime que les tenues islamiques, "c'est la même chose qu'un sac Gucci ou que des baskets Nike" pic.twitter.com/q4oqgqCnya
— Fdesouche.com est une revue de presse (@F_Desouche) June 2, 2022
[…] “Là-dessus je vais être très clair, la politique que je veux conduire est toujours la même, celle de la vérité. Il ne doit y avoir aucun tabou, aucun interdit et non plus aucun fantasme. Donc moi je veux de la vérité, de la clarté sur tous les chiffres. Et ensuite je veux que la loi de la République s’applique”, a-t-il ajouté. “Et la loi est très claire: pour tous les élèves dans nos écoles, il n’y a pas de signes religieux, quels qu’ils soient”, a-t-il encore dit.
“Cette recrudescence est une réalité”
“Nous allons avec monsieur le ministre (de l’Éducation, Pap Ndiaye, ndlr) regarder, mesurer et répondre avec la plus grande clarté à toutes les situations qui ne respectent pas les lois de la République”.
L’Opinion affirme jeudi que l’Education nationale est confrontée à une “épidémie” de “tenues islamiques” et que “plusieurs incidents ont éclaté dans diverses académies ces derniers mois”. Selon le journal, des abayas (robe traditionnelle noire) et kamis (tunique musulmane) “ont fait leur apparition ces derniers mois aux portes de plusieurs lycées”. […]
[…] Plusieurs académies, à des degrés divers, sont concernées. Le phénomène a récemment pris de l’ampleur, laissant penser qu’il s’agit, si ce n’est d’une opération concertée, du moins d’un prosélytisme affirmé. Des « défis » sont même apparus sur les réseaux sociaux, incitant les jeunes à tester leur lycée.
Selon les informations de l’Opinion, les renseignements territoriaux ont alerté le ministère de l’Intérieur, comme les rectorats l’ont fait pour l’Education nationale. Le dossier va vite être soumis à Pap Ndiaye et pourrait servir d’examen de passage au nouveau ministre quant à sa fermeté sur les atteintes à la laïcité. A Grenoble, deux jeunes filles ont été rappelées à l’ordre mi-mai. La direction du lycée Mounier a ensuite envoyé aux parents d’élèves un mail, cité par le Dauphiné libéré, rappelant que « les tenues non adaptées (claquettes, les tenues de plage ainsi que les tuniques longues considérées comme un signe ostentatoire religieux) ne sont pas acceptées ». Dès le lendemain, les abayas étaient plus nombreuses à l’entrée, puis une pétition « contre les discriminations faites aux lycéennes » mise en ligne sur le site change.org. Ces incidents ont eu lieu la semaine où la majorité d’Eric Piolle (EELV) votait l’autorisation du burkini dans les piscines municipales. «Hausse significative». Dans l’Aisne, des familles ont eu la surprise de voir des garçons en kamis le jour de la fête de l’Aïd ; d’autres, dans l’Oise, dénoncent une “épidémie” de port du voile. Les régions de Bordeaux, Clermont-Ferrand, la banlieue francilienne comme Paris intra muros sont aussi concernées. Parfois, les élèves retirent leur voile-capuche à l’entrée
pour mieux le rabattre dans la cour ou dans les couloirs, tandis que les surveillants s’évertuent à faire respecter le règlement. Quand quelques lycéennes se voient priées de rentrer chez elles, c’est parfois un groupe de 10 ou 15 qui se présente le lendemain.[…]
Le dossier est suivi avec d’autant plus d’attention qu’en 2011, une « affaire de longues robes » à Saint-Ouen (Seine-Saint-Denis), avait provoqué une polémique. Quelques lycéennes drapées dans des tenues sombres avaient fait des émules au lycée Auguste-Blanqui, aussitôt soutenues par deux groupuscules fondamentalistes, Forsane Alizza ( « Les Cavaliers de la fierté ») et le Collectif cheikh Yassine(CCY), dissous administrativement depuis. Le second avait été créé en 2004 par Abdelhakim Sefrioui. L’homme avait, plus tard, été identifié par la proviseure du lycée Blanqui comme « l’oncle » venu défendre avec véhémence les élèves en cause. En 2019, après un cours sur la laïcité et la présentation de caricatures de Mahomet dans un collège des Yvelines, Abdelhakim Sefrioui faisait un scandale auprès de la direction. L’enseignant visé s’appelait Samuel Paty. Soupçonné d’avoir participé à l’engrenage mortel ayant conduit à l’attentat, l’islamiste est aujourd’hui incarcéré, mis en examen pour complicité d’assassinat.
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Oui, A Vos enfants et à Vous même, car vous allez être partie prenante dans cet apprentissage, et ce, pour votre plus grand plaisir car c’est très tôt que nos racines puisent dans le terreau historique de notre pays pour constituer notre métabolisme Français. Celles-ci nous aident dans notre développement et s’entretiennent au cours du temps. La transmission de notre Histoire doit se faire dès le plus jeune âge afin que les enfants se reconnaissent et construisent leur identité en tant que Français et appartenant à l’une des plus grandes nations qui ont fait l’Histoire.
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📹 VIDEO 📹 – #Société : Face à Bernard-Henry Lévy, Eric #Zemmour évoquait sa filiation avec Jacques Bainville un historien et journaliste qui avait prédit les événements qui feront naître la 2ne Guerre Mondiale 15 à 20 ans auparavant. via @CNEWS#BHL#Facealinfopic.twitter.com/ewmobx74b1