Source Riposte Laïque
Dans le grand désordre qui s’empare, aujourd’hui, de la civilisation occidentale, le plus grand danger de désintégration qui menace notre société est porté par l’Islam.
Il est plus comminatoire que toutes les déviances sociétales libertaires qui atteignent notre espace de vie car les transformations qu’il promet sont létales.
En réalité, cette menace n’est pas vraiment nouvelle. Elle perdure au contraire depuis 13 siècles, sous une forme agressive et parfois maligne en fonction de l’état de résistance qui lui est manifesté.
Né dans la péninsule arabique, ce dogme nouveau mais rétrograde s’est très vite implanté par la force, atteignant le nord de l’Afrique puis la péninsule ibérique puis la partie sud de la France. Là, il fut d’abord stoppé puis repoussé par nos ancêtres les Francs. Depuis, ayant perdu de sa superbe face à l’opposition résolue de ses adversaires, il s’était habitué à procéder le plus souvent par la ruse et la patience pour conquérir et grandir.
Aujourd’hui, ce qui déroge à l’habitude, c’est l’extrême passivité que nos dirigeants, toutes tendances politiques confondues, déploient désormais dans cette lutte millénaire et qui donne des ailes aux mahométans. On pourrait parfois y voir une complaisance coupable, un quasi-renoncement, voire une forme d’adhésion collaborationniste.
Cette idéologie, marquée des atours fallacieux d’une religion prétendument guidée par l’amour, la tolérance et l’envie de paix, agit, dans ses fiefs les plus anciens par «l’épée», et à l’extérieur, au grand jour, avec des armes parfaitement sournoises. En effet, sous le prétexte soi-disant pacifique du prosélytisme, elle utilise l’instrument redoutable de la migration, à l’échelle, actuellement de l’envahissement, pour s’étendre méthodiquement et inlassablement dans tous les pays du globe, même ceux qui pourraient en être les plus protégés par exemple en raison de leur insularité.
Présentée comme une suite logique et incontournable des anciennes pratiques monothéistes, forcément dévoyées, cette doctrine s’en différencie par ses propres principes fondateurs.
D’abord, elle se présente comme la vérité ultime apportée aux hommes par le dernier prophète qui remit aux hommes la véritable révélation. La dernière donc la seule acceptable !… Ce message apocryphe est-il acceptable ?
Ensuite, elle se présente comme universelle, c’est à dire qu’elle a vocation à convertir l’ensemble des êtres humains, quels qu’ils soient et où qu’ils se trouvent. Cet objectif n’a pas de limite territoriale mais surtout il ne se fixe aucun délai. Le temps de « Dieu » n’est pas celui de l’homme et rien ne pousse à en faire l’économie dans la conquête des « âmes ».
Ce qui caractérise cette tendance confessionnelle est son aptitude à l’adaptation. L’outil subtil de la taqîya, c’est à dire celui du mensonge légalisé, est le vice qu’elle tolère et même qu’elle recommande aux fidèles pour éviter la suspicion des infidèles, acquérir leur confiance pour mieux les réduire.
L’habileté suprême de l’islam, dans les pays occidentaux, est d’emprunter le langage des droits de l’homme, qui nous intimide et nous leurre pour faire accepter leurs pratiques puis les faire légitimer. Les usages et toutes les pratiques légales en sont bouleversées.
Par exemple, l’autorisation du burkini dans une piscine publique d’une ville du Nord a été donnée en violation des règles générales régissant les questions d’hygiène dans les piscines, par le défenseur des droits.
Que dire de la place accordée aux femmes dans cette société et du sort qui leur est réservé ?
Dès lors, toute critique de l’Islam devient une attaque islamophobe.
Nos hommes politiques désarmés, à l’exception de quelques-uns qui conséquemment sont assimilés à des racistes fascisant, établissent une classification inexistante et arbitraire en inventant la notion d’islamisme ou encore islam politique qui s’opposerait à la notion neutre et respectable d’islam.
Cette idée est à la fois irréaliste et méprisable. Elle est la démonstration de l’absence de volonté de faire valoir la règle républicaine face à l’intrusion de la règle religieuse et nonobstant les règles établies par la loi de 1905.
Il est parfaitement claire que l’État se sent totalement démuni devant ce phénomène qui agit comme un alienqui phagocyte et digère la société pour en faire une espèce de conglomérat religieux. Son manque de courage est manifeste quand sa traîtrise se profile insidieuse.
La soumission, règle intangible de cette idéologie, ne saurait plier devant l’expression du libre arbitre et de la liberté que prône la culture occidentale. En conséquence, l’option d’adhérer à l’islam est incompatible avec celle d’intégrer l’espace républicain. Ce choix est marqué dès l’origine de toute impossibilité de retour en arrière. L’apostasie est pour les tenants coraniques un « péché » absolu passible de la peine de mort : musulman un jour, musulman toujours, pourrait-on dire !
Pourtant, à cause de la loi du sol et à cause de la vague irrésistible de l’immigration de masse injustement assimilée au droit d’asile, la citoyenneté de notre pays s’est trouvé infestée par des hordes assassines qui ont, par la suite, gagné les rangs de la barbarie djihadiste et ont retourné leurs armes contre la patrie. Aujourd’hui vaincus et aux mains de la justice humaine, il se trouve, parmi nos concitoyens, des illuminés et des traîtres qui s’opposent aux sanctions qui les menacent là-bas. Nous sommes enjoints de leur éviter de subir le sort qu’ils ont eux-mêmes fait subir à des victimes expiatoires. Nous devrions les rapatrier sur le sol de la mère patrie pour leur appliquer des peines de droit commun sans rapport avec leurs infâmes forfaits, au risque de les voir rapidement libérés, prêts à réitérer leurs ignobles forfaits. De quel droit devrions-nous supplanter, par nos principes juridiques, la justice des pays souverains comme l’Irak ?
Pourquoi ne pourrions-nous appliquer la règle de l’indignité nationale à tous ces criminels qui ne méritent plus l’identité nationale que nous leur avons octroyée avec générosité ?
L’ennemi d’aujourd’hui n’ayant que peu de différence avec celui d’hier, seule la couleur brune ayant été remplacée par la verte, devrait-il connaître plus d’indulgence de notre part ? Pour rappel, pas moins de 100 000 individus en ont été frappés après 1944 !
Le salut, face au danger qui nous menace, ne viendra que de mesures courageuses succédant à un regard patriotique et lucide de la situation.