Le ministre de la Sécurité sociale, de l’Inclusion et des Migrations espagnol a déclaré à Paris, lors du forum de l’OCDE sur les migrations : « Nous aurons besoin de 8 ou 9 millions de personnes juste pour garder notre population active au même niveau. » Ce ministre évoque uniquement l’Espagne. Cette déclaration rappelle celle de Jean-Paul Delevoye, qui avait parlé de 50 millions d’immigrés pour équilibrer la population active en Europe, en 2050. Les « élites » auraient-elles un plan pour sauver l’Europe du déclin démographique ?
Il est incontestable que l’Afrique est en pleine explosion démographique et que l’Europe a un taux de natalité insuffisant pour assurer le renouvellement de sa population. Mais les États ont normalement la capacité de maîtriser les flux migratoires entrants. Cette situation était la norme en Europe jusqu’à récemment. Une Europe submergée par des flux migratoires et incapable d’expulser les immigrés déboutés du droit d’asile est une nouveauté datant de 2015. C’est la situation actuelle qui est une anomalie historique !
Les « élites » ont une lubie : elles croient que la société multiculturelle sera le paradis. Elles marchent vers cette terre promise sans comprendre LE problème que pose cette marche forcée. Les peuples européens ne veulent pas être colonisés et disparaître dans un magma multiculturel. Ils veulent préserver leur identité et pouvoir transmettre à leurs enfants leur héritage et leur donner une espérance. En face, nous avons des « élites » qui instruisent des procès inquisitoriaux à l’encontre des Gaulois réfractaires et qui s’adonnent à une idolâtrie envers les immigrés. Ils incarneraient la nouvelle force révolutionnaire permettant l’avènement de la société paradisiaque. Cette croyance ressemble à un discours sectaire.
Toutefois, la submersion migratoire n’est pas une fatalité. Les « élites » veulent replonger la France dans le chaos consécutif à la chute de l’Empire romain. Mais la volonté des peuples doit prévaloir. Clovis était le roi d’un petit royaume centré sur l’actuelle Belgique. Il aurait pu rester passif et subir les événements extérieurs. Mais il a pris l’initiative de combattre le Romain Syagrius, puis les Alamans et les Wisigoths. Il a choisi Paris comme capitale de son royaume agrandi et il a décidé d’y construire une église dédiée à sainte Geneviève. Clovis s’est converti au catholicisme car Clotilde a longuement insisté auprès de son royal époux. La création de la France chrétienne est la résultante de la volonté de quelques individus déterminés. Aujourd’hui, pour perpétuer cette œuvre millénaire, les Français doivent reprendre la maîtrise de leur destinée !
Vols à l’étalage en bande, agression d’un commerçant, trafic de drogue, le centre-ville connaît des heures agitées. Consciente du problème, la mairie tente de faire face.
Un assaut en groupe. En quelques minutes, plusieurs milliers d’euros d’articles volés. Lourd constat pour le magasin Escale, rue Goscinny, braqué il y a trois semaines. L’installation d’une sonnette de déverrouillage de la porte d’entrée n’y a rien fait.
L’un des auteurs a été interpellé à Bel-Air La Grand-Font avec une partie du butin. « Ensemble, ils se croient intouchables et invincibles », se désole Fabrice Quanté, gérant du bureau de tabac du Champ-de-Mars.
Le cas n’est pas isolé. Vendredi dernier, chez Superdry…
Onze hommes armés de sabres et d’objets contondants ont été interpellés ce samedi 25 janvier 2020 à La Courneuve en flagrant-délit d’agression en pleine rue.
Onze hommes armés de sabres et d’objets contondants s’en prenaient à trois personnes pour une raison indéterminée à ce stade de l’enquête. Les policiers ont réussi à maîtriser les agresseurs avant que les trois victimes ne soient blessées.
Sur place, les fonctionnaires ont également retrouvé un coupe-coupe et deux barres de fer qui étaient dissimulées sous une voiture.
Les onze agresseurs ont été interpellés et placés en garde à vue. L’une des trois victimes a également été entendue afin de déposer plainte.
Alors que ce virus provenant de Chine a déjà tué 41 personnes et en a contaminé plus d’un millier, la question de son infectivité, notamment via des colis, suscite de plus en plus d’inquiétudes. Mais les spécialistes de la santé se veulent plutôt rassurants à cet égard.
Depuis l’apparition du coronavirus chinois, avec trois cas recensés en France, de nombreuses questions ont été publiées sur les réseaux sociaux concernant sa propagation via les colis. Les internautes s’inquiétaient, parfois avec humour, du risque de déballer des articles achetés sur les sites Aliexpress ou Wish et livrés depuis la Chine. Des experts consultés par Le Parisien ainsi que BFM TV ont tenté de répondre à leurs inquiétudes.
La question se trouve plutôt dans la durée de survie du virus quand il ne trouve pas un hôte. «À ma connaissance, la transmission d’un virus par le contenu d’un colis, c’est du jamais-vu», a indiqué au Parisien Éric D’Ortenzio, épidémiologiste à l’Inserm (Institut national de la santé et de la recherche médicale).
Les modes de transmission connus jusqu’à maintenant sont via un animal ou un humain. Aucune contamination par un objet importé de Chine n’est encore connue à ce jour. Le ministère de la Santé affirme qu’il s’agit d’un virus «fragile», qui ne vit que quelques heures à quelques jours selon le milieu dans lequel il se trouve. Il est ainsi peu probable qu’il survive à un trajet en bateau de plusieurs jours ou dans les températures extrêmes de la soute d’un avion.
Vincent Enouf, chercheur à l’institut Pasteur et responsable adjoint du Centre national de référence des virus respiratoires, invite toutefois à la prudence. «Il reste encore beaucoup d’inconnues concernant ce virus», a-t-il affirmé à BFM TV, tout en soulignant que «le meilleur mode de transmission d’un virus reste les postillons, les gouttelettes». Avant d’ouvrir un colis en provenance de Chine, un lavage des mains et un nettoyage des surfaces devrait supprimer tout risque de contamination.
Les Simpson l’avaient prédit
La célèbre série d’animation américaine avait prédit un événement similaire il y a 17 ans. Dans l’épisode 21 de la saison 4, intitulé «Marge à l’ombre» et diffusé pour la première fois en 1993 aux États-Unis, Homer est contaminé par une grippe inquiétante après avoir ouvert un colis en provenance d’Osaka au Japon. Le virus contaminera ensuite toute la ville de Springfield.
Le coronavirus
Les premiers cas de pneumonie liée au coronavirus 2019-nCov ont été confirmés à Wuhan, en Chine, le 31 décembre. Toutes les personnes infectées avaient été présentes au marché de cette ville de 10 millions d’habitants. Près de 40 millions de personnes dans la région ont été mises en quarantaine, le virus se propageant néanmoins en dehors du pays. Trois cas ont été détectés en France, deux aux États-Unis, et d’autres ont été recensés principalement dans des pays asiatiques.
À la date du 25 janvier, le bilan des victimes s’élève à 41, toutes en Chine. Près de 1.300 personnes seraient contaminées. Plusieurs laboratoires se sont lancés dans l’élaboration d’un vaccin. Lors de l’apparition du virus grippal H1N1 en 2009-2010, la France avait dépensé près de 380 millions d’euros pour se procurer le vaccin, mais une grande partie du stock n’avait jamais été utilisée.
Des milliers de Grecs ont protesté mercredi sur les îles égéennes qui accueillent les plus importants camps de migrants, réclamant le départ immédiat de demandeurs d’asile.
Les îles de Lesbos, Samos et Chios observaient une grève générale de 24 heures, avec fermeture des magasins et des services publics. Des milliers d’habitants ont manifesté sur les ports de ces trois îles proches de la Turquie, brandissant de nombreux drapeaux grecs.
Au bord de l’asphyxie, le camp de Moria sur l’île de Lesbos, dont les conditions sordides sont dénoncées par le Haut commissariat aux réfugiés de l’Onu (HCR), accueille plus de 19.000 demandeurs d’asile pour une capacité de 2.840 personnes. […]
Dans de multiples cités, les salafistes prennent peu à peu possession des rues, des commerces, des écoles… Sous l’Œil inquiet de nombreux musulmans selon Paris-Match.
Le groupe scolaire s’appelle Al-Andalus, du nom donné à la péninsule ibérique sous domination musulmane. C’est aussi le nom qu’Aqmi (Al-Qaïda au Maghreb islamique) a choisi pour sa filiale de communication sur Internet. Cette école privée à Saint-Denis, sous la direction de l’association du Centre d’enseignement génération avenir (Cega), est gérée par Mustapha Halloumi. L’imam salafiste, « défavorablement connu » des services de renseignement, a été écarté de sa mosquée, en 2012, par la mairie d’Epinay. Quatre ans plus tard, l’Education nationale lui a délivré un agrément… […]
Des quartiers populaires, déjà fragiles, se sont transformés en enclaves militantes, l’Etat a déserté, les solidarités anciennes se sont volatilisées. « Les milieux salafistes ou apparentés ont pris en charge les mécanismes de sociabilité longtemps structurés par le Parti communiste», écrit Bernard Rougier dans « Les territoires conquis de l’islamisme ». Des religieux jouent le rôle de « grands frères », conseillers, banquiers, référents. Et, comme à la grande mosquée de Sarcelles, limogent manu militari les réfractaires, souvent âgés. Leurs proies : des jeunes oisifs, sans emploi, en rupture scolaire et sociale, parfois délinquants. […]
Les quatre salariés de l’association SOS Chrétiens d’Orient devaient se rendre à un rendez-vous hors de la zone verte à Bagdad (Irak), lorsqu’ils ont disparu le 20 janvier dernier aux alentours de 16h40, rapporte l’association. Depuis, plus personne n’a de nouvelles des disparus, trois Français et un Irakien.
Les quatre hommes ont « disparu aux alentours de l’ambassade de France », a déclaré à Paris Benjamin Blanchard, le directeur général de l’ONG, qui vient en aide aux chrétiens orientaux. « Aucune demande de rançon » n’a été faite, a-t-il ajouté au cours d’une conférence de presse.
Ces membres salariés de l’Association devaient apparemment renouveler leur visa auprès des autorités irakiennes. Ils avaient rendez vous à 17h lundi, un rendez-vous auquel ils ne sont jamais arrivés. Leur chauffeur et son véhicule ont également disparu.
L’association qui les emploie a cherché à les contacter toute la journée de mardi puis a alerté les autorités françaises mercredi 22 janvier. Il s’agirait de trois Français et d’un Irakien âgés de 20 à 40 ans. SOS Chrétiens d’Orient ne précise pas leurs identités.
L’association assure seulement qu’il s’agit de personnes expérimentées, disposant d’une parfaite connaissance des protocoles de sécurité en zone à risque. Ils connaissent, selon elle, les zones de guerre et sont sur le terrain depuis des années.
L’ONG compte 13 volontaires à Bagdad et leur but est d’aider les chrétiens victimes des combats dans la région. Les autorités françaises sont en lien avec les autorités irakiennes pour retrouver leur trace mais à ce jour il n’y a aucune revendication ou demande de rançon.
Islamator, le mystérieux blogueur qui, depuis des semaines, dénonce, un par un, ceux qu’il appelle les traîtres à la nation, ne pouvait mieux tomber, pour cette quatorzième édition.
Alors qu’il évoquait l’ensemble des trahisons de Macron, depuis qu’il est à la tête de la France (et même avant), apparaît, ci-dessous, des confidences-chocs du président de la République, révélées par le journal Le Monde.
Que nous dit cet article, que nous publions ci-dessous intégralement ? Hollande nous disait qu’on allait à la partition, mais ne faisait rien. Macron nous confirme le diagnostic, mais nous affirme qu’on y est, demande aux Français d’en prendre acte, et de s’y résigner. Il appelle cela, avec pudeur, « un séparatisme ». 751 zones de non-droit, dont 150 tenues par les islamos, c’était difficile de continuer à dire le contraire, même en faisant des procès à Zemmour, qui osait dire tout fort ce que tout le monde voyait dans son quotidien.
Et, dans le même temps, ce traître à la patrie continue à faire venir 500.000 nouveaux venus, tous les ans (les chiffres sont minorés), majoritairement africains et musulmans, pour accélérer la mort de la France, exactement comme le dit dans cette vidéo Islamator. Il ose parler de « crises des religions », alors qu’une seule pose problème, l’islam. Et il parle d’une intégration qui ne doit pas renier l’altérité de l’autre, cela s’appelle juste le modèle multiculturel qui est en train de faire crever le pays. Et il n’évoque pas la surdélinquance, l’ensauvagement de notre pays, où la plupart du temps, ce sont des musulmans qui tuent des non-musulmans, ou les agressent, ou les violent.
L’islam nous a déclaré la guerre, nos gouvernants favorisent l’invasion de ses soldats, et notre président explique à nos compatriotes qu’il faut s’y résigner. Cerise sur le gâteau, il promet de traiter la guerre d’Algérie comme Chirac a traité la Shoa. Autrement dit, encore des excuses de la France, et toujours plus de repentance. Il y en a plus que marre de ce félon ! L’acte de trahison est acté, cela doit être la Haute Cour, avec les sanctions qui vont avec…
De là à dire qu’il mérite amplement le verdict qu’assène le blogueur, il n’y a qu’un pas que, bien sûr, nous ne franchirons pas.
Emmanuel Macron : « Il y a dans notre République, aujourd’hui, ce que j’appellerais un séparatisme »
« Personne n’est pur. Politiquement, c’est le rêve le plus létal qui soit. » Emmanuel Macron s’empare de la question identitaire et de l’assimilation dans la société française, conformément à ce que dessinaient ses conseillers ces dernières semaines. Assis dans la salle de réunion à l’avant de l’avion qui le ramène, jeudi 23 janvier, d’Israël vers la France, le président de la République a abandonné les formalités de représentation. Il porte un sweat affichant l’inscription I love French Tech et un chèche noué autour du cou. Le chef de l’Etat reçoit trois journalistes, représentant Le Monde, Le Figaro et Radio J.
Quelques heures plus tôt, il a pris la parole au centre Yad Vashem, à l’occasion du 75e anniversaire de la fin du camp d’extermination d’Auschwitz-Birkenau. A bord de l’appareil, après cette première visite en Israël, le chef de l’Etat se penche sur les tensions identitaires qui traversent la société française, en tentant de concilier le respect de l’altérité avec la nécessité de mettre des mots sur la réalité. « Il faut accepter qu’il y a, dans notre République aujourd’hui, ce que j’appellerais un séparatisme. » Il prend pour illustration la situation dans les quartiers Nord de Marseille. « Les grands-mères ou les mères de ces jeunes filles qui sont communautarisées, elles sont arrivées à Marseille en aimant la France, et en n’ayant pas le voile. »
Emmanuel Macron ne mise ni sur la solennité d’un discours présidentiel, ni sur une mesure miracle pour répondre à ce constat. « Les gens me disent : “Vous n’êtes pas à l’aise avec ces sujets.” Ce n’est pas vrai ! Je suis très à l’aise avec eux », assure-t-il. Le chef de l’Etat reste au stade du diagnostic, pour ne pas se laisser imposer les termes d’un débat identitaire dans lequel son parti se tient en retrait. M. Macron dénonce « l’espèce de fantasme, de narcissisme de la petite différence », qui entraîne la fracturation de la société, au lieu de consolider « l’identité narrative » nationale, soit une identité en constante mue qui se nourrit de récits successifs, théorisée par le philosophe Paul Ricœur.
« Une transformation de l’islam, qu’il faut regarder en face » Le président français souligne l’existence d’un « phénomène mondial, d’un islam radical qui se tend, et d’une transformation de l’islam, qu’il faut regarder en face.(…) Des pays qui sont de tradition musulmane, dirais-je, vivent ça. La Tunisie d’aujourd’hui n’est pas celle de Bourguiba, force est de le constater, y compris dans la rue. Et donc on l’a chez nous aussi. Mais ça s’est greffé sur des fractures mémorielles, des échecs que nous-mêmes on a eus sur le plan économique et social… Et ça devient une contre-culture ! Ça devient tout à la fois l’importation d’un islam qui vit une crise mondialement – et qui revisite des signes de religiosité qu’il n’avait pas forcément il y a vingt ou trente ans. [Cela] vient s’agréger à une crise qui est, chez nous, très profonde. »
S’exprimant sur la question de la laïcité dans l’espace public, Emmanuel Macron a estimé qu’il existait « beaucoup de confusion » dans le débat politique : « On m’a demandé 20 fois un discours sur la laïcité. Mais je l’ai fait 40 fois ! (…) Ils confondent. Ils demandent à la laïcité quelque chose qui ne relève pas d’elle. La laïcité, le texte est clair : c’est un texte de séparation de l’Etat et des religions et en même temps de liberté de conscience. Ce qu’on me demande au fond c’est de parler de la civilité républicaine et de l’islam. C’est très différent, ça n’a rien à voir avec la laïcité. Le voile, ce n’est pas un sujet de laïcité dans la rue. C’est un sujet de civilité, c’est un sujet d’égalité femme-homme, d’ordre public. [Il s’agit de ] dire comment un monothéisme aujourd’hui en expansion dans le monde qui s’est fortement développé dans notre pays avec le phénomène migratoire et arrive après la loi de 1905 peut prendre sa place dans la République. »
« On vit une crise des religions » Emmanuel Macron a longuement évoqué la difficulté à employer le mot de communautarisme dans le cas français, tant l’expression s’inscrit dans une culture anglo-saxonne différente : « Nous n’avons pas ça dans nos traditions, parce que, dans la République française, il n’y a qu’une communauté, la communauté nationale. Ensuite, le terme de communauté a été repris par des communautés qui vivent de manière pacifique dans la République, qui ne prônent pas un séparatisme. Et il renvoie, sinon, à une forme de multiculturalisme, qui n’est pas le modèle auquel je crois. Quand bien même on a voulu parfois me caricaturer derrière celui-ci. C’est un modèle beaucoup plus anglo-saxon qui vit, d’ailleurs, sa propre crise.
Pourquoi ? Parce qu’on vit une crise des religions. Et comme chaque religion a ses limites, le multiculturalisme saute. » Faisant une nouvelle fois référence à Paul Ricœur, avec lequel il a toujours revendiqué une proximité, Emmanuel Macron a évoqué la nécessité de réussir une « politique de reconnaissance », soit « la capacité à reconnaître la part d’altérité de l’autre ». Un objectif difficile en France, estime-t-il, par son histoire, en vertu de laquelle on « ne parle pas d’intégration mais d’assimilation. Ce qui est d’ailleurs, aujourd’hui, utilisé par une partie de la droite – à mon avis à mauvais escient –, de la droite dure et de l’extrême droite. Et l’assimilation avait un contexte, d’ailleurs, politique et philosophique au moment où elle est utilisée, au début du Code civil et puis par les premiers républicains. Et ce qu’ils disent c’est que “ceux qui arrivent doivent venir à nos principes et à notre civilité”. »
Emmanuel Macron se dit l’apôtre du « beau principe de l’intégration républicaine », qui réclame de « rejoindre la communauté nationale avec ses règles, ses lois, mais aussi sa civilité », sans que « la part d’altérité de l’autre » ne soit niée. « Elle est très importante parce que, dans notre République, la “mêmeté” n’existe quasiment plus », dit le chef de l’Etat.