La théorie de l’assassinat raciste s’effondre totalement après la publication d’une nouvelle vidéo de George Floyd résistant à son arrestation !

Articles : juillet 2020juin 2020mai 2020avril 2020

Démocratie Participative

Après deux mois et demi, la vidéo de l’arrestation de l’acteur pornoir George Fentanyl Floyd est finalement sortie. La raison d’un tel délai est absolument évidente pour toute personne dotée d’un semblant de capacités cognitives, une fois visionné ce document.

La scène montre une arrestation parfaitement banale. Les policiers ne font preuve d’aucune agressivité particulière tandis que Fentanyl Floyd commence, dès le départ, à faire du cinéma. Assis dans sa voiture, il s’agite, conteste, fait semblant de coopérer avant de se remettre à s’agiter en dépit des consignes que lui donnent les policiers.

A 01:30′, Floyd se met à pleurer comme un enfant en disant « ne me tirez pas dessus » alors que le policier lui dit qu’il n’a pas l’intention de l’abattre. Il le sort ensuite du véhicule pour le menotter.

A 04:25 on voit un des policiers de couleur prendre en charge Floyd pour le placer dans le véhicule de police.

A 04:35, on entend Floyd, placé contre la voiture de police, dire, « I am claustrophobic, I can’t get in the car », soit en français : « Je suis claustrophobe, je ne peux pas rentrer dans la voiture ». Après avoir été littéralement arrêté au volant de sa voiture 4 minutes plus tôt.

A 05:00, Floyd résiste à son placement dans le véhicule de police et supplie en pleurant l’agent de le laisser parler avec lui.

A 06:30, Floyd est toujours debout, encadré par les policiers, et continue de résister à son placement dans le véhicule en disant, « je suis claustrophobe, je vais mourir ».

A 07:00, l’acteur porno continue de répéter la même phrase, le policier en charge lui indique qu’il ouvrira la fenêtre du véhicule pendant le trajet.

A 07:17, Floyd, toujours debout et résistant à son arrestation, dit enfin, « I can’t breathe » (« Je ne peux pas respirer »).

A 07:40, Floyd commence à résister violemment à son arrestation tandis que les policiers restent calmes, il vocifère toujours, « I can’t breathe », alors qu’il est partiellement dans le véhicule et qu’aucune mesure de neutralisation n’est prise physiquement contre lui.

A 8:00, Floyd ressort du véhicule et se débat contre les policiers qui entreprennent finalement de le neutraliser.

Encore actuellement, même le fait que George Floyd était cardiaque et drogué aux amphétamines reste occulté par les médias. Rien n’est dit sur son lourd casier judiciaire impliquant notamment le braquage par arme à feu d’une femme enceinte. C’est aussi le silence sur le fait qu’il a été interpellé alors qu’il trafiquait avec de la fausse monnaie.

Cette vidéo pouvait être diffusée par les autorités 24 heures après les faits pour dissiper tout malentendu. Au lieu de cela, elle a été sciemment cachée pendant que les médias juifs montaient de toutes pièces, à l’échelle de l’Occident, une histoire d’assassinat « raciste » commis par Derek Chauvin, présenté comme un suprémaciste blanc.

Ensauvagement : cela empire tous les jours, en France et en Europe !

Articles : juillet 2020juin 2020mai 2020avril 2020

Riposte Laïque

Nouvelles informations sur l’actualité de la délinquance dans notre “Douce France” :

Après Bordeaux, c’est le tour de Toulouse de nous proposer sa série d’agressions à l’aide d’une arme blanche. Deux de plus, dans la nuit du dimanche 2 août à lundi, dans le centre-ville, à quelques heures d’intervalle.

La première, vers 1 h 30 du matin, un jeune homme de 26 ans, poignardé au ventre, alors qu’il circulait rue de la Concorde, entre le boulevard Matabiau et le boulevard d’Arcole.

Puis, vers les 4 h 30, cette fois quai de la Daurade, c’est un autre jeune homme, âgé lui de 25 ans, qui est également poignardé.

Tous deux ont été dirigés, en urgence absolue, vers l’hôpital de Rangueil.

– Une longue course poursuite s’est déroulée dans la région lyonnaise samedi soir, entre Villeurbanne et l’Ain.

Un équipage de policiers de Vaulx-en-Velin tentait de contrôler « aimablement » un véhicule qui roulait à vive allure, dans les rues de la ville.

Le chauffard a pris la fuite en direction de l’A42 et s’est engouffré sur l’autoroute, forçant le barrage de Beynost.

Il a roulé jusqu’à Ambérieu-en-Bugey, puis fait demi-tour pour se diriger vers Lyon.

Malgré la pose d’une herse et un pneu crevé, il a poursuivi sa route tout en cherchant à percuter le véhicule de la BAC.

À la sortie vers Cusset, à Villeurbanne, l’un des policiers a enfin décidé de sortir son arme et de tirer.

Immédiatement le fuyard s’est arrêté.

Âgé de 22 ans, sans permis de conduire et une trentaine d’antécédents judiciaires et, sur lui, 5 grammes de cannabis.

Les policiers ont porté plainte… non, je ne plaisante pas !

– En Belgique, ce dernier vendredi, en situation irrégulière, un individu âgé de 49 ans, armé d’un couteau, a menacé les employés du CPAS d’Herstal. Il exigeait de l’argent. Sans domicile connu, mais bien connu des services de police pour trafic de stupéfiants, il a été appréhendé. Nous ignorons la suite.

– En Allemagne, un migrant d’origine afghane, arrêté pour le viol d’une fillette de 11 ans, est relâché faute de preuves, après 12 jours d’emprisonnement et, cinq semaines plus tard, le nommé Zubyr S. viole une autre fillette de 13 ans. Espérons que les policiers puissent le prouver, avant un prochain viol !

– À Blaye, en Gironde, samedi soir, vers les 22 h, une jeune femme, au volant d’un camion, a foncé sur la terrasse d’une crêperie où se trouvaient le gérant, Jean-Marc Monnery et son fils, écrasant tout sur son passage.

Elle avait pénétré dans la citadelle après avoir forcé la barrière d’un péage.

Après une course poursuite, les gendarmes ont tiré dans les pneus du camion pour le stopper et il a terminé sa course contre un arbre.

Appréhendée, la jeune femme a été dirigée vers un service de psychiatrie.

L’enquête déterminera si elle était, ou non, sous l’emprise de stupéfiants…

– À Lyon, vendredi soir vers 22 h 10, devant le métro La Guillotière, dans le quartier du même nom, au cours d’une rixe, un individu a été poignardé sauvagement.

Il a été conduit, dans un état grave, vers l’hôpital de Lyon-Sud.

L’auteur de l’agression a été interpellé.

– Toujours à Lyon, mais dans le quartier de la Croix-Rousse, 4e arrondissement, un individu âgé de 26 ans, sans domicile fixe et originaire de Marseille, a été appréhendé pour avoir agressé, à l’aide d’un couteau, le blessant au bras et au torse, un autre homme.

Maîtrisé par des témoins, dont l’un a été également blessé au bras, alors qu’il sortait de l’établissement couvert de sang.

–  À Villefontaine (Isère), dimanche 2 août, vers 9 h 30, un individu, âgé de 29 ans et armé d’un couteau et hurlant « Allahu akbar » a été interpellé dans la rue, quartier des Étourneaux.

Il a tenté de se rebeller avant d’être maîtrisé. Est-il un inconnu pour les services de police ?

– À Paris, dans le 18e arrondissement, Porte de Clignancourt, dans la nuit du 1er au 2 août, vers les 3 h du matin, voulant maîtriser le conducteur alcoolisé d’une voiture qui circulait à très vive allure, mais sans trop lui faire de mal, les motards se font voler une bombe lacrymogène – dont ils sont aspergés – et une paire de menottes, avant qu’il ne prenne la fuite à pied.

Il a été interpellé quelques instants plus tard, sans le rudoyer, en présence d’un couple, sans doute ses passagers !

– À Marseille (Bouches-du-Rhône), dans la nuit du 13 au 14 juillet, dans le 12e arrondissement, une femme âgée de 51 ans a été agressée, bâillonnée, parce qu’elle hurlait, dénudée et violée, par un individu qui s’est introduit dans son appartement, avenue du 24 avril 1915, passant par la baie laissée ouverte à cause de la chaleur.

Il s’est enfuit en lui volant son portable ainsi qu’une somme de 200 euros.

L’individu, dont nous ignorons les origines, a été finalement identifié et appréhendé.

– Toujours à Marseille, grâce au confinement, neuf morts seulement depuis le début de 2020. Actuellement les affaires (de drogue) retrouvent une pleine activité et, dans la nuit de dimanche à lundi, alors qu’ils circulaient sur l’autoroute A7, entre la sortie Hôpital Nord et Cité des Aranavaux, le passager d’une voiture, âgé de 19 ans, a été abattu d’une rafale de kalachnikov.

Son frère, 25 ans, qui conduisait, a été également atteint mais son pronostic vital n’est pas engagé.

Tous deux étaient connus des services de police pour trafic de stupéfiants, il s’agit donc d’un nouveau règlement de compte.

Pour terminer ce tour d’Europe des faits divers sanglants, c’est en Grèce que Christina, une femme de 57 ans, a été retrouvée morte, lardée de coups de couteau par un Pakistanais, âgé de 34 ans, à qui elle donnait du travail mais qu’elle venait de licencier.

Il l’a tuée parce qu’il était en colère, a-t-il déclaré.

Bordeaux : Le récit glaçant d’un après-midi au tribunal fait le buzz sur twitter : « Le procureur n’a cessé de répéter le mot ensauvagement »

Articles : juillet 2020juin 2020mai 2020avril 2020

(La suite des tweets a été reformatée en texte pour faciliter la lecture)

Au total 6 affaires de violences graves et de vols. 4 migrants algérien, 1 migrant marocain et une racaille irrécupérable. J’invite tous les bordelais à aller assister à cela pour se rendre bien compte de la situation gravissime de la ville de Bordeaux

Aucun d’eux évidemment ne reconnait les faits « c’est pas moi ». Tous multirécidivistes. Tous très peu condamnés : un des accusés a bénéficié de 5 rappels à la loi par le passé… Le policier m’a dit être dégoûté « on les arrête, ils sont relâchés dans la journée »

Ce que ce policier m’a également précisé : « tu vois ce mec (celui qui a égorgé une personne), il fait partie d’une bande de 60 migrants qui sévissent à Saint-Michel. Ils sont ultra dangereux. Ils sont tous armé de couteaux. On est démuni face à eux » …

Dans toutes ces affaires les migrants étaient en possession de couteau « Laguiole ». Pourquoi ce couteau ? Il n’est pas considéré comme une arme de catégorie 4. C’est un couteau banal que tout le monde a chez lui précise un avocat. Aucun n’a été condamné pour possession de celui-ci.

Revenons sur les affaires les plus marquantes :

Un mec qui a tabassé sa copine dans le TER bordeaux-Arcachon. Des passagers sont intervenus, ils ont pris des coups. Il a sorti son couteau Laguiole. Pas condamné pour ça. Juste pour les coups et vols. Seulement 4 mois de prison

Un autre a insulté une famille à la « plage » de Bordeaux Lac. Complètement bourré, il a empoigné avec force leur enfant de 2 ans « pour lui faire faire l’avion ». Il est tombé avec l’enfant. L’enfant a des séquelles et il est traumatisé. 27ème condamnation pour lui. Les policiers qui l’ont arrêté étaient de la partie civile pour outrage : « jamais ils n’ont été autant insultés ». L’accusé était irrespectueux avec la juge, le procureur, les policiers. Aucune excuse… Tout simplement irrécupérable. Peine : 8 mois de prison car récidiviste.

Et le bouquet final, raison de ma présence : un migrant algérien avec tenez-vous bien plus de 10 identités différentes. Car oui, telle est leur technique pour montrer pattes blanches quand ils se font arrêter. Auteur d’un égorgement de sang-froid à Saint-Michel.

Son traducteur n’a cessé de répéter : « C’est pas moi wallah ». Sauf que les victimes l’ont reconnu sur photo ainsi que derrière une vitre teintée et lors d’une confrontation. C’était en février, il a égorgé un homme de 30 ans rue du Mirail après la tentative de vol d’un téléphone

La juge montre la photo de l’égorgement. Tout le monde est horrifié. C’est tout simplement inhumain, digne des films les plus gores. La victime est miraculeusement en vie. Elle décrit la scène, digne. 51 points de suture, traumatisée, suivi psychologique, défigurée à vie.

Le Procureur de la République fait son réquisitoire. Les larmes aux yeux et la voix tremblante. L’avocat de la victime dira ne l’avoir jamais vu dans cet état. Tout le long de la journée il n’a cessé de répéter les mêmes mots : ENSAUVAGEMENT. Des « sauvages » à Bordeaux.

Car oui le Procureur a décrit toute la journée ce qu’il se passe à Bordeaux depuis 1 an : « une arrivée massive de migrants qui commettent des crimes sauvages quotidiennement. Agressions, coups de couteau, de cutter, de machette. Il est dangereux de sortir à bordeaux le soir »

L’accusé niera évidemment les faits tout le long. La juge n’est pas dupe. Tout le monde l’a reconnu. C’est un sauvage, un barbare. Comme les autres, il avait déjà une interdiction du territoire français (chose qui n’est jamais suivi des faits apparemment)

Pour cet acte inhumain, un égorgement, la sentence sera de (seulement) 3 ans de prison. Il demandera de la purger en Algérie. Bon débarras ! Son acte n’a pas été qualifié de tentative de meurtre d’où ce jugement dans cette cour. Il aurait pourtant mérité bien plus…

Le policier était désabusé. Il m’a vraiment décrit un cauchemar. Que la situation était extrêmement grave à Bordeaux. Plusieurs bandes de migrants drogués et alcoolisés qui sont tous armés et qui n’hésitent pas à s’en servir. Des sauvages multirécidivistes

Je voulais vous partager cela. Le désarroi du policier, la colère du Procureur de la République face à cette montée de la violence SAUVAGE qui sévit dans notre ville de Bordeaux. Cette justice qui reste laxiste envers ces gens irrécupérables qui nous agressent.

La chanson du jour, Another Cup of Coffee – Mike + The Mechanics

Allez en ce lundi main on replonge à fond dans les années 80-90. “Mike and The Mechanics” vous connaissez ? Non ? Et bien il va falloir se mettre à la mécanique. Pas de soucis, on s’écoute “Another cup of coffee”.

Suppression impitoyable de tous messages en faveur de la chloroquine

Articles : juillet 2020juin 2020mai 2020avril 2020

Boulevard Voltaire : https://www.bvoltaire.fr/suppression-impitoyable-de-tous-messages-en-faveur-de-la-chloroquine/

Comme il fallait s’y attendre, la Commission européenne n’a pas retenu le traitement à la chloroquine préconisé par le professeur Raoult. Les chiffres de guérison qu’il avançait devaient être faux ou truqués, inventés, falsifiés. Les savants de BFM TV ne s’y sont pas trompés. Tout ça n’était que poudre de perlimpinpin. Et puis, comment voulez-vous guérir qui que ce soit avec un look pareil ? Les malades s’enfuyaient horrifiés dès qu’ils l’apercevaient dans un couloir.

À cette substance médiatiquement maudite, la Commission a préféré le remdésivir des laboratoires Gilead. Plus sérieux. Plus goûtu. Et… il est vrai… heu… comment dire ? Plus onéreux. Voilà. Le mot est lâché. À ce jour, les comptables de Gilead ont fixé le prix du flacon de la potion miraculeuse à 390 dollars par flacon. Traitement de 5 jours avec 6 flacons : 2.040 dollars, soit 1.735 euros (source industriepharma.fr)

Depuis l’annonce de l’homologation, des effets positifs sur la santé se sont déjà produits ici et là. Des banquiers déprimés par les 12 euros du traitement Raoult ont retrouvé le moral, des financiers pâlichons reprennent des couleurs, les porteurs d’actions Gilead marchent sur l’eau… Devant tant d’améliorations, la Commission européenne a passé commande de 30.000 traitements. 63 millions d’euros, rappelle Ouest-France. La santé n’a pas de prix.

Autre effet secondaire de cette homologation : tout message en faveur de la chloroquine est, désormais, immédiatement supprimé des réseaux sociaux. On jette, on efface, on annule et informe le contrevenant qu’il s’agit d’une « fake news ». La fameuse. Les censeurs salariés, intitulés pompeusement modérateurs, connaissent les méfaits du produit. Pas vous.

Un groupement de médecins américains qui vantaient haut et fort les mérites de l’hydroxychloroquine s’est vu coupé du monde en quatrième vitesse. Compte Twitter du fils de Donald Trump suspendu pour avoir relayé la vidéo. Les réseaux sociaux tirent à vue. Pas un seul mot en faveur du traitement Raoult n’est toléré. Les choses sont claires. On ne discute plus.

Entre l’institution et le professeur marseillais, la polémique tourne au vinaigre. L’accusation de faux témoignage par le directeur de l’AP-HP a eu raison du flegme de Didier Raoult qui porte plainte pour « dénonciation calomnieuse » à l’encontre de Martin Hirsch, nous explique Le Point. Rien ne va plus. La propagande est entrée dans sa phase dure. Comme annoncé, la deuxième vague est bien là.

Ensauvagement de la France : on ne sait plus où donner de la tête !

Articles : juillet 2020juin 2020mai 2020avril 2020

Riposte Laïque

Désolé, chers lecteurs, mais il ne m’est plus possible d’entrer dans les détails de tous ces faits divers, plus ou moins graves, qui se déroulent quotidiennement en France, ils sont bien trop nombreux.

Aussi, je vais essayer, dorénavant, de vous en informer plus brièvement.

  • Jeudi, vers 18 h 30, en centre-ville de Dijon, le conducteur d’un tram « Divia », âgé de 52 ans, demande, comme l’exige la loi, à deux mineurs (dont nous ignorons les origines) de porter un masque à l’intérieur.

Il est frappé au visage et a le nez en sang.

– Ce même jour, c’est à Orléans qu’un mineur a été placé en garde à vue, pour avoir frappé et blessé à l’œil le conducteur d’un bus qui lui demandait de porter un masque.

– Saint-Denis (93), dans la nuit de samedi 29 à dimanche, un homme a été grièvement blessé, après avoir reçu une douzaine de balles dans le corps et transféré à l’hôpital de la Pitié-Salpêtrière, à Paris ; son pronostic vital était engagé mais il a survécu.

Un policier a été blessé lors de l’opération qui a permis d’appréhender 4 individus, dont le tireur, un jeune du quartier âgé d’une vingtaine d’années.

Attendons quelques heures pour connaître les origines de ces voyous.

– À Bergerac (Dordogne), patrie de Cyrano, mais il n’était plus là pour la défendre. Il était 5 h du matin, ce samedi 25 juillet, et une bande de jeunes font du tapage. Une femme leur demande de cesser ce bruit. Ils l’insultent, la menacent de viol, et l’un de ces voyous la roue de coups. Il a été placé en garde à vue et interdit de se rendre à Bergerac, jusqu’au jugement, en septembre.

– À Montpellier (Hérault). Ce samedi 1er août, un individu, âgé de 25 ans roulait en scooter sans permis et sans assurance à plus de 100 à l’heure, alors que la vitesse autorisée est de 50. Il a volontairement foncé sur les trois motards de la police qui tentaient de le contrôler.

Deux policiers ont été gravement blessés. Le troisième, plus légèrement atteint à la main, a pu l’appréhender.

L’individu a été placé en garde à vue.

Le syndicat de police « Alliance » a, une fois de plus, réclamé une plus grande fermeté contre ceux qui occasionnent volontairement des blessures, quelquefois très graves, à des membres des forces de l’ordre. Le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin, va certainement en tenir compte !

– C’est le sort également qui est réservé aux surveillants des prisons. Trois viennent d’être blessés, à la prison d’Arles, dans les Bouches-du-Rhône, ce samedi 1er août, par un détenu armé d’un couteau, qui s’est réfugié dans la salle des parloirs, qui a dû être évacuée. Il a été interpellé vers 19 h 15 et placé en garde à vue, selon le ministère de la justice (placé en garde à vue, quand on est déjà en prison, c’est tout de même rarissime, non ?)

– À Étampes (78). Une bagarre géante, vendredi après-midi, entre plus de 200 jeunes, à la base de loisirs, où se prélassaient plus de 1 000 baigneurs.

Ils harcelaient et ennuyaient les jeunes femmes et les familles.

La police, qui est intervenue, a été immédiatement encerclée et prise à partie.

– À Aubenas, dans le quartier des Oliviers, ce sont des policiers et des pompiers qui ont été attirés dans un guet-apens par des incendies de poubelles, et qui ont essuyé des tirs de mortiers.

– À Axou (54). Déjà condamné à deux reprises pour viol, dont une première fois à dix ans de prison, un individu, âgé de 60 ans, a été arrêté alors qu’il agressait sexuellement une jeune femme de 23 ans qui rentrait chez elle.

– À Grenoble (Isère). Dimanche, vers 6 h 30, sur la voie publique, avenue Léon Blum, un individu, âgé d’une trentaine d’années, bien connu des services de police, pour des délits sans rapport avec le trafic de drogue, mais en liberté conditionnelle et domicilié à la Villeneuve, a été tué par balles, trois coups de feu. Une enquête a été ouverte.

– À Saint-Nazaire, c’est une nouvelle fusillade qui a été entendue.

Une fillette de 12 ans, qui se trouvait dans la voiture qui a essuyé les coups de feu, a été blessée au mollet par une balle perdue.

Vendredi soir vers 21 h, toujours à Saint-Nazaire mais rue Gutenberg, dans le quartier du Petit Caporal, c’est un individu de 27 ans avait été gravement blessé également au cours d’une fusillade.

D’autres détonations ont été entendues jusqu’après minuit dans d’autres quartiers par les riverains.

De nouvelles représailles sont à craindre et la situation est très tendue, comme d’ailleurs dans de nombreuses villes de France.

– À Villeurbanne, c’est un handicapé qui a été frappé et jeté au sol par un couple. L’agresseur, âgé de 31 ans, a déjà été condamné à 31 reprises. Cela en fera une de plus !

– À Disneyland-Paris (même là !), quatre jeunes Belges ont vécu un véritable cauchemar : bras cassés et mâchoires fissurées, par un individu subitement fou de rage à qui ils avaient osé faire remarquer que son enfant ne respectait pas les mesures imposées dans le Parc.

Nous attendons d’être informés des suites judiciaires.

– À Vinzelles (71). Un chauffard, âgé de 20 ans, a reculé volontairement sur la foule, puis s’est enfui, laissant 16 blessés, dont un grave. Pour quelles raisons ? Quelle était sa motivation ? L’enquête nous en dira davantage.

– À Orange (Vaucluse). Dans la nuit de jeudi à vendredi, juste après minuit, avenue de Fourchevieilles, un homme, âgé de 26 ans a été passé à tabac et blessé très grièvement à coups de couteau. Laissé baignant dans son sang, sur le sol, il a été placé dans un coma artificiel.

Les policiers ont été encerclés par une centaine d’individus, lors de leur intervention et des renforts ont été nécessaires pour les dégager. Y a-t-il eu des interpellations ?

Je pourrais poursuivre mais préfère m’abstenir et ne pas vous accabler davantage pour la journée chaude (climat) qui nous attend !

Aïd el Kebir 2020 : un bon cru ?

Articles : juillet 2020juin 2020mai 2020avril 2020

Riposte Laïque

Comme chaque année, à l’instar du Beaujolais nouveau, l’Aïd est offert à nos yeux ébahis de mécréants !
Chaque année lunaire s’entend car l’islam ne fait rien comme les autres et leurs années sont plus courtes d’une dizaine de jours. C’est un autre facteur d’isolement communautaire dans la longue liste des règles du halal : nourriture, vêtement, sépulture, législation pointilleuse sur des critères de pureté ridicules, droit de la charia. Tout est conçu pour un contrôle psychologique et social.

Chaque année, c’est le même cirque en pire, pseudo liturgie sanguinaire et sadique, que la « République » n’arrivera jamais à canaliser car rien n’est trop beau pour complaire à la communauté pour les adeptes de la « lèche-baboucherie » qui nous dirigent.

En effet, l’islam réclame le sacrifice d’un mouton mâle de 1 an environ en mémoire du sacrifice d’Ismaël par son père Abraham remplacé au dernier moment par un belier. En fait c’est Isaac le fils légitime d’Abraham qui échappe au sacrifice, Ismaël étant le fils d’Abraham et de la servante Agar chassés vers la péninsule arabique à la naissance d’ Isaac. D’où la haine des arabes , descendants d’Ismaël, pour les juifs…

Pardon pour ces références historiques, nécessaires cependant pour comprendre les ressorts intimes car tous ces peuples ont gardé une mémoire longue de leur histoire, ce qui n’est malheureusement plus le cas chez nous.
Depuis le début de l’humanité d’ailleurs, beaucoup de civilisations ont pratiqué des sacrifices sanglants d’animaux ou d’humains (Cf les travaux de René Girard) et le christianisme y a mis fin avec le sacrifice définitif du fils de Dieu, renouvelé de façon non sanglante à la messe, ce qui est un saut qualitatif prodigieux.

Dans l’islam non seulement le sacrifice sanglant a persisté mais également une pratique perverse qui consiste pour le père de famille, nouvel Abraham, à égorger en présence des enfants un animal le plus souvent familier avec lequel se sont tissés des liens. Cette accoutumance à la violence sanguinaire domestique, entraîne une culture de l’égorgement que l’on retrouve dans les « faits divers » d’ « incivilité » relatés dans les medias de grand chemin sous le vocable « poignardé au cou ».

Cette année le nombre de moutons sacrifiés à domicile a continué d’augmenter. La Fondation Brigitte Bardot a ainsi procédé à la saisie de plusieurs petits groupes de même que l’association Stephane Lamart ou l’OABA.

Mais quelques faits divers marquants cette année montrant le naufrage et l’halalisation de notre pays :
un mouton échappé sur l’autoroute à Colombes dans le 9-3, un fait qualifié de « cocasse » par Le Parisien, qui d’ailleurs ne rappelle pas la concomitance avec l’Aïd. On ne nous dira pas qu’il s’était échappé de chez un particulier et devait être immolé en toute illégalité. Même tonalité inacceptable l’année dernière où un mouton était tombé d’un immeuble, s’était cassé les pattes et avait été récupéré par son « propriétaire » ce qui avait beaucoup amusé le journaliste.

La Réunion où un bovin, comme l’an dernier devait être abattu…à la mosquée, comme l’an dernier, et, là aussi Vigilance Halal va porter plainte.
Mise à disposition dans de nombreuses communes de bennes pour les déchets issus de l’abattage à domicile ( peaux, viscères etc.), en théorie interdit, mais jamais sanctionné : complicité de délit mais également faute sanitaire grave car ces organisme ne sont pas qualifiés pour traiter ce genre de déchets. Tous ceux qui ont été confrontés aux rigueurs des services SICTOM pour des pratiques inadaptées apprécieront le 2 poids 2 mesures.

Des dizaines de corps de moutons au fil du Rhône, les articles de presse ne faisant aucune mention sur la concomitance avec l’Aïd, ni de la race de ces moutons, ni de la présence de boucles d’oreille sur certains qui permettent d’identifier l’origine. Je prends le pari qu’aucune suite ne sera donnée. Il s’agit sans doute d’un troupeau échappé d’un abattoir clandestin au bord du Rhône qu’il devrait être facile de repérer.
Un correspondant de la région du Puy m’a informé que dans le fief d’un certain Wauquiez, l’abattoir public de Polignac avait été obligé de pratiquer l’Aïd malgré l’opposition de son directeur et de ses employés, avec une taxe d’abattage en dessous du prix normal.

Le scandale persistant des abattoirs temporaires, bricolés et pas aux normes, mais autorisés par les préfets. Le regretté Cazeneuve alors ministre de l’intérieur et des cultes, devant le CFCM avait déclaré au sujet de ces structures « la législation est trop complexe et le coût trop important » ce qui, en clair, signifie laxisme sur les règles sanitaires et financement public…

Plusieurs lieux publics ont été réquisitionnés pour la grande prière, mais tout est correct, les masques et les distances ont été respectées, alleluia…oups Allahou Akbar !

En conclusion, comme je l’affirme, non sans preuves, l’islam est en train de devenir la religion officielle de la République. Laquelle « République » est en train de perdre toute légitimité car elle trahit la France. Pour moi, en effet, la République est un mode de gouvernement seulement, et j’ai de plus en plus de peine avec les « valeurs » républicaines.

Masque : les enfants ne sont pas en danger, et ne transmettent pas le virus

Articles : juillet 2020juin 2020mai 2020avril 2020

Riposte Laïque

Rappel de l’état actuel de la science

L’obligation du masque, la menace d’une obligation vaccinale demandée par les mercenaires de Big Pharma et les commentaires inappropriés récents d’un lecteur nous accusant de mettre les enfants en danger par nos écrits [1] [2]sur la fermeture injustifiée des écoles montrent que la peur naît souvent de l’ignorance et que nous n’avons peut-être pas assez appliqué cette base de la pédagogie : la répétition.

Rappelons donc le consensus scientifique basé sur les faits observés : les enfants sont très exceptionnellement atteints par le coronavirus qui leur est transmis dans la quasi-totalité des cas par un adulte malade avec lequel ils sont confinés ; ils font des formes quasiment toujours bénignes, ne transmettent pas le virus ni à d’autres enfants, ni aux adultes.

L’arrêt prolongé des activités scolaires dans un climat d’angoisse entretenu chaque jour par les médias est responsable de troubles psychologiques comportementaux et sociaux fréquents qui peuvent leur nuire toute leur vie.[3]

Les enfants sont exceptionnellement infectés par le Coronavirus

Depuis le début de l’épidémie en Europe, peu d’enfants ont été touchés et les formes sévères ont été exceptionnelles.

Selon le dernier bulletin épidémiologique de Santé publique France, les enfants ou adolescents de moins de 15 ans ne représentent qu’un pour cent des personnes contaminées en France.

Cette observation confirme celle du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies [4] qui, sur 73 414 cas estimait que les moins de 19 ans constituent moins de 1 % des infectés.

Aux États-Unis, les données des CDC [5] soulignent la rareté des infections à Covid chez l’enfant : « sur 149 760 cas de Covid-19 confirmés en laboratoire survenus du 12 février au 2 avril 2020 1,7 % concernaient des enfants de moins de 18 ans ».

La contamination des enfants est familiale dans la quasi-totalité des cas cliniques rapportés

Les séries pédiatriques chinoises comme celles de Ya-Nan Han, Qinxue Shen [6], Haiyan Qiu [7], Junhua Wu [8] soulignent l’origine essentiellement familiale de la contamination des enfants. La Société chinoise de pédiatrie [9] sur 285 cas pédiatriques confirmés, précise que 71,2 % d’entre eux avaient eu des contacts avec des parents infectés.

Des cas Covid-19 pédiatriques en dehors de la Chine sont peu nombreux, mais confirment l’origine familiale prépondérante de la contamination des enfants que ce soit en Corée [10],[11], à Singapour [12].

Pour cette raison les activités scolaires représentent pour les enfants un risque moindre de contamination que le confinement à domicile avec un parent susceptible d’être infecté.

Les enfants font des formes quasiment toujours bénignes

Chaque année la grippe saisonnière tue, dans le monde, des milliers d’enfants. En 2008, entre 28 000 et 111 500 décès d’enfants de moins de 5 ans lui ont été attribués [13]. Pour le Covid-19, au niveau mondial, au 29 juillet 2020 [14] moins de 20 cas d’évolution fatale de Covid-19 chez l’enfant ont été rapportés sur 16 558 289 cas de Covid-19 et 656 093 morts. Pour l’enfant, le Covid-19 est donc beaucoup moins dangereux que la grippe saisonnière.

Cette bénignité habituelle du Covid-19 chez l’enfant est soulignée par tous les chercheurs qui ont publié sur le sujet, que ce soit Weiyong Liu [15], Zhonghua Liu [16], Brodin [17], Shu Yang [18]

Aux États-Unis, les données des CDC [19] confirment la bénignité des infections à Covid chez l’enfant : « les données de 149 760 cas de Covid-19 confirmés en laboratoire survenus du 12 février au 2 avril 2020 ont été analyséesTrois décès ont été signalés parmi les cas pédiatriques inclus dans cette analyse. ». Notons que comme pour les autres victimes officielles du Covid, nous ne disposons pas d’autopsie, ni même d’observations cliniques suffisantes pour affirmer le diagnostic.

La revue systématique de la littérature réalisée par Jonas F Ludvigsson [20] confirme l’extrême rareté des formes graves chez l’enfant.

Les enfants ne transmettent pas le virus

Alors que l’OMS recense plus de 16 millions d’infectés, aucun cas de contamination par un enfant infecté n’a pu être démontré. Si une telle possibilité ne peut pas être totalement exclue, elle serait très, très exceptionnelle.

Alors pourquoi ce regain d’inquiétudes diffusées par de grands quotidiens ?

Les articles scientifiques qui mettent en garde contre la possible transmission par les enfants ne s’appuient pas sur des constatations cliniques avérées, mais sur des considérations purement biologiques (charges virales) et émettent au conditionnel l’hypothèse que « cela pourrait favoriser la contagion ». Mais les agences de presse et les médias s’empressent de transformer le conditionnel en indicatif pour continuer à affoler les populations.

Trois études européennes, deux françaises et une néerlandaise ont spécifiquement tracé des enfants infectés pour savoir s’ils pouvaient contaminer leurs contacts.

L’étude de Santé Publique France du cas de l’enfant infecté des Contamines est très démonstrative [21]. Ayant été en contact, alors qu’il était malade, avec 172 personnes dont 112 élèves et professeurs dans trois écoles et un ski-club, l’enfant n’a contaminé personne, même pas les deux autres enfants de sa fratrie.

Dans l’étude de l’institut Pasteur sur les écoles primaires de Crépy en Valois [22], les scientifiques ont étudié 1 340 personnes, dont 139 infectées (81 adultes et 58 enfants). Parmi 510 élèves de six écoles primaires, ils ont identifié trois enfants de trois établissements différents qui étaient infectés au moment où les écoles étaient encore ouvertes.

Or, ces trois enfants n’ont contaminé personne à l’école, qu’il s’agisse d’autres élèves ou d’adultes.

Aux Pays-Bas [23] les enfants âgés de 0 à 17 ans ne représentent que 1,3 % de tous les patients déclarés avec Covid-19, bien qu’ils représentent 20,7 % de la population. Seulement 0,6 % des hospitalisations signalées concernaient des enfants de moins de 18 ans. Il n’y a pas de rapport d’enfants décédés du Covid-19.

Le graphique suivant de l’agence sanitaire des Pays-Bas illustre l’âge des contaminateurs et de leurs contaminés. Dix patients Covid-19 âgés de moins de 18 ans ont eu 43 contacts étroits et aucun d’entre eux n’est tombé malade, alors que 8,3 % (55/566) des contacts étroits des 221 patients de ≥ 18 ans sont tombés malades.

Une étude australienne a montré qu’il y avait eu des cas confirmés de Covid-19 chez 9 enfants et 9 employés des écoles. 735 enfants et 128 employés ont été en contact étroit avec ces patients. Deux autres enfants pourraient avoir été infectés par l’un de ces 18 patients. Aucun autre enseignant ou membre du personnel n’a contracté le Covid-19.

Une étude irlandaise portant sur 3 enfants et 3 adultes infectés testés dans les écoles a montré qu’il n’y avait pas d’infection chez les enfants à l’école. L’étude a retrouvé 1 155 contacts au total et identifié deux patients ; ces deux étaient tous deux des adultes liés à deux patients adultes, et l’infection s’est produite à l’extérieur de l’école. Il y avait 924 enfants et 101 adultes qui avaient eu des contacts étroits avec l’un des patients sources à l’école, et aucun d’entre eux n’avait le Covid-19.

« Il est possible que les enfants, parce qu’ils ne présentent pas beaucoup de symptômes et qu’ils ont une charge virale faible, transmettent peu ce nouveau coronavirus », explique Kostas Danis, épidémiologiste à Santé Publique France.

Ces données sont confortées par la macroanalyse de Benjamin Lee [24].

Comme nous l’avions déclaré fin avril afin de rassurer les parents par suite de la décision du Président d’ouvrir les écoles le 11 mai 2020 :

Il n’y a donc aucune justification au port du masque par les enfants ni de les interdire de visite aux grands-parents, ni de leur imposer des mesures de distanciation sociale.

Malheureusement l’extraordinaire efficacité des lobbies de Big Pharma sur le gouvernement avait conduit à l’atténuation rapide de la décision présidentielle. Édouard Philippe et le ministre de l’Éducation avaient ainsi autorisé les parents à choisir de mettre ou non les enfants à l’école. Le pouvoir régalien en prenait à nouveau une grande claque et les enfants en furent les victimes expiatoires avec les mesures grotesques de distanciation, alors que chacun savait qu’ils n’étaient ni à risque de contaminer, ni d’être contaminés. Les conséquences pédopsychiatriques se verront de plus en plus mais craignons que les responsables, plutôt irresponsables de cette situation n’en paient jamais la note.[25] [26]

L’ouverture des d’écoles n’est pas suivie d’un regain d’infections [27]

Durant cette crise, la Suède a poursuivi les activités scolaires pour les élèves de moins de 15 ans. L’Islande a gardé grandes ouvertes les portes des crèches et écoles primaires et la Roumanie, celles de la plupart des universités. Deux de ces trois ces pays affichent une prévalence et une mortalité (nombre total de morts/million d’habitants) de Covid-19 plus faible que la nôtre [28].

L’Académie américaine de pédiatrie et la Société française de pédiatrie ont pris position en faveur d’une réouverture des écoles, après l’expérience jugée négative de l’enseignement à distance au printemps, et les cas de décrochage scolaire.

L’expérience de la réouverture des écoles dans divers autres pays européens montre qu’elle n’expose à aucun regain d’épidémie.

Le Danemark a été le premier pays à rouvrir la garde d’enfants et l’enseignement primaire, à partir du 15 avril. Ils n’ont signalé aucun effet négatif après la réouverture des écoles et ne constatent aucune augmentation du nombre de reproducteurs.

En Allemagne, en Norvège, en Suède et dans de nombreux autres pays, les écoles ont rouvert sans reprise de l’épidémie.

Il n’y a donc aucune raison objective de craindre cette réouverture des classes

Danger psychologique majeur de l’interruption de la vie scolaire

Le confinement d’un enfant ne lui nuit pas seulement par la perte de l’apprentissage scolaire, mais l’expose à de nombreux troubles psychologiques qui peuvent le handicaper à vie.

Wen Yan Jiao [29] rapporte que les enfants âgés de 3 à 6 ans étaient plus susceptibles que les enfants plus âgés de manifester des symptômes, tels que la crainte que les membres de la famille ne contractent l’infection, troubles du sommeil, cauchemars. Les enfants âgés de 6 à 18 ans étaient plus susceptibles de montrer de l’inattention et une anxiété persistante. Les colères, l’inattention et l’irritabilité étaient les complications psychologiques les plus graves éprouvées par les enfants de tous les groupes d’âge.

Guanghai Wang [30] signale que ces complications sont suffisamment fréquentes et sérieuses pour justifier des mesures d’aides spécifiques

Au total, la menace principale sur la santé des enfants provient non pas de l’infection du Covid-19, mais plutôt des mesures injustifiées de confinement et de post-confinement comme le masque ou les mesures de distanciation sociale imposées aux des enfants sans aucune justification scientifique et incompréhensibles pour eux, les conditionnant à un mode de vie à la chinoise qui jusqu’à présent n’étaient pas notre modèle. Les Français ont-ils élu E. Macron pour une société totalitaire ?

Étampes (91) : une rixe géante impliquant plus de 200 « jeunes » éclate à la base de loisirs, les policiers encerclés (MàJ : la Région IdF porte plainte et demande un fichier des interdits de centres de loisirs)

Articles : juillet 2020juin 2020mai 2020avril 2020

02/08/20

Après la rixe ayant opposé une centaine de jeunes sur la base de loisirs d’Étampes (Essonne), la région Île-de-France a décidé de déposer plainte et réclame des renforts policiers pour faire face à la récente montée des tensions. Trois participants à la bagarre ont été légèrement blessés, ils n’ont pas voulu porter plainte.

La présidente de la région, Valérie Pécresse, a fermement dénoncé sur twitter ces faits, qu’elle qualifie d’ »inacceptables« . Elle a annoncé par ailleurs que Patrick Karam se rendra sur place dimanche « pour évaluer les besoins de forces de sécurité supplémentaires et les transmettre au ministère de l’intérieur« . Patrick Karam, vice-président du conseil régional d’Île-de-France en charge de la jeunesse, des sports, de la vie associative, de la citoyenneté et des loisirs réclame à l’État « plus de vigiles, de forces de police, de gendarmerie pendant les périodes de fortes chaleurs« . Il demande par ailleurs au ministre de l’Intérieur des interdits d’îles de loisirs, avec des fichiers, sur le même principe que pour les stades.

« La région investit de manière colossale pour le repos des familles pour donner aux familles les plus défavorisées de se reposer de se détendre il n’est pas question qu’on traumatise ces familles-là, que des enfants soient marqués à vie parce que vous avez des voyous qui s’affrontent« , insiste l’élu. […] « On sent bien qu’il y a une tension depuis quelques semaines, que la situation est plus volatile que les années précédentes, que la violence ne demande qu’à se déchaîner (…) beaucoup de jeunes ne retournent pas dans leurs pays d’origine, ils sont dans leurs appartements et se regroupent et vont régler leurs querelles sur nos îles», explique-t-il.

francetvinfo

01/08/20

Plusieurs vidéos impressionnantes ont été diffusées sur les réseaux sociaux. La scène s’est déroulée ce vendredi après-midi à la base de loisirs d’Étampes (Essonne). Sur l’une des séquences d’environ 30 secondes qui a été visionnée plus de 65 000 fois sur Twitter, on aperçoit un groupe de plus de 200 jeunes regroupés qui sont en plein affrontement.

La bagarre a eu lieu alors que la température atteignait près de 40 degrés ce vendredi en région parisienne et que plus de 1000 personnes étaient venues se baigner.


Selon Gérard Hébert, le président du syndicat mixte de la base de loisirs qui a été interrogé par Le Parisien, cette rixe serait partie d’une histoire de vol, entre deux groupes. Les forces de l’ordre, police, gendarmerie et police municipale, se sont rendues sur les lieux. Elles ont été encerclées par près de 200 jeunes et ont été contraintes de faire usage de moyens lacrymogènes.

«Tout serait parti à cause d’un portable volé», affirme une source policière au quotidien. «Les jeunes, chauffés par le soleil, ennuyaient les familles présentes, les obligeant à quitter les lieux, et draguaient outrageusement les jeunes femmes», ajoute cette même source. […]

actu17

Le fameux « vivre-ensemble » est un leurre

Articles : juillet 2020juin 2020mai 2020avril 2020

Riposte Laïque

Comment se peut-il que les évidences les plus évidentes soient niées par ceux-là mêmes qui ont le devoir de dire la vérité aux Français ? Pourquoi la menace islamiste n’est-elle pas dénoncée en tant que telle ? Serait-ce contraire à la vérité que de dire la vérité ? Puisque le refus islamique d’obéir aux lois de la République est la résultante d’une éducation bâtie sur le Coran, qu’attend-on pour en tirer les conséquences, et comprendre notamment que le « vivre-ensemble » est impossible ?

Qu’on le veuille ou non, toute population porte en elle une culture qui la détermine au quotidien, et dont elle ne peut se départir, sauf si elle décide de changer de culture. Mais on ne change pas de culture comme on change de chemise ou de région ! On EST sa culture !

Voilà pourquoi l’introduction d’une culture non française au cœur de la culture française ne peut aboutir qu’à la confrontation de ces deux cultures. La preuve en est le refus constant de la laïcité par les musulmans, et l’exigence du port du voile chez la femme, elle-même considérée comme inférieure à l’homme. 

Or, ce ne sont pas les Droits de l’Homme qui pourront changer cela, car les Droits de l’Homme ne font pas le poids face aux Droits de Dieu. Et quand les Droits de Dieu sont ceux d’Allah, on ne peut que se soumettre ou se démettre, à moins que la loi laïque et républicaine ait le courage d’intervenir en force !