Algérie : un jeune chrétien condamné pour «exercice de culte non musulman»

Un jeune citoyen d’Akbou, de confession chrétienne, a été condamné, jeudi dernier, par le tribunal à 50 000 DA d’amende pour«exercice de culte non musulman et sans autorisation»Le jeune citoyen a été entendu le 29 mai dernier par le juge du tribunal de la même ville. Le procureur avait requis une peine de deux ans de prison ferme à l’encontre de l’accusé.Après lamise sous scellés, le 17 octobre 2018, par la gendarmerie, de l’église «Ville de refuge», rattachée à l’Eglise protestante d’Algérie (EPA),  qui existe depuis 2013 à Akbou, l’accusé a procédé à l’installation d’un chapiteau pour permettre aux fidèles d’accomplir les messes du dimanche. Le 16 mai dernier, il est convoqué par le juge d’instruction, qui a qualifié l’affaire comme étant celle d’«exercice de culte sans autorisation».[…]Me Sofiane Ikken, en s’interrogeant sur les refus systématiques d’ériger des lieux de culte non musulmans, pense que«ce sont les autorités qui poussent ces chrétiens à entrer dans la clandestinité avant de les convoquer en justice»Pour rappel, l’EPA a condamnécette fermeture «abusive qui ne repose sur aucun justificatif valable». Selon elle, les gendarmes ont expliqué avoir «exécuté un ordre émanant du wali de Béjaïa».El WatanEl Watan est un quotidien généraliste algérien en langue française, il est considéré comme le journal de référence en Algérie

Mise au point – La dislocation de l’euro commencerait-elle en Italie ?

Source UPR.fr

Ajoutée le 21 juin 2019S’ABONNER 114 KLe 11 novembre 2018, Vincent Brousseau, qui a travaillé 15 ans à la Banque centrale européenne, prévenait que la première action de la dislocation de l’Euro pourrait commencer par le retour à la lire italienne par l’intermédiaire de la mise en place des minibots. Les minibots sont ce que l’on pourrait appeler des chèques impôts. Ils sont acceptés par le fisc italien pour payer les impôts. L’air de rien, ces minibots permettent à l’Italie de contrôler une monnaie nationale (sur sa valeur comme sur sa quantité), Chose qu’elle ne pouvait plus faire avec l’euro. C’est un premier pas pour l’Italie vers le retour à une monnaie nationale et donc la dislocation de l’euro. Ce sujet n’est pas à prendre à la légère, en cas de sortie de l’Italie de la zone euro (seulement possible en quittant l’UE), l’Italie pourrait bien laisser une dette, du fait des soldes Targets, de prêt de 600 milliards d’euros qui serait repartie entre les pays restant dans l’euro. Cela pourrait coûter environ 125 milliards à la France, qui aurait du mal à éviter la faillite. Pour en savoir plus sur ce sujet, retrouvez les vidéos Vincent Brousseau : https://www.youtube.com/playlist?list…

Depuis la crise des Gilets jaunes, l’audience de la chaîne russe francophone RT a doublé

Surprise : à la faveur de la crise des Gilets jaunes, une mystérieuse chaîne russe nommée RT s’est imposée parmi les premiers médias de France sur Internet. Sa recette ? Montrer que tout va pour le pire en Occident. Roman Bornstein a enquêté sur cet étrange instrument d’influence qui n’aime rien tant que remuer le micro dans la plaie.

C’est une matinée pas comme les autres au palais de l’Élysée. Ce jeudi 31 janvier, en pleine crise des Gilets jaunes, le président a accepté de recevoir cinq journalistes de rédactions nationales, lui qui goûte si peu les échanges avec la presse. Assis au milieu du canapé, costume gris sur col roulé noir, Emmanuel Macron passe en revue le début de son mandat, rappelle le besoin de réformer l’État, ébauche une stratégie pour les élections européennes… Soudain, entre deux considérations sur « la détresse économique » et « la légitimité de certaines revendications », il dénonce « des influences extérieures » dans le climat de violence actuel, parle de militants radicaux « conseillés par l’étranger » et du travail de sape mené par la « russosphère », ces sites web pro-Poutine. À l’entendre, les manifestations seraient encouragées, voire attisées, par un média nommé Russia Today qui bénéficierait d’une audience considérable. « Ce sont des gens qui achètent des comptes sur les réseaux sociaux, qui trollent, lance le chef de l’État. Regardez, à partir de décembre, sur le traitement des mouvements sociaux sur Internet, ce n’est plus BFM TV qui est en tête, mais Russia Today. » […]

Surprise : le 12 mars, une étude de l’ONG Avaaz, experte en analyse de données, confirme les dires du président de manière stupéfiante. À la faveur de la crise des Gilets jaunes, RT s’est hissée en tête des médias français sur la plateforme vidéo YouTube : ses reportages mis en ligne ont été vus 23 millions de fois, près du double de l’audience cumulée de quatre institutions comme Le Monde, Le Figaro-, L’Obs et le Huffington Post sur le même sujet. Depuis l’automne, l’audience du site a quasiment doublé, au point de dépasser celle de la chaîne d’info C News et de tailler des croupières à BFM TV… […]

Vanity Fair

Farid dénonce la barbarie de l’islam et la lâcheté des politiques

RAPPEL : Farid dénonce la barbarie de l’islam et la lâcheté des politiques. C’était il y a déjà 2 ans.

Depuis rien a changé. ON laisse faire. Merci à Farid (de culture musulman) de défendre les valeurs de la France.

A écouter attentivement. Il serait bien que les musulman de France réagissent et affirment au travers d’une grande manifestation nationale qu’ils aiment la France et qu’ils partagent ses valeurs.

En 2017, Farid a interpellé la mairesse de Paris, Anne Hidalgo, sur les lieux de l’attentat des Champs-Elysées, et il a accusé les gouvernants actuels et passés de ne pas protéger les Français contre la barbarie de l’islam. Il témoigne ici en exclusivité.

Lyon : les vélos en libre-service victimes d’une vague de vandalisme sans précédent et grandissante

À Lyon, ville pionnière du vélo en libre-service, les Vélo’v sont victimes d’une vague de vandalisme d’une violence sans précédent. Le phénomène a commencé en avril et monte en puissance dans des proportions inquiétantes. Des bandes de jeunes ont pris l’habitude de foncer à scooter sur les vélos rouges alignés dans les stations ou encore de les fracasser à coups de pied jusqu’à les rendre inutilisables.

Au début du phénomène, les vélos étaient aussitôt remis en état et remplacés par l’exploitant JCDecaux, mais, dès le lendemain, les bandes revenaient sur les lieux et s’en donnaient de nouveau à cœur joie. « Ils sont âgés de 12, 13, 14, 15 ans au maximum », explique Pascal Chopin, directeur régional de JCDecaux, « agissent en plein jour, à visage découvert, à la sortie des collèges et avec une violence inouïe ». Des enseignants de collège sont même tombés à plusieurs reprises à Villeurbanne sur ces scènes de violence et y ont reconnu leurs élèves. « Ils étaient dans nos classes il y a quelques années et nous n’avons pas réussi à les dissuader, confie l’un d’eux. C’est un échec éducatif qui nous consterne. »

« Nous avons bien connu quelques actes de délinquance au début des années 2010, mais ils n’étaient pas du tout de même nature. On avait plutôt affaire à des jeunes qui sortaient de soirée après le service de transports en commun, n’avaient pas d’abonnement et arrachaient un vélo pour rentrer chez eux, se souvient Pascal Chopin. Aujourd’hui, on est vraiment dans de la violence gratuite. »

Pris au dépourvu par cette situation inédite sur un réseau qui compte pourtant 32 villes dans le monde, JCDecaux a pris la décision de fermer les premières stations ciblées par les vandales, à Villeurbanne ou encore dans le 7e. Mais le phénomène s’est propagé pour arriver à une vingtaine d’arrachages par jour. 1 200 vélos sont aujourd’hui endommagés ou carrément détruits sur les 4 000 du parc de l’agglomération lyonnaise, mettant JCDecaux dans l’incapacité de réparer et de remplacer au même rythme que leur détérioration.
[…]

Saint-Denis (93) : une chaîne humaine devant l’école pour déloger les dealers

Depuis un mois, des parents d’élèves forment chaque jour une chaîne humaine pour protéger symboliquement l’école Hugo-Balzac du trafic de drogue.

Tous les matins, depuis un mois, par tous les temps, une quarantaine de parents d’élèves se donnent la main pour former une chaîne humaine autour de l’école Hugo-Balzac-L’Ermitage. « On veut protéger symboliquement l’école en créant un cordon de sécurité », explique Nadine, l’une des mères de famille à prendre part tous les jours à ce drôle de happening.

Il y a un malaise profond, celui des habitants des quartiers Nord de Saint-Denis, en prise avec un trafic de drogue endémique. Lors de la fouille de l’établissement, quelques grammes de cannabis avaient été découverts dans une cachette, signe que l’école n’échappe plus à la sphère d’influence des trafiquants.

Ce jeudi, une vingtaine de parents, des enseignants se sont encore rassemblés sous le nez des guetteurs impassibles. Soudain un cri strident retentit à l’approche d’un fourgon de police : « A l’affût, à l’affût derrière », préviennent les « choufs ». « Ça hurle en permanence. Il y a des points de deal devant et derrière le collège. On se sent envahis et ça perturbe les élèves », dénonce une enseignante.

(…) Le Parisien

Suède : « L’utilisation d’explosifs est à un niveau unique au monde pour un État qui n’est pas en guerre (…) Une explosion tous les deux jours »

Suède – La bombe a explosé vers 9h du matin, vendredi, et a soufflé deux immeubles. On pouvait entendre le bruit à des kilomètres à la ronde. Vingt-cinq personnes ont subi des coupures et des contusions et 250 appartements ont été endommagés. Un jardin d’enfants voisin a été évacué. Les photos de la scène montrent des rangées de balcons démolis et des fenêtres brisées. Il est « absolument incroyable » que personne n’ait été grièvement blessé, a déclaré un porte-parole de la police.

C’est le genre de nouvelles que nous associons habituellement aux zones de guerre, mais cette explosion a eu lieu à Linköping, une ville universitaire paisible du sud de la Suède. Fait remarquable, ce n’était pas la seule explosion dans le pays ce jour-là ; une autre explosion, apparemment sans rapport, a été signalée dans un parking de la ville de Göteborg plus tôt le matin. Trois explosions ont été signalées à Malmö depuis mardi matin. A ce jour, aucune arrestation n’a été effectuée.

Ces dernières années, la Suède a connu une forte augmentation des explosions, principalement liées à des conflits entre bandes criminelles. Selon la police, l’utilisation d’explosifs en Suède est à un niveau unique au monde pour un État qui n’est pas en guerre. (…) Une cinquantaine d’explosions ont été signalées au cours des trois premiers mois de 2019, soit en moyenne plus d’une explosion tous les deux jours et une augmentation par rapport à la même période en 2018, une année qui a vu un nombre record de plus de trois explosions par semaine.

Si les explosifs sont devenus une arme de choix parmi les gangs du pays, les effets de cette violence ne se limitent guère aux criminels. Au cours des quatre dernières années, un homme de 63 ans a été tué en ramassant sans le savoir une grenade dans la rue, un garçon de 8 ans qui dormait lorsqu’une grenade à main a été jetée dans son appartement est mort et une fillette de 4 ans a été tuée dans une voiture piégée.

(…) Le nombre de fusillades mortelles par habitant en Suède est désormais considérablement plus élevé que la moyenne européenne. Et l’intimidation systématique des témoins, associée à un code du silence dans les zones d’immigration du pays, a rendu ce type de crime difficile à combattre pour le système judiciaire suédois.

L’augmentation de la violence des gangs et d’autres types de criminalité – y compris les infractions sexuelles – a eu de profondes répercussions sur la société suédoise. Dans un pays qui s’enorgueillit d’avoir « le premier gouvernement féministe du monde », un tiers des jeunes femmes déclarent maintenant ne pas se sentir en sécurité lorsqu’elles sortent le soir. Une récente enquête menée dans les trois plus grandes villes du pays a montré que la sécurité est désormais la principale priorité des Suédois qui cherchent à acheter une maison. La criminalité est apparue comme une priorité absolue parmi les électeurs avant l’élection au Parlement européen en mai.

(…) Quillette

Bordeaux, quartier Saint-Michel : police attaquée, bagarre entre Albanais et Algériens, la mairie dépassée !

Continuons notre pèlerinage au pays de l’identité heureuse. Après Pau, et son centre-ville exaspéré par la culture kebab, Bordeaux : la capitale, la vitrine de cette identité, son centre-ville bourgeois qui rivalise désormais avec Paris, sa place de la Bourse et son miroir d’eau. Là aussi, rappelons les chiffres : un immobilier qui atteint des sommets, tout comme le vote macroniste.

Mais ce miroir d’eau, dans lequel la bourgeoisie urbaine aimerait ne voir se refléter qu’elle et s’entendre dire « Oui, tu es la plus belle », a vu passer, tout l’hiver, d’autres reflets qui la dérangeaient : les gilets jaunes venus demander des comptes à ces heureux des beaux quartiers.

Mais ces ravis du Triangle d’or devraient voir que d’autres dangers les guettent, au coin de leurs rues, bien plus proches que ces pauvres de la France périphérique issus du Médoc ou de l’arrière-pays girondin. Oui, tout près, dans Bordeaux, il y a le quartier Saint-Michel, quartier à forte population immigrée, miné par les trafics et en voie d’islamisation. Jeudi dernier, une violente bagarre éclate, vers 20 heures, au milieu des terrasses de café de la place Meynard. Selon un témoignage rapporté par le quotidien Sud-Ouest« nous avons vu une dizaine de personnes arriver en courant de la rue des Faures, poursuivies par un groupe aussi nombreux, dont certains étaient armés de bâtons et de barres de fer. […] Juste avant que les policiers n’arrivent, un groupe s’est enfui en voitures, manquant d’écraser des personnes dans la rue des Faures. » Toujours selon les témoins, il s’agirait d’un « conflit entre Albanais et Algériens » impliquant des clandestins.

La violence et les trafics qui gangrènent ce quartier sont connus de tous. Début mai, ce sont des voitures de la police nationale qui ont dû fuir sous les jets de projectiles, en plein jour, au même endroit. La vidéo circule sur les réseaux sociaux.

La police semble dépassée, autant que la mairie de Bordeaux. Nicolas Florian, successeur d’Alain Juppé, en appelle à l’État. Lors d’une réunion de quartier, il a déclaré :

« Jusqu’alors, nous savions que du trafic quotidien de drogues se déroulait rue des Faures, mais là en plein jour sur la place de Saint-Michel, un règlement de comptes de cette nature, c’est un cran au-dessus. Ce sont des choses auxquelles nous ne sommes pas habitués à Bordeaux, il n’est pas question pour moi de laisser s’installer cela. »

Il a exprimé sa « stupéfaction et [son] inquiétude ».

« Jusqu’alors »… « pas question de laisser s’installer cela »… : il plane, le gentil maire, ou il se moque de nous ? Car la réalité qu’il fait mine de découvrir est autre : ils ont laissé s’installer cela. C’est du « en même temps » à la sauce Juppé : on savait mais on n’imaginait pas. Alors que tout cela est prévisible, que cela se voit pour n’importe quel passant du quartier. Et depuis des années. Mais tant que cela ne pète pas trop, tant que cela n’émerge pas dans les médias, tant que cela n’effraie pas les électeurs heureux de l’autre côté de la frontière et qu’ils votent comme il faut. Tant que…

Donc « un cran au-dessus ». Devons-nous annoncer aux Bordelais naïfs qu’ils auront droit à d’autres crans au-dessus ? Que cela n’est que le début ? Que si Bruxelles a son Molenbeeck, Bordeaux a son quartier Saint-Michel avec ses succursales bien installées dans la CUB ? Le miroir d’eau bordelais est brisé, comme toutes ces vitrines. Et l’appel au secours affolé d’un maire macroniste à l’État macronien n’y pourra rien.

Plus que jamais, c’est à ces deux niveaux qu’il faut agir, et changer les équipes, la gestion et les perspectives. Alors, à Bordeaux aussi, une équipe MVMF « Ma ville-Ma France » pour faire de Bordeaux autre chose qu’un club de bobos adossé à un Molenbeeck ?

Munich : une centaine de jeunes « d’origine étrangère » provoquent une émeute à la piscine et menacent de poignarder un maître nageur

Munich (ALLEMAGNE) – Ils ne voulaient pas nager, ils voulaient simplement créer une émeute : une centaine de jeunes gens se sont déchaînés dans un centre aquatique.

Une centaine de jeunes ont provoqué une émeute au centre aquatique de Michaelibad à Munich. La police a dû intervenir à cinq reprises pour maîtriser la situation et mettre fin aux bagarres. Les autorités enquêtent actuellement sur les agressions et les atteintes à l’ordre public survenus lors des troubles.

Selon des témoins oculaires, la plupart des jeunes n’avaient même pas de maillot de bain. « Ils n’étaient là que pour se battre, disent-ils. (…) Des jeunes, pour la plupart d’origine étrangère, ont même menacé un maître nageur avec les mots « Je vais le poignarder ». Beaucoup de baigneurs se sentaient harcelés par les jeunes émeutiers.

Les émeutes sont peut-être liées au décret libre du maire de Munich, Dieter Reiter (SPD). En mai, il a décrété que les jeunes de moins de 18 ans n’ont pas à payer de droits d’entrée pour les piscines publiques. Selon la police de Munich, il est fort possible que cela ait attiré les jeunes émeutiers.

(…) TZ.de