French Lives Matter, le site identitaire qui recense les crimes et alerte sur l’ensauvagement.
Scandalisé par l’insécurité persistante et l’ensauvagement de la société, le collectif patriote et identitaire recense les crimes commis contre les “Français de souche” et veut insuffler une prise de conscience à leurs concitoyens.
Le mouvement Black Lives Matter ravivé par la mort de George Floyd en mai dernier, des Français ont décidé, bien avant cette affaire, de prendre à contre-pied l’appareil lancé par des militants marxistes aux États-Unis, en fondant French Lives Matter (« La vie des Français compte »), avec une ligne éditoriale simple et sans détour : « Prendre clairement le parti des victimes de l’ensauvagement de la France », précise un membre du collectif. La France Orange mécanique troque ainsi le livre pour Internet. Le projet est de recenser les victimes des meurtres et d’attentats terroristes « commis sur des Français, dans l’objectif d’honorer leur mémoire », ajoute un soutien.
À l’image de Damien Rieu, le militant identitaire et membre du blog Fdesouche qui a lancé French Lives Matter, les contributeurs du site se revendiquent comme des « lanceurs d’alertes ». Refusant que les « victimes tombent dans l’oubli », ils ont décidé de faire ce recensement des noms, des visages, des histoires des victimes, « tués parce qu’ils ont le tort d’être Français. »« Il faut se rappeler qu’à chaque fois, c’est une vie, mais aussi un parcours et une famille anéantie », insiste le collectif. Leur objectif : « Dénoncer le racisme anti-français et plus généralement anti-blanc. »
Lancé pour mettre en lumière l’ensauvagement de la société et sa litanie de violences en tout genre, French Lives Matter veut aussi alerter les grands médias, « qui restent cantonnés aux rubriques “faits divers” », alors qu’avec la récurrence de ces agissements, parler de “faits divers” leur paraît dépassé. Au départ, ses militants voulaient répertorier non seulement les meurtres, mais aussi les agressions et les viols, mais ils ont dû renoncer à répertorier ces derniers, beaucoup trop nombreux
Pendant que le Zorro qui loge à l’Elysée, se mêle de faire la leçon à Poutine à propos de la Biélorussie, prônant l’apaisement… (on croit rêver !) le bordel perdure en France, et plus précisément à Paris, où il s’en passe de belles !
En plein contexte de « déboulonnages, recouvrements de graffitis » … et autres joyeusetés à répétitions, envers les statues de nos hommes ou femmes célèbres… » voilà-t-il pas que celle de l’illustre Voltaire, située rue de Seine dans le VIe arrondissement de Paris, fut signalée ce 17 août, comme étant en train d’être retirée !
Pourtant l’éminent chef de l’Etat, que le monde entier nous envie… avait été clair !
Un scandale de plus, mais qui pour une fois a fait réagir dans le landerneau politique.
Suite au mouvement Black Lives Matter, quelques personnalités politiques n’ont pas manqué d’y voir la patte de la maire de Paris, Anne Hidalgo (qui rime avec virago), soupçonnée de céder aux instances gauchistes et aux racistes noirs, et à qui ils ont donc immédiatement demandé des explications !
Officieusement, cet « enlèvement » s’expliquerait par un entretien devenu trop coûteux à cause des dégradations anti-racistes. C’est vrai quoi ; un vrai pognon de dingue qu’Anne ne pourra destiner à ses chers migrants, qu’elle persiste à accueillir à bras ouverts dans le cloaque qui vient de la réélire, afin d’être bien certains que les JO de 2024 offriront au monde entier ce qu’est devenue la ville Lumière sous l’égide des socialopes !
Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la mairie de Paris, a réfuté ces allégations.
Du coup, la mairesse (qui rime avec traîtresse) s’est crue obligée de prétendre que la statue avait été enlevée pour être nettoyée, et sera remise en place…
Sauf qu’il y aurait quand même comme un os dans le potage, m’dame la maire, notamment pour ceux qui ont encore toutes leurs neurones en état de fonctionner :
Résumé, pour ceux qui sont pressés et n’ont pas le temps de tout lire :
1/ Photo du retrait de la statue sur les réseaux sociaux
2/ Le compte twitter qui publia cette photo étant classé à droite… c’est forcément une fake-news ;
3/ La mairie dément,
4/ Egale à elle-même, celle-ci précise ensuite, que la statue sera rendue… au CNAP (Centre National des Arts Plastiques) à qui elle appartient…
Autrement dit, la statue de Voltaire qui était prêtée à la Ville de Paris depuis … 1960, ne sera pas remise en place selon le véritable mensonge de l’équipe d’Hidalgo !
C’est la conclusion qui s’impose de ces simagrées ; non seulement cette équipe est lâche et cède aux pressions des racistes envers le patrimoine des blancs… mais elle n’a même pas le courage de ses opinions.
En même temps comme dirait l’autre, qu’attendre d’autre de la part de socialauds ?
Des vrais cadors, qu’on a au gouvernement (et annexes) ! Si, si ! Sûr que c’est difficile à croire, vu la gabegie habituelle, mais si…
La seule chose qui m’ait bien fait rigoler dans cette histoire, c’est le mal qu’ils ont du se donner pour tenter de mettre cela sur le dos de l’extrême droite… et qui les a fait indubitablement « échec et mat » !
Sinon, puisqu’il est question de l’auteur de Candide… celui-ci demande pourquoi, au lieu de souffrir des frais incessants de nettoyages des statues taguées par des crétins incurables, la ville de Paris et ses édiles, ne poursuivent pas plutôt ces derniers en leur infligeant une répression drastique ?
Par exemple, à Marseille, c’est le cas des « zautorités » qui ont envoyé 130 CRS pour mater les non-masqués… Bon, d’accord, seulement dans le sud, pas dans les quartiers nord… faut pas déconner non plus… y a des populations « fragiles » avec qui il faut composer…
N’empêche, Anne, si tu me lis… tu sais ce qui te reste à faire.
RIPOSTE LAIQUE, Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression
Sur une vidéo du jour, le professeur Raoult fait un dernier point sur le coronavirus.
À l’IHU de Marseille, nous en sommes à 18 décès pour 4 030 cas traités, sans effet secondaire grave. Soit un taux de mortalité de 0,45 % ou de 4,5 pour 1 000 patients.
Il faut donc en finir avec le mythe et le fantasme de la dangerosité de l’hydroxychloroquine.
C’est le plus grand scandale scientifique de tous les temps, qu’on n’a pas fini d’assumer et qui montre que les communications scientifiques sont soumises à des influences néfastes.
Certaines données scientifiques sont censurées de façon inadmissible. Chacun à sa place, les scientifiques font de la science, les politiques font de la politique.
Le degré de manipulation des revues scientifiques est considérable.
Où en sommes-nous ?
On teste davantage. Les jeunes sont plus touchés mais pas seulement.
Depuis début juin, 1 000 patients ont été diagnostiqués positifs à l’IHU de Marseille. On compte un seul mort, qui était en fin de vie et pour lequel le virus n’est pas la cause principale du décès.
Ce qui donne un taux de mortalité au pire de 1 %.
Je dis aux méthodologistes que pour démontrer qu’un traitement est égal ou supérieur à celui que nous préconisons, il faudrait une étude randomisée de 43 000 personnes, deux fois, pour pouvoir prouver une supériorité notable. Ce qui est techniquement impossible.
Le traitement de référence, c’est donc celui de l’IHU !
On ne pourra pas démontrer qu’un traitement est supérieur à celui-ci.
Étude sur les patients des Ehpad marseillais :
Sur plus de 200 patients positifs, la moitié a été traitée.
Le taux de mortalité est de 14,4 % chez les patients traités et de 27,8 % chez ceux qui n’ont suivi aucun traitement.
C’est exactement le pourcentage national, supérieur à 27 %
Ce qui signifie que si les patients des Ehpad avaient été traités à l’hydroxychloroquine, on aurait sauvé 5 000 vies. Ce qui mérite une réflexion au niveau national.
L’avenir ?
On note que la Nouvelle-Zélande et l’Australie, peu touchées jusqu’à présent, connaissent une augmentation des cas positifs. Ce qui signifie que nous pouvons nous attendre à une hausse de cas en Europe cet hiver.
Mais la mortalité reste au niveau des autres coronavirus, entre 0,8 et 1 %.
La maladie prend un aspect endémique. Se laver les mains régulièrement reste la meilleure des protections.
Il faut dédramatiser, redevenir pragmatique et dépassionner les débats.
On ne fait pas de la politique, on fait du soin.
Avec les coronavirus, mortalité, transmission et contagiosité augmentent au début de l’épidémie. Puis tout se calme sans qu’on sache exactement pourquoi.
Il faut se méfier des comportements idéologiques, y compris médicamenteux.
Je pèse mes mots :
Dans l’histoire de la médecine, on parlera encore dans un siècle de l’histoire qui a fait penser dans le monde que l’hydroxychloroquine pouvait tuer entre 10 et 30 % des patients à qui elle était prescrite.
Personne ne pourra croire qu’il s’est passé une crise de cette nature, tellement elle est folle.
Qu’est-ce qui a pu rendre les gens fous au point de croire qu’une molécule de 70 ans, prescrite à des milliards de personnes, était devenue soudain extrêmement toxique ?
C’est un profond problème de manipulation des esprits, d’ignorance et d’incompétence, qui laissera des traces dans le siècle à venir.
On le voit, notre génie national est plus combatif que jamais et ne renoncera jamais à son traitement sans équivalent.
Il prouve et démontre quotidiennement que le pouvoir et les experts du Conseil scientifique nous ont odieusement menti et sont donc responsables de plusieurs milliers de morts dans le pays.
Car si l’hydroxychloroquine aurait pu sauver 5 000 patients dans les Ehpad, ce traitement aurait pu sauver également plusieurs milliers de malades parmi les 30 000 morts que compte le pays.
Tests massifs, diagnostic précoce et traitement du Pr Raoult sont les armes fatales qui permettront de vaincre la maladie, en évitant un reconfinement dévastateur pour le moral de la population et pour l’économie.
Mais quand donc nos autorités se décideront-elles à écouter notre éminent infectiologue, sans céder aux sirènes des laboratoires ?
Elle a décidée de briser le silence. « Ce n’est pas à nous d’avoir honte ! » Une jeune femme, tabassée par trois hommes la semaine dernière à Nîmes, a décidé de témoigner.
Elle se promenait avec son chien dans le quartier de La Placette à Nîmes mercredi matin 12 août. « J’ai croisé trois hommes. un m’a dit « t’es bonne », je n’ai rien dit puis je me suis fait traiter de « sale pute », j’ai répondu et c’est là que tout a commencé« . « J’ai senti un bras m’attraper puis un coup de poing, deux trois puis je tombe une première fois. Je me relève on me rejette au sol. Un homme pose son pied sur mon thorax puis enchaîne les coups de poing au visage pour finir par une série de coups de pied jusqu’à que je tombe inconsciente. Je me réveille quelque minutes plus tard toujours sur ce trottoir mais plus personne à côté de moi juste mon chien qui attendait sagement« .