Chanson totalement improbable avec un rythme binaire, un synthé année 80 omniprésent et une voix pleine de reverb ! un OVNI je vous dis….on aime ou on déteste.
Zemmour candidat contre Macron ?
Articles : Août 2020 – juillet 2020 – juin 2020 – mai 2020
Boulevard Voltaire
https://www.bvoltaire.fr/zemmour-candidat-contre-macron/
Éric Zemmour, dans sa longue entrevue avec les journalistes de Valeurs actuelles (n° 4367/4368, août 2020), a dit ne « pas [en] être encore à rédiger un programme présidentiel ». Mais il a accepté néanmoins de « jouer à ce jeu-là » avec les journalistes qui le questionnaient. Venant de cette personnalité rompue aux finesses des échanges du journalisme politique, au beau milieu du champ de mines médiatico-judiciaire, ce « pas encore » ne dit-il pas ce qu’il veut dire : « Le jour viendra peut-être », voire carrément « Un jour viendra » ?
Le diagnostic sur l’état de la France par Zemmour est connu, rodé, solide et si évident que tous ceux qui se sont essayés à le contester se sont plus ou moins effondrés, voire ridiculisés. Même si le personnage irrite certains, si la formulation est raide, ce qu’il dit est désormais partagé par une majorité de Français, y compris ceux qui sont issus de l’immigration et se sont assimilés, conformément au contrat social de toute immigration.
Zemmour dit que la France doit revenir à sa situation culturelle, politique, économique et sociale des années 60. Mais il pourrait ainsi offrir son flanc à une critique (superficielle) arguée de passéisme. Pourtant, avant 1968, la France connaissait et respectait ses valeurs de vie (y compris familiales, et sociales avec le projet de participation) ; elle était puissante et très prospère économiquement, indépendante politiquement, souveraine militairement, respectueuse de sa culture et respectée pour cela, et elle portait des idéaux de démocratie dans le monde entier. Depuis ce pic de puissance et de rayonnement, elle a subi une décadence continue, à large spectre, avec, parmi les conséquences, une paupérisation dramatique des classes moyennes, un effondrement des piliers du service public et des prérogatives régaliennes. Car ce recul pathétique de l’intellection globale ne peut entraîner que des conséquences négatives. Les Français soit ne raisonnent plus soit raisonnent faux…
La potion Zemmour est un remède de cheval ! Peut-être pensera-t-on qu’il a tort de l’exposer à sa rude façon, sans fioritures, mais au moins cela est-il très clair même si on frise parfois l’utopie : suppression du regroupement familial, non-entrée sur le territoire national de l’époux étranger, renchérissement des études des étudiants étrangers, suspension du droit d’asile, suppression du droit du sol, fin des allocations pour les étrangers, suppression de la double nationalité pour les non-Européens (c’est, d’ailleurs, le cas dans beaucoup de pays, notamment du tiers-monde), expulsion des délinquants étrangers, extension des cas de déchéance de nationalité, fermeture des mosquées salafistes et radicales, suppression du droit d’ester en justice pour les associations étrangères, rétablissement de la loi sur les prénoms français.
Même s’il ne le dit pas, on suppose que Zemmour fera de la reconstruction du système judiciaire discrédité une de ses priorités, de même que le rétablissement d’une instruction publique au niveau de ce qu’elle fut.
En revanche, de grands sujets demeurent effleurés ou même ignorés : « Une véritable politique industrielle », certes, mais le « comment » est bien plus complexe. Quant à l’OMC, la Bourse, la finance, l’euro, il n’en est pas question. Éric Zemmour est-il capable de fédérer des talents pour remplir les case vides ? Est-il en mesure de créer un tel mouvement d’opinion qu’il balaiera les politiciens de métier ? D’effacer ou de faire renoncer Marine Le Pen ? De s’allier avec, ou de dépasser, Michel Onfray ? De fédérer la droite volontariste ? De battre Macron au second tour ? À ce jour, cela semble impossible. Mais si, comme on peut le redouter avec quelques raisons, la France post-confinée ou reconfinée s’effondre économiquement et socialement comme cela ne lui est jamais arrivé (sauf pendant la guerre de 39-45), une éruption de gilets jaunes poussés à l’émeute par la misère, bien plus violente que la première, peut tout rendre possible : le pire et le meilleur.
Humanitaires exécutés au Niger : ce que les politiciens et les médias ne disent pas
Articles : Août 2020 – juillet 2020 – juin 2020 – mai 2020
Boulevard Voltaire : https://www.bvoltaire.fr/humanitaires-executes-au-niger-ce-que-les-politiciens-et-les-medias-ne-disent-pas/
Le 9 août dernier, en milieu de journée, au Niger, six membres français de l’ONG française ACTED et deux accompagnateurs nigériens ont été exécutés par surprise par des sauvages à moto, démontrant que, désormais, le danger est partout.
On a déjà évoqué ici les raisons de l’échec annoncé – et confirmé – de la coalition du G5 Sahel, ainsi que l’inutilité persistante des sommets internationaux. Les mêmes causes produisant les mêmes effets dans un contexte qui empire sans changer de nature, il n’y a aucune raison que s’améliore de soi la sécurité dans la région.
Les terroristes et leurs complices en tirent profit pour étendre leurs capacités de nuisance, leur présence et leur influence le long d’une bande territoriale continue de deux mille kilomètres. Ce « couloir de la mort » relie le Mali au Cameroun en passant par le Burkina Faso, le Niger et le Nigeria ; il s’étend dans leurs onze pays voisins, bases logistiques actuelles, zones d’exactions en devenir. Tout le monde ne semble pas encore en être conscient.
Sur place, on ne doit pas dépendre des canaux diplomatiques pour évaluer la situation sécuritaire à venir ni de conseils adressés depuis l’étranger sur la base de vagues contacts et rumeurs. Pour éviter les pièges, il est vital de développer sa propre intelligence de situation sur la base d’informations locales fiables, actualisées et contextualisées.
Or, les discours politiques et médiatiques n’évoquent jamais deux facteurs déterminants dans le développement du terrorisme islamiste au Sahel, pour ne pas froisser des susceptibilités nationales aux conséquences politiques et économiques fâcheuses : la criminalité économique et financière, d’une part ; l’abandon des populations rurales, d’autre part.
La mauvaise gouvernance et la criminalité économique sont les meilleures alliées du terrorisme.
Elles sont multiformes, de la simple prévarication à des pratiques mafieuses d’État, comme la fraude publique massive au moratoire de la dette africaine, combinée à celle au Covid-19 – attributions illégales de marchés surfacturés, trafics d’influence, détournements à la source, contrefaçon de produits médicaux et d’équipements sanitaires.
La criminalité publique, « en col blanc » et privée, isolée et d’opportunité ou en bandes organisées, est de plus en plus sophistiquée, dématérialisée et rentable. S’y ajoute une criminalité croissante de rue au sein de populations urbaines pauvres et sans perspectives. Ainsi se généralisent les fraudes pyramidales, détournements financiers et de stocks, pratiques agressives de concurrence déloyale, trafics de produits volés ou contrefaits, embuscades et braquages.
Comme ailleurs, la crise sanitaire du Covid-19 n’a pas rendu les comportements plus vertueux. On assiste à une forte recrudescence de comportements criminels et parasites par des profiteurs de crise à tous les niveaux des administrations et des entreprises, « chaîne de destruction de valeur » qui profite en partie aux organisations terroristes islamistes, dont les motivations sont autant crapuleuses que religieuses.
Par ailleurs, les zones rurales, abandonnées, deviennent de vastes sanctuaires terroristes.
C’est ce qu’illustre bien un rapport récent et sérieux de l’ONG International Crisis Group (ICG), corroboré par des investigations indépendantes de terrain sur des flux de commerce illicite. Des rivalités communautaires ancestrales autour de maigres ressources, entre agriculteurs sédentaires et éleveurs nomades, sont exacerbées par l’indifférence des gouvernements et par l’impuissance des autorités locales sans moyens ni volonté.
Ce phénomène rural, sur fond d’accroissement de la population et de la pression foncière, remet en cause des équilibres anciens et fragiles. Les mouvements islamistes absorbent et exploitent ces frustrations pour se répandre par capillarité territoriale, faisant souche pour imposer progressivement la charia.
Ce n’est donc pas d’argent que les pays africains ont besoin. Contrairement à ce que déclarait, récemment, l’inconséquent directeur général de l’AFD, il est urgent de conditionner les aides et d’en contrôler le véritable usage.
1 homme, 4 femmes, 46 enfants : il est des nôtres, il réside à Bobigny !
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Riposte Laïque
Vive nous ! Nous sommes les champions : un homme, quatre femmes, 46 enfants !
Vous vous souvenez certainement d’Elias Abjad. Ce boucher musulman se fit connaître grâce à sa prédilection pour la viande féminine. Il avait quatre femmes, voilées comme il se doit, qui lui donnèrent 16 enfants.
On chercha des noises à cet honnête citoyen en l’accusant de polygamie. Mais les calomniateurs en furent pour leurs frais. En effet, le brave Elias n’avait épousé aucune de ses compagnes. L’accusation fit donc long feu et il put continuer à percevoir tranquillement les allocs…
Or les performances d’Elias Abjad ne sont rien à côté de celles d’Adama. Cet intéressant Malien réside à Bobigny. Comme Elias Abjad, il a quatre femmes qu’il a fait venir du pays. Comment ? Avec quels papiers ? Mystère. Et ces quatre femmes lui ont donné 46 enfants !! Plus de dix enfants en moyenne par femme.
C’est dire qu’elles ne chômaient pas. Lui non plus d’ailleurs. Il avait du cœur à l’ouvrage. Nous en profitons pour mettre fin à une légende usurpatrice selon laquelle les Français sont les meilleurs amants du monde. Non, les meilleurs amants du monde ce sont les Maliens.
Adama aime ses enfants. La preuve, selon le Journal du dimanche qui l’a interviewé : il peut réciter sans difficulté tous les prénoms de ses gosses. Il les a faits – c’est sûr – par amour car une famille nombreuse réchauffe le cœur d’un père.
Une autre hypothèse peut toutefois être envisagée. Adama a confié au Journal du dimanche que pendant longtemps il a été agent d’entretien. Il a abandonné ce métier dur et ingrat quand il a su que les allocations suffiraient à pourvoir à ses besoins. À partir de 40 enfants, les allocs se montent à plus de 6 400 euros par mois. Comme Elias Abdjad, il ne peut être accusé de polygamie : il n’a pas épousé les quatre femmes qu’on serait tenté de qualifier de mères porteuses.
C’est lui et lui seul qui perçoit les allocs. Les quatre femmes sont en effet – on s’en doutait – illettrées et parlent à peine le français. Adama est donc seul maître à bord. Il gère en bon père de famille les 6 400 euros que lui verse l’État français sans compter les APL et le RSA qu’il touche également.
Qui oserait encore dire après ça que la France n’est pas un pays d’accueil ? Qui pourrait prétendre qu’elle est raciste ? Et qui pourrait soutenir qu’elle n’aime pas tendrement le Mali où elle a d’ailleurs envoyé ses soldats ? Une conclusion s’impose. Il est très souvent question du « privilège blanc ». Dorénavant il va nous falloir envier le « privilège noir ». Car qui d’entre nous est capable d’avoir 46 enfants ?
Comment des criminels ont diabolisé le traitement du Pr Raoult…
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Riposte Laïque
De toutes les manipulations de ces dernières années, celle orchestrée au niveau mondial pour diaboliser le protocole de soins du Pr Raoult est la plus monstrueuse.
Afin de mieux discréditer l’hydroxychloroquine, des études cliniques ont mis la vie des patients en danger, en les exposant à des doses MORTELLES !
Aucune de ces études n’a respecté le protocole de soins du Pr Raoult, qui préconise un électrocardiogramme préalable au traitement et un dosage strict de l’hydroxychloroquine.
La manipulation des masses n’a rien de bien nouveau, mais depuis ces dernières années les démocraties occidentales sont devenues de véritables dictatures, tant les dirigeants en place usent et abusent des fake news, pour pratiquer un lavage de cerveau diabolique sur les populations.
Toutes ces arnaques criminelles, qui ne sont possibles qu’avec la complicité coupable des médias serviles, sont initiées par de puissants lobbys qui imposent leur volonté.
Les secteurs de l’armement, du pétrole, des énergies renouvelables, de la recherche pharmaceutique, ainsi que l’idéologie mondialiste et multiculturaliste du grand patronat, exercent un totalitarisme digne de la Corée du Nord sur l’ensemble des peuples de la planète.
La démocratie, “le gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple”, disait Abraham Lincoln, est systématiquement violée par des élus qui n’ont que mépris pour leurs électeurs.
On a d’abord eu droit à l’arnaque des ADM en Irak, véritable mensonge d’Etat pour déclencher une guerre et renverser Saddam Hussein. Le résultat est devant nous : un Moyen-Orient en ébullition, devenu incontrôlable à la suite des printemps arabes qui devaient apporter la démocratie…
On a eu droit à l’arnaque de la société multiculturelle paradisiaque, source de richesses et de bonheur sans fin. On en mesure aujourd’hui tout le bénéfice : nous sommes ruinés et la société est au bord de la désintégration, avec un risque de guerre civile bien réel.
On a eu droit à l’arnaque écologique sur le réchauffement climatique d’origine humaine. On liquide le nucléaire qui ne pollue pas pour installer 20 000 éoliennes au rendement insignifiant, incapables de subvenir aux besoins. Et on crée de toutes pièces un personnage parfaitement malléable pour diffuser la bonne parole.
C’est ainsi que Greta Thunberg est reçue à l’Onu, à Bruxelles, au Vatican ou à l’Assemblée nationale, comme la reine qui va sauver l’humanité. Et l’artillerie médiatique pilonne jour et nuit toute la planète pour faire passer le message climatique mensonger.
Mais avec l’arnaque de la Covid-19, c’est l’apothéose. Jamais la manipulation des foules n’a atteint un tel niveau.
Nos dirigeants et leurs “experts scientifiques” ont réussi l’exploit de détruire l’économie mondiale, alors que le coronavirus tue moins que la grippe saisonnière et que le remède existe ! Hallucinant !
En France, ce fut un festival de déclarations et de décisions toutes plus irresponsables les unes que les autres.
Nos “élites” nous a affirmé que la France bénéficiait du meilleur système de santé au monde. Or, la pénurie a été telle, qu’il a fallu faire un tri sélectif des patients en condamnant les vieux.
Nos “experts” nous ont affirmé que masques et tests ne servaient à rien. Mais aujourd’hui, tout contrevenant au port du masque, devenu obligatoire, est lourdement sanctionné.
Mais c’est l’implacable acharnement des politiques et des responsables de la Santé contre le Pr Raoult, qui dépasse tout ce qu’on peut imaginer.
Les “experts”, en lien avec les laboratoires pour beaucoup d’entre eux, ont réussi à faire de la chloroquine, en vente libre et connue depuis 70 ans pour son absence de toxicité, un médicament devenu subitement mortel et interdit de prescription pour les médecins de ville !
Au diable le serment d’Hippocrate, le gouvernement a décrété du jour au lendemain l’interdiction de soigner !
OMS, gouvernements, revues médicales prestigieuses, médias, ce fut la grande coalition pour discréditer le plus renommé des infectiologues de la planète.
D’une sommité de la médecine mondialement respectée, ces vautours ont tenté de faire un paria et un dangereux farfelu, mettant la vie des patients en danger.
Or, une étude portant sur 900 000 personnes traitées à l’hydroxychloroquine, a montré que le risque cardiaque était quasi-inexistant..
Sur plus de 4 000 patients traités selon son protocole strict, avec 600 mg d’hydroxychloroquine par jour pendant 10 jours, le Pr Raoult n’a pas rencontré de problème cardiaque.
Mais c’est avec les études cliniques que la réalité dépasse l’entendement !
Au Brésil, à Manaus, des médecins ont prescrit une dose quotidienne d’hydroxychloroquine double de celle préconisée par le Pr Raoult. Soit deux fois 600 mg par jour, prescrit parfois à des malades cardiaques !
Et la grande étude clinique européenne “Recovery”, a osé prescrire 2 400 mg le premier jour du traitement ! Quatre fois la dose appliquée par le Pr Raoult !
L’OMS, dans son étude “Solidarity”, a également prescrit des doses dangereuses, avec 2 000 mg le premier jour du traitement.
De plus, ces traitements n’ont pas été appliqués dès le début de l’infection mais tardivement, contrairement à ce que préconise le Pr Raoult.
On est donc en droit de se demander s’il y a complot ou incompétence criminelle ! Mais c’est pourtant le professeur marseillais, qui soigne et guérit, qui est cloué au pilori !
Et que dire de l’étude du Lancet, cette prestigieuse revue médicale qui fait autorité en médecine ?
C’est une étude totalement bidon, de A jusqu’à Z, qui a été publiée pour démontrer la dangerosité de la chloroquine, annonçant 30 % de morts supplémentaires chez les patients traités avec cette molécule !
Tout était faux. Les hôpitaux, les dossiers médicaux, le nombre de patients. La vérité a éclaté, certes, mais ce n’est pas pour autant que le Pr Raoult a été réhabilité avec son protocole de soins.
Le plus consternant, c’est que les études frauduleuses et les articles assassins sur la chloroquine ont été légion.
Les études sérieuses on été ignorées sciemment par la revue The Lancet, qui s’est discréditée à jamais.
Mais le pire, est qu’à chaque nouvelle étude, Olivier Véran, le Pinocchio de la Santé, se précipitait sur les écrans pour brandir ces résultats magouillés et les présenter comme parole d’Évangile, n’hésitant pas à accuser le Pr Raoult de s’être trompé !
Or, tout démontre que la généralisation du protocole de l’IHU de Marseille, avec un taux de mortalité de 0,45 %, aurait permis d’éviter la saturation des hôpitaux et de sauver des milliers de vies.
Nos 30 000 morts officiels, sans compter les 10 000 morts à domicile, sont à porter au crédit d’Emmanuel Macron et d’Olivier Véran, qui ont interdit aux médecins de soigner et de guérir.
Tout cela est dramatique. Nous vivons dans un monde pourri où le mensonge officiel fait loi.
Comme le dit le Dr Harvey Risch, épidémiologiste américain :
“À l’avenir, je crois que cet épisode « non nécessaire » concernant l’hydroxychloroquine, sera étudié par les sociologues de la médecine comme un exemple classique de la façon dont les facteurs extra-scientifiques ont pris le pas sur les preuves médicales claires “