Le village de Châteaudouble dans le Var (83), est assommé par la nouvelle : à partir de septembre, il recevra 72 migrants. Pour un village de 300 habitants, cela fait un peu beaucoup, non ? Ces migrants seront d’origine africaine sub-saharienne.
Il est vrai que des migrants, Draguignan, ville proche et sous préfecture du Var, en a déjà jusqu’à plus soif. Trois mosquées dans la ville, dont une presque dans le centre ancien. Il y a quarante ans « ils » commençaient à arriver et se tenaient immobiles le long des murs, pour se confondre avec eux, pour les tenir, ou pour marquer leur présence ?… Aujourd’hui le quartier historique de Draguignan est complètement phagocyté. Les nouveaux venus ne sont plus debout contre les murs à attendre Allah sait quoi mais ils dealent, cassent, et détroussent les rares passants venus d’ailleurs et surveillés par des guetteurs. Quand ils ne les agressent pas physiquement. Surtout les mamies sans défense, c’est plus facile.
A Draguignan autrefois la rue de l’Observance et la rue de Trans étaient des rues paisiblement habitées par les avocats, les nobles, les bourgeois. Ils sont tous partis. Ils ont été… remplacés, comme le dit si bien Renaud Camus. Le quartier s’est dégradé et les belles maisons du seizième siècle ont été partagées en petits appartements mal entretenus, mal famés car habités majoritairement par…des remplaçants. Là aussi de très jeunes filles sont étroitement voilées, même au plus fort de la canicule. Le costume provençal, qui avec ses tissus colorés met en valeur cou, cheveux, décolleté et chevilles, est pourtant nettement plus seyant.
C’est dans ce centre ancien qu’un chat a été atrocement torturé par un « diversitaire » en décembre dernier. Vous me direz, ce n’était qu’un chat…mais n’était-ce pas une séance d’entraînement ? Le coupable a été condamné à six mois de prison ferme. Mais comme les peines inférieures à deux ans ne sont pas exécutées depuis l’ineffable passage taubiresque, il est certainement dans la nature. Prêt à recommencer, puisque la récidive n’est plus punie.
Le maire de Draguignan sans étiquette Richard Strambio, prudent, dit que la ville est trop pauvre pour accueillir encore des migrants.
Aussi le sous-préfet de Draguignan, Philippe Portal, a-t-il pensé à mettre les migrants un peu plus loin : il ne faut pas abuser des bonnes choses… Alors, pourquoi ne pas les envoyer au diable, euh, pardon, les mettre à Châteaudouble ?…
Châteaudouble est un village perché à 540 mètres d’altitude au bord d’une falaise, au dessus de la rivière Nartuby. Un havre de paix et de tranquillité dans lequel les habitants se livrent aux joies simples de la campagne. On y cultive l’olivier et la vigne. On y va à la pêche ou à la chasse. Ou à la cueillette des champignons. Ses passages voûtés, ses calades, ses nombreux restes templiers lui donnent un charme magique.
https://static.ripostelaique.com/wp-content/uploads/2018/07/Capturemigrants-600×268.png
Son église, ses trois chapelles, ses oratoires, sa tour sarrasine du VIIIe siècle faite pour voir arriver les envahisseurs Barbaresques et sonner l’alarme, marquent ses origines, difficilement conciliables avec l’islam.
Aussi les migrants ne sont-ils pas les bienvenus à Châteaudouble, qui a toujours résisté aux invasions. Le maire Georges Rouvier, sans étiquette, et aux affaires depuis longtemps, explique qu’il y a 480 habitants sur les lieux, 300 à Chateaudouble même, les autres dans le village de Rebouillon. Il n’a pas pu parler avec ses administrés, qui ont été prévenus par la presse. Il est bien forcé de dire qu’il « fait confiance », mais l’inquiétude transperce ses propos.
Quel mouche immigrationniste insensée a piqué Philippe Portal ?… Que feront les migrants à Châteaudouble, à part y mettre le bazar ?…
Pas d’emploi à part l’huile d’olive (non hallale) et la parfumerie (mais l’islam interdit de se parfumer). Les transports sont rares, surtout depuis l’effondrement de la D 955 reliant Châteaudouble à Draguignan à la suite de la crue de la Nartuby en juin 2010. Mais ne vous inquiétez pas : le problème de transport n’existe que pour les autochtones. Pour les migrants pas de problème, un minibus et un chauffeur seront à leur disposition.
Comment occupera-t-on les migrants et passeront-ils leur temps à aller à… Draguignan dont on voulait, justement, les éloigner ?…
A Châteaudouble, pas de collège encore moins de lycée, pas de médecin, il faut aller se faire soigner… à Draguignan, qui est à 25 km de petites routes sinueuses, à l’hôpital où récemment un « déséquilibré » a fait des siennes en criant allah akhbar et simulant un bruit d’explosion :
On mettra les migrants dans une maison de retraite achevée il y a peu de temps et convertie en centre d’accueil, avec 22 studios tous neufs et deux appartements. On ne dit pas qui paiera les charges, encore le con-tribuable ?…On ne dit pas non plus si les Châteaudoublains eux mêmes sont bien logés ?
A l’heure du pastis, les migrants seront malvenus sur la place du village, surtout s’ils troublent l’apéritif, souvent accompagné de saucisson (car on n’a pas toujours le temps de préparer l’aïoli, qui n’est jamais hallale non plus), par des menaces peu amènes et peu conviviales.
Mais, dira-t-on, les Châteaudoublains n’ont que ce qu’ils méritent : les 480 habitants ont voté massivement Macron au second tour des présidentielles en 2017.
Notez que Marine faisait de son côté 45 % des voix ce qui n’est pas si mal, 30 % au premier tour. Dix pour cent des électeurs ont donc fait la différence. Comme quoi nous sommes gouvernés par une minorité. Les Bolcheviques aussi étaient une minorité.
Il faudra que les habitants pensent sérieusement à trouver un autre candidat la prochaine fois, s’il est encore temps de préserver leur cadre de vie.
Non loin de là, un couple d’agriculteurs retraités de ma connaissance, doit se réjouir que la route soit coupée entre eux et Châteaudouble. Cela leur évitera peut-être les chapardages et autres « incivilités » habituelles des migrants. Cependant ils ne manqueront pas de se scandaliser du projet de donner 200 euros par mois à chaque migrant plus le gîte et le couvert. Eux ont une toute petite retraite bien qu’ils aient travaillé avec acharnement toute leur vie, et ils ont construit leur maison de leurs propres mains.
Ils aimeraient bien avoir autant que ces parasites ne fuyant aucune guerre, n’ayant jamais cotisé, et promis (promus?) à l’oisiveté faute de possibilités et de désirs d’intégration. L’oisiveté, mère de tous les vices…
Mettre des migrants à Châteaudouble, ou comment apporter dans les campagnes le désordre social, la délinquance, la criminalité même, après les avoir mis dans les villes, qui n’en peuvent plus.
Mettre des migrants à Châteaudouble, ou comment détruire la paix des lieux en y introduisant un assistanat injuste, au détriment des populations locales, et des revendications religieuses contraires à la laïcité et aux mœurs des lieux.
Mettre des migrants à Châteaudouble, et dans tous les petits villages tranquilles de France et de Navarre, ou comment détruire les bases d’une civilisation millénaire. Ou comment islamiser totalement le territoire.
Châteaudouble, ou comment détruire les campagnes, quand on a déjà détruit les villes.
La coupe est pleine et va bientôt déborder, comme la rivière Nartuby qui régulièrement emporte tout sur son passage. Mais elle, on la domestique, on l’endigue, on la canalise. Pas l’immigration.
Le sous-préfet lutte contre la Nartuby, mais ne lutte pas contre l’islamisation.
On dit que les habitants de Châteaudouble ont vaillamment résisté aux Romains (une bataille importante contre l’envahisseur romain a eu lieu dans le périmètre), et aux Allemands. Faisons-leur confiance pour résister encore et encore…
Sophie Durand