Éric Dick est donc condamné à une amende de 10 000 euros avec sursis et 2500 euros de dommages et intérêts à verser à la Mie Câline pour avoir dénoncé le tout halal de cette chaîne et avoir évoqué les doutes concernant l’éventuel financement du terrorisme par le halal.
Mais Éric n’est pas abattu, au contraire, puisqu’il voit le bon côté des choses, à savoir que l’amende est avec sursis et que les dommages et intérêts sont de 2500 euros et non de 50000 comme le demandait La Mie Câline. Et il va faire appel, naturellement !
Il n’empêche que la lâcheté et la dhimmitude de nos élus qui n’ont pas le courage d’imposer l’étiquetage du halal « pour ne pas stigmatiser les musulmans » comme le disait le secrétaire d’État de Sarkozy, Frédéric Lefebvre est responsable de cette condamnation….
Bravo à Éric pour sa ténacité et son combat. Nous lui avons déjà rendu hommage à de nombreuses reprises sur notre site, et nous avons souligné les avancées, significatives, que son combat a déjà permis en Vendée :
En cette période de Gilets jaunes, ce ne sont pas tant les décisions d’une justice hélas trop souvent aux ordres qui comptent, mais les pas de fourmis des Résistants. Pas de fourmis qui, multipliés par 10, par 100, par 1000… pourraient bien amener une révolution…
Ça ne s’arrange pas chez moi question colère, je remarque qu’une fois de plus, le niveau dépasse les limites.
Moi qui pensais que les réfugiés étaient des gens en quête d’asile, d’aide, de soutien. Moi qui entends chaque jour que nous les accueillons par milliers, que nous les nourrissons, les logeons, leur apprenons la langue, souvent bénévolement, essayons de leur trouver un boulot, que l’Etat leur verse des allocations. Certes, le Formule 1, ce n’est pas le Plazza, et le gratin dauphinois, ce n’est pas du méchoui, mais on fait ce qu’on peut !
Pourquoi ces personnes qui sont donc accueillies ici aussi bien que possible, se baladent ils tous avec des saignoirs en poche ? En poche, j’ai mes clés, mes papiers, et dans mon sac mon portable et une pochette de maquillage, peut-être un livre de poche, des mouchoirs. En Allemagne, certains couteaux sont classés comme étant à usage restreint, en ce qu’ils peuvent être détenus dans la maison ou en entreprise, mais ne peuvent pas être portés sur la personne6. En outre, le paragraphe 42 de l’article 5 de la loi sur les armes donne à chaque état la possibilité de promulguer des réglementations locales interdisant le port d’armes et de tout objet dangereux à des fins de protection de la sécurité publique et de l’ordre.
En France le port de couteaux en est illégal, sauf si une bonne raison peut être avancée, par exemple, dans le cadre professionnel. En cas de transport dans un véhicule, les couteaux doivent être placés dans un endroit sûr, par exemple un compartiment fermé à clé inaccessible pour les occupants du véhicule.
Lors de sa publication, l’article 173 du décret du 30 juillet 2013 prévoyait que le port ou le transport des armes en vente libre constituait une contravention de 4° classe punissable d’une amende de 750 €, somme qui pouvait être ramenée à 145 € si l’on payait rapidement (amende forfaitaire). L’article 173 du décret a toutefois été rapidement modifié et un amendement à la loi de 2012 déposé afin de modifier les articles L. 317-8 et L. 317-9 du code de la sécurité intérieure. Selon ces dispositions, toutes les armes de la catégorie D, qu’elles soient en vente libre ou non, ne peuvent être ni portées ni transportées sans motif légitime. En cas d’infraction, il est prévu des peines de 15 000 € d’amende et d’un an de prison.
Malgré toutes ces lois et ordonnances parfaitement sensées, au début de ce mois, un Afghan a blessé grièvement au couteau un jeune homme qui lui demandait simplement de ne pas cracher dans le train. Le pauvre, il n’avait pas les codes. Mais un dépeçoir en poche, comme tous ses coreligionnaires. Il avait fui, mais a pu être arrêté grâce à la caméra de surveillance. La victime a été transportée à l’hôpital, gravement blessée, et a dû subir une intervention chirurgicale d’urgence. Toujours hospitalisée. L’assaillant avait craché plusieurs fois dans le train et s’était fait approcher poliment par la victime qui lui a demandé d’arrêter. L’Afghan a sorti son couteau – comme tous les autres gentils migrants, les aubaines pour toute l’Europe – et a frappé la tête du jeune homme (38 ans) puis l’a poignardé au niveau de l’estomac.
Je ne sais plus quand ni où j’ai lu cette phrase : bientôt, nous devrons nous coucher par terre dans la rue pour qu’ils puissent traverser sans se salir les pieds. Carpettes ! Nous sommes des carpettes. Personnellement, vous réagissez ? Moi pas, et pourtant, ce n’est pas l’envie qui me manque.
Je traversais récemment une route à grand passage sur un passage clouté quand un conducteur n’a non seulement pas freiné, mais m’a quasiment frôlée à toute vitesse. Je voulais sortir mon portable pour photographier la plaque, quand un ami m’a crié : attention, c’est peut-être un musulman. Tu vas te faire égorger. J’ai remis le portable dans ma poche. Carpette.
Il y a peu, j’étais assise dans un tram qui n’était pas vraiment plein. Montent deux basanés avec un très grand chien. Ils sifflent, s’apostrophent à voix haute, font intentionnellement du boucan, provoquent, chahutent, et ensuite, ils assoient leur animal sur un siège, juste à côté d’une petite vieille dame terrorisée qui n’a pas osé piper mot. Personne n’a rien dit, rien fait. Je me suis levée le plus discrètement possible pour aller m’asseoir plus loin. Carpette. Peur. Je ne prends plus le tram. Et pourtant, comme ce serait bien de désengorger les rues qui sont continuellement bouchées ? Que dire par ailleurs des bandes qui font régner la loi dans les transports en commun ou dans la rue ?
Pourquoi se baladent-ils tous avec des couteaux en poche ? Pourquoi se conduisent-ils tous comme des bêtes furieuses, alors que nous les accueillons et qu’ils sont mieux traités que la plupart des pauvres français? Ici, à Bruxelles, on voir encore régulièrement des sans-logis couchés à même le trottoir. J’ai enfin retrouvé une vidéo que je cherchais depuis longtemps. Un journaliste allemand a observé les migrants jetant par terre des aliments et des bouteilles d’eau non entamées. On voit aussi les documents identitaires foulés aux pieds. La vidéo est relativement ancienne (2014), a été réalisée par un reporter qui est allé à la rencontre des invités personnels de Merkel. Loin des images des médias officiels, il a filmé ce qu’il a vu : la réalité de l’invasion. Il a vu des individus qui ne souffrent d’aucun traumatisme, suffisamment aisés pour se payer parfois des taxis, n’ayant besoin de rien, équipés de smartphones, et jetant la nourriture sans le moindre problème, détruisant des bouteilles d’eau minérale pleines, dégradant des cultures et larguant les « papiers » qu’ils réclament devant les caméras à si grands cris. Ces images ont été tournées à la frontière entre la Serbie et l’Ancienne République yougoslave de Macédoine.
Merci Merkel ! Merci pour les caméras, les blocs de béton, les policiers armés jusqu’aux dents, les quartiers sensibles, merci pour nos filles violées et étranglées, merci pour la peur, merci pour nos enfants, quel sera leur avenir ?
J’ai à nouveau recueilli quelques commentaires : Si vous étiez dans un pays en guerre vous enverriez femme et enfants dans un pays où ils seraient tranquilles, je ferais de même, je prendrais les armes pour essayer de gagner une liberté qui me permettrait de vivre chez moi comme l’ont fait les résistants en France durant la seconde guerre mondiale, au risque de ma vie. Vous osez prétendre que certains ont des propos racistes, pensez-vous que dire que 95% des migrants sont des hommes jeunes et dans la force de l’âge est raciste? Que ces jeunes feraient mieux de se battre pour essayer de retrouver la liberté pour leur pays, et que la plupart n’est pas dans le besoin avec des téléphones qui chez nous, coûtent plus de 400 euros, appellent chez eux tous les jours, les communications, ne sont pas gratuites, que je sache ? Des propos racistes ?
Cette vague d’immigration est un non-sens, c’est le suicide européen. L’Europe va se transformer en un gigantesque Gotham City mais sans Batman pour nous sauver. Je suis maman et je n’aurai jamais qu’un seul enfant car je m’inquiète trop pour son avenir, pas pour le mien mais pour le sien. Si quelque chose doit se passer, en protéger un seul me parait plus simple. Mon conjoint et moi, ne nous sentons plus en sécurité en France et nous pensons quitter notre pays. Nous ne gagnons pas trop mal notre vie, nous payons nos impôts, nous bossons durement, nous respectons les règles et nous aimons notre pays, mais ce qu’il devient est lamentable. Dans la rue, je me sens une étrangère, dans mon propre pays. J’entends parler le cyrillique, l’arabe, je vois des voilées partout, dans la rue, chez le médecin si bien que je me dis que l’on nous trompe sur le nombre de musulmans en France. Nous vivons dans une ville touristique qui s’est dégradée grandement en 5 ans avec l’immigration massive. Les musulmans ne respectent aucune règle tout leur est dû, aucune volonté d’intégration, leur seule volonté, les prestations sociales. Je suis désespérée et n’ai plus ni espoir ni foi en l’humanité et je vomis ces associations antiracisme ou pro migrant qui vendent leur pays. Nous sommes Français, nous étions le pays de la culture et des Lumières avec une riche histoire et nous sommes devenus une POUBELLE. Cessez donc de me traiter de raciste, cessez de me demander de me taire. J’ai peur et je le hurle. Pas pour moi. Pour mes petits-enfants. Qui sont gentils, appliqués, affectueux, et à qui ont serine que les migrants sont « gentils ».A
J’aime bien les caissières. Derrière leur caisse anonyme, qui ressemble un peu à une forteresse, elles voient beaucoup de choses, il leur arrive de penser, et d’avoir une personnalité qui parfois interroge. Elles sont capables du meilleur comme du pire. Ce matin, c’était le pire.
De passage dans un Monoprix d’une ville bobo-friquée-déconnectée de la réalité, dans la région parisienne, celle-ci s’empare du Parisien que je mets sur le tapis, et… se plonge tranquillement dedans.
Amusée, je la laisse lire, cela dure quelques petites minutes. Puis elle hoche la tête et dit :
– Toujours les mêmes images des Gilets jaunes… toujours la même rengaine, on en a assez.
Je lui réponds : – Il faut aller sur les sites de réinformation, si vous voulez des informations différentes…
Elle fait la moue, l’air malheureux. J’en profite pour lui déclarer que je soutiens les Gilets jaunes, ce qui doit être rare dans cette ville, comme soutien et comme déclaration.
Elle me répond que les Gilets jaunes ont des demandes pour les classes moyennes mais rien pour ceux qui n’ont rien. Je lui rétorque que c’est un début, que ça va venir, qu’il faut être optimiste. Elle me répond qu’elle a de toutes façons horreur des extrêmes, phrase lambda de béni-oui-oui qui ne veut rien dire, et elle me fait comprendre qu’elle n’est pas convaincue par les Gilets jaunes.
La discussion continue. Nous abordons plusieurs problèmes soulevés par les Gilets, mais pas celui de l’immigration, alors je me lance :
– Il y a aussi la question de l’immigration. Nous ne pourrons plus payer longtemps. Là elle tique, hoche la tête et lâche : – il ne faut pas être raciste. Je lui réponds que ce n’est pas une question de racisme, mais de saine gestion. J’essaie de lui expliquer que nous sommes pratiquement les seuls à accorder tant de privilèges aux étrangers, et que nous mêmes, dans les autres pays, nous devons travailler et payer notre séjour. Elle hoche encore la tête.
J’y vais franchement : – Voyons, vous avez sûrement un petit salaire, et vous acceptez que les mineurs non accompagnés nous coûtent 50 000 euros par an ?…
Malheur et calamité, cette ville est boboïfiée jusqu’aux tréfonds, jusqu’aux petits salaires. Réponse stupéfiante et textuelle de la caissière : – Cela m’est égal, à ceux qui ont eu un tas de problèmes pour venir jusqu’à nous, qui ont pris la mer, vaincu toutes les difficultés, je suis prête à donner une bonne partie de mon salaire.
Je lui répète que cela ne pourra pas durer. Mais mes achats sont passés, la caisse clignote, la cliente suivante, une vieille dame distinguée, sévère, chapeau rond sur la tête, gants de cuir, a l’air bien décidée à prendre son tour et à ne plus nous laisser parler. Elle me pousse pratiquement dehors. Dommage.
Dommage que je n’aie pas eu le temps de dire à cette caissière qu’un jour, si elle continue comme cela, elle n’aura plus que ses yeux pour pleurer, si elle ne finit pas emburquinée, égorgée halal, sa retraite ayant fondu par manque d’indexation sur le coût de la vie. J’espère que sa dernière sortie était juste l’effet de son idéologie obtuse et qu’elle n’y croyait pas vraiment.
Voilà une caissière bien lobotomisée, bien lavée du cerveau. Bien endoctrinée. Bien suicidaire, puisque acceptant de tout donner aux migrants, même sa propre vie. Bien contradictoire, car sa place est davantage du côté des Gilets jaunes que du côté des bien-pensants moralisateurs et totalitaires.
Voilà comment on essaie d’endoctriner les Français jour après jour : l’immigration, c’est tellement bien que nous n’avons pas d’autre choix que de mourir pour les migrants, qui sont des gens tellement meilleurs que nous. Et dernière invention de nos idéologues, celui de la volonté : il suffirait que les migrants aient voulu nous envahir, pour que nous soyons obligés de les accepter. Les grands soldats de notre Histoire, nos parents qui se sont battus pour que la France reste la France, doivent se retourner dans leurs tombes.
Et sur beaucoup, cela marche. Notre Grand Remplacement par des envahisseurs guerriers plus ou moins camouflés se porte mieux que jamais. Et l’islamisation qui va avec.
Les Gilets jaunes ont encore du pain sur la planche pour persuader tout le monde qu’ils ont raison. Même lorsqu’on emploie des arguments forts, certains opposants ou indifférents aux Gilets restent ancrés dans leur position mortifère. Même lorsqu’ils sont les premiers à avoir besoin de l’action des Gilets. Faudra-t-il les convaincre de force ?…
Et vraiment, qu’attendent les Gilets jaunes pour se saisir du plus grand problème de notre pays, celui qui va saper toutes nos économies et surtout notre civilisation, celui de l’immigration-islamisation ?