TVL : le journal du 4 juin

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

Au sommaire ce soir, nouvel épisode du feuilleton autour de la chloroquine. Alors qu’une étude statistique publiée dans le Lancet avait motivé l’OMS et les autorités françaises à arrêter les essais sur les effets de la molécule contre le Covid-19, la revue britannique prend finalement ses distances avec les conclusions. Un demi-tour suivi par l’OMS qui renforce le phénomène Didier Raoult. Egalement dans l’actualité, Christophe Castaner joue avec le feu. Après les débordements à la fin du rassemblement du collectif Justice pour Adama, le ministre de l’Intérieur annonce un renforcement du contrôle de la police. Une prise de position aux antipodes de celles tenues pendant la crise des Gilets Jaunes qui pourrait s’avérer être un jeu dangereux pour le pouvoir en place. Et puis nous poursuivons la campagne de second tour des élections municipales. A trois semaines du scrutin, le Rassemblement National espère toujours renforcer son ancrage local. De quoi favoriser les choses pour la future campagne présidentielle.

I-Média 301 – USA. Émeutes raciales, ce que les médias cachent

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

TV Liberté

06:18 L’image de la semaine Aux États-Unis, les bureaux de CNN à Atlanta ont été visée par les émeutiers… malgré le parti-pris pro-manifestants de la chaîne.

07:38 USA. Émeutes raciales : ce que les médias cachent Dans le traitement médiatique de la mort de George Floyd et des émeutes violentes qui ont suivi, les médias omettent sciemment plusieurs données fondamentales pour comprendre la crise. Nous vous dévoilerons ces informations cachées dans ce numéro d’I-Média.

27:30 Revue de presse Facebook condamné pour censure et atteinte à la liberté d’expression en Italie… Les médias qui se rendent compte que l’étude scientifique anti-chloroquine qu’ils ont massivement promu est peu solide… Nous reviendrons ensemble sur l’actualité médiatique de la semaine.

35:18 Les émeutes raciales américaines arrivent en France Entre les manifestations sauvages de clandestins et les émeutes après un rassemblement pour Adama Traoré, l’actualité s’emballe en France et semble faire écho aux émeutes américaines…

Black lives matter : Des voleurs pillent des téléviseurs d’un train en marche près de Chicago

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

Une vidéo à couper le souffle semble montrer une foule de voleurs pillant des téléviseurs dans un train en mouvement près de Chicago dimanche alors que les protestations contre la mort de George Floyd font rage.

New York Post

Charlotte d’Ornellas : « Je n’ai colonisé personne et ils n’ont pas été colonisés. Ce côté victime éternelle contre bourreau éternel est insupportable »

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

“Le mouvement décolonial considère que les autorités françaises sont colonisatrices aujourd’hui.
Je n’ai colonisé personne et ils n’ont pas été colonisés.
Ce côté victime éternelle contre bourreau éternel est insupportable !” – Charlotte d’Ornellas

Manifestation pour Adama Traoré : le policier noir traité de « vendu » par la foule porte plainte

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

Manifestation pour Adama Traoré : un policier noir traité de « vendu » porte plainte

Amine El Khatmi sur le policier noir hué : «C’est ce qu’a fait Mohammed Merah en tuant le fils de Latifa Ibn Ziaten. Il l’a tué parce qu’il considérait qu’étant franco-marocain et musulman, il n’aurait pas dû être militaire» dans #Punchline

Abdoulaye Kanté, policier, apporte son “soutien au collègue qui a subi ces invectives ignobles et terribles. Est-ce que ça doit être un problème en 2020 d’être policier et noir ?”.

Linda Kebbab, policière insultée: «je ne suis pas une indigène, je suis Française!»

Articles : juin 2020mai 2020avril 2020mars 2020

Sputnik

Des tensions interethniques alarmantes: des policiers français d’origine étrangère sont accusés d’être des «traîtres» par certains activistes. La syndicaliste Linda Kebbab a décidé de porter plainte contre le journaliste-militant Taha Bouhafs. Une première, rapidement suivie par un autre policier noir traité de «vendu.»

Le message a été supprimé, mais c’était l’insulte de trop. La policière Linda Kebbab a décidé de porter plainte contre le journaliste militant Taha Bouhafs, qui avait tweeté à son encontre «ADS: Arabe de service». La déléguée du syndicat Unité SGP avait déclaré sur France info que les morts de George Floyd et d’Adama Traoré ne pouvaient être assimilées. Réduite à ses origines, celle-ci fulmine:

«Honnêtement, c’est violent. J’ai l’habitude des insultes, mais là c’est le nom et le visage d’un influenceur», a-t-elle confié à Sputnik.

«Jamais il ne m’attaque sur le fond,» poursuit-elle: «il m’aurait traité de c***e, je n’aurais pas déposé plainte, c’est vulgaire, mais “Arabe de service”, ça a une portée raciste. En plus, ça renvoie à quelqu’un qui courbe l’échine. Je suis tout sauf ça!»

Une question d’ego? Pour notre interlocutrice, c’est bien plus que cela: alors que le débat public gagne en brutalité, Linda Kebbab dit vouloir agir avant que le pire n’advienne. Dépourvu de la moindre tempérance, fanatique, le militant serait selon elle potentiellement dangereux: «il fera pire plus tard, il pourra appeler à des lynchages», craint-elle, avant d’ajouter: «il doit comprendre qu’on ne peut pas faire ça dans un État de droit

Les policiers noirs accusés par les activistes «antiracistes»

Taha Bouhafs a déclaré plus tard «assumer» son tweet, ne l’ayant supprimé que pour éviter une suspension de compte de la part de Twitter. La peine encourue pour injure publique est une sanction financière de 12.000€. C’est Me Thibault de Montbrial, qui défend souvent les agents des forces de l’ordre, qui sera l’avocat de Linda Kebbab.

Une procédure qui pourrait faire des émules, alors que le policier noir qui a été violemment pris à partie par l’influenceuse Nadjélika, lors de la manifestation contre les violences policières du Comité Adama, le 2 juin à Paris, a lui aussi décidé de porter plainte. La jeune femme compte 576.000 abonnés sur Youtube.

Si la détestation des flics n’est pas neuve dans les quartiers sensibles, le climat semble pourtant de plus en plus délétère. Après trois mois de confinement, émaillés de vives tensions entre police et jeunes individus, les dérapages se succèdent. La fureur et la haine semble s’amonceler de chaque côté dans une spirale terrifiante. La chanteuse Camélia Jordana, qui n’avait pas craint d’affirmer le 23 mai à la télévision qu’«il y a des hommes et des femmes qui se font massacrer quotidiennement en France pour leur couleur de peau», a chanté lors de la manifestation: «Revolution has come! Time to pick up the gun!» (La révolution est arrivée! C’est l’heure de prendre les armes!).

Un autre policier d’origine africaine, Abdoulaye Kante, très actif sur les réseaux sociaux et régulièrement insulté par d’autres internautes d’origine étrangère du fait de son métier, a souligné l’extrême agressivité de nombreux internautes contre les policiers issus des minorités:

Un phénomène qui n’a pas étonné Sami Biasoni, coauteur de l’essai Français malgré eux, Racialistes, décolonialistes, indigénistes: ceux qui veulent déconstruire la France (Éd. L’artilleur, 2020). Selon lui, la rhétorique racialiste ne craint pas de s’attaquer aux fonctionnaires de police noirs ou arabes: «pour les racialistes ils sont “neurocolonisés” par la pensée blanche, ils ne sont plus des noirs,» a-t-il expliqué à Sputnik. Un véritable piège tendu aux modérés: «déjà dans les années 60/70 aux États-Unis, Malcolm X qualifiait Martin Luther King de “nègre de maison!”»

Une logique tribale et un glissement délétère qui inquiètent évidemment Linda Kebbab:

«On ethnoracise trop le débat, on importe une façon de faire trop américaine. On veut faire croire que les Français sont divisés en fonction de leurs ethnies. Qu’il y ait des noirs et des Arabes dans la police montre que c’est faux.»

D’origine algérienne, elle est excédée par une «assignation», qu’elle se refuse à elle-même et aux autres: «je ne suis pas une indigène, je suis française!» dit-elle tout en pointant un doigt accusateur vers le mimétisme des extrêmes:

«Les gens d’extrême droite fustigent le fait que la police française recrute des Arabes ou des noirs et des gens d’extrême gauche ont le même discours que ceux qu’ils prétendent combattre!»

Un besoin d’exemplarité?

Bien sûr, certains fonctionnaires de police n’ont pas toujours la vie facile au sein même des forces de l’ordre. Quelquefois, les policiers d’origine étrangère semblent pris entre deux feux. Arte Radio a dévoilé ce 4 juin les messages vocaux difficilement soutenables de policiers à Rouen. L’affaire remonte à décembre 2019: Alex, un policier noir, était tombé par hasard sur un fil privé de discussion WhatsApp, où ses collègues échangeaient des propos violemment racistes. Cinq mois plus tard, les policiers n’ont pas été suspendus. Noam Anouar, ancien agent des «RG» et auteur de l’essai Les Français doivent savoir (Éd. Plon, 2019), accuse la hiérarchie policière de passivité face à ces cas, malgré les déclarations selon lesquelles «le racisme n’aurait pas sa place dans la police.» Pour autant, lui aussi s’exaspère des insultes à son encontre sur les réseaux sociaux, provenant des jeunes des zones sensibles.

Linda Kebbab dénonce le militantisme anti-flics qui semble se répandre, et qui ne manquera pas d’avoir des conséquences dramatiques sur les jeunes générations, lesquelles pourraient se voir découragées de poursuivre leurs ambitions: «je pense à tous ces gamins noirs ou arabes qui voudraient entrer dans la police ou la gendarmerie,» nous souffle-t-elle. Car pour Linda Kebbab, pas de doute: «flic, c’est un métier noble

La chanson du jour, Feeling Good – Ms. Lauryn Hill

A l’origine cette chanson était chantée par Nina Simone. Cette version interprétée par Lauryn Hill est brillante et pleine d’émotion. Quelle voix ! Les musiciens font également un travail remarquable, notamment le solo de guitare en fin de morceau. Merci pour ce moment de grâce.

Le racisme musulman frappe les bébés abandonnés à la naissance

Articles : mai 2020avril 2020mars 2020février 2020

Chers amis, n’oubliez pas de consulter le site : http://www.islam-questions.com , pour voir les détails sur les textes fondateurs de l’islam. Les questions de l’esclavage sexuel, du mariage des mineurs, de la pédophilie, du djihad et de la haine envers les infidèles sont abordées. Aidez-nous à faire connaître ce vrai visage de l’islam, en diffusant cette documentation. Un grand merci pour tout.

Pour commencer, il faut préciser que dans les pays musulmans, le racisme et les discriminations à caractère raciste sont enseignés dans les écoles coraniques et les instituts islamiques. Ce qui est encore plus grave : ces discriminations à caractère raciste sont institutionnalisées dans les législation officielles de ces pays.

Des citoyens européens originaires de pays musulmans sont victimes de ces discriminations qui sont appliquées en Europe par les services consulaires des pays musulmans.

Les discriminations racistes institutionnalisées dans les législations des pays musulmans.

Parmi les discriminations à caractère raciste prescrites par le Coran, on citera l’une des plus abjectes : celle qui concerne les nouveau-nés et les enfants abandonnés. En effet, il faut porter à la connaissance du public un sujet qui relève du tabou dans nos médias dominants et sur lequel les associations antiracistes comme les responsables politiques gardent un silence honteux. En agissant d’une manière lâche et cynique, ils ne dénoncent pas le sort particulièrement tragique qui est réservé, en terre d’islam, aux femmes célibataires ou aux filles-mères, et à leurs bébés qui sont abandonnés très souvent à la naissance.

Dans les pays musulmans, les nouveau-nés abandonnés à la naissance, les bébés nés hors mariage ou les enfants abandonnés pour différentes raisons sont privés de tous les droits qui sont reconnus aux autres enfants. Ils sont exclus du droit à la filiation comme aux droits définis dans la Convention internationale relative aux droits de l’enfant. Même quand ils trouvent une famille les accueille et qui aimerait les adopter, ce droit leur est refusé.

Cette interdiction est liée à l’épisode où Mahomet épousa Zaynab, la femme de son fils adoptif Zayd. Pour ne pas être condamné pour inceste, Mahomet eut recours à la révélation d’Allah. Dans le Coran, cette prétendue révélation divine ordonna à Mahomet de renier son fils adoptif Zayd, et instaure pour l’éternité l’interdiction de l’adoption. Il faut préciser que l’adoption plénière était largement pratiquée en Arabie : jusqu’à son interdiction par l’islam, l’adoption était considérée comme un acte noble et une démarche remplie d’amour envers l’enfance abandonné. L’interdiction par Mahomet et l’islam de l’adoption instaura des conséquences désastreuses et cruelles sur l’enfance abandonnée dans les pays musulmans. Cela touche, à travers le milliard et demi de musulmans, des dizaines de millions d’enfants victimes d’une discrimination inacceptable. Contrairement aux enfants nés dans le cadre du mariage, les enfants abandonnés, même s’ils trouvent une famille d’accueil, n’ont pas droit à l’adoption, ni à la filiation, ni à l’héritage, ni à figurer sur le livret de famille, ni à porter le nom de leur famille d’accueil. Ils sont stigmatisés à vie, conformément aux préceptes du Coran et de la sunna de Mahomet. Ces prescriptions ont été instaurées au moment où Mahomet épousa la femme de son fils adoptif.

Le mariage de Mahomet avec la femme de son fils adoptif.

Reprenons avec plus détails l’histoire résumée de cet épisode crapuleux dans la vie de Mahomet.

Au moment où il adopta Zayd qui n’était qu’un enfant, Mahomet s’engagea par un sermon solennel devant les habitants de La Mecque : « Le Prophète emmena Zayd dans al-Hijr (la place de la Kaaba où les Mecquois se réunissaient pour leurs affaires) et clama : « Soyez témoin que Zayd est mon fils, il hérite de moi et j’hérite de lui. ». Depuis ce jour, Zayd changea de nom. Il ne fut plus appelé Zayd fils Harithah, mais Zayd fils Muhammad. »

Ensuite, Zayd grandit et épousa la belle Zaynab.

Entre temps, Mahomet avait émigré à Médine et était devenu chef de guerre. Il pratiquait alors la polygamie et l’esclavage sexuel. Écoutons ce que rapporte la Sunna de Mahomet :

« Un jour le prophète de Dieu se rendait vers la maison de son fils adoptif pour s’entretenir avec ce dernier qui n’était pas à la maison. Zaynab décida d’accueillir le prophète à la fenêtre. Zaynab était alors en tenue légère, et la tenture en poil de chameau qui tenait lieu de porte se souleva sous une brise légère, et révéla alors son corps aux yeux du prophète de Dieu, qui baissa la tête, rougit et détourna son regard. Il s’écria alors, troublé par la beauté de la femme de son fils adoptif :

 « Louange à Dieu le Très Grand ! Louange à Dieu qui change les cœurs !  »

Lorsque Zayd rentra chez lui, sa femme lui rendit compte de la visite du prophète. En entendant les mots prononcés par Mahomet, Zayd va retrouver Mahomet et lui dit:  « Je désire me séparer de ma femme. »

« Pourquoi donc ? As-tu des soupçons à son égard ?  » Répondit Mahomet.

Zayd :  « Non, je n’ai aucun soupçon, je ne lui vois que des qualités.  »

Mahomet : « Garde ton épouse et soumets-toi à Dieu. »

Pour comprendre les hésitations de Mahomet d’épouser la femme de son fils adoptif, il faut savoir qu’en Arabie, à cette époque, une union d’un père avec l’ex-femme de son fils adoptif était très mal vue par la société. Ce mariage est condamné avec vigueur, parce qu’il relève de l’inceste.  Pour sortir de cette situation, Mahomet appela le Coran à son secours. Il affirma qu’il venait de recevoir  la révélation d’Allah qui lui ordonne d’épouser Zaynab, sous le prétexte que Zayd n’était pas un fils de sang et qu’Allah décide d’interdire l’adoption :

(S33,V37) : « O Muhammad : tu as dit un jour à cet homme : Garde ta femme et crains Dieu ; et tu cachais dans ton cœur ce qu’Allah devait bientôt mettre au grand jour. Il était cependant plus juste de craindre Dieu. Lorsque Zayd cessa toute relation avec elle, nous te fîmes épouser sa femme, afin que ce ne soit pas pour les croyant, un crime d’épouser les femmes de leurs fils adoptifs après leur répudiation. L’ordre d’Allah doit avoir être exécuté. »

Dans la même sourate, Allah interdit définitivement l’adoption qui était courante en Arabie à l’époque :

(S33, V4) : « Allah n’a point fait de vos enfants adoptifs vos propres enfants. Ce sont des propos [mensongers] que profère votre bouche. Mais Allah dit la vérité et c’est Lui qui met [l’homme] dans la bonne direction. »

À la suite de ces versets, Mahomet épousa la femme de son fils Zayd. Ainsi, il abjura son engagement solennel d’adoption et renia Zayd en tant que fils adoptif. Zayd fut obligé d’abandonner son nom, qui était Zayd fils de Mohammed, pour reprendre son nom d’origine : Zayd fils de Harithah.

Le verset suivant fut alors révélé à Mahomet pour justifier son parjure quand il nia tout lien entre lui et son fils adoptif  :

(S33 , V40) : « Mahomet n’a jamais été le père de l’un de vos hommes, mais le messager d’Allah et le dernier des prophètes. »

Ainsi, le Coran annule l’adoption de Zayd par Mahomet. Les autres enfants de Mahomet, qui étaient toutes des filles, ne pouvaient plus être considérées par Zayd comme des sœurs…

De ce fait, l’islam établit de façon claire une inégalité nette entre l’enfant « naturel » issu d’un mariage musulman, et les enfants abandonnés : nés sous X, abandonnés à la naissance ou issus d’une relation hors mariage. Par ces versets, Mahomet priva tous ces enfants du droit naturel à l’adoption, de la filiation et des autres droits reconnus à l’ensemble des enfants. Et cette discrimination reste toujours valable dans les pays musulmans.

En fait, ces versets entraînent une régression effroyable de la société arabe, puisque la coutume vieille de plusieurs siècles considérait l’adoption comme un geste noble, rempli d’amour. Elle donnait à l’enfant adopté les mêmes droits que les autres enfants. Quand sa famille d’adoption avaient d’autres enfants, ils étaient considérés comme ses frères et sœurs, sans aucune différence de statut.

En conséquence, c’est à la suite du mariage de Mahomet avec la femme de son fils adoptif que la tradition d’accueil des enfants orphelins ou abandonnés en tant qu’enfants ayant les mêmes droits que leurs frères et sœurs biologiques fut définitivement interdite par l’islam. Cette interdiction d’une tradition d’amour et de générosité ancestrale chez les Arabes fut la conséquence directe d’un épisode sordide de la vie de Mahomet. Au nom de la religion, Mahomet et l’islam instaurent une discrimination lié à l’origine de l’enfant. Elle constitue bien une discrimination à caractère raciste, entre l’enfant né dans le cadre du mariage et l’enfant né hors mariage, les deux ayant jusqu’alors le même statut juridique dans la société arabe.

Ce qui n’empêche pas les musulmans d’affirmer que Mahomet a apporté des améliorations dans la société arabe.

Les conséquences désastreuses sur l’enfance abandonnée.

Je tiens à rappeler que ces discriminations ne sont pas l’œuvre de quelques islamistes radicaux et extrémistes, qui représentent une infime minorité et qui n’auraient rien compris au Coran. Ces discriminations figurent explicitement dans les textes sacrés de l’islam, qu’il soit sunnite ou chiite, et dans les législations officielles des pays arabo-musulmans aujourd’hui. Dans le monde musulman qui représente 1,5 milliard de fidèles, ces enfants abandonnés représentent des millions, et même des dizaines de millions. En plus, l’islam interdit à toute famille non musulmane d’adopter ces enfants qui sont livrés à la rue.

Ces discriminations font l’objet d’un consensus entre les pays musulmans, comme le montre la Charte de l’enfance de l’Organisation de la coopération islamique, ce lobby mondial très puissant, qui regroupe les 57 pays musulmans et siège en tant qu’observateur à l’Onu. Ce document officiel apporte la démonstration que l’islam refuse l’égalité entre l’enfant adoptif et les autres enfants, ce qui relève du racisme.

Même les enfants abandonnés qui ont la chance de trouver une famille d’accueil n’ont le droit qu’à la prise en charge appelé « kafala » en arabe. Dans le cadre de cette « kafala », ou « prise en charge permise par l’islam », la loi musulmane impose aux enfants adoptifs ces discriminations :

  1. Ils n’ont pas le droit de porter le nom de la famille qui les a recueillis
  2. Ils n’ont pas de droit à l’héritage
  3. Ils ne peuvent pas figurer sur les documents administratifs de leur famille d’accueil tels que le livret de famille
  4. S’ils trouvent une famille non musulmane qui leur offre l’adoption plénière, cet acte d’amour leur est refusé par l’islam et les législations des pays musulmans.

Par ces mesures, même quand ils bénéficient de la « kafala » au sein d’une famille musulmane, ils doivent garder un nom de famille différent de celui de leurs frères et sœurs biologiques. Ainsi, cette stigmatisation les accompagnera toute leur vie et leur rappellera quotidiennement qu’ils ne font pas partie de leur famille d’accueil.

Cette situation ne résulte pas d’une tradition qui existait en Arabie à l’époque de Mahomet. Elle ne peut être justifiée par un soi-disant « contexte » historique, que l’islam n’a fait que perpétuer. Elle ne résulte que de cet épisode particulièrement sordide de la vie de Mahomet : son mariage avec Zaynab, la femme de son fils adoptif Zayd.

On ne conclura pas cet article sans citer la stigmatisation la plus abjecte que Mahomet établit envers les enfants abandonnés. Le Prophète de l’islam ne se limita à les stigmatiser dans cette vie, mais il étendit cette stigmatisation jusque dans l’au-delà. Alors que le Coran qualifie de menteurs les pères et les mères qui considèrent leur enfant adoptif comme leur propre enfant, Mahomet va encore plus loin dans l’abjection. Il enlève tout droit de lignage ou d’ascendance mâle, à l’enfant né hors mariage.

Cet enfant  sera lié à sa mère, ce qui constitue un rejet et une exclusion totale de la société. En effet, dans la société musulmane, l’ascendance d’un enfant est liée à son père, ce qui lui donne la légitimité d’appartenir à la communauté musulmane. En lui interdisant tout lien avec son père biologique qui l’aurait conçu dans le péché, l’islam exclut  cet enfant innocent du reste de la société. Sur le plan juridique, il porte le qualificatif infâme de « fils du péché et de la prostitution » (en arabe : Ibn a Zina).

Mais cela ne suffit pas. Mahomet enseigne ces deux hadiths qui relèvent d’un racisme extrême :

il menace tout enfant qui appelle « Papa » un père qui n’est pas son père biologique du feu de l’enfer éternel :

« Quiconque se réclame d’un père autre que son père biologique ne verra jamais le Paradis »

« Quiconque se réclame d’un père autre son père biologique, aura sur lui la malédiction d’Allah, des anges et de tous les gens. »

De telles paroles ne peuvent provenir que d’une source maléfique.

Conclusions.

Tout ce que la France et l’ensemble de l’ensemble de l’humanité compte d’antiracistes, devrait dénoncer ces discrimination comme du racisme nauséabond. Or, les associations prétendues antiracistes et les médias se réclamant de l’humanisme gardent un silence total quand c’est l’islam qui pratique le racisme et les discriminations et les institutionnalise dans ses lois. Ce silence constitue un mépris raciste envers les millions d’enfants victimes de cette barbarie. Et les autorités musulmanes qui refusent d’abroger le racisme imposé à l’enfance abandonnée apportent la preuve absolue que l’islam n’est pas une religion d’amour et de tolérance.

Zohra Nedaa-Amal (Dans Riposte Laïque)

Affaire Adama Traoré : les deux gendarmes responsables de l’interpellation et accusés de racisme seraient eux-mêmes issus de la diversité

Articles : mai 2020avril 2020mars 2020février 2020

C’est le déconfinement ! Et si l’on parlait (enfin) de ces infos passées à la trappe ?

Articles : mai 2020avril 2020mars 2020février 2020

Boulevard Voltaire

Durant ces deux mois de confinement, l’espace médiatique a été saturé par le Covid-19.

Et pendant ce temps-là, l’actualité, en France, c’était aussi : le décret autorisant l’enseignement de l’arabe à l’école, l’embrasement des banlieues, les agressions de policiers, Éric Zemmour violenté en pleine rue, l’adoption de la loi Avia, la libération anticipée pour 10.000 détenus, la mort de deux soldats français lors d’une opération au Mali et, le 4 avril dernier, l’attentat de Romans-sur-Isère, une attaque au couteau qui a provoqué la mort de deux personnes et en a blessé cinq autres.

Retour en images sur cette actualité oubliée…