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« J’ai reçu une cinquantaine de coups de fil et messages, aux alentours de 22 h 15. Des gens qui s’étaient infiltrés sur certains réseaux sociaux utilisés par les émeutiers, et qui me disaient de faire attention. Quand j’ai vu de quoi il s’agissait, je me suis dit que ce n’était pas possible de voir ça, en 2023 ».
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Emeutes au matin du 2 juillet. L’Etat n’a toujours pas fait preuve de fermeté…. Résultat encore plus de saccages et de désolation dans de nombreuses villes françaises.
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++ WEBTUBE : Les jours prochains ne seront plus jamais comme avant. Les émeutiers ont été beaucoup plus loin que lors des émeutes de 2005. La défaillance de l’Etat et le peu de moyens de l’Etat français ont mis à jour une France faible sous dotée en moyens de maintien de l’ordre. Encore quelques jours sans réaction forte et déterminée de Macron et l’équilibre de notre pays sera rompu… Nous irons alors vers l’inconnu.. La France aura du mal a s’en remettre. Pourvu que la base des vrais français se réveillent…. mais alors là on pourra parler de guerre civile : émeutiers contre défenseurs de notre pays
Lever de soleil sur Brest, un panache de fumée rappelle les graves violences de la nuit #emeutes pic.twitter.com/p6snpmDJEH
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Aubervilliers : les émeutiers tirent leurs derniers mortiers sur le commissariat #emeutes pic.twitter.com/si2Ppj64t6
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Strasbourg : à la cité Cronembourg, les émeutiers disposent de puissantes "bombes" d'artifice auxquelles doivent faire face les forces de police #emeuteshttps://t.co/imIhIFBes2 pic.twitter.com/oWpJkmPkBQ
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Grigny (69) : un incendie se propage après le passage des émeutiers #emeutes https://t.co/imIhIFBes2 pic.twitter.com/qcucBorZcF
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Meudon-la-Foret (92) : affrontement avec les policiers, mortiers, incendies… #emeutes pic.twitter.com/FRSRjh5QLM
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Brest : un camion de pompier ciblé par un déluge de mortiers #emeutes pic.twitter.com/egtsuOeSS3
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Ivry-sur-Seine (94) : scènes de désolation après le passage des émeutiers #emeutes pic.twitter.com/n4vKTx9rdE
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Brest (29) : la police a dû affronter un véritable déluge de mortier #emeutes pic.twitter.com/CSJoC8uvTc
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Clamart (92) #emeutes pic.twitter.com/u2ln8MJ7GV
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Angers : Patriotes anti-casseurs (au fond) Vs Casseurs et Antifas #emeutes pic.twitter.com/JZXhhHSgXu
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Marseille : la police offensive mate les émeutiers #emeutes #nahel #emeute #nanterre #guerrecivile https://t.co/imIhIFBes2 pic.twitter.com/qHKZcKUoxG
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Rochechouart (87) : petite ville rurale de 3500 habitants #emeutes pic.twitter.com/rocLYM3cT5
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Cergy St Christophe (95) : les policiers tombent dans une embuscade #emeutes pic.twitter.com/SWxBYoMI4c
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Bourges (18) #emeutes pic.twitter.com/j7QsnOsqAn
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Pillage d'un magasin à Paris #emeutes pic.twitter.com/PbZZRWpt2v
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Répression féroce à #Marseille pic.twitter.com/n8eGcPIbV7
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Affrontements violents entre le Raid et les émeutiers du quartier #Cronenbourg pic.twitter.com/u2cmuYFEPS
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La Courneuve (93) : un émeutier habillé en policier interpellé #emeutes pic.twitter.com/uXaZz7JwvV
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🚨🇫🇷 FLASH | Affrontement entre émeutiers et les forces de l’ordre à #BourgEnBresse.
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(Témoin CF) #Émeutes pic.twitter.com/ffYiP803CR
Brest (29) : Incendie à la concession Renault à Pontanézen #emeutespic.twitter.com/LEc0twRhgM
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Meudon-la-foret (92) #emeutes pic.twitter.com/P2piz6fqty
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Le flux des nouvelles vidéos semble s’être (très) soudainement tari un peu avant 3 heures du matin alors qu’il était en accélération constante depuis plusieurs heures
Emeutes, incendies, pillages et violences urbaines en France : ces émeutiers qui abiment l’image de tous les immigrés !#emeutes #emeute #ViolencesUrbaines #racaille #pillage #pillages #Violence #France #incendies #GuerreCivile #francais #police #Nanterrepic.twitter.com/K3ZPagQjxN
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Cholet #emeutes pic.twitter.com/3HwhAA1VNb
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Cholet #emeutes pic.twitter.com/efcCMh9MCF
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#emeutes #grigny pic.twitter.com/LvKNTpMU9t
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🚨🇫🇷 FLASH | Juste après le pillage d’un Leclerc à #Bobigny, les forces de l’ordre et les émeutiers s’affrontent. #émeutes
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Millau dans l'Aveyron #Emeutes pic.twitter.com/HG3ZDc0s0J
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Images de pillage à Marseille #Emeutes #Nahel #Nanterre #Emeute https://t.co/imIhIFBes2 pic.twitter.com/hHcskI7iAQ
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🇫🇷 FLASH | Des tirs de mortiers sont également recensés à #Millau (12).
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🔴 Affrontements violents en cours dans le nord de #Paris : mortiers et barricades contre LBD et gaz. pic.twitter.com/3SJY3v67d5
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Bourg-en-bresse, partie II#emeutes pic.twitter.com/XwxbQDZzDP
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Seine-Saint-Denis : des tirs des forces de l'ordre, munitions inconnues #Émeutes #Nahel #Emeute #Nanterre https://t.co/imIhIFBes2 pic.twitter.com/9sfY2Nznz1
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Paris : des pillards tentent d'échapper aux policiers près des Champs Élysées #Emeutes #Nahel #Emeute #Nanterre https://t.co/imIhIFBes2 pic.twitter.com/DZX91XW8qg
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#Drôme
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Violences urbaines : intenses émeutes dans le quartier de la Monnaie à #RomansSurIsère https://t.co/CgKkFaY5pD
🇫🇷🚨FLASH – À Porte de Vincennes, à #Paris. La police se replie sous les tirs de mortiers #Emeute #Emeutes #RIPTwitter pic.twitter.com/4m6n4yn7RD
— Infos Émeutes 🇫🇷 (@InfosEmeutes) July 1, 2023
Marseille : pillage d’un concessionnaire Volkswagen #Emeutes #Nahel #Emeute #Nanterre https://t.co/imIhIFBes2 pic.twitter.com/37FLWIlm1K
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#elbeuf #emeutes pic.twitter.com/L2TNrNE7oE
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Eric Zemmour : Les banlieues sont gorgées d’allocations sociales et de privilèges
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Éric Zemmour demande une répression féroce contre les émeutiers pour rétablir l’ordre et la paix. Il demande également l’arrêt total de l’immigration qui ne fait que nourrir les rangs des émeutiers qui pillent et ravagent la France. Éric Zemmour accuse aussi Jean-Luc Mélenchon, LFI et la gauche d’avoir favorisé cette situation de sécession dans les banlieues en flattant cet électorat. Pour finir, Éric Zemmour a rappelé tout son soutien aux policiers qui luttent pour maintenir l’ordre dans ces quartiers malgré la lâcheté de leurs dirigeants. Inscrivez-vous pour tout savoir de son livre, de ses confidences et de la suite des événements : https://www.jenaipasditmonderniermot.fr Adhérez ou réadhérez à Reconquête maintenant pour soutenir mon action : https://www.parti-reconquete.fr/adhes…


Macron, un bonimenteur qui nous ruine et nous mène à la guerre civile
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1) En 2017 notre Mozart de la finance avait fait campagne sur son sérieux budgétaire.
Résultat : la dette publique s’est alourdie de 750 milliards en six ans et la France décroche totalement au sein de l’UE. En moyenne, la dette française augmente de 10 milliards par mois. Où va l’argent puisque plus rien ne fonctionne correctement ?
Mais pour le premier trimestre 2023, c’est pire. La dette a augmenté de 21 milliards par mois, portant l’endettement à 3013 milliards. Et c’est un ex-banquier d’affaires de chez Rothschild qui nous gouverne !
Si on mesure l’augmentation de la dette depuis que Macron a été nommé ministre de l’Économie par Hollande, on voit que le fardeau est passé de 2000 à 3000 milliards depuis l’été 2014. Aucun pays n’a fait pire.
En 2026, tous les pays auront un déficit public inférieur à 3%, sauf la France. Nous sommes le cancre de l’UE. La caisse est tenue par des irresponsables nuls en maths.
La grande ambition de Macron et Élisabeth Borne est d’économiser 10 milliards sur le budget de l’État. Encore une vaste fumisterie, puisque sur ces 10 milliards, 7 proviennent de la suppression de certaines niches fiscales. Autrement dit, ces fausses économies ne sont rien d’autre qu’une augmentation d’impôts pour les bénéficiaires de ces niches.
Au 31 décembre 2022, la dette atteignait 111,8% du PIB. Au 31 mars 2023, elle représente 112,5% du PIB. À vrai dire, de Le Maire à Macron en passant par Borne, tout le monde s’en fout. On dépense sans compter. “Après moi le déluge” est la devise élyséenne.
Pour mémoire, nous engloutissons 10 milliards par an dans les banlieues avec le succès que l’on sait. Et cela dure depuis quarante ans ! Les mineurs isolés coûtent 2,5 milliards aux départements et l’AME dépasse le milliard par an.
Les intérêts de la dette, environ 50 milliards, sont supérieurs au budget Défense et vont grimper à 70 ou 80 milliards avec la hausse des taux, autour de 3%. Autant dire qu’avec une croissance anémique, la situation ne peut qu’empirer. Les générations futures paieront.
2) Mais non content de nous ruiner, Macron nous mène à la guerre civile.
En 2016, le candidat antisystème déclarait, à propos des banlieues abandonnées par ses prédécesseurs :
“Ce sont leur modèle et leurs recettes qui ont échoué”.
On voit combien la méthode de notre génie de la politique a fait merveille.
Au 4e jour d’émeutes après la mort d’un mineur délinquant à Nanterre, tué pour refus d’obtempérer, 45 000 policiers et gendarmes sont mobilisés. C’est deux fois plus qu’en 2005. Il va falloir recruter massivement dans les forces de l’ordre ! D’autant plus que toutes les villes dont les maires vénèrent l’immigration appellent au secours et réclament des renforts après les exactions, comme à Marseille ou à Lyon.
58 commissariats et gendarmeries attaqués. Des quartiers transformés en zone de guerre, des tirs à la Kalachnikov signalés à Lyon, des tirs à la grenaille sur les policiers. Voitures et bâtiments incendiés, mairies attaquées, écoles et installations publiques détruites. Scènes de pillages généralisées. Voilà où mène la politique laxiste de Macron. C’est beau et enrichissant le multiculturalisme !
Il avait promis 15 000 places de prison en cinq ans. 2000 sont sorties de terre, issues de vieux projets, mais les nouvelles places sont dorénavant promises pour 2027 ! Avec Macron, on promet et on oublie.
Macron a toujours refusé d’appliquer les seules solutions capables de mettre au pas les rebelles de la République. Si on n’attaque pas les familles au portefeuille, en se contentant d’un simple rappel à la loi, tout va empirer.
Tolérance zéro pour les mineurs, avec suppression des allocations et aides sociales aux familles démissionnaires
Suppression du droit du sol
Déchéance de la nationalité française pour les criminels binationaux
Peines plancher systématiques et incompressibles, sans que les juges puissent s’y opposer
Arrêt de l’immigration de masse
Limitation drastique du regroupement familial
Interdiction de régulariser les clandestins
Demandes d’asile impérativement délocalisées dans nos consulats à l’étranger
Révision des conditions d’attribution de nos 900 milliards de social, bradés à tout-va
Révision des conditions de naturalisation
Suppression des visas et suspension des accords bilatéraux pour tous les pays refusant de coopérer pour les expulsions du territoire
etc.
“On peut toujours, il suffit de vouloir”. Il faut 6 mois pour rétablir l’ordre dans les cités et mettre les délinquants au pas.
Macron n’est qu’un faible qui laisse détruire la France. En 2017 il a bénéficié d’un coup d’État politico-judiciaire pour prendre le pouvoir. Et en 2022, il a joué sur les peurs, face à Marine Le Pen. Facile, avec un électorat naïf et conditionné par les médias de gauche.
En attendant, notre nation millénaire est au bord du précipice, abandonnée par une droite trop lâche pour réagir, trahie par la gauche révolutionnaire et menacée par une frange de l’immigration qui a la haine de la France et rêve d’islamiser le pays. Voilà le bilan de la mondialisation heureuse. Puisse cet embrasement du pays ouvrir les yeux des inconditionnels du multiculturalisme.
Macron, encore plus dangereux que ses prédécesseurs, accélère le déclin vers le point de non retour. Les années de la France sont comptées et elle ne sortira pas du piège mondialiste sans que le sang ne coule, je le crains.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque


Guerilla, de Laurent Obertone : la France peut-elle s’effondrer en trois jours ?
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++ WEBTUBE : Toujours cette France qui excuse tout et surtout qui s’excuse à tout bout de champ. On a créé une génération de pleureuses et d’assistés !
Il n’y a pas de morale à cette histoire. C’est juste une histoire noire, violente, sanglante même, qui nous fait prendre conscience que notre monde actuel est fragile comme un château de cartes.
On trouve dans ce livre les mêmes personnes que nous croisons au quotidien : les islamo-racailles, qui écrasent des individus pacifistes et déconnectés, les Français (des agressions que l’on connaît déjà trop bien sauf que tout s’accélère puisque le chaos arrive en trois jours).

Laurent Obertone explique avec talent que ces derniers qui ont été abreuvés pendant quarante ans d’analyses, de psychanalyses, d’expertises, de journaux télévisés, de campagnes publicitaires antiracistes, d’Etat de droit, de droits de l’Homme… sont devenus des victimes parfaites.
Il y a donc ces barbares, qui tuent, violent, pillent, brûlent vif, dans Paris et sa banlieue, mais aussi dans Marseille, Lyon, Montpellier, Lille, Calais, Brest, et dans bien d’autres endroits, même les plus reculés.
Certains seront rapidement éliminés : les militants antiracistes et droits-de-l’hommistes, qui, animés par la haine de soi et de leurs semblables, à peine caricaturés, trouvent toutes les excuses du monde aux acteurs du chaos ; et les gens, indifférents au monde qui les entoure, et qui, de fait, n’ont rien vu venir.
Puis, il y a ceux qui par la niaque, l’instinct de survie ou un concours de circonstances, survivront au moins pour un temps.
Et cet homme isolé, qui sait qu’il va mourir mais qui, avant cela, va faire payer très cher à ceux qui ont contribué au désastre : les élites. Il agit froidement, pour ne pas leur laisser cette chance d’une fuite organisée.
Tous ces acteurs décrits dans ce livre sont désespérément seuls. Il n’y a même plus ni police, ni armée, ni Etat. Et la fin du roman est sans espoir.
La question n’est pas de savoir si ce jour arrivera ou pas, les faits divers témoignent qu’on en prend dangereusement le chemin (voir l’épisode de Viry-Châtillon). Le plus préoccupant est de savoir quels personnages nous serons.
Je n’aime pas l’image de cette France chaotique décrite par Laurent Obertone dans “Guerilla”. Mais malheureusement je crois tous les jours de plus en plus à ce scénario cauchemardesque d’une France qui pourrait s’effondrer comme un château de cartes en trois jours.
Si les Français veulent éviter la catastrophe que décrit si bien Laurent Obertone, il convient, donc, d’ores et déjà, de s’organiser, pour en sortir vivants et victorieux.
Or, je déplore, dans ce scenario très pessimiste, que, contrairement au magnifique livre d’Emmanuel Albach, “Le Grand Rembarquement”, il n’y ait aucune réaction collective des nôtres.
Un peuple français en armes, répondant à l’agression d’une cinquième colonne conquérante, voilà un scénario que ce remarquable livre, qu’il faut lire et faire connaître, justement pour discuter de cela, n’a hélas pas prévu.
Ghislaine Dumesnil, Riposte Laïque


Nanterre : le face-à-face approche, Collomb avait raison
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Nanterre : le face-à-face approche. La mort de Nahel n’est qu’un prétexte
L’immigration de masse qui ne s’intègre plus mène la France au chaos racial.
En réclamant l’état d’urgence, Zemmour en appelle à la fermeté d’un État démissionnaire, dont la couardise mène à la déflagration de la nation.
“Cette nuit, les enclaves étrangères ont encore montré de quoi elles étaient capables : émeutes, attaques, incendies, pillages, saccage des services publics que nous finançons par milliards depuis tant d’années. Comme toujours, c’est la soumission qui excite les criminels. Celle du gouvernement et de la gauche a une immense part de responsabilité. Seule la fermeté pourra ramener l’ordre et la paix. Je réclame la mise en place de l’état d’urgence dès ce soir.”
Si la mort d’un mineur est toujours une tragédie, rien n’autorise l’embrasement du pays et la négation de l’État de droit.
La France est en train de crever de son immigration, dont une large part ne s’intègre plus, reste hostile à la République et considère la police non pas comme une bande rivale, comme les Bisounours essaient de le faire croire, mais comme des ennemis. Pour certains malfrats, tuer un policier serait un haut fait d’armes. Dans les manifestations qui dégénèrent, il y a des tueurs potentiels qui rêvent de “se faire un flic”, tout policier le sait. La haine de la France est bien réelle chez de nombreux immigrés pourtant français, ou plutôt binationaux.
Assez de sanglots à sens unique. Quand un policier est transformé en torche vivante avec un cocktail Molotov, je n’entends pas beaucoup la classe politique s’émouvoir. Quand une quinzaine de policiers et gendarmes sont tués chaque année dans l’exercice de leur fonction, je n’entends jamais l’Assemblée nationale réclamer une minute de silence. L’union sacrée dans la compassion et l’émotion, c’est réservé à certaines victimes jugées davantage politiquement correctes que d’autres. Cette indignation à géométrie variable est dramatique et porteuse de lendemains éminemment tragiques. Nos élus ne savent plus ce qu’ils font.
Nahel ne doit pas faire oublier Lola ou les bébés poignardés à Annecy.
https://mail02.orange.fr/appsuite/#!&app=fr.in8/mail/compose
Il n’y a rien de pire que cette différence de traitement médiatique pour disloquer la nation et distiller le poison de la haine entre communautés. Il n’y aura jamais d’intégration si l’antiracisme alimente le droit à la différence, qui mène inexorablement à la différence des droits.
Souvenez-vous de Darmanin, qui s’était précipité à Rennes pour transmettre sa compassion à la communauté musulmane, pour 3 tags découverts sur une mosquée, alors que 20 églises brûlent chaque année dans l’indifférence générale. C’est cette soumission qui est pitoyable.
À Nanterre, la marche blanche a été autorisée, mais à Annecy, elle a été interdite. Pourquoi ?
Pour la petite Lola, 12 ans, violée, torturée avec la pire barbarie, pas de minute de silence. Pourquoi ?
Les multiples lois antiracistes, en combattant le racisme à sens unique, ne font que disloquer la nation.
Trente années de laxisme, de renoncement par lâcheté, de démission collective de la classe politique, ont conduit la France au bord du chaos racial et même de la guerre civile. Tout cela a été annoncé depuis des lustres. Il suffit de se remémorer les craintes de Michel Poniatowski, qui nous promettait en 1991 des Saint-Barthélémy si l’immigration africaine n’était pas stoppée.
Le général de Gaulle ne disait pas autre chose en rappelant que les immigrés étaient les bienvenus, “mais à condition qu’ils restent une petite minorité. Sinon, la France ne serait plus la France. Nous sommes quand même avant tout un peuple européen de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne.”
Mais quelle personnalité politique, parmi celles qui se disent gaullistes, adhère aujourd’hui à ces paroles de sagesse ? Il y a bien longtemps que nos élites ont abandonné la France aux délires mondialistes. Poniatowski et de Gaulle étaient-ils des salauds et d’immondes racistes d’extrême droite ? Un peu de décence.
Ce que la France vit à Nanterre, et qui pourrait contaminer tout le pays, est le scénario habituel bien rôdé :
Un délinquant est tué par la police ou se tue dans une course poursuite, avant toute enquête la version de la bavure policière se propage sur les réseaux, aussitôt les cités s’embrasent pendant plusieurs jours et le pouvoir désemparé tente de calmer les émeutiers. Il en est ainsi depuis que la délinquance a explosé avec l’immigration et que des ghettos se sont constitués. Toutes ces émeutes n’existaient pas dans les années soixante, quand la délinquance était cinq fois moindre.
Éric Zemmour a fourni tous les chiffres officiels prouvant ce lien incontestable entre l’insécurité et l’immigration de masse, réalité évidemment niée par la bien-pensance. Consultez les tableaux, ils sont accablants.
Et pour éviter la contagion, l’exécutif s’empresse de condamner la police, donnant raison aux révoltés. Car dans notre démocratie modèle, la présomption d’innocence n’existe pas pour un policier. “Inexcusable” a dit Macron !
“L’intervention n’était manifestement pas conforme aux règles”, a ajouté Élisabeth Borne.
Par peur d’un embrasement de type 2005, le policier de Nanterre est déjà condamné au sommet de l’État, sans la moindre enquête. C’est ignoble, lâche au possible et surtout totalement antirépublicain !
Rappelons qu’il y a 25 000 refus d’obtempérer chaque année, des situations pas toujours faciles à gérer. Rappelons aussi que dans les années soixante, les refus d’obtempérer étaient anecdotiques. Le laxisme judiciaire encourage la délinquance, la tolérance zéro y met fin. Les sociétés ont le niveau de sécurité qu’elles décident.
Pour mémoire, en 1914, on écopait de 50 ans de bagne pour un vol de bicyclette. Nous sommes tombés d’un excès dans l’autre. Mais il n’y aura jamais de sécurité sans fermeté. Seule la certitude de la réponse pénale ramène les voyous dans le droit chemin. C’est le b-a-ba judiciaire depuis la nuit des temps, que nous avons oublié.
“Rien ne justifie la mort d’un jeune” déclare Emmanuel Macron. Mais est-ce que la mort d’un délinquant refusant d’obtempérer justifie l’embrasement d’une quarantaine de villes de Seine-Saint-Denis, du Val-de-Marne, des Hauts-de-Seine et de province ? À défendre l’indéfendable, les incendies, les destructions, les pillages et violences en tous genres, c’est la guerre civile que nous prépare ce pouvoir irresponsable. Aucun drame ne justifie des émeutes à travers la France.
Le gouvernement connaît très bien cette menace. C’est d’ailleurs pour cela que Macron a désarmé les citoyens, mais en se gardant bien d’aller vider les caves des cités, qui regorgent de milliers d’armes à feu et d’armes de guerre. Il y a longtemps que les Balkans alimentent les cités.
Le drame de ce pays est que l’extrême-gauche propage en permanence la petite musique des “violences policières”, distillant la haine de la République et des forces de l’ordre dans le cœur des cités.
“La police raciste”, “la police tue”, sont des slogans d’extrême gauche que le pouvoir ne dénonce ni ne sanctionne jamais. Il a bien trop peur et craint bien davantage l’extrême gauche que l’extrême droite.
Qui défend l’ordre républicain et assure la sécurité des citoyens ? Qui protège Macron avec des milliers de fonctionnaires à chacun de ses déplacements ? Qui va assurer la sécurité des JO en 2024 ? Aucun pays ne peut se passer d’un minimum d’ordre sans sombrer dans l’anarchie et la guerre civile.
Mais Macron préfère faire la guerre à la Russie alors que la guerre civile menace chez nous ! Son ancien ministre de l’Intérieur l’a mis en garde en 2018. Depuis, il est resté les bras ballants, espérant éviter les émeutes généralisées.
Ignore-t-il que les forces de l’ordre, méprisées et déconsidérées, lâchées par leur hiérarchie, privées de la présomption d’innocence au moindre incident, ont de plus en plus de mal à recruter ? Ignore-t-il que les démissions au sein de la police et de la gendarmerie ont augmenté de 30 % en quatre ans ?
Bientôt, les métiers de policier, d’enseignant, de pompier, de soignant, seront délaissés car soumis à une violence insupportable et cautionnée par le laxisme d’un exécutif et d’une justice toujours prêts à disloquer la nation au nom d’une idéologie mondialiste mortelle.
Dans très peu de temps, cet aveuglement suicidaire des élites fera que le pays sera totalement hors de contrôle. Dans deux, cinq ou dix ans, la France va se désintégrer pour avoir cru que les cultures peuvent se mélanger en toute harmonie.
Mais quand les 3/4 des jeunes musulmans placent leur religion au-dessus de la République, il n’y a plus d’harmonie possible. C’est le choc des cultures.
La prédiction de Gérard Collomb, annonçant un face-à-face entre communautés, ne cesse de se confirmer. Si Macron refuse de rétablir l’ordre républicain dans les cités, il connaîtra un remake des émeutes de 2005, en bien pire, avant la fin de son mandat. La France est mal partie.
Jacques Guillemain, Riposte Laïque


Nanterre : la police abat un rabza qui cherchait à fuir
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Aux États-Unis, la police est légalement autorisée à abattre sur le champ un fuyard qui peut être dangereux pour la société. C’est un non sujet là-bas.
Mais nous sommes en Fronsse….. Terre où l’on peut faire ce qu’on veut sur le dos des français sans être inquiété. Qu’on les laisse s’amuser, prendre du bon temps en France et faire leurs trafiques. C’est quasi légal, on risque peu et ça rapporte beaucoup !
Un refus d’obtempérer ne peut pas être une condamnation à mort. Pour personne. Jamais. #Nanterre https://t.co/a4pnU8ewz4
— Sandrine Rousseau (@sandrousseau) June 27, 2023
La position à adopter : ni racaille, ni flicaille.
Les domestiques de Gérald Darmanin et de cet état faible et irresponsable, si prompts à casser du « facho », vont pouvoir se divertir avec la gauche radicale et leurs amis afro-musulmans.
Ils se méritent.
Lu (en partie) dans D.P.


650 personnalités du showbiz, du monde intellectuel et de la grande bourgeoisie de gauche signent une tribune contre Geoffroy Lejeune
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++ WEBTUBE : Vous savez maintenant où se trouvent les collabos ! Vous avez maintenant la liste des personnes à boycotter. Gardez la bien précieusement elle pourrait resservir dans quelques années.
Sidérés et inquiets qu’un appui revendiqué d’Eric Zemmour prenne la direction du Journal du dimanche (JDD), nous soutenons la rédaction de ce dernier dans son combat. Depuis le jeudi 22 juin et l’information du journal Le Monde confirmée le lendemain par la direction du groupe Lagardère, les équipes du JDD sont en grève pour protester contre la nomination de Geoffroy Lejeune, qui dirigeait jusqu’à très récemment l’hebdomadaire d’extrême droite Valeurs actuelles, condamné sous sa direction pour injures publiques à caractère raciste.
Acteurs du monde politique, économique, social, culturel, associatif ou sportif, nous ne pouvons nous résoudre à voir ce rendez-vous dominical de référence véhiculer des opinions contraires aux valeurs républicaines qu’il porte depuis soixante-quinze ans. Qu’on l’aime ou qu’on ne l’aime pas, qu’on le lise ou qu’on ne le lise pas, le JDD, avec ses qualités et ses défauts, est toujours resté attaché à la diversité des opinions. Il ne peut devenir un journal au service des idées d’extrême droite.
Brutalité
Deux semaines après le feu vert sous conditions de la Commission européenne pour l’offre publique d’achat de Vivendi sur Lagardère, qui s’inscrit dans un mouvement plus vaste de concentration des médias, cette décision radicale laisse augurer une transformation à marche forcée dont l’homme d’affaires Vincent Bolloré est coutumier. Une brutalité dont ont déjà été victimes les rédactions de Canal+, d’i-Télé (devenue CNews), d’Europe 1 et de Prisma Presse.
Remettre en question l’indépendance éditoriale d’un journal quel qu’il soit est une atteinte à l’équilibre démocratique, dont l’un des socles est la liberté de la presse. Inquiets pour les salariés, nous le sommes également pour la pérennité du titre, cette arrivée contestée d’un nouveau directeur de la rédaction étant de nature à repousser lecteurs et annonceurs.
Pour la première fois en France depuis la Libération, un grand média national sera dirigé par une personnalité d’extrême droite. Un dangereux précédent qui nous concerne tous.
La liste intégrale des 651 signataires :
- Dominique A, chanteur
- Rodéric Aarsse, secrétaire régional EELV d’Île-de-France
- Élisabeth Abanda-Ayissi, co-responsable de la commission antiracisme d’EELV
- Hicham Abdelmoumen, avocat
- Jean-Felix Acquaviva, député Liot de Haute-Corse
- Laure Adler, journaliste, essayiste
- Patrick Aeberhard, ex-président de Médecins du monde
- Philippe Aghion, économiste
- Éric Alauzet, député Renaissance du Doubs
- Arié Alimi, avocat
- Mathieu Amalric, comédien et réalisateur
- Santiago Amigorena, réalisateur de cinéma, écrivain
- Christine Angot, écrivain
- Franck Annese, patron de So Press
- Rodrigo Arenas, député LFI de Paris
- Elise Arfi, avocate
- Swann Arlaud, acteur
- Juliette Armanet, musicienne
- François Astorg, maire d’Annecy
- Joël Aviragnet, député PS de Haute-Garonne
- Yann Arthus-Bertrand, photographe et réalisateur
- Ariane Ascaride, actrice
- Brahim Asloum, ancien boxeur
- David Assouline, sénateur socialiste
- Jacques Attali, écrivain et économiste
- Yves Aubin de La Messuzière, ancien ambassadeur, président d’honneur de la Mission laïque française
- Manon Aubry, députée européenne LFI
- Martine Aubry, maire de Lille
- Clémentine Autain, députée LFI de Seine-Saint-Denis
- Isabelle Autissier, navigatrice et autrice
- Jean-Marc Ayrault, ancien Premier ministre
- Anne-Laure Babault, députée MoDem de Charente-Maritime
- Gilles Babinet, entrepreneur
- Élisabeth Badinter, philosophe
- Pénélope Bagieu, autrice de bandes dessinées
- Erwan Balanant, député MoDem du Finistère
- Laurent Ballesta, photographe et biologiste marin
- Thomas Bangalter, musicien
- Géraldine Bannier, députée MoDem de Mayenne
- Julien Baraillé, conseiller régional PS d’Occitanie
- Thibaud de Barbeyrac, rédacteur en chef à France-Télévisions
- Emmanuelle et Ghislain Bardout, explorateurs
- Jeanne Barseghian, maire de Strasbourg
- Patrick Baruel, chef d’entreprise
- Nathalie Bassire, députée Liot de La Réunion
- Patrick Baudoin, président de la Ligue des droits de l’homme
- Julien Bayou, député EELV de Paris
- Baptiste Beaulieu, médecin et romancier
- Mathieu Beaulieu, écrivain
- Clémence Bectarte, avocate et coordinatrice du groupe d’action judiciaire de la FIDH
- Célia Belin, directrice du European Council of Foreign Relations à Paris
- Aurélien Bellanger, écrivain
- Éric Bellion, navigateur
- Jean Bellorini, metteur en scène
- Tahar Ben Jelloun, écrivain
- Fanta Berete, députée Renaissance de Paris
- Laurent Berger, ancien secrétaire général de la CFDT
- François Berléand, acteur
- Nathalie Berliet, relations extérieures et business développement
- Charles Berling, acteur
- Marie-Julie Bernard, maîtresse de conférence en droit public à Sciences-Po Grenoble
- Philippe Berta, député MoDem du Gard
- Frank Berton, avocat
- Olivier Besancenot, ancien candidat à l’élection présidentielle, ancien porte-parole du NPA
- Andréa Bescond, réalisatrice, autrice
- Olivier Bétourné, éditeur, historien, ancien président des Éditions du Seuil
- François Billig, chef d’entreprise (Acrotec)
- Enki Bilal, auteur de bande dessinée
- Didier Billion, géopolitologue
- Sophie Binet, secrétaire générale de la CGT
- Julie Birmant, auteure de bande dessinée
- Karim Émile Bitar, professeur à l’université Saint-Joseph de Beyrouth
- Avi Bitton, avocat
- Jean-Pierre Blanc, directeur de la villa Noailles
- Pascal Blanchard, historien
- Jean-Marc Bloch, ancien chef d’état-major de la direction de la police judiciaire
- Patrick Bloche, adjoint au maire de Paris
- Adrien Bosc, écrivain et éditeur
- Alice Bosler membre du bureau exécutif régional d’Île-de-France EELV
- Élodie Bouchez, comédienne
- Nabil Boudi, avocat
- Hicham Boujlilat, vice-président du conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté
- Romain Boulet, avocat et président de l’Association des pénalistes de France
- Mickaël Bouloux, député socialiste d’Ille-et-Vilaine
- Morgan Bourc’his, apnéiste
- William Bourdon, avocat
- Yvan Bourgnon, navigateur
- Brigitte Bourguignon, ancienne ministre de la Santé
- Jean-Louis Bourlanges, président de la commission des Affaires étrangères à l’Assemblée nationale
- Soumya Bourouaha, députée communiste de Seine-Saint-Denis
- Marion Bousquet, conseil national PS
- Fabrice Bousteau, directeur de la rédaction de Beaux-Arts Magazine et commissaire d’exposition
- Yassine Bouzrou, avocat
- José Bové, ancien député européen, syndicaliste, paysan
- Louis Boyard, député LFI du Val-de-Marne
- Raphaëlle Branche, historienne guerre d’Algérie
- Vincent Brengarth, avocat
- Pascal Brice, président de la Fédération des acteurs de solidarité, ex-directeur de l’Ofpra
- Jean-Louis Bricout, député Liot de l’Aisne
- Geneviève Brisac, écrivaine
- Claire Brisset, journaliste et ex-défenseure des droits de l’enfant
- Antoine Bristielle, directeur de l’observatoire de l’opinion de la Fondation Jean-Jaurès
- Stéphane Brizé, réalisateur
- Gérald Bronner, sociologue
- Ian Brossat, maire adjoint de Paris, porte-parole du PCF
- Colombe Brossel, adjointe à la maire de Paris
- Pascal Bruckner, philosophe
- Sylvie Brunet, députée européenne, groupe Renew
- Anne-Lorraine Bujon, directrice de la rédaction de la Revue Esprit
- Marie Burguburu, avocate
- Daphné Bürki, journaliste
- Loïc Bussy, avocat
- Dominique Cabrera, réalisatrice
- Julia Cagé, économiste
- Sophie Caillat, éditrice
- Laure Calamy, actrice
- Sophie Calle, artiste plasticienne
- Jean-Christophe Cambadélis, ancien premier secrétaire du Parti socialiste
- Yves Camdeborde, chef cuisinier
- Robin Campillo, réalisateur
- Pascal Canfin, député européen, groupe Renew
- Laurent Cantet, cinéaste
- Yves-Marie Cann, managing director de FGS Global
- Christian Carion, réalisateur
- Christophe Cariou-Martin, avocat
- Marie-Arlette Carlotti, sénatrice PS
- Muriel Casalaspro, conseillère régionale d’Île-de-France
- Philippe Cassard, chanteur
- Christophe Castaner, ancien ministre de l’Intérieur
- Michel Castellani député Liot de Haute-Corse
- Jean-Victor Castor, député GDR de Guyane
- Nicole Catheline, pédopsychiatre
- Olivia Cattan, fondatrice de SOS Autisme
- Jean Cavé, ancien rédacteur en chef du JDD de 1989 à 2000
- Jean-Michel Claverie, professeur de médecine, Aix-Marseille Université
- Bernard Cazeneuve, ancien Premier ministre
- Hamid Chabani, conseiller départemental de Seine-Saint-Denis
- Catherine Chabaud, navigatrice
- Benoît Chabert, avocat
- Sorj Chalandon, auteur
- Léa Chamboncel, journaliste politique, autrice et fondatrice du média Popol
- Bertrand Chameroy, journaliste et chroniqueur
- L’association La Chance pour la diversité dans les médias
- Boris Charmatz, chorégraphe
- Océane Charret-Godard, vice-présidente du conseil régional BFC
- André Chassaigne, député du Puy-de-Dôme et président du groupe Gauche démocrate et républicaine à l’Assemblée nationale
- Clara Chassaniol, députée Renaissance de Paris
- Éric de Chassey, directeur honoraire de la Villa Médicis
- Cyrielle Châtelain, députée EELV de l’Isère
- Philippe Chiambaretta, architecte
- Kader Chibane, conseiller régional d’Île-de-France
- Raphaël Chiche, avocat
- Jean-Loup Chiflet, éditeur et écrivain
- Jean-Christophe Choblet, scénographe et urbaniste
- Léo Christophe, conseiller national des Jeunes Socialistes
- Ilana Cicurel, députée européenne, groupe Renew
- Aya Cissoko, ancienne championne du monde de boxe
- Marc Citti, acteur et metteur en scène
- Pascale Clark, journaliste
- Philippe Claudel, écrivain
- Coco, dessinatrice de presse
- Franck Cognard, journaliste à France Inter
- Élie Cohen, économiste
- Olivier Cohen, éditeur et fondateur des Éditions de l’Olivier
- Patrick Cohen, journaliste
- Daniel Cohn-Bendit, ancien député européen
- Paul-André Colombani, député Liot de la Corse-du-Sud
- Robert Combas, peintre
- Patrick Communal, avocat, juriste bénévole droit d’asile
- Éric Coquerel, député LFI de Seine-Saint-Denis et président de la commission des Finances
- Alexis Corbière, député LFI de Seine-Saint-Denis
- Alexandra Cordebard, maire du 10e arrondissement de Paris
- Antony Cordier, réalisateur
- David Cormand, député européen EELV
- Dominique Corona, secrétaire général adjoint de l’Unsa
- Mickaël Cosson, député MoDem des Côtes d’Armor
- Anne-Gaëlle Courty-Ahmed, conseillère municipale PS à La Garenne-Colombes
- Laurent Croizier, député MoDem du Doubs
- Philippe Crouzet, ex-président du directoire de Vallourec
- François Damerval, conseiller régional EELV d’Île-de-France
- Sarah Daninthe, médaillée olympique d’escrime
- Emmanuel Daoud, avocat
- Alain David, député socialiste de Gironde
- Hendrick Davy, député LFI de Guyane
- Caroline De Haas, militante féministe
- Pierre Debuisson, avocat
- Léon Deffontaines, porte-parole du PCF
- Béatrice Descamps, députée Liot du Nord
- Philippe Dehapiot, avocat
- Constance Delacoux, avocate
- Michaël Delafosse, maire de Montpellier
- Bertrand Delanoë, ancien maire de Paris
- Arthur Delaporte, député socialiste du Calvados
- Stéphane Delautrette, député socialiste de Haute-Vienne
- Benoît Delépine, réalisateur
- Philippe Delerm, écrivain
- Vincent Delerm, chanteur
- Émilie Deleuze, réalisatrice
- Jean-François Delfraissy, professeur de médecine
- Carole Delga, présidente de la Région Occitanie
- Karima Delli, députée européenne EELV
- Laurent Delmas, journaliste
- Mathilde Desjonquères, députée MoDem du Loir-et-Cher
- Marie Desplechin, écrivaine
- Pierre Dharréville, député communiste des Bouches-du-Rhône
- Richard Di Rosa, artiste sculpteur
- Alain Dinin, PDG de Nexity
- Cyril Dion, réalisateur
- Audrey Diwan, réalisatrice
- Benjamin Djiane, vice-président de Territoires de Progrès, membre du Bureau exécutif de Renaissance
- Marie-Claire Donnen, conseillère régionale Grand-Est
- Valérie Donzelli, actrice, réalisatrice
- Jade Dousselin, avocate
- Grégory Doucet, maire de Lyon
- Jade Dousselin, avocate
- Jean Dubet, sociologue, ancien directeur d’études à l’École des hautes études en sciences sociales (EHESS)
- Michel Duclos, essayiste, ancien ambassadeur de France en Syrie
- Cécile Duflot, directrice générale d’Oxfam, ancienne ministre du logement
- Corinne Duguay-Assouline, chef d’entreprise
- Patrice Duhamel, journaliste
- Jean-Luc Dumesnil , conseiller régional EELV d’Île-de-France
- Jean-Marc Dumontet, directeur de théâtres
- Tim Dup, auteur-compositeur-interprète
- Guillaume Durand, adjoint au maire du 14e arrondissement de Paris
- Sarah Durocher, présidente du Planning familial
- Inaki Echaniz, député socialiste des Pyrénées-Atlantiques
- Lamia El Aaraje, ancienne députée PS, adjointe à la maire de Paris
- Hakim El Karoui, consultant et essayiste
- Myriam El Khomri, ancienne ministre du Travail, directrice conseil chez Siaci Saint Honoré
- Laurent Escure, secrétaire général de l’Unsa
- Laurent Esquenet-Goxes, député MoDem de Haute-Garonne
- Lamya Essemlali, militante écologiste
- Camille Étienne, militante écologiste
- Laurence Farreng, députée européenne, groupe Renew
- Éric Fassin, sociologue
- Olivier Faure, premier secrétaire du Parti socialiste, député de Seine-et-Marne
- Carolina Faye, coresponsable de la commission antiracisme d’EELV
- Jean-Marc Fedida, avocat
- Rémi Feraud, sénateur PS de Paris, président du groupe Paris en commun au conseil de Paris
- Marc Ferracci, député Renaissance des Français établis hors de France
- Pascale Ferran, cinéaste
- Andréa Ferréol, comédienne
- Jean-Pierre Feret, journaliste, chef de rubrique à TF1
- Nicolas Ferrière, directeur de cabinet
- Aurélie Filippetti, ancienne ministre de la Culture
- Violaine de Filippis, avocate et militante féministe
- Léa Filoche, coordinatrice nationale de Génération·s, adjointe à la maire de Paris chargée des Solidarités
- Gilles Finchelstein, secrétaire général de la Fondation Jean Jaurès
- Alain Fischer, professeur émérite au Collège de France
- Laurence Fischer, triple championne du monde de karaté et fondatrice de Fight for dignity
- Giulia Foïs, journaliste et productrice à France Inter
- Anne Fontaine, réalisatrice
- Éric Fottorino, cofondateur de Le 1 et de Zadig
- Charles Fournier, député EELV d’Indre-et-Loire
- Irène Frachon, pneumologue
- Dan Franck, écrivain, scénariste
- Sven Franck, coprésident du parti paneuropéen Volt Europa / Volt France
- Thomas Friang, fondateur et directeur général d’Open Diplomacy
- Fabrice Frichet, membre du conseil national du Parti socialiste
- Martine Froger, députée Liot de l’Ariège
- Catherine Frot, actrice
- René Frydman, professeur de médecine
- Bruno Fuchs, député MoDem du Haut-Rhin
- Emmanuel Gagnier, rédacteur en chef, Cash Investigation
- Françoise Gaill, conseillère scientifique CNRS et vice-présidente de la Plateforme Océan & climats
- Jean Galfione, champion olympique de saut à là perche
- Antoine Gallimard, éditeur
- Albane Gaillot, ancienne députée Renaissance
- Louis Gallois, ancien PDG d’Airbus (EADS), de la SNCF, ancien président du conseil de surveillance de PSA Peugeot Citroën
- Jacques Gamblin, acteur
- Nicole Garcia, réalisatrice et actrice
- Marie-Charlotte Garin, députée EELV du Rhône
- Guillaume Garot, député socialiste de Mayenne
- Raquel Garrido, députée LFI de Seine-Saint-Denis
- Geneviève Garrigos, conseillère de Paris, ancienne présidente d’Amnesty International France
- Manuelle Gautrand, architecte
- Julie Gayet, comédienne et productrice
- Emmanuelle Gazel, maire de Millau
- Céline Geissmann, conseillère municipale et métropolitaine de Strasbourg
- François Gemenne, co-auteur du rapport du Giec
- Anne Genetet, députée Renaissance des Français établis hors de France
- Flora Ghebali, entrepreneure et essayiste
- Ludovic Gicquel, chef du pôle psychiatrie enfant et adolescent du centre hospitalier Henri Laborit de Poitiers
- Olga Givernet, députée Renaissance de l’Ain
- Elsa Godart, philosophe, psychanalyste et chercheure
- Guillaume Gontard, sénateur et président du groupe Écologiste, solidarité et territoires
- Xavier Gorce, dessinateur de presse
- Nathalie Goulet, sénatrice
- Romain Goupil, cinéaste
- Sandro Gozi, député européen, groupe Renew
- Dominique Grange, chanteuse
- Emmanuel Grégoire, premier adjoint à la Maire de Paris
- Jérôme Guedj, député socialiste de l’Essonne
- Christian Guémy, artiste urbain
- Bernard Guetta, député européen, groupe Renew
- Olivier Guez, journaliste et écrivain
- Claude Guibal, journaliste
- Hervé Guillou, vice-président du Gican
- Dorian Guinard, maître de conférence en droit public à l’université Grenoble Alpe
- Nadia Hai, députée Renaissance des Yvelines
- Béatrice Hakni-Robin, adjointe à la maire de Rennes
- Michèle Halberstadt, actrice et productrice
- Claude Halmos, psychanalyste
- Éric Halphen, écrivain, ancien magistrat
- Benoît Hamon, DG Singa, ancien candidat à la présidentielle
- Guillaume Hannezo, banquier d’investissement
- Arthur Harari, réalisateur
- Omar Harfouch, homme d’affaires et pianiste
- Serge Haroche, prix Nobel de physique
- Kévin Havet, adjoint au maire de Paris
- Valérie Hayer, députée européenne, groupe Renew
- Michel Hazanavicius, réalisateur, président de la Femis
- Serge Hefez, psychiatre
- Michel Henry, journaliste
- Laurent Heynemann, réalisateur
- Anne Hidalgo, maire de Paris
- Martin Hirsch, président de l’Institut de l’engagement
- François Hommeril, président de la CFE-CGC
- Christophe Honoré, réalisateur
- Louis-Marie Horeau, journaliste
- Sacha Houlié, président de la commission des Lois de l’Assemblée nationale et député Renaissance de la Vienne
- Jean-Paul Huchon, ancien président de la Région Ile-de-France
- Jacques Huleux, conseiller régional EELV Île-de-France
- Pierre Hurmic, maire de Bordeaux
- Xavier Iacovelli, sénateur Renaissance, délégué général de Territoires de Progrès
- Pascale Idoux, professeur en droit à l’université de Montpellier
- Collectif de pigistes Les Incorrigibles
- Luc Jacquet, réalisateur et aventurier
- Yannick Jadot, eurodéputé EELV
- Hugues Jallon, écrivain, éditeur, président des Éditions du Seuil
- Patrick Jarreau, ancien rédacteur en chef au journal Le Monde et ancien rédacteur en chef du service politique d’i-Télé
- Bruno Jeudy, journaliste
- Pierre Jolivet, réalisateur
- Laurent Joly, historien
- Lionel Jospin, ancien Premier ministre
- Sandrine Josso, députée MoDem de Loire-Atlantique
- Roland Jourdain, navigateur
- Chantal Jourdan, députée socialiste de l’Orne
- Sébastien Jumel, député communiste de Seine-Maritime
- Jul, dessinateur
- Hubert Julien-Laferrière, député écologiste du Rhône
- Kamel Kabtane, recteur de la mosquée de Lyon
- Laure Kaltenbach-Fournier, présidente de Creative Tech
- David-Olivier Kaminski, avocat
- Patrick Kanner, président du groupe Socialiste au Sénat
- Marietta Karamanli, députée PS de la Sarthe
- Pierre Karleskind, député européen, groupe Renew
- Fabienne Keller, députée européenne, groupe Renew
- Fatiha Keloua Hachi, députée socialiste de Seine-Saint-Denis
- Mehdi Kerkouche, chorégraphe
- David Khalfa, codirecteur de l’observatoire de l’Afrique du Nord et du Moyen-Orient de la Fondation Jean-Jaurès
- Sandrine Kiberlain, actrice
- Alexandre Kimmerlé, président Renaissance européenne Paris, directeur de projet IT
- Cédric Klapisch, réalisateur
- Leo Klimm, journaliste allemand
- Serge Klarsfeld, avocat
- Djamel Klouche, architecte
- Patrick Klugman, avocat
- Nathalie Koenders, première adjointe au maire de Dijon
- Gaspard Koenig, philosophe et écrivain
- Bernard Kouchner, ancien ministre des Affaires étrangères
- Jan Kounen, réalisateur
- Jean Labadie, producteur et distributeur de cinéma
- Élizabeth Labaye, élue socialiste à Rouen
- Christine Labbe, rédactrice en chef du journal Options de l’UGICT-CGT
- Jean Labib, producteur
- Julie Laernoes, députée EELV de Loire-Atlantique
- Marie-Pierre de La Gontrie, sénatrice de Paris
- Annie Lahmer, conseillère régionale EELV Île-de-France
- Aurore Lalucq, eurodéputée Place Publique
- Catherine Lamour, journaliste
- Jack Lang, président de l’IMA
- Elise Larnicol, actrice
- Paul Larrouturou, journaliste
- Éric Laugerias, acteur et metteur en scène
- Bernard Lavilliers, chanteur
- Marc Lazar, professeur à Sciences-Po
- Antoine Lazarus, médecin administrateur de Médecins du monde
- Yann Le Bras, avocat
- Julien Le Guet, porte-parole de « Bassines non merci »
- Karine Lebon, députée communiste de La Réunion
- Marylise Lebranchu, ancienne garde des Sceaux
- Pascal Lecamp, député MoDem de la Vienne
- Michel Leclerc, réalisateur
- François Leclercq, architecte
- Patrice Leconte, réalisateur
- Christine Leconte, architecte
- Titiou Lecoq, autrice et journaliste
- Claire Lejeune, militante écologiste et doctorante en théorie politique
- Ursula Le Menn, porte-parole d’Osez le féminisme
- Stéphane Lenormand, député Liot de Saint-Pierre-et-Miquelon
- Marylise Léon, secrétaire générale de la CFDT
- Corinne Lepage, avocate, ex-ministre de l’environnement
- Olivier Lepick, maire de Carnac
- Sonia Leplat, directrice générale de la Maison des pratiques artistiques amateurs (Paris)
- Pierre Lescure, journaliste
- Gérard Leseul, député socialiste de Seine-Maritime
- Enrico Letta, ancien président du Conseil italien
- Agnès Levallois, chercheuse
- Steve Levy, directeur d’Equity capital market
- Nathalie Loiseau, députée européenne, Horizons
- Éric Loizeau, navigateur et alpiniste
- Jérémie Iordanoff, député EELV de l’Isère
- Francis Lorentz, ancien président de la RATP
- William Lowenstein, médecin et addictologue
- Benjamin Lucas, député écologiste des Yvelines
- Wilfrid Lupano, auteur de bande dessinées
- Aïssa Maïga, actrice
- Sébastien Maillard, directeur de l’institut Jacques Delors
- Jean-Claude Mailly, ancien secrétaire général de Force ouvrière
- Jacques Maire, commissaire du pavillon français à l’exposition universelle d’Osaka 2025
- Maïwenn, réalisatrice
- Ziad Majed, politiste et professeur universitaire
- Christophe Mali (Tryo), musicien
- Alexandre Mallet-Guy, distributeur de cinéma
- Noël Mamère, ancien député et ancien journaliste
- Valérie Manteau, écrivain
- Roxana Maracineanu, ancienne ministre des Sports
- Daniel Marcelli, professeur émérite de pédopsychiatrie
- Christophe Marion, député Renaissance du Loir-et-Cher
- Sébastien Marnier, réalisateur
- Guillaume Martin, cycliste
- Xavier Martin, conseiller Municipal à Bouliac
- Éric Martineau, député MoDem de la Sarthe
- Sylvain Maschino, co-secrétaire EELV Paris Centre
- Véronique Massi, avocate
- Jean Massiet, streamer
- Valérie Masson-Delmotte, paléoclimatologue
- Max Mathiasin, député Liot de Guadeloupe
- Nicolas Mathieu, écrivain
- Xavier Mathieu, comédien, ex-porte-parole CGT des Conti
- Jean-Paul Mattéi, député Démocrate (MoDem et indépendants) des Pyrénées-Atlantiques
- Sereine Mauborgne, ancienne députée Renaissance du Var
- Nicolas Mayer-Rossignol, maire de Rouen
- Caroline Mécary, avocate
- Soraya Mechtouh, conseillère régionale Génération.s Île-de-France
- Dominique Méda, professeure des universités en sociologie et philosophie
- Ambroise Méjean, président des Jeunes avec Macron
- Ludovic Mendes, député Renaissance de Moselle
- Denis Ménochet, acteur
- Christelle Merlier, conseillère municipale à Limoges
- Thomas Mesnier, médecin urgentiste
- Lysiane Métayer, députée Renaissance du Morbihan
- Sophie Mette, députée MoDem de Gironde
- Fabienne Meurice, conseillère régionale EELV Île-de-France
- Guillaume Meurice, humoriste
- Quentin Meux, membre du conseil national du PS
- Alexis Michalik, dramaturge et réalisateur
- Anouck Michelin, avocate
- Alban Michon, explorateur
- Jean-Pierre Mignard, avocat et essayiste
- Radu Mihaileanu, réalisateur
- Laure Miller, députée Renaissance de la Marne
- Bruno Millienne, député MoDem des Yvelines
- Marc Mimram, architecte
- Nils Minkmar, journaliste et écrivain
- Philippe Moine, adjoint municipal à Paris
- Cyril Mokaiesh, chanteur
- Paul Molac, député Liot du Morbihan
- Dominik Moll, réalisateur
- Yannick Monnet, député communiste de l’Allier
- Eric Morain, directeur juridique
- Gérard Mordillat, écrivain et cinéaste
- Yolande Moreau, actrice
- François Morel, acteur
- Louise Morel, députée MoDem du Bas-Rhin
- Yannick Morez, ex-maire de Saint-Brévin-les-Pins
- Baptiste Morizot, enseignant-chercheur en philosophie
- Michel Morzière, militants des droits humains
- Anna Mouglalis, actrice
- Waleed Mouhali, enseignant chercheur en physique et conseiller municipal
- Emmanuel Mouret, réalisateur
- Marcellin Nadeau, député GDR de Martinique
- Yael Naïm, chanteuse
- Sibeth Ndiaye, ex-porte-parole du gouvernement
- Charlotte Nenner, conseillère régionale EELV
- Guillaume Néry, apnéiste
- Israël Nisand, professeur de médecine
- Yannick Noah, ancien joueur de tennis, chanteur
- Olivier Norek, écrivain
- Coordination nationale de Nous Toutes
- Jean Nouvel, architecte
- Claire Nouvian, présidente de l’association Bloom
- Françoise Nyssen, ex-ministre de la Culture
- Ariane Obolensky, ancien membre de plusieurs directoires bancaires
- Christine Ockrent, journaliste et essayiste
- Matthieu Orphelin, ancien député
- Erik Orsenna, écrivain
- Imane Ouelhadj, présidente de l’Unef
- Dorothée Pacaud, maire de Saint-Brévin-les-Pins
- Jimmy Pahun, député MoDem du Morbihan
- Bertrand Pancher, député de la Meuse et président du groupe Liot à l’Assemblée
- Laurent Panifous, député Liot de l’Ariège
- Mathilde Panot, députée du Val-de-Marne et présidente du groupe LFI à l’Assemblée
- Francesca Pasquini, députée EELV des Hauts-de-Seine
- Benoît Payan, maire de Marseille
- Jean-Baptiste Pegeon, conseiller régional EELV
- Patrick Pelloux, médecin-urgentiste
- Muriel Pénicaud, ex-ministre et dirigeante d’entreprise
- Daniel Pennac, écrivain
- Dominique Perrault, architecte
- Anne-Laurence Petel, députée Renaissance des Bouches-du-Rhône
- Bertrand Petit, député socialiste du Pas-de-Calais
- Valérie Petit, ancienne députée Horizons
- Stéphane Peu, député communiste de Seine-Saint-Denis
- Jean Peyrelevade, banquier
- Sébastien Peytavie, député écologiste de Dordogne
- Michèle Peyron, députée Renaissance de Seine-et-Marne
- Nicolas Philibert, cinéaste
- Thomas Piketty, économiste
- Éric Piolle, maire de Grenoble
- Christine Pires Beaune, députée socialiste du Puy-de-Dôme
- Jean Pisani-Ferry, professeur d’économie
- Leah Pisar, présidente du Projet Aladin
- Jean Pistre, architecte
- Claire Pitollat, députée Renaissance des Bouches-du-Rhône
- Bernard Pivot, journaliste, ancien chroniqueur au JDD
- Sébastien Pla, sénateur socialiste
- Marie Pochon, députée EELV de la Drôme
- Denis Podalydès, comédien
- Pomme, chanteuse
- Barbara Pompili, députée Renaissance de la Somme
- Olivier Ponsoye, chef d’entreprise et président d’associations
- Renaud Portejoie, avocat
- Christian de Portzamparc, architecte
- Elizabeth de Portzamparc, architecte
- Dominique Potier, député socialiste Meurthe-et-Moselle
- Josy Poueyto, députée MoDem des Pyrénées-Atlantiques
- Julien Pradel, premier fédéral du PS Hérault
- Annie Pradoux, militante écoféministe
- Barbara Pravi, chanteuse
- Hervé Pritrsky, conseiller municipal et communautaire
- Audrey Pulvar, maire-adjointe de Paris
- Olivier Py, metteur en scène
- Valérie Rabault, députée socialiste du Tarn-et-Garonne
- Emma Rafowicz, présidente des Jeunes socialistes
- Jean-Claude Raux, député EELV
- Sandra Regol, député EELV du Bas-Rhin
- Jean-Michel Ribes, metteur en scène
- Caty Richard, avocate
- Chloé Ridel, porte-parole du Parti socialiste
- Emmanuel Riglaire, avocat
- Davy Rimane, député GDR de Guyane
- Karim Rissouli, journaliste
- Marc-Antoine Robert, producteur de cinéma
- Muriel Robin, actrice
- Tiago Rodrigues, dramaturge
- Raphaël Rodriguez, directeur de recherche CNRS
- Johanna Rolland, maire de Nantes
- Harry Roselmack, journaliste
- Claudia Rouaux, députée socialiste d’Ille-et-Vilaine
- Élisabeth Roudinesco, historienne et psychanalyste
- Sandrine Rousseau, députée écologiste de Paris
- Fabien Roussel, député du Nord et secrétaire national du PCF
- Henry Rousso, historien
- Michèle Rubirola, première adjointe au maire de Marseille
- Thomas Rudigoz, député Renaissance du Rhône
- François Ruffin, député LFI Picardie debout, de la Somme
- Olivier Saguez, designer
- Nathalie Saint-Cricq, éditorialiste
- Benjamin Saint-Huile, député Liot du Nord
- Michel Sala, député LFI du Gard
- Jean-Paul Salomé, réalisateur
- Isabelle Santiago, députée PS du Val-de-Marne
- Mathieu Sapin, auteur-dessinateur de bande dessinée
- Michel Sapin, ancien ministre
- Salomé Saqué, journaliste
- Eva Sas, députée écologiste de Paris
- Marjane Satrapi, dessinatrice, réalisatrice
- Hervé Saulignac, député socialiste d’Ardèche
- Dominique Schmeltz, premier fédéral PS de l’Aube
- Lucile Schmid, vice présidente de La Fabrique écologique
- Vincent Schneegans, avocat
- Arnaud Schwartz, membre du Conseil économique et social Européen
- Louis Schweitzer, haut fonctionnaire, ancien PDG du groupe Renault
- Randall Schwerdorffer, avocat
- Sabrina Sebaihi, députée EELV des Hauts-de-Seine
- Didier Seban, avocat
- Claire Sécail, chercheuse au CNRS
- Guy Seligmann, réalisateur, ancien patron de la Scam
- Marc-André Selosse, biologiste
- Ghislaine Senée, conseillère régionale d’Île-de-France et présidente du groupe Alternative écologiste et sociale
- Claude Sérillon, journaliste
- Olivier Serva, député Liot de Guadeloupe
- Claire Simon, réalisatrice
- Danielle Simonnet, députée LFI de Paris
- Anne Sinclair, journaliste
- Leïla Slimani, écrivain
- Bruno Solo, acteur
- Dominique Sopo, président de SOS Racisme
- Stessy Speissmann-Mozas, maire de Gérardmer
- Violette Spillebout, députée Renaissance du Nord
- Isabelle Steyer, avocate
- Benjamin Stora, historien
- Michaël Stora, psychologue et psychanalyste
- Bruno Studer, député Renaissance du Bas-Rhin
- Aurélien Taché, député écologiste du Val-d’Oise
- Sophie Taillé-Polian, députée Génération.s du Val-de-Marne
- Jean-Guy Talamoni, ancien président de l’Assemblée de Corse
- Jacques Tardi, dessinateur
- Pierre Tartakowsky, président d’honneur de la LDH
- Guillaume Tatu, maire adjoint d’Annecy
- Christiane Taubira, ancienne garde des Sceaux
- David Taupiac, député Liot du Gers
- Rachid Temal, sénateur PS
- Nicolas Tenzer, philosophe
- Irène Théry, sociologue
- Prisca Thévenot, députée Renaissance des Hauts-de-Seine
- Marc Thiercelin, skipper course au large
- Mélanie Thomin, députée socialiste du Finistère
- Huguette Tiegna, députée Renaissance du Lot
- Irène Tolleret, députée européenne, groupe Renew
- Marine Tondelier, secrétaire nationale EELV
- Serge Toubiana, critique de cinéma, directeur d’Unifrance
- Maud Touitou, avocate
- Stéphane Travert, député Renaissance de la Manche, ancien ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation
- Justine Triet, réalisatrice
- Stéphane Troussel, président du département de Seine-Saint-Denis, porte-parole du PS
- Aurélie Trouvé, députée LFI de Seine-Saint-Denis
- Laurence Tubiana, professeure à Sciences Po Paris
- Cécile Untermaier, députée socialiste de Saône-et-Loire
- Usul, journaliste politique
- Najat Vallaud-Belkacem, présidente de France Terre d’asile
- Boris Vallaud, député PS des Landes
- Denis Valode, architecte
- Nicolas Vanier, réalisateur et aventurier
- Rosalie Varda, directrice artistique
- Fred Vargas, écrivain
- Marie-Pierre Vedrenne, députée européenne, groupe Renew
- Emmanuelle Veil, directrice du journal Minimal
- Jean Viard, sociologue
- Roger Vicot, député socialiste du Nord
- Philippe Vigier, député MoDem et indépendants d’Eure-et-Loire
- Cédric Villani, mathématicien, ancien député
- Marie Violleau, avocate
- Stéphane Vojetta, député apparenté au groupe Renaissance des Français établis hors de France
- Guillaume Vuilletet, député Renaissance du Val-d’Oise
- Mathias Wargon, médecin
- Jacques Weber, acteur, réalisateur et scénariste
- Christopher Weissberg, député Renaissance des Français établis hors de France
- Gilles Widawski, chef d’entreprise
- Michel Wieviorka, sociologue
- Lambert Wilson, acteur
- Elsa Wolinski, journaliste et entrepreneuse
- Caroline Yadan, députée Renaissance de Paris
- Salima Yenbou, députée européenne, groupe Renew
- Stéphanie Yon-Courtin, députée européenne, groupe Renew
- Frédéric Zgainski, député MoDem de Gironde
- Daniel Zagury, psychiatre
- Rebecca Zlotowski, réalisatrice
- Jean-Marc Zulesi, député Renaissance des Bouches-du-Rhône


Grèce : le conservateur Kiriákos Mitsotákis triomphe aux législatives
Articles : Juin 2023 – Mai 2023 – Avr. 2023 – Mar. 2023-Facebook : https://www.facebook.com/profile.php?id=100069673161887 Twitter : https://twitter.com/OrtfNews

C’est une belle victoire que les conservateurs de droite viennent d’emporter, en Grèce. Le 21 mai dernier, les Grecs votaient pour renouveler les députés de la Vouli, le Parlement local. Nouvelle Démocratie, le parti conservateur du Premier ministre sortant Kiriákos Mitsotákis, était arrivé largement en tête (40,79 %), devant Aléxis Tsípras, patron de Syriza, son homologue de gauche radicale (20,07 %). Chez le Pasok socialiste et le KKE communiste, c’était la douche froide : 11,46 % pour l’un et 7,23 % pour l’autre. Pour autant, Kiriákos Mitsotákis n’avait pas la majorité suffisante pour gouverner.
Retour aux urnes
D’où ce retour aux urnes, ce 25 juin. Entre-temps, le mode de scrutin à la proportionnelle intégrale a été sensiblement amendé, permettant à la liste de tête de bénéficier d’un bonus d’une cinquantaine de sièges afin de pouvoir dégager une majorité de gouvernement. Cette fois, les résultats sont sans appel, malgré une baisse de la participation (-8,2 %) ; ce qui n’a pas empêché nos amis hellènes de voter à hauteur de 52,78 %.
Kiriákos Mitsotákis obtient 42 % des voix, un résultat légèrement supérieur au précédent, qui lui permet, avec 158 députés, de détenir la majorité absolue dans un Parlement de 300 sièges. En face, Aléxis Tsípras descend à 17,83 %. Le Pasok et le KKE se maintiennent à 11,86 % et 7,68 %. Mais le fait notoire de ce scrutin tient à l’irruption de « l’extrême droite » à la Vouli. Avec seulement 4,66 % et 4,55 % des suffrages, deux formations, Les Spartiates et Solution grecque, obtiendraient chacune douze sièges. Niki, autre formation similaire, serait pour le moment recalée.
Un événement qui sidère les observateurs. Pour le professeur en sciences politiques Manos Papazoglo, interrogé lundi par Le Monde, « depuis 1974, c’est-à-dire la période post-dictature [1967-1974, celle des colonels, NDLR], c’est du jamais-vu en Grèce qu’un parti obtienne plus de 40 % des suffrages avec un deuxième parti d’opposition à moins de 20 % ».
Séduire l’autre camp
Plus prosaïquement, il semble que Kiriákos Mitsotákis n’a pas trop déçu ses électeurs historiques, allant même jusqu’à séduire ceux de l’autre bord. Notamment ceux qui avaient plébiscité la gauche populiste alors incarnée par Aléxis Tsípras et son très médiatique ministre des Finances Yánis Vároufakis, ce chauve très télégénique, plus souvent photographié sur sa moto que sur ses dossiers. Cette gauche nouvelle était alors un modèle insurpassable pour Jean-Luc Mélenchon, du temps où il était encore populiste de l’espèce souverainiste, soit avant qu’il ne se couche devant les diktats budgétaires des technocrates européens.
Instruit par l’expérience, l’incontestable vainqueur de ces élections législatives semble avoir mis de l’eau dans son raisiné. Et au lieu de réitérer les errements d’une gauche pour le moins maladroite, Kiriákos Mitsotákis a préféré mener une politique de droite des plus adroites. En commençant par remettre un peu d’ordre dans les finances publiques, ce qui n’est pas tout à fait un luxe en ces contrées. Cet effort lui a permis de renouer avec la croissance (+5,9 %) l’année dernière, tout en faisant baisser le chômage.
De quoi calmer les diktats européens tout en se lançant dans une vaste entreprise de remise à niveau des services publics locaux et en augmentant les salaires des plus modestes de ses compatriotes. En effet, cet homme formé dans les meilleures universités américaines, de Harvard à Stanford, avant d’occuper des postes plus que prestigieux à la Chase Manhattan Bank et au cabinet de conseil McKinsey, connaît mieux que personne les arcanes de l’économie mondialisée. De là à user de ses connaissances pour mieux protéger son peuple ? Il y a probablement de ça. Un peu comme le président hongrois Viktor Orbán, pur produit des écoles Open Society du milliardaire George Soros.
Car dès qu’il s’agit de défendre les intérêts vitaux de son peuple, le Premier ministre fraîchement réélu voit grand. Il y a une opposition nationaliste encore plus nationaliste que la sienne ? Il l’intègre au gouvernement ! Le 8 juillet 2019, alors qu’il arrive pour la première fois au pouvoir, Kiriákos Mitsotákis préfère prêter serment sur la Bible plutôt que sur la Constitution. Puis il stupéfie la gauche avec la nomination du sulfureux ministre Mavroudís Vorídis [ancien du LAOS, l’extrême droite d’alors, NDLR] à l’Agriculture. Déjà, en 2015, lorsqu’il devient président de Nouvelle Démocratie, il amène à lui d’autres personnalités aussi sensibles qu’Ádonis Georgiádis comme vice-président et Míkis Vorídis, tous deux issus du même LAOS.
La droite conservatrice progresse en Europe
Ajoutons que les raisons d’un tel succès viennent encore de sa vigoureuse opposition à l’expansionnisme turc et à celle, plus fluide mais non moins réelle, de cette immigration de masse face à laquelle l’Italie, comme la Grèce, sont en première ligne. Ceci expliquant probablement cela, même si, ici, on ne le comprend toujours pas.
La même soirée : victoire de l'AFD 🇩🇪 à Sonneberg et poussée des Spartiates aux législatives 🇬🇷.
— Manon Aubry (@ManonAubryFr) June 26, 2023
La menace de l'extrême-droite se confirme à chaque élection en Europe.
N'oublions pas que la NUPES est notre meilleure arme pour y faire face en 🇫🇷. https://t.co/n9w7N9x28G
Ainsi, Manon Aubry ne comprend pas que le bas peuple qu’elle regarde de haut puisse voter en dehors des clous, que ce soit en Finlande, en Suède, au Danemark, en Grèce ou en Allemagne, là où l’AfD vient de faire une percée remarquée à Sonneberg, dans le Land de Thuringe. « Cours, camarade, le vieux monde est derrière toi », affirmaient les jeunes gauchistes du siècle dernier. On pourrait rétorquer à cette pimprenelle : arrête ton jogging, le nouveau monde t’a rattrapée.
Nicolas Gauthier, Boulevard Voltaire


Le port du voile bientôt autorisé en compétition sportive ?
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L’audience qui s’est tenue, ce lundi à 14 heures, au Conseil d’État pourrait bien être décisive pour la pratique du sport de certaines joueuses. Elle opposait la Fédération française de football à un collectif de hijabeuses qui réclament le droit de jouer voilées en compétition. Certaines sont venues voilées et portaient leur maillot de foot.
La juridiction devait également examiner le recours de décembre 2021 par la Ligue des droits de l’homme (LDH) demandant l’abrogation de l’article 1er des statuts de la FFF qui interdit, lors de ses compétitions, « tout discours ou affichage à caractère politique, idéologique, religieux ou syndical » et « tout acte de prosélytisme ou manœuvre de propagande ».
Si la décision ne sera pas rendue ce jour – il faut attendre deux à trois semaines la décision mise en délibéré -, le rapporteur pourrait faire, selon une journaliste de CNews, « la différence entre des joueurs sélectionnés en équipe de France et ceux qui jouent dans les autres clubs. Les premiers sont investis d’une mission de service public et doivent suivre les directives de la fédération. » Elle a également précisé : « Nous pensons que valider l’interdiction marquerait un infléchissement important de votre jurisprudence […] et à nier le droit pour tout individu de choisir et d’exprimer la liberté qui dirigera sa vie. »
Au conseil d'Etat pour l'audience sur le port du hijab par les joueuses de football en compétition. La FFF y est opposée, le collectif des #Hijabeuses a déposé un recours en 2021.
— Noémie Schulz (@noemieschulz) June 26, 2023
La décision ne sera pas rendue aujourd'hui. On attend l'avis du rapporteur public @CNEWS
À ce sujet — Matchs de foot annulés : les joueuses ne voulaient pas retirer leur voile
La semaine dernière, des matchs de football ont été annulés en Île-de-France parce que les joueuses avaient refusé de retirer leur hijab.

