Mise au point – La dislocation de l’euro commencerait-elle en Italie ?

Source UPR.fr

Ajoutée le 21 juin 2019S’ABONNER 114 KLe 11 novembre 2018, Vincent Brousseau, qui a travaillé 15 ans à la Banque centrale européenne, prévenait que la première action de la dislocation de l’Euro pourrait commencer par le retour à la lire italienne par l’intermédiaire de la mise en place des minibots. Les minibots sont ce que l’on pourrait appeler des chèques impôts. Ils sont acceptés par le fisc italien pour payer les impôts. L’air de rien, ces minibots permettent à l’Italie de contrôler une monnaie nationale (sur sa valeur comme sur sa quantité), Chose qu’elle ne pouvait plus faire avec l’euro. C’est un premier pas pour l’Italie vers le retour à une monnaie nationale et donc la dislocation de l’euro. Ce sujet n’est pas à prendre à la légère, en cas de sortie de l’Italie de la zone euro (seulement possible en quittant l’UE), l’Italie pourrait bien laisser une dette, du fait des soldes Targets, de prêt de 600 milliards d’euros qui serait repartie entre les pays restant dans l’euro. Cela pourrait coûter environ 125 milliards à la France, qui aurait du mal à éviter la faillite. Pour en savoir plus sur ce sujet, retrouvez les vidéos Vincent Brousseau : https://www.youtube.com/playlist?list…

Depuis la crise des Gilets jaunes, l’audience de la chaîne russe francophone RT a doublé

Surprise : à la faveur de la crise des Gilets jaunes, une mystérieuse chaîne russe nommée RT s’est imposée parmi les premiers médias de France sur Internet. Sa recette ? Montrer que tout va pour le pire en Occident. Roman Bornstein a enquêté sur cet étrange instrument d’influence qui n’aime rien tant que remuer le micro dans la plaie.

C’est une matinée pas comme les autres au palais de l’Élysée. Ce jeudi 31 janvier, en pleine crise des Gilets jaunes, le président a accepté de recevoir cinq journalistes de rédactions nationales, lui qui goûte si peu les échanges avec la presse. Assis au milieu du canapé, costume gris sur col roulé noir, Emmanuel Macron passe en revue le début de son mandat, rappelle le besoin de réformer l’État, ébauche une stratégie pour les élections européennes… Soudain, entre deux considérations sur « la détresse économique » et « la légitimité de certaines revendications », il dénonce « des influences extérieures » dans le climat de violence actuel, parle de militants radicaux « conseillés par l’étranger » et du travail de sape mené par la « russosphère », ces sites web pro-Poutine. À l’entendre, les manifestations seraient encouragées, voire attisées, par un média nommé Russia Today qui bénéficierait d’une audience considérable. « Ce sont des gens qui achètent des comptes sur les réseaux sociaux, qui trollent, lance le chef de l’État. Regardez, à partir de décembre, sur le traitement des mouvements sociaux sur Internet, ce n’est plus BFM TV qui est en tête, mais Russia Today. » […]

Surprise : le 12 mars, une étude de l’ONG Avaaz, experte en analyse de données, confirme les dires du président de manière stupéfiante. À la faveur de la crise des Gilets jaunes, RT s’est hissée en tête des médias français sur la plateforme vidéo YouTube : ses reportages mis en ligne ont été vus 23 millions de fois, près du double de l’audience cumulée de quatre institutions comme Le Monde, Le Figaro-, L’Obs et le Huffington Post sur le même sujet. Depuis l’automne, l’audience du site a quasiment doublé, au point de dépasser celle de la chaîne d’info C News et de tailler des croupières à BFM TV… […]

Vanity Fair

Farid dénonce la barbarie de l’islam et la lâcheté des politiques

RAPPEL : Farid dénonce la barbarie de l’islam et la lâcheté des politiques. C’était il y a déjà 2 ans.

Depuis rien a changé. ON laisse faire. Merci à Farid (de culture musulman) de défendre les valeurs de la France.

A écouter attentivement. Il serait bien que les musulman de France réagissent et affirment au travers d’une grande manifestation nationale qu’ils aiment la France et qu’ils partagent ses valeurs.

En 2017, Farid a interpellé la mairesse de Paris, Anne Hidalgo, sur les lieux de l’attentat des Champs-Elysées, et il a accusé les gouvernants actuels et passés de ne pas protéger les Français contre la barbarie de l’islam. Il témoigne ici en exclusivité.

Lyon : les vélos en libre-service victimes d’une vague de vandalisme sans précédent et grandissante

À Lyon, ville pionnière du vélo en libre-service, les Vélo’v sont victimes d’une vague de vandalisme d’une violence sans précédent. Le phénomène a commencé en avril et monte en puissance dans des proportions inquiétantes. Des bandes de jeunes ont pris l’habitude de foncer à scooter sur les vélos rouges alignés dans les stations ou encore de les fracasser à coups de pied jusqu’à les rendre inutilisables.

Au début du phénomène, les vélos étaient aussitôt remis en état et remplacés par l’exploitant JCDecaux, mais, dès le lendemain, les bandes revenaient sur les lieux et s’en donnaient de nouveau à cœur joie. « Ils sont âgés de 12, 13, 14, 15 ans au maximum », explique Pascal Chopin, directeur régional de JCDecaux, « agissent en plein jour, à visage découvert, à la sortie des collèges et avec une violence inouïe ». Des enseignants de collège sont même tombés à plusieurs reprises à Villeurbanne sur ces scènes de violence et y ont reconnu leurs élèves. « Ils étaient dans nos classes il y a quelques années et nous n’avons pas réussi à les dissuader, confie l’un d’eux. C’est un échec éducatif qui nous consterne. »

« Nous avons bien connu quelques actes de délinquance au début des années 2010, mais ils n’étaient pas du tout de même nature. On avait plutôt affaire à des jeunes qui sortaient de soirée après le service de transports en commun, n’avaient pas d’abonnement et arrachaient un vélo pour rentrer chez eux, se souvient Pascal Chopin. Aujourd’hui, on est vraiment dans de la violence gratuite. »

Pris au dépourvu par cette situation inédite sur un réseau qui compte pourtant 32 villes dans le monde, JCDecaux a pris la décision de fermer les premières stations ciblées par les vandales, à Villeurbanne ou encore dans le 7e. Mais le phénomène s’est propagé pour arriver à une vingtaine d’arrachages par jour. 1 200 vélos sont aujourd’hui endommagés ou carrément détruits sur les 4 000 du parc de l’agglomération lyonnaise, mettant JCDecaux dans l’incapacité de réparer et de remplacer au même rythme que leur détérioration.
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Saint-Denis (93) : une chaîne humaine devant l’école pour déloger les dealers

Depuis un mois, des parents d’élèves forment chaque jour une chaîne humaine pour protéger symboliquement l’école Hugo-Balzac du trafic de drogue.

Tous les matins, depuis un mois, par tous les temps, une quarantaine de parents d’élèves se donnent la main pour former une chaîne humaine autour de l’école Hugo-Balzac-L’Ermitage. « On veut protéger symboliquement l’école en créant un cordon de sécurité », explique Nadine, l’une des mères de famille à prendre part tous les jours à ce drôle de happening.

Il y a un malaise profond, celui des habitants des quartiers Nord de Saint-Denis, en prise avec un trafic de drogue endémique. Lors de la fouille de l’établissement, quelques grammes de cannabis avaient été découverts dans une cachette, signe que l’école n’échappe plus à la sphère d’influence des trafiquants.

Ce jeudi, une vingtaine de parents, des enseignants se sont encore rassemblés sous le nez des guetteurs impassibles. Soudain un cri strident retentit à l’approche d’un fourgon de police : « A l’affût, à l’affût derrière », préviennent les « choufs ». « Ça hurle en permanence. Il y a des points de deal devant et derrière le collège. On se sent envahis et ça perturbe les élèves », dénonce une enseignante.

(…) Le Parisien