Articles : Août 2020 – juillet 2020 – juin 2020 – mai 2020
A la suite de l’intrusion illégale de membres de la Ligue de défense noire africaine dans nos locaux, @Valeurs actuelles a décidé de porter plainte.
Deux membres de Ligue de défense noire africaine (LDNA) ont pénétré en toute illégalité dans les locaux de Valeurs actuelles, ce samedi après-midi, à Paris, et diffusé en direct leur forfait sur Facebook.
La chanson du jour, It’s My Life – Talk Talk
Finalement on se rend compte à quel point les musiques des années 80 et 90 nous manquent. On ne présente plus Talk Talk. It’s my life est un de leurs plus grands succès. Et le clip ici est magnifique, un ode à la vie animale.
Pour conquérir la France, les musulmans utilisent la violence généralisée
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Riposte Laïque
La France est sur le point de se disloquer. Son cœur balance entre la soumission et la liberté. Pour le moment, elle fait face au coronavirus et ses conséquences économiques dont la facture et la fracture seront catastrophiques et suicidaires, mais aussi à l’islamisation qui lui mène une guerre en sourdine avec la complicité et surtout la lâcheté de ses élites gouvernementales qui sont incapables de réagir à la montée en puissance de l’islam qui est en train de préparer une guerre civile, au nom d’Allah, le Clément. La banalisation de la violence tolérée au nom de la paix sociale est le prélude à cette guerre !
La citoyenneté est une notion qui leur est étrangère, de même qu’elles considèrent la nation comme inutile et caduque. Elle fait partie du passé pour beaucoup d’entre elles. Et avec elle, tout l’héritage chrétien qui a façonné la France, est oublié, jeté dans les poubelles de l’histoire au profit des valeurs islamiques, pour le grand bonheur de la caste écolo-gauchiste anticléricale.
Pour ces messieurs-dames, la nation française est finie !
Car la France est trop étroite pour eux. Ils regardent ailleurs, au-delà de ses frontières. Ils se sont mis dans la peau des mondialistes progressistes avec du baratin qui ne fait peur à personne. Même Erdogan, le sultan islamiste, les nargue matin et soir sans qu’ils soient capables de lui tenir tête. Ils préfèrent regarder ailleurs pour ne pas le provoquer davantage, car ils ont une peur bleue face à l’islamisme devant lequel ils se couchent, tels des poltrons sans dignité. N’ont-ils pas déjà perdu la guerre contre l’islam qu’ils ont invité à s’installer durablement dans le pays, sans l’avoir commencée ?
Plus trouillard qu’eux, tu crèves.
Alors que doit-on penser des barbares qui sévissent en toute légalité républicaine dans les villes et villages qui sont livrés à l’anarchie et à l’islamisation triomphante ?
Devant cette situation, quoi faire et quoi dire ? Se taire en se cachant ou bien relever la tête et crier stop ? Est-ce la solution ? Seul le temps le dira.
Pendant que les rues de Paris sont livrées à la razzia des nouveaux conquérants, dans les salons calfeutrés des islamo-gauchistes, on y danse sur un fond de musique du vivre-ensemble en scandant “pas d’amalgame”.
Hélas, trois fois hélas, la France est malade de ses gouvernants qui s’avèrent être de pleutres chefs qui n’ont pas de couilles et qui refusent de nommer les choses par leur nom.
Comment peut-on expliquer que les forces de l’ordre sont instruites à faire le ménage sans ménagement dans les bars, à coup de matraque, pour arrêter la progression de la Covid-19, pendant que des bandits de grands chemins (les saälics) font leurs courses en vandalisant les magasins sur la plus belle avenue du monde, en toute tranquillité ?
Le rezzou n’est-il pas passé par là ? Et qui pouvait les en empêcher ? Car on ne combat pas les razzias par des tweets. Les bonnes paroles ne suffisent pas, il faut des actes puissants pour ébranler la machine infernale de la violence du djihad.
N’y a-t-il pas anguille sous roche dans cette affaire ? N’y a-t-il pas deux poids, deux mesures ?
Tout ce désordre est à relier à la religion de paix et d’amour qui a déclaré la guerre à la France qui travaille, avec la complicité de l’oligarchie politico-médiatique et notamment les islamo-gauchistes.
La France est mal barrée avec un gouvernement absent qui montre ses muscles uniquement avec les Français qui bossent durement et qui paient leurs impôts rubis sur ongle, mais avec les anoblis d’Allah, ceux qui brûlent et qui volent, il se montre impuissant.
C’est cette triste réalité que vit la France en 2020.
Dans cette France des riches et des pauvres, il y a surtout les libéraux qui ont l’art dans l’âme pour manipuler les sans-dents et les islamo-gauchistes qui sont atteints de la dhimmitude. À part ça, il n’y a que la violence quotidienne qui se manifeste au nom d’Allah, le Miséricordieux !
Ô que la vie est belle dans la patrie de Voltaire, surtout dans les territoires perdus de la République !
Les Français doivent savoir que chez les fous d’Allah, il n’y aurait jamais de limite. Jamais de trêve !
C’est la guerre sans fin puisqu’elle est sacrée donc éternelle.
Après les Champs-Élysées, c’est Grenoble qui sonne le tocsin du djihad.
La désincarnation de la France est en marche.
Avant la soumission, c’est la sécession qui s’est déclarée au grand jour.
Au nom d’Allah le Tout Miséricordieux, le Très Miséricordieux :
« Que les mécréants ne pensent pas qu’ils Nous ont échappé. Non, ils ne pourront jamais Nous empêcher de les rattraper à n’importe quel moment ». (sourate 8 verset 59).
« Et préparez pour combattre contre eux tout ce que vous pouvez comme force et comme cavalerie équipée, afin de terroriser l’ennemi d’Allah et le vôtre, et d’autres encore que vous ne connaissez pas en dehors de ceux-ci mais qu’Allah connaît. Et tout ce que vous dépensez dans le sentier d’Allah vous sera remboursé pleinement et vous serez point lésés ». ( sourate 8 verset 60).
Pour conquérir la France, il n’y a pas mieux qu’une violence généralisée. Et cette violence est sacrée, car recommandée par Allah lui-même afin de soumettre les mécréants.
En France, n’y a-t-il pas un choc de civilisation que la caste refuse de reconnaître ? En niant cette situation insurrectionnelle qui se prépare, l’oligarchie politico-médiatique n’est-elle pas en train de trahir les fondements de la République?
De Dijon à Marseille en passant par Paris, Toulouse et Grenoble, les trafiquants de drogue et les islamistes affirment, chaque jour qui passe, leur emprise sur des pans entiers de la France sous le regard apeuré de ceux qui gèrent le pays, au nom d’une démocratie qui a perdu ses piliers que sont l’ordre et la sécurité.
Et toute honte bue, ces messieurs-dames continuent à crier : nous sommes la République.
L’endormissement les a parachutés sur la comète de la peur, de la trahison et de la repentance.
Le déni de réalité des élites françaises conduira la France vers sa libanisation dans un temps pas si lointain.
Éric Piolle, le maire écologique de Grenoble ainsi que l’avocat Jean-Pierre Mignard sont les prototypes de la soumission à l’islam, sans condition, au nom du totem du vivre-ensemble.
Que faire devant cette inconscience qui s’est généralisée ?
Les adeptes du déni permanent ne savent-ils pas que la violence aveugle apportera dans ses couffins un jour ou l’autre, une autre violence plus agressive encore ? Et pourquoi pas le fascisme ? Et le retour de bâton sera terrible. Alors, avis aux apprentis-sorciers.
Et pour éviter un tel scénario, il est grand temps que l’État reprenne ses droits et fasse le ménage, même en utilisant les parachutistes les mieux aguerris.
Dans le cas contraire, il est permis de dire que la vieille Europe et notamment la France seront le nouveau théâtre du djihad mondial, dans un proche avenir. Et, le réel n’attend point.
Et la France va-t-elle alors faire appel aux Russes ou aux Américains pour l’aider à se débarrasser de l’islam quand elle sera face au mur ?
Quand Obono crachait sur les morts de Charlie…
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Riposte Laïque
L’AFFAIRE DE LA SEMAINE
L’esclave raciste Danièle Obono : toute la caste politicienne, des gauchos au RN, allume Valeurs Actuelles, qui se couche lamentablement. Pas un seul politicien ne se mouille, et les journaleux sont aux abonnés absents pour défendre leurs confrères. Macron, qui n’a manifestement rien d’autre à faire, prend le téléphone pour appeler l’Obonovirus. C’est la soumission générale, la repentance collective obligatoire. Et les gros racistes de la LDNA se permettent d’envahir les locaux de Valeurs Actuelles, et de menacer les Blancs, affirmant que dorénavant, la France appartient aux Noirs.
2017, ne pas oublier :
Nous préférons, ici, à la satire, le démontage patient des motivations, des manœuvres et des actes.
Il est clair que la députée Insoumise Danièle Obono, à défaut d’être, ce qui reste toutefois possible, un agent de l’étranger, travaille comme beaucoup d’autres à la démolition systématique de tout ce qui a fondé le pays où elle exerce librement son talent parlementaire.
Peu importe si ses ancêtres ont vendu leurs propres peuples contre de la verroterie, pour en faire des esclaves. De cela nous recommandons la simple référence historique, suffisante pour mettre les choses à leur place.
Seule compte la nuisance raciste, anti-républicaine, néo-fasciste et délétère que représente cette femme à l’heure des grands effondrements sociétaux dont nous sommes les témoins, les victimes mais aussi les sirènes d’alerte et les contre-feux.
Danièle Obono joue contre la France, point barre. Cela doit largement suffire à en faire la caricature d’une trublionne intellectuellement malhonnête dans une démocratie encore digne de ce nom : https://francais.rt.com/france/78331-depeignant-daniele-obono-esclave-fiction-valeurs-actuelles-scandale
L’acteur américain James Woods : « C’est la guerre civile maintenant »
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This is civil war now. Democrats are fine with conservatives being murdered for wearing a hat they don’t like. They are going to keep attacking law-abiding Americans in frenzied mobs, until they are dealt with the same way all bullies finally are.
« C’est la guerre civile maintenant. Les démocrates acceptent que des conservateurs soient assassinés pour avoir porté un chapeau ou une casquette qu’ils n’aiment pas. Ils vont continuer en foules frénétiques à attaquer les Américains respectueux des lois, jusqu’à ce qu’ils soient finalement traités de la même manière que tous les intimidateurs. »
En lien :
Dugny (93) : un livreur Uber Eats violemment agressé
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Dugny, violente agression d’un @UberFR pour le dépouiller. Dans ces cités plus personne n’est épargné, les chauffeurs de bus, les livreurs, habitants et policiers sont agressés. La loi de la rue avant celle de la République.
Michel Onfray & Stéphane Simon : Des nouvelles du Front
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Michel Onfray et Stéphane Simon sont au Palais des Sports de Marseille pour donner des nouvelles de Front Populaire. Au programme notamment : la sortie prochaine du second numéro de la revue mais aussi une rencontre exceptionnelle qui se tiendra dans un mois à Marseille. Point d’orgue : la construction d’un véritable horizon politique.
Geoffroy Lejeune s’exprime sur la «polémique Obono»
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Extrait tiré de l’émission “BFMTVSD”, diffusée sur BFMTV le 29 Août 2020.
La troisième face de Mai 68
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Boulevard Voltaire
À côté de la matrice libérale-libertaire, à côté du volet ouvrier, et s’il y avait un troisième volet de Mai 68 ? Un volet à redécouvrir.
Depuis plus de 20 ans, le procès de Mai 68 a été fait, aussi bien par Jean-Pierre Le Goff que par Éric Zemmour et bien d’autres. Mai 68 ? Une « désintégration », dit justement Zemmour. Oui, mais par où ? Par la négation du collectif, réduit au collectif éphémère, en fusion, des groupuscules gauchistes. Mai 68, c’est d’abord le triomphe de la loi de l’individu sur tout ce qui le dépasse. C’est l’individu seul dans le moment présent. Tout découle de cela : la fin de la transmission, l’école visant non pas l’égalité des chances mais l’égalité des résultats, la fin des verticalités et du respect du père.
C’est l’adolescentisme et c’est le sans-frontiérisme, l’immigrationnisme, la sortie de la modernité et de l’Histoire (c’était la même chose). C’est la « libéralisation » obligatoire des mœurs, c’est-à-dire le désagencement de toutes les normes de référence. Tout est vrai, dans ce procès : tout a commencé avec Daniel Cohn-Bendit voulant aller dans les chambres des filles (comme si les filles l’avaient attendu pour se rapprocher des garçons quand elles en avaient envie !). Et cela a continué avec la complaisance envers la pédophilie, avec le culte des marginaux, des hors-normes et, encore et toujours, avec le préjugé favorable à l’immigration partagé aussi bien par la gauche post-soixante-huitarde que par une « droite » (Lionel Stoléru et autres) qu’il est juste de qualifier de néo-soixante-huitarde car, si elle est partie en retard, elle essaie de courir plus vite que la gauche dans le sociétal et y arrive fort bien.
On oublie qu’il a existé un autre Mai 68 : la plus grande grève des 70 dernières années, 10 millions de grévistes, des hausses de salaires considérables obtenues et un coup d’arrêt à la tyrannie de quelques petits chefs s’étant octroyé, pour certains, un droit de cuissage sur les femmes salariées.
En somme, nous aurions eu, pour le prix d’un, deux Mai 68, l’un, le Mai 68 des salariés qui, outre des satisfactions matérielles à court terme, a donné plus de libertés dans l’entreprise au monde du travail. Un Mai 68 qui a pu permettre à certains salariés de mieux défendre leur dignité. On ne s’en plaindra pas. Et, à côté, un autre Mai 68, le plus connu, présent sur tous les plateaux télé, qui faisait alors la quasi-unanimité en sa faveur. Le Mai 68 de toutes les licences sociétales et de toutes les équivalences (le délinquant vaut autant que l’honnête homme, l’élève studieux autant que le fainéant), équivalences devenues vite des inversions. Présentisme et spontanéisme. Rétrospectivement ému mais lucide, Finkielkraut notera justement que « la spontanéité n’est pas toujours “cool” et sympa, elle peut être brutale ». Ce Mai 68 a été une interruption dans la marche d’un progrès réduit aux choses matérielles et a brisé net le rêve gaullien d’une France dominante en Europe. Enfin, et surtout, ce Mai 68 libertaire est vite devenu libéral, dés le milieu des années 1980, comme le montra l’évolution du Libération de Serge July. En bref, les libéraux-libertaires de Mai 68 deviendront de plus en plus libéraux et, en même temps, de plus en plus libertaires. L’idéologie dominante, c’est eux. Depuis près de 40 ans.
Mais il y a peut-être un troisième Mai 68. Ou un troisième volet de l’héritage de 68. C’est celui des libertaires qui ne sont pas devenus libéraux. Si on en cherche une image, en voici une : celle de Michel Fugain et de son enracinement en Corse. Cette troisième filiation a retenu – ou transfiguré – de Mai 68 le goût de la communauté sans le nationalisme étroit, le sens de la fête sans le dévergondage, l’appétit pour la diversité des peuples sans le mélangisme, l’intérêt pour les cultures d’ailleurs sans la haine de soi, la valorisation de l’échange amoureux comme forme privilégiée de l’échange humain sans la négation des limites que sont l’enfance.
C’est aussi ce troisième Mai 68, aujourd’hui, qui refuse la mise au pas de tout un peuple sous prétexte sanitaire. C’est sans doute ce Mai 68 là qu’il faut se rappeler et auquel faire recours si nous voulons sauver nos libertés.
https://www.bvoltaire.fr/la-troisieme-face-de-mai-68/
Affaire Augustin : la réponse cinglante de l’Action française
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Boulevard Voltaire
Le mouvement nationaliste et royaliste fondé en 1898 a publié un communiqué lapidaire, suite aux torrents de boue qui se sont déversés sur lui et sur Augustin. « Alors qu’Augustin faisait remarquer à des jeunes gens qu’ils étaient en train d’importuner des jeunes filles, l’un au moins de ces jeunes gens a décidé de l’attaquer par derrière en lui portant un coup à la tête. Puis Augustin a été ramassé, plus tard, la mâchoire brisée, les dents cassées et les cervicales déplacées », rappelle le mouvement, dans son communiqué. Une remise au point qui fait écho aux 21 jours d’ITT prescrits au jeune homme.
Mais l’Action française ne s’arrête pas là. « Comme Augustin est blanc, français et de droite, comme ses agresseurs sont maghrébins (comme les jeunes filles à qui Augustin voulait venir en aide, sans attendre une hypothétique intervention d’une hypothétique police de proximité tentant hypothétiquement de faire respecter les chimériques lois de Marlène Schiappa), certains mettent en doute le fait qu’Augustin soit à l’hôpital, d’autres lui dénient le droit d’intervenir, d’autres enfin considèrent que frapper un militant de droite est en soi une bonne chose. »
Puis les rédacteurs de ce communiqué ont répondu sèchement aux accusations d’instrumentalisation : « Il est légitime dans la France de 2020, pour une partie des militants et de la presse de gauche, de s’indigner que les amis et la famille d’Augustin – la « fachosphère », donc – aient l’air émus qu’Augustin se soit fait violemment tabasser par des voyous. Il est légitime, dans la France de M. Macron qui appelle « incivilités » des meurtres, de considérer qu’un militant de droite n’est bon qu’à se faire casser la gueule, surtout quand il joue civilement les cavaliers servants auprès de jeunes filles dont le sort est de moins en moins enviable, si l’on en croit les études et les faits divers. Il est légitime, dans la France rêvée de M. Macron, que le vivre ensemble se traduise par une violence omniprésente, et d’abord une violence politique faite à tous ceux dont on refuse de considérer les souffrances. »
Pour rappel, l’agression du jeune Augustin a fait l’objet d’une campagne scandaleuse sur les réseaux sociaux. Où les accusations de récupération politique ont davantage eu d’écho que l’agression en elle-même. Certains, comme le journaliste « spécialisé dans l’extrême droite » Pierre Plottu, ont carrément insinué qu’il ne s’agissait que d’un prétexte de buzz.
Augustin, Adrien Perez, Marin et Ange ne sont pas des influenceurs en quête de buzz. Ils sont morts ou blessés, victimes du laxisme et de la racaille. Victimes de maux dont on a parfois l’impression qu’il est devenu plus criminel de nommer que de commettre.