« Selon nos informations, Benalla a entretenu des relations avec l’avocat Karim Achoui, radié du barreau de Paris, notamment pour manquements déontologiques. Alexandre Benalla a-t-il assuré la sécurité d’Achoui ? D’après plusieurs sources, l’avocat controversé a sollicité par l’intermédiaire d’un confrère les services d’Alexandre Benalla en 2013. »(…)
Karim Achoui répond à M6 : “Il n’a jamais été mon garde du corps. Nous nous sommes fréquentés pendant deux ans. Il était très sensible à la cause musulmane et à la ligue de défense judiciaire des musulmans” Lire l’article intégral
Décryptage de l’Observatoire de l’islamisation :
Karim Achoui fonda en 2013 la Ligue de défense judiciaire des musulmans (LDJM). La même année, il attaque l’hebdomadaire Charlie Hebdo qui avait réalisé une couverture satirique sur le Coran. Il attaque également le maire de Chalon-sur-Saône qui voulait supprimer les menus alternatifs en cas de présence de porc dans un plat de cantines scolaires (Buzzfeed).
La LDJM d’Achoui est partenaire de la « Coordination contre le racisme et l’islamophobie » de Abdelaziz Chaambi, fiché S, qui milite contre la loi de 2004 interdisant le voile islamique à l’école. Pour le boutefeux Chaambi la police aurait déclaré la guerre à l’islam (vidéo). Caroline Fourest rappelait à propos de Chaambi lors d’un débat sur France 5 en 2008 que cette figure de l’islam associatif aurait des liens avec le Front Islamique du Salut: « ce monsieur [Chaambi] fait venir des penseurs du FIS à Lyon dans l’organisation dont il s’occupait l’UJM, Mustafa Abrahami vous connaissez? ». Nous n’avons pu vérifier mais Fourest n’a pas été attaquée en diffamation. Lors de cette même émission, Chaambi reconnait avoir invité Hani Ramadan à l’UJM : « Hani Ramadan on connait il est où le problème? ». Rappelons que Hani Ramadan milite pour que le jihâd armé rétablisse le califat :
« Le monde musulman est en ébullition. Cette force peut et doit être orientée vers un Etat islamique, un Etat appliquant le Coran et la Sunna.(…) Les musulmans ne retrouveront jamais leur bonheur perdu s’ils ne reviennent pas au jihad et ne cherchent pas à établir un Etat Islamique ». (Hani Ramadan, Sermons du vendredi rappels et exhortations, éditions Tawid, 2011, page 465.)
Karim Achoui est élu personnalité de l’année 2013 par le site islamiste Oumma.com (site qui promeut les livres de Qaradawi en page d’accueil) et remporte la première place du podium devant Claude Askolovitch, et le CCIF50.
Nos journaleux paraissent découvrir, à travers ce qu’il convient d’appeler le scandale Alexandre Benalla (de son vrai nom Lahcène Benhalia), que dans la France de Macron, on peut être une racaille islamisée, et bénéficier de tous les passe-droits, si on est dans l’entourage du président. On peut n’avoir aucune formation spécifique, avoir été garde du corps de quelques pontes du Parti socialiste (dont celui de Montebourg, qui l’a viré pour tentative de fuite après un accident), et se retrouver responsable de la sécurité du président de la République, court-circuitant les services de la République qui sont payés pour cela. Bien sûr, profitant de ce statut, on peut recruter nombre de copains musulmans (dont Makao, le copain du fameux Jawad Bendaoud) dans les plus hautes fonctions de la sécurité de l’Etat.
Le scandale est tellement énorme que même le Nouvel Observateur, pourtant servile avec Macron depuis une année, se sent obligé, comme l’ensemble des médias de propagande, de monter au créneau, pour ne pas laisser le monopole de l’information à la réinfosphère. Nous n’irons pas sur le terrain (faute de preuves) de certains, qui théorisent sur le fait que Macron et Benalla seraient comme cul et chemise, ou que ce dernier, logé à l’Elysée, avec un salaire de 10.000 euros, serait surtout le garde du corps de Brigitte, pendant que le président irait vaquer ailleurs…
Et en outre, ce brave homme serait très sensible à la cause musulmane, pour reprendre les dires de son avocat Karim Achoui. Autrement dit, la mise de la charia.
Pour nous, le scandale Benalla, doté de la double nationalité franco-marocaine, ne serait rien, s’il n’était la face visible d’un iceberg qui confirme que Macron est bien un agent de l’islam, et que depuis une année, il a mis en place une accélération de l’islamisation de notre pays, protégeant de manière scandaleuse tous les musulmans (nombreux de son entourage) qui se comportent en parfaites racailles islamistes, ce qu’ils ont toujours été.
Que Benalla (appelons-le ainsi) frappe au sol, des manifestants, le 1er mai, et soit protégé par Macron en personne, ne pourra que révulser les vrais policiers, qui, eux, se retrouvent devant les tribunaux quand ils mettent une gifle à un petit con qui leur envoie des projectiles, quand ils ripostent vivement aux agressions physiques des malheureux migrants, quand ils bousculent un gauchiste agressif et insultant, ou quand ils tirent sur un fuyard qui force un barrage de police.
Mais en quoi le maintien au poste de député de M’jid El Guerrab, qui a massacré à coups de casques un socialaud parisien, et qui se retrouve toujours dans la commission Défense à l’Assemblée nationale (quand Marine et Gilbert Collard ont perdu leur immunité parlementaire) n’est-il pas aussi scandaleux que l’affaire Benalla ?
En quoi l’introduction de la racaille islamiste, déguisée en « comique », Yassine Belattar (qui a osé harceler le père d’une des victimes de Merah), qui a multiplié les provocations et les insultes grossières contre ceux qui se permettent de critiquer l’islam, n’est-elle pas aussi scandaleuse que l’affaire Benalla, surtout quand Macron en personne a volé à son secours, évoquant son « frère » Yassine ?
Nul n’a oublié son soutien inconditionnel à Mohamed Saou, dont pourtant la parfois excellente Céline Pina avait décrit la réalité de son « intégrisme ».
On pourrait ajouter sa complaisance pour la diversité, comme celle qu’il a affiché pour défendre Laetitia Avia (surnommé « La Cannibale », suite à sa morsure d’un chauffeur de taxi qui osait lui demander de régler sa note), ni celle affichée pour soutenir l’ineffable Sibeth Ndiaye, chargée de la communication du président, qui, à l’occasion de la mort de Simone Veil, se permit de dire « La meuf is dead ». C’est cette même Laetitia Avia qui est chargée, avec un autre « copain musulman » de Macron, El Karoui, de foutre en l’air notre laïcité, à la rentrée de septembre, pour imposer « l’islam de France » au pays.
Nous pourrions citer de nombreuses autres anecdotes, comme cette fête scandaleuse donnée à l’Elysée, le jour de la musique, où des rappeurs musulmans haineux et grossiers ont souillé les lieux, sous le regard complaisant de Macron et sa femme.
Donc, même si, à juste titre, l’excellent blogueur algérien Aldo Stérone pointe du doigt la gravité du cas Benalla, pour nous, il n’est que la suite de toute la politique de Macron depuis un an : soumettre la France à l’islam, et accélérer l’islamisation du pays.
Durant toute l’année qui a précédé l’élection présidentielle, nous avons martelé que Macron était le candidat des musulmans, et se comportait comme un agent de l’islam. Nous invitons tous nos lecteurs à bien réécouter ces deux vidéos de Maxime Lepante…
Agent de l’islam, en effet, ce président qui a pu bénéficier des voix de 92 % des musulmans lors du deuxième tour de la présidentielle. Agent de l’islam celui qui a osé donner raison aux islamistes du FLN, lors du conflit algérien de 1954 à 1962, marqué par les exactions barbares des insurgés du FLN contre le peuple algérien, et contre les ressortissants français. Il faut être un agent de l’islam pour oser accuser, depuis Alger, les soldats français de « crime contre l’humanité ».
Il faut être un agent de l’islam pour faire venir, en plein ramadan, trois cents imams d’Algérie, ou bien accepter que des policiers marocains viennent aider les policiers français à faire respecter l’ordre dans les rues du Paris d’Hidalgo (quel mépris pour nos forces de l’ordre) !
Il faut surtout être un véritable agent de l’islam pour continuer à imposer au peuple français (et vouloir contraindre l’ensemble de l’Europe) à subir une véritable submersion migratoire, majoritairement musulmane, alors que quotidiennement, les nôtres, dont nos plus jeunes, tombent, blessés ou tués pour les hommes, violées et insultées pour les femmes, sous les agressions des sympathiques « Chances pour la France » et autres « migrants qui fuient la guerre ».
L’invasion islamique qu’il impose à la France nous paraît, et de loin, bien plus grave que les exactions, par ailleurs inadmissibles, de Benalla. Encore plus grave, alors que la majorité des peuples européens est en train de retrouver, sur la question migratoire, sa souveraineté, par réflexe de survie civilisationnelle, Macron ose insulter les Italiens et qualifier de « lèpre populiste » tous ceux qui refusent de se laisser remplacer par des barbares qui veulent nous envahir. Sans Macron, l’Europe basculerait dans le camp de Mattéo Salvini.
Il faut être un agent de l’islam pour ne pas, en tant que président de la République, interdire le concert scandaleux de Médine au Bataclan, prévu les 19 et 20 octobre, véritable insulte à la mémoire des victimes. Notons que les islamistes défendent les islamistes, puisque Yassine Benattar soutient de toutes ses forces, grâce aux nombreuses émissions dont il bénéficie, ce concert. Nous, à RL, on défend Patrick Jardin, le père d’une victime, qui se bat pour l’annulation du concert. Deux camps, irréconciliables, d’un futur affrontement inévitable.
Question précise : la France peut-elle conserver à la tête de l’Etat français un homme qui, ouvertement, se comporte en agent de l’étranger, puisque l’islam est une idéologie étrangère, et hostile à la France ?
Les textes de loi sont très clairs, comme le rappelait François Fillon dans son dernier livre, « Vaincre le totalitarisme islamique ». L’article 411-4 du livre 4 du code pénal est clair : « Le fait d’entretenir des intelligences avec une puissance étrangère, avec une entreprise ou organisation étrangère ou sous contrôle étranger, ou avec leur agents, ou […] est puni de 30 ans de détention criminelle et de 450.000 euros d’amende.
Les choses sont donc limpides. Alors que l’islam, quotidiennement, livre un véritable djihad quotidien à la France, une guerre sainte sans pitié, au lieu de désigner clairement l’ennemi, et de le combattre, nous avons un président qui, dans toutes ses décisions, prend fait et cause pour l’islam, contre la France… C’est encore pire que dans les années 1940 !
Une démission de Macron, qu’appelle de ses voeux Serge Petitdemange, paraîtrait une bien douce sanction.
Ce qui est à l’ordre du jour, c’est sa destitution, son incarcération, et un procès public pour lui et sa clique, ainsi que tous les complices de l’invasion de la France, qui tombent tous sous le coup de l’article 411-4 du Code Pénal.